|
|
|
|
||||||
Connectez vous pour utilisez Mails privés, carnet d'adresses et favoris |
31 personnes aiment cette page |
Connectez vous pour déposer fleurs, bougies et messages |
Vous n'êtes pas connecté. |
En hommage à
SETTER-GORDONRUBENS
Il est né le:03/06/2000
Il nous a quittés le:04/03/2013
121 bougies
|
11786 Fleurs
6924 messages
Déposé par colombine67 le 19/08/2015Julius et son chien de Frédérique Zoltane La légende de la ville de Dax : Julius le légionnaire romain a un vieux chien perclus de rhumatismes dont il va guérir, faisant ainsi la renommée des bains de boue de la ville. Voir la légende à la fin. La ville de Dax en ce temps-là S'appelait Aquae Tarbellicae. Et Julius, un soldat romain Y avait pour ami un chien. Aimé de toute la garnison C'était un vieux toutou fidèle, Qui faisait dire aux centurions Qu'avec lui la vie était belle. Mais voilà qu'un jour en Espagne, Une révolte se déchaîne, Et que par-delà les montagnes, L'armée doit quitter l'Aquitaine. Impossible d'emmener le chien, Et il est trop sourd, ne voit pas bien, Et Julius le coeur en tristesse, Pour la dernière fois le caresse. Et la paix succède à la guerre, C'est le retour des légionnaires Non Julius, tu ne rêves pas, C'est ton chien qui t'attend là-bas. Comme il est vif, comme il est beau ! Courant sautant comme un chevreau, C'est un miracle, c'est un mystère, Il n'a pas l'air d'un vieux grand-père. On s'aperçut que tous les jours, Le toutou, au bord de l'Adour, Allait se roulait dans la boue, Et qu'elle lui faisait un bien fou. Hommes, femmes, enfants firent de même, Oubliant douleurs et problèmes, Et en ce lieu pour se soigner, Bientôt ils furent des milliers. On dit que la fille de l'empereur Fit elle-même le voyage, Et fut guérie en quelques heures Des rhumatismes et leurs outrages. La ville de Dax, de nom changea, Et devint Aquae Augustas. Quant à Julius et son vieux chien, Seule ma chanson s'en souvient. |
Déposé par poutounou le 18/08/2015Une voix du ciel * Je suis l'astre des nuits. Je brille, pâle et blanche, Sur la feuille qui tremble au sommet d'une branche, Sur le ruisseau qui dort, sur les lacs, bien plus beaux Quand mes voiles d'argent s'étendent sur leurs eaux. Mes rayons vont chercher les fleurs que je préfère, Et font monter au ciel les parfums de la terre ; Je donne la rosée au rameau desséché, Que l'ardeur du soleil a, sur le sol, penché. Sitôt que je parais, tout se tait et repose, L'homme quitte les champs, et l'abeille la rose : Plus de bruit dans les airs, plus de chant dans les bois ; Devant mon doux regard nul n'élève sa voix, De la terre ou du ciel aucun son ne s'élance, J'arrive avec la nuit, et je règne en silence ! Je cache mes rayons quand le cri des hiboux Vient troubler mon repos et mon calme si doux. * Je suis l'astre des nuits ; je brille, pâle et blanche, Sur le cœur attristé, sur le front qui se penche, Sur tout ce qui gémit, sur tout ce qui se plaint, Sur tous les yeux en pleurs qu'aucun sommeil n'atteint |
Déposé par Galiama le 18/08/2015VOLE (Céline DION, paroles Jean-Jacques GOLDMAN) Vole vole petite aile Ma douce, mon hirondelle Va t'en loin, va t'en sereine Qu'ici rien ne te retienne Rejoins le ciel et l'éther Laisse-nous laisse la terre Quitte manteau de misère Change d'univers Vole vole petite sœur Vole mon ange, ma douleur Quitte ton corps et nous laisse Qu'enfin ta souffrance cesse Va rejoindre l'autre rive Celle des fleurs et des rires Celle que tu voulais tant Ta vie d'enfant Vole vole mon amour Puisque le nôtre est trop lourd Puisque rien ne te soulage Vole à ton dernier voyage Lâche tes heures épuisées Vole, tu l'as pas volé Deviens souffle, sois colombe Pour t'envoler Vole, vole petite flamme Vole mon ange, mon âme Quitte ta peau de misère Va retrouver la lumière |
Déposé par colombine67 le 18/08/2015Le chien abandonné Patrick Font ( en live ) L'humour caustique et provocateur de Patrick Font peut parfois choquer certains. A ne pas prendre au premier degré. Une autre chanson de même titre a été reprise par Jean Rochefort au profit de la SPA, mais le texte est complètement différent. Comme les 300 000 saligauds Qui laissent tomber leurs animaux A la veille des congés payés, Comme les 300 000 assassins Qui abandonnent chats et chiens Sans espoir de les retrouver, Préméditant leur s*****rie Madame et Monsieur sont partis. Le chien qui remuait la queue Avec du bonheur plein les yeux Installé sur le siège arrière De la 504 en partance Pour la grand-route des vacances Qui doit passer par la fourrière. Quand l'animal devient trop lourd Avec ses dix kilos d'amour. Et la voiture s'est arrêtée La portière s'est refermée Tout s'est passé comme prévu. Et la voiture est repartie, Le chien encore tout étourdi Fait celui qui ne comprend plus. A la même heure un peu partout, D'autres chiens sont devenus fous. Appuie sur l'accélérateur ... 110, 120, 130 à l'heure ... Le chien va-t-il nous rattraper ? Il avait beau être batard Il était capable d'avoir Des accès de fidélité. Effectivement le chien courait Après l'auto qui s'enfuyait... Les maîtres se sont retournés Un court instant pour vérifier Si le chien les suivait encore. Mais le code nous a dit cent fois Qu'il faut regarder devant soi. Et la route a compté deux morts, Après l'horrible collision D'une 504 et d'un camion. Chabadaba dim na na Chaba da nana na ... C'est vrai qu'les routiers sont sympas des fois. Alors le chien s'est arrêté Et on n'sait pas s'il a pleuré, Ou on n'sait pas s'il s'est marré. Il est parti à travers champs Loin des rumeurs de l'accident, La queue flottant au vent d'été. Une petite fille l'a recueilli. Et Mort aux cons, et vive la vie ! Mort aux cons, et vive la vie ! Mort aux cons, et vive la vie ! |
Déposé par rafia le 17/08/2015Restez debout... Lorsque dans votre vie, rien ne va plus, que les problèmes tourmentent votre esprit et que l'angoisse vs envahit... Reposez-vs, s'il le faut, mais restez debout. Lorsque tout votre univers menace de s'écrouler et que, fatigué//e, vs sentez la confiance vs abandonner... Reposez-vs, s'il le faut, mais restez debout. Vs savez, la vie est parfois étrange, avec son lot de souffrances et d'imprévus, et il ne ns est pas donné de savoir à l'avance combien d'étapes ns devrons franchir ni combien d'obstacles ns devrons surmonter avant d'atteindre à nouveau, le bonheur. Combien de gens ont hélas cessé de lutter alors qu'un seul petit pas de plus aurait transformé un échec en réussite??? Et pourtant, faire un pas à la fois n'est jamais trop difficile. Vs devez donc avoir le courage et la ténacité nécessaires pour faire ce petit pas de plus, en affirmant que la vie est une grande et puissante amie, se tenant toujours à vos côtés, prête à vous porter secours. Vs verrez alors que cette attitude appellera, du plus profond de vous-même, des forces de vie que vs ne soupçonniez même pas et qui vs aideront à réaliser ce que vs entreprendrez. Alors, rappelez-vs bien ceci : « Quand, dans la vie, vous vivez des moments difficiles… Reposez-vs s'il le faut, mais restez debout. Avec toute mon amitié. + 1000 mercis. + 1000 bisous pr ma très chère Martine + ma tendresse pr le bel Iron. Prenez bien soin de vs !!! Maryem, votre amie. |
Déposé par colombine67 le 17/08/2015Pour la mort d'un chien de Félix Leclercq Un chien attend le retour de son maître pendant des mois et des mois, en vain, il ne reviendra jamais. Dès lors, pour le chien, la vie n'a plus de sens. Fidèle à son maître, il refusera les mains tendues. Jusque la mort.. S'il y a des cloches pour les chiens qui meurent, Que sonnent les cloches pendant une heure ! Il est mort de m'attendre au coin d'une rue, C'est tant pis pour moi, je n'suis pas venu. Pourtant, j'avais dit au printemps, Avec les fleurs, les vents d'avril, Les hirondelles ont fait des milles, Lui dire que j'étais au tournant. Il m'a attendu tout l'été, tout l'été, Pour qu'ensemble on aille courir dans les champs, Je lancerai dans la coulée Le bâton qu'il tient entre ses dents. Quand l'automne est venu, il a vu Que peut-être je ne reviendrais plus. Il a r'culé au fond d'la cour, A pleuré la chute des jours. Le postillon lui a dit : "T'en fais, Espère un peu, encore un mois" Un voisin lui a dit : "Viens chez moi, J'ai des enfants, on te guérira." Mais non, il a attendu la neige, Et elle l'a pris comme un sortilège. Il s'est dit : "Elle le ramènera" Mais j'ai failli encore une fois. Donc, il est allé à la ville Pour essayer de me r'tracer. Il a passé sous toutes les grilles Et mordu tous les policiers. Et puis, écœuré de l'amour, Des charités, des beaux discours, Il s'est roulé au coin d'la rue, Attendit qu'on lui passe dessus. S'il y a des cloches pour les chiens qui meurent, Que sonnent les cloches pendant une heure ! Il est mort de m'attendre et je l'ai déçu, Je mériterais qu'on ne m'aimât plus. Pourtant ... |
Déposé par rafia le 16/08/2015Chaque fois qu’un Amour//Canin meurt, un ange de Dieu descend sur la terre, prend notre Amour//Canin mort dans ses bras, ouvre ses larges ailes, parcourt ts les lieux où notre trésor//Canin a été heureux.... et cueille une poignée de fleurs. Ces fleurs, ts deux les portent au bon Dieu pour qu’il les fasse refleurir là-haut plus belles que sur la Terre..... |
Déposé par colombine67 le 16/08/2015QUAND J'AI BESOIN D'UNE MAIN JE TROUVE TOUJOURS TA PATTE C'EST POUR CA QUE TU ES SI PRECIEUX POUR MOI |
Déposé par rafia le 15/08/2015Le chien Tête de boule chaude qu’on nourrit, qu’on élève. Petit animal qui cahote sur ses pattes, glisse sur les postérieurs, écroulé sur son ventre tendre et mou de bébé trop nourri. Chien enfant que l’on aime, que l’on instruit du mieux qu’il peut. Dont on a la fierté de la patte donnée. Dont on a la tendresse, la chaleur, le silence qui parle, les yeux qui vous regardent. Chien compagnon,chien de la promenade qui gambade avec vous, s’en va pour revenir avec le plus beaudes présents : un caillou, une branche, son amour qui rythme votre vie et vous force à la vie. Chien qui donne : un regard, la poussée d’une tête, un œil doré d’amour, une patte. Chien qui accepte un soin, une caresse, une tape, un reproche. Chien qui est votre enfant, mais qui devient le parent qui vieillit avant vous, que vous voyez marcher lorsqu’il aimait courir, se lever pesamment, venir vers vous avec la lenteur de l’âge. Chien qui s’abîme, s’use avec la vie, chien qui déroule en douze ans une vie, vieux chien qu’on aime, et qui s’éloigne, et qui s’en va, qui est parti et que l’on pleure. Christian Chabellard , |
Déposé par ovanek le 15/08/2015💖 💖 94 💖 💖 **** Pensée de rêve **** Jour après jour la vie qui va M´a laissé au passage comme un goût amer Et même l´amour file entre mes doigts Alors pourquoi s´en faire A quoi ça sert? Donnez-moi une seule raison de croire De ne pas rester le cœur verrouillé à double tour De jour en jour la vie est plus dure Je sais bien pourquoi rien n´a changé Le monde se masque dans les soucis sans sourire J´ai tant besoin de toi, oui, pour ne pas t´oublier Quand parfois la nuit un vieux rêve interdit me poursuit J´aimerais m´échapper.... J´aimerais revenir jusqu´ici ...jusqu'à Nous... jusqu'à Toi J´ignore encore tout de l´avenir Ce que je peux dire c´est qu´il est aux Pensées J´entends tes pas qui revienne vers moi sans Toi, j´entends ta voix ! Mais je ne te vois pas ... j´ai besoin de Toi ! Mais je ne comprends pas à pas... alors mon rêve s'arrête et Toi tu es en moi.... *** Je t'aime mon Chien…. Pensée …..Phil *** 💖 |
Déposé par myriam31 le 15/08/2015 les larmes envoient toujours les messages, que le coeur ne peut envoyer en paroles plein de bisous pour toi et ta maman. |
Déposé par colombine67 le 15/08/2015 “Prends ma patte. Ne la lâche pas. J'écouterai ce que tu veux me dire. Si tu préfères te taire, j'entendrai ton silence. Si tu ris, je rirai avec toi, mais jamais de toi... Si tu es triste, j'essayerai de te consoler. Je ferai pour toi des bouquets de soleil. J'allumerai des feux de joie là où chacun ne voyait plus que des cendres. Si je n'ai qu'une rose, je te la donnerai. Si je n'ai qu'un chardon, je le garderai pour moi. Je te donnerai ce qui te plaît, ce qui te rassure le plus si je le possède. Si je ne le possède pas, j'essayerai de l'acquérir. Donne-moi la main. Nous irons où tu voudras. Je te ferai entendre la musique que j'aime. Si tu ne l'aimes pas, j'écouterai la tienne... J'essaierai de l'aimer ! Je t'apprendrai ce que je sais. C'est peu. Tu m'apprendras ce que tu sais. C'est beaucoup. Ne dis pas que tu ne sais rien : cela n'existe pas, quelqu'un qui ne sait rien... ou alors, si cela existe, tant mieux car ce serait quelqu'un comme un jardin sauvage, un jardin à naître où l'on peut rêver mille jardins... comme... comme un enfant à venir, un enfant espéré : ce serait la vie devant soi, ronde, inattaquée, comme une boule de Noël. Prends ma patte. Cinq doigts refermés autour des nôtres, c'est le plus beau cadeau du monde. Cela nous préserve de la peur, de l'abandon, du doute. Une patte et une main offerte, c'est un monde nouveau. Tu es toi. Je suis ce que je suis. Je ne troublerai pas ta musique intérieure. Je ne me blesserai pas de tes silences. Tu respecteras les miens. Je ne t'assassinerai pas de “pourquoi ?”. Tu ne diras pas que je fais des fausses notes si je ne pense pas comme toi... Donne-moi la main. Nous irons avec la vie, comme le sable, le temps et l'eau : entre source et delta. Différents et si proches à la fois...” |
Déposé par rafia le 14/08/2015Prière des indiens Pueblos Que les étoiles emportent ta tristesse Que les fleurs remplissent ton cœur de beauté Que l’espérance essuie tes larmes pour toujours Et, par-dessus tout, que le silence te fortifie. |
Déposé par bouledogue le 14/08/2015« IL POSSÈDE LA BEAUTÉ SANS LA VANITÉ, LA FORCE SANS L’INSOLENCE, LE COURAGE SANS LA FÉROCITÉ ET TOUTES LES VERTUS DE L’HOMME SANS SES VICES. » |
Déposé par colombine67 le 14/08/2015 Je donnerais une valeur aux choses, pour ce qu'elles signifient. Je dormirais peu, je rêverais plus, je crois que chaque minute passée les yeux fermés représentent soixante secondes en moins de lumière. Je marcherais quand les autres s'arrêtent, je me réveillerais quand les autres dorment. Je donnerais des ailes à un enfant, mais je le laisserais apprendre à voler seul. J'enseignerais aux vieux que la mort ne vient pas avec l'âge mais avec l'oubli. J'ai appris tant de choses des hommes … J'ai appris que tout le monde veut vivre au sommet de la montagne, sans savoir que le véritable bonheur c'est dans la manière de l'escalader. J'ai appris que quand un nouveau-né serre fort de son petit poing, pour la première fois, la main de son père, il le retient pour toujours. J'ai appris qu'un homme n'a le droit d'en regarder un autre de haut que pour l'aider à se lever. Dis toujours ce que tu sens, fais ce que tu penses. Il y a toujours un lendemain, et la vie nous donne une autre occasion de faire bien des choses : mais si jamais je n'ai plus que ce jour, j'aimerais dire à tous ceux que j'aime combien je les aime. Le lendemain n'est garanti à personne, qu'il soit jeune ou vieux … Aujourd'hui peut … être le dernier jour où tu vois ceux que tu aimes. N'attends pas, fais-le aujourd'hui, car, si demain ne vient pas, tu regretteras de n'avoir pas pris le temps d'un sourire, d'une caresse, d'un baiser, trop occupé que tu étais. Garde près de toi ceux que tu aimes, dis-leur à l'oreille combien tu as besoin d'eux, aime- les et traite-les bien, prends le temps de dire "je regrette", "pardonne-moi, s'il te plaît", "merci", et tous les mots d'amour que tu connais. Demande au Seigneur la force et la sagesse de les exprimer. Car personne ne se souviendra de tes pensées secrètes. Il faut qu'elles soit dites … avant que tout soit consommé … Gabriel Garcia Marquez |
Déposé par NathalieB le 13/08/2015CHANSON D'AUTOMNE Les sanglots longs Des violons De l'automne Blessent mon cœur D'une langueur Monotone. Tout suffocant Et blême, quand Sonne l'heure, Je me souviens Des jours anciens Et je pleure. Et je m'en vais Au vent mauvais Qui m'emporte Deçà, delà, Pareil à la Feuille morte. ( Poème de Paul Verlaine 1844-1896 ) |
Déposé par rafia le 13/08/2015Extrait de l'ABSENCE de Serge REGGIANI L'absence D'un enfant, d'un amour L'absence est la même Quand on a dit je t'aime Un jour... Le silence est le même., |
Déposé par poutounou le 13/08/2015Les cloches du soir * Quand les cloches du soir, dans leur lente volée, Feront descendre l'heure au fond de la vallée ; Quand tu n'auras d'amis, ni d'amours près de toi, Pense à moi ! pense à moi ! * Car les cloches du soir avec leur voix sonore A ton cœur solitaire iront parler encore ; Et l'air fera vibrer ces mots autour de toi : Aime-moi ! aime-moi ! * Si les cloches du soir éveillent tes alarmes, Demande au temps ému qui passe entre nos larmes : Le temps dira toujours qu'il n'a trouvé que toi, Près de moi ! près de moi ! * Quand les cloches du soir, si tristes dans l'absence, Tinteront sur mon cœur ivre de ta présence : Ah ! c'est le chant du ciel qui sonnera pour toi, Et pour moi ! et pour moi ! * Poète : Marceline Desbordes-Valmore (1786-1859) |
Déposé par Biscuit le 13/08/2015Pour la compagne ou le compagnon qui n'est plus Pour toi qui viens ici pour l'ultime séparation, pour l'ultime hommage à celui ou celle qui t'a donné sa fidélité, son amour, ses joies, sa reconnaissance, et pour lequel ou pour laquelle tu as eu des nuits de veille quand la maladie frappait... Pour toi qui avais un langage unique pour échanger, pour adoucir, avec celui ou avec celle qui communiquait par un simple battement des paupières, un frémissement du museau, et qui exprimait, qui transmettait tant de messages ineffables, d'un miaulement ou d'un ronron, d'un aboiement particulier, ou qui jappait à ton approche, ou donnait de la voix. Pour toi qui cheminais avec lui ou avec elle, et qui partageais ses jeux, Pour toi dont il ou elle était le gardien du logis, Pour toi qui as mille et mille histoires à nous dire sur lui ou sur elle, chien ou chat, Pour toi dont il ou elle a été le témoin de tant d'évènements familiaux, Pour toi qui revis à présent la belle histoire d'amour qui vous liait, ne garde au coeur et en ta mémoire que la couleur de ses yeux, et de son pelage, son nom, son image, les heures de complicité, sa force vive, celle d'hier, tout ce que ce compagnon ou cette compagne t'a donné... Que ta croyance en la survie du souffle qui l'animait soit la plus forte... Alors ta compagne ou ton compagnon sera présent(e) dans l'invisible qui nous entoure, et tu seras apaisé(e). Bernard Blancotte de l'Académie du Languedoc Paris, le 9 septembre 1988 , Belles pensées |
Déposé par colombine67 le 13/08/2015 La vie, c’est la pluie… C’est le beau temps… C’est la rosée du matin Et la douceur d’un coucher de soleil. C’est un sourire, Une larme… Des souvenirs, des espoirs… Des Jours noirs et des Jours bleus. La Vie, c’est toi, c’est moi… C’est nous, c’est tout. C’est le souffle divin… C’est le plus beau, le plus précieux… C’est sacré, respecté. La vie… c’est un changement Perpétuel et continuel. C’est s’adapter, Essayer..tomber… échouer… Se relever et gagner. C’est un Jeu qui suit les caprices des vagues et du vent. La Vie, n’essaie pas de la prévoir, De la deviner, De la comprendre Ou de la changer. La vie, vis-la, au jour le jour… Avec confiance, courage, optimisme et amour. Accroche un sourire à tes lèvres : Regarde bien droit devant toi Et suis ton étoile. Des jours merveilleux t’attendent ! Anonyme |
L'Album photo contient 32 photos