|
|
|
|
||||||
Connectez vous pour utilisez Mails privés, carnet d'adresses et favoris |
31 personnes aiment cette page |
Connectez vous pour déposer fleurs, bougies et messages |
Vous n'êtes pas connecté. |
En hommage à
SETTER-GORDONRUBENS
Il est né le:03/06/2000
Il nous a quittés le:04/03/2013
95 bougies
|
11751 Fleurs
6926 messages
Déposé par bouffie le 29/05/2014Le temps viendra où nous serons réunis Il est parfois difficile dans ma solitude, de me souvenir que quelqu'un m'aime, quelque part. Quelqu'un qui m'aime pour ce que je suis et non pour ce qu'il souhaite que je sois ou pour ce qu'il souhaite faire de moi. Quelqu'un qui m'aime, juste pour moi. Comme c'est parfois difficile d'accepter d'être si loin d'un de l'autre et de se voir si peu! Mais je sais que lorsque le temps viendra pour nous d'être réunis rien ni personne ne nous en empêchera. Toi, mon amour, tu vis toujours dans mes rêves, mes espoirs, mes actions. Mais plus que tout, tu vis dans mon coeur, et ça, mon amour, c'est la chose qu'aucune distance -- aussi grande soit-elle -- ne pourra jamais faire disparaître. (Patty Holleman) tendre pensée d'amour pour tous nos anges |
Déposé par seensouaree le 29/05/2014Comment est-ce possible? Quand j'étais un chiot, je t'ai amusé avec mes cabrioles et t'ai fait rire. Tu m'as appelé ton enfant, et en dépit de plusieurs chaussures mâchées et quelques oreillers assassinés, je suis devenu ton meilleur ami. Toutes les fois que j'étais méchant tu agitais ton doigt vers moi et me demandais " Comment est-ce possible ? ", mais après on s'amusait ensemble. Mon éducation a pris un peu plus longtemps que prévu, parce que tu étais terriblement occupé, mais nous y avons travaillé ensemble. Je me souviens de ces nuits où je fouinais dans le lit et écoutais tes confidences et rêves secrets, et je croyais que la vie ne pourrait pas être plus parfaite. Nous sommes allés pour de longues promenades et courses dans le parc, promenades de voiture, arrêts pour de la crème glacée (j'ai seulement eu le cornet parce que " la glace est mauvaise pour les chiens, " comme tu disais), et je faisais de longues siestes au soleil en attendant que tu rentres à la maison. Progressivement, tu as commencé à passer plus de temps au travail et à te concentrer sur ta carrière, et plus de temps à chercher un compagnon humain. Je t'ai attendu patiemment, t'ai consolé après chaque déchirements de cour et déceptions, je ne t'ai jamais réprimandé au sujet de mauvaises décisions, et me suis ébattu avec joie lors de tes retours au foyer. Et puis tu es tombé amoureux. Elle, maintenant ta femme, n'est pas une "personne chien ", mais je l'ai accueillie dans notre maison, essayé de lui montrer de l'affection, et lui ai obéi. J'étais heureux parce que tu étais heureux. Ensuite les bébés humains sont arrivés et j'ai partagé votre excitation. J'étais fasciné par leur couleur rose, leur odeur, et je voulais les pouponner aussi. Seulement vous vous êtes inquiétés que je puisse les blesser, et j'ai passé la plupart de mon temps banni dans une autre pièce ou dans une niche. Oh, comme je voulais les aimer, mais je suis devenu un "prisonnier de l'amour ". Comme ils ont commencé à grandir, je suis devenu leur ami. Ils se sont accrochés à ma fourrure et se sont levés sur leurs jambes branlantes, ont poussé leurs doigts dans mes yeux, fouillé mes oreilles, et m'ont donné des baisers sur le nez. J'aimais tout d'eux et leurs caresses - parce que les tiennes étaient maintenant si peu fréquentes et je les aurais défendus avec ma vie si besoin était. J'allais dans leurs lits et écoutais leurs soucis et rêves secrets, et ensemble nous attendions le son de ta voiture dans l'allée. Il y eut un temps, quand les autres te demandaient si tu avais un chien, tu leur montrais une photo de moi dans ton portefeuille et tu leur racontais des histoires à mon propos. Ces dernières années tu répondais juste " oui " et changeais de sujet. Je suis passé du statut de " ton chien" à " seulement un chien, " et vous vous êtes offensés de chaque dépense pour moi. Maintenant, vous avez une nouvelle occasion de carrière dans une autre ville, et vous allez déménager dans un appartement qui n'autorise pas d'animaux familiers. Tu as fait le bon choix pour ta " famille", mais il y eut un temps où j'étais ta seule famille. J'étais excité par la promenade en voiture jusqu'à ce que nous arrivions au refuge pour animaux. Cela sentait les chiens et chats, la peur, le désespoir. Tu as rempli la paperasserie et as dit : " Je sais que vous trouverez une bonne maison pour elle." Ils ont haussé les épaules et vous ont jeté un regard attristé. Ils comprennent la réalité qui fait face à un chien entre deux âges, même un avec "des papiers." Tu as dû forcer les doigts de ton fils pour les détacher de mon col et il a crié "Non, Papa ! S'il te plaît, ne les laisse pas prendre mon chien !" Et je me suis inquiété pour lui. Quelles leçons lui avez-vous apprises à l'instant au sujet de l'amitié et la loyauté, au sujet de l'amour et de la responsabilité, et au sujet du respect pour toute vie ? Tu m'as donné un " au revoir caresse" sur la tête, as évité mes yeux, et as refusé de prendre mon collier avec vous. Après votre départ, les deux gentilles dames ont dit que vous saviez probablement au sujet de votre départ il y a de cela plusieurs mois et que vous n'aviez rien fait pour me trouver une autre bonne maison. Elles ont secoué la tête et ont dit : " Comment est-ce possible ?". Ils sont aussi attentifs à nous ici dans le refuge que leurs programmes chargés le leur permettent. Ils nous nourrissent, bien sûr, mais j'ai perdu l'appétit il y a plusieurs jours. Au début, chaque fois que quelqu'un passait près de ma cage, je me dépêchais en espérant que c'était toi, que tu avais changé d'avis, que c'était juste un mauvais rêve... ou j'espérais tout au moins que ça soit quelqu'un qui se soucie de moi et qui pourrait me sauver. Quand je me suis rendu compte que je ne pourrais pas rivaliser avec les autres chiots qui folâtraient pour attirer l'attention, je me suis retiré dans un coin de la cage et ai attendu. J'ai entendu ses pas quand elle s'approchait de moi en fin de journée, et j'ai trottiné le long de l'allée jusqu'à une pièce séparée. Une pièce heureusement tranquille. Elle m'a placé sur la table et a frotté mes oreilles, et m'a dit de ne pas m'inquiéter. Mon coeur battait d'appréhension à ce qui était à venir, mais il y avait aussi un sentiment de soulagement. Le "prisonnier de l'amour" avait survécu à travers les jours. Comme c'est dans ma nature, je me suis plutôt inquiété pour elle. Le fardeau qu'elle porte pèse lourdement sur elle, et je le sais, de la même manière que je connaissais votre humeur chaque jour. Elle a placé une chaîne doucement autour de ma patte de devant et une larme a roulé sur sa joue. J'ai léché sa main de la même façon que je te consolais il y a tant d'années. Elle a glissé l'aiguille hypodermique habilement dans ma veine. Quand j'ai senti la piqûre et le liquide se répandre à travers mon corps, je me suis assoupie, l'ai examinée de mes gentils yeux et ai murmuré : " Comment as-tu pu ?". Peut-être parce qu'elle comprenait mon langage, elle a dit " je suis si désolée." Elle m'a étreint, et m'a expliqué précipitamment que c'était son travail de s'assurer que j'allais à une meilleure place où je ne serais pas ignorée ou abusée ou abandonnée, où j'aurais à pourvoir moi-même à mes besoins, une place remplie d'amour et de lumière très différent de cet endroit. Et avec mes dernières forces, j'ai essayé de me transporter jusqu'à elle et lui expliquer avec un coup sourd de ma queue que mon " Comment as-tu pu ?" n'était pas dirigé contre elle. C'était à toi, Mon Maître Bien-aimé, que je pensais. Je penserai à toi et t'attendrai à jamais. Puisse tout le monde dans ta vie continuer à te montrer autant de loyauté. |
Déposé par rafia le 29/05/2014Un chien attend son maître depuis 5 ans Depuis 5 ans un chien revient sur le lieu d'accident de son maître. Hachi a perdu son maître, victime d'un accident de la route. Depuis ce jour, Hachi vient chaque jour sur le lieu où s'est produit l'accident, en pleurant la mort de son maître et en aboyant. "Son propriétaire est mort à la suite d'un accident de moto. Le chien le suivait derrière. L'accident remonte à cinq ans. Mais le chien est resté là depuis lors", raconte Roman Bilbao, boucher sur l'avenue Papa Paulo, à quelques rues du lieu du drame, et même si plusieurs personnes ont essayé de l'adopter, en vain, celui ci refuse de quitter l'endroit. Une belle preuve de loyauté et de persévérance d'un chien envers son maître. Plus la peine de se poser la fameuse question à savoir si les animaux sont fidèles ! Source et crédit photo : Misiones Cuatro et Jordana Net, *************** Ma très chère amie, Mille mercis pr cette très belle chanson ...laquelle démontre que l'ESPOIR est le moteur de la VIE....et je ne peux que...corroborer, en raison de mon vécu....et de toutes mes incertitudes sur le plan chirurgical. Mille bisous Ma tendresse pr Iron...qui, je l'espère, est totalement débarrassé de ces saletés de tiques. votre amie Maryem |
Déposé par poutounou le 28/05/2014Mais la vie... Tout le monde rêve d'un idéal Un Eden, un bonheur fatal Mais la vie... Mais la vie... Tout le monde voudrait le soleil Nos pensées tournées vers le ciel Mais la vie... Les saisons passent Il faut apprendre Avec elles à renaître De nos cendres Le jour se lève La vie avance Même quand tout s'éteint Sur nos chagrins Il reste encore Une braise, une flamme qui dort Un peu de vent Sur nos tourments Et tout repart Tout s'allume sur un autre espoir Moi aussi, j'ai consumé des peines Attisé des blessures anciennes Mais la vie... Mais la vie... Moi aussi, je suis tombée de haut Du saut de l'ange au fond de l'eau Mais la vie... Mais qui nous sauve Qui nous relève Et qui souffle les brûlures De nos fièvres Une étincelle Dans le silence Mais quand tout s'éteint Sur nos chagrins, Il reste encore Une braise, une flamme qui dort Un peu de vent Sur nos tourments Et tout repart Tout s'allume sur un autre espoir Le jour se lève La vie avance Avec elle Retrouvons l'éclat d'une espérance... Avec elle Essayons de lui donner un sens Un sens. Même quand tout s'éteint Sur nos chagrins Il reste encore Une braise, une flamme qui dort Un peu de vent Sur nos tourments Et tout repart Tout s'allume sur un autre espoir. Tout s'allume sur un autre espoir. |
Déposé par rafia le 28/05/2014Une humanisation de plus en plus importante des animaux de compagnies Considérés comme un membre de la famille à part entière, les animaux de compagnies reçoivent les plus belles attentions. Des huiles essentielles aux produits alimentaires bio, le nombre de produits spécialisés pour nos compagnons ne cesse d’augmenter et les budgets qui y sont dédiés explosent. Les enjeux économiques sont forts : vêtements, bijoux, vernis, teintures, draps, calendriers de l’Avent garnis de croquettes, tout est possible pour nos animaux chéris. Un nouveau marché dont le potentiel n’est pas à négliger, même le secteur tertiaire s’y met. Effectivement, il existe aujourd’hui des comportementalistes, des coachs pour animaux permettant à nos compagnons de ne pas être trop stresser, de faire attention à leur poids… Des animaux humanisés ? Les dépenses occasionnées par les propriétaires de chiens ou de chats peuvent parfois paraitre incompréhensibles mais, comme nous le souligne Fanny Lamarque, gérante d’une animalerie de luxe à Cannes, « chacun fait ce qu’il veut de son argent, plutôt que de traiter de gagas ceux qui dépensent de l’argent pour leur animal on devrait plutôt se rebeller contre ceux qui les maltraitent. » Et vous, qu’en pensez-vous ? Source et crédit-photo : Varmatin, |
Déposé par cathy46 le 27/05/2014Les chiens ont le sourire dans la queue" "Le chien c'est la vertu, qui ne pouvant se faire homme, s'est faite bête" "Ma prière toujours dans vos cieux comme un astre et mon amour toujours à tes pieds comme un chien" Victor HUGO |
Déposé par rafia le 27/05/2014Balto et sa course contre la mort Connaissez-vous l’histoire de Balto ? Balto était un chien de traîneau de race husky sibérien né en 1919 en Alaska dans l'élevage de Leonhard Seppala qui travaillait pour une compagnie minière en tant que conducteur de traîneaux à chiens. Il est célèbre pour sa participation à la course au sérum de 1925, pendant laquelle un médicament antidiphtérique dut être transporté d’urgence de Anchorage à Nome (en Alaska) par chemin de fer puis par traîneaux à chiens. Balto à Central Park En janvier 1925, la diphtérie, maladie mortelle pour les enfants, se développe à Nome. Du sérum est demandé en urgence à tous les hôpitaux des alentours. Les autorités apprennent qu'il en reste dans la ville d'Anchorage, à 1 600 kms de là. Le blizzard qui souffle en violentes rafales empêche l'acheminement par avion. Par contre, un train pourra transporter le sérum jusqu'à la ville de Nenana, mais pas plus loin, faute de chemin de fer. Or, Nenana se trouve encore à 1085 kms de Nome. Une seule solution : faire l'aller-retour en traîneau à chiens, un voyage de 25 jours en temps normal. Cette mission fut confiée à Leonhard Seppala qui partit de Nome en direction de Nenana avec un attelage de 20 huskies dirigé par Togo, son meilleur chien de tête. Alors que Seppala était déjà en route, les autorités pensèrent qu'un relais de plusieurs attelages avait des chances de délivrer le précieux sérum plus rapidement. C'est ainsi que 20 mushers et plus de 100 huskies prirent part à la course. On demanda à Gunnar Kassen, l'assistant de Seppala, dont l'équipage de huskies était dirigée par Balto, de faire partie du relais. Arrivant au dernier point de contrôle avant Nome, Kassen trouva son remplaçant endormi. Considérant que son équipage se comportait bien, il décida alors de poursuivre jusqu'à Nome. Le sérum fut ainsi livré de Nenana à Nome en seulement 5 jours et demi. Bien que Seppala et Togo aient parcouru près du double de distance dans la portion la plus dangereuse du parcours, la presse, qui s'empara de l'histoire, fit de Balto le nouveau héros de la nation. À la fin de l'année, une statue sculptée par F.G. Roth, fut érigée à Central Park, à New York, avec ces mots : « Endurance - Fidélité - Intelligence ». Après la mort de Balto le 14 mars 1933, ses restes empaillés furent donnés au musée d'histoire naturelle de Cléveland aux Etats-Unis. Le chemin parcouru par Balto donne lieu à une course de traîneau annuelle, nommée Iditarod, dont la première édition répertoriée eut lieu en 1973., ******************** Ma très chère amie Je suis ravie de vs retrouver..vs m'avez bcp manqué. Mille mercis pr avoir aussi bien accueilli Ma¨¨el...mais aussi pr vos messages et bouquets...offerts avec une si grande générosité. Je vs écrirai..plus tard..car très fatiguée par le décalage horaire. merci pr votre compréhension. Mille bisous. Tendresse pr Iron...en pleine forme, je l'espère. Votre amie Maryem |
Déposé par inaya le 26/05/2014Qu'il était beau votre trésor ...vos mots m'ont amené les larmes aux yeux , et je comprend si bien votre tristesse, votre manque ...je pense qu'un amour aussi fusionnel est à jamais ancre dans nos cœurs et âmes ...quand nos amours de poils partent, c'est un tel gouffre de souffrance à l'intérieur de nous ...mais bon , je sais aussi qu'ils sont heureux dans leur joli paradis, et qu'ils continuent de veiller sur nous ....amitié . |
Déposé par poutounou le 25/05/2014Coucou Touaaa, je viens te donner quelques nouvelles d'en bas.....Moi ça va à peu près. J'ai un genou qui me fait horriblement souffrir et je suis toujours autant fatiguée. J'ai beaucoup de mal à sortir du lit le matin. Mais bon, il faut faire avec, n'est ce pas ???!!! C'est la vie comme on dit ! A chacun sa croix. Sinon, Iron va bien. Plus de tiques pour l'instant. Je l'ai fait vacciner contre la piro en début de semaine. Il aura encore un rappel vers la mi-juin et c'est tout. Cet après-midi, j'ai un peu travaillé dans le jardin. A un moment, je n'entendais plus Iron. Je suis allée le voir, et le bougre avait un oisillon dans la gueule. J'ai échangé mon balai-brosse contre l'oisillon. Il respirait encore, mais est mort peu de temps après. Il doit être au paradis maintenant ! Je n'en veux pas à Iron. C'est la dure loi de la nature. Toi aussi tu avais attrapé une petite mésange qui s'approchait de moi sans crainte, et je ne t'en n'ai pas voulu pour autant...La semaine prochaine, je vais m'attaquer à la petite terrasse en bois en bas du jardin. On y passait de bons moments tous les deux... Il y a beaucoup à faire. Peut-être même redonner un coup de peinture. Enfin, je verrai d'après mon état de fatigue. Sinon, je ferai un peu le lundi, un peu le mardi et ainsi de suite.... Bon, je vais te quitter mon Cœur. Tu sais, je pense encore très souvent à toi. Iron est là bien sûr, mais toi aussi, dans mon cœur et dans ma tête...pour toujours... Bizzzzzzzzzz ma Truffe d'amour. |
Déposé par monkillou le 25/05/2014Pour ma maman, Ouvre grand, La fenêtre Maman... Ouvre grand, Chut! écoute le vent, Qui te porte un poème, Avec des milliers de "JE T'AIME...". Chut! écoute le vent, Comme en ce jour de printemps. Il t'apporte un baiser, Celui de ton Rubens, ton confident... Et te dire "bonne fête maman!". JE T'AIME! ************ De la part de votre magnifique Setter Gordon Rubens, que vous aimez tant ainsi que de nous quatre... Câlins également pour le petit coquin d'Iron... Bon dimanche! Amitiés. |
Déposé par ovanek le 25/05/2014Bonne fête à maman, Une fête c'est comme une fleur ça ne dure que quelques heures mais ça laisse dans le cœur un souvenir de bonheur °*°Amitié°*° |
Déposé par seensouaree le 25/05/2014De la part de votre petit ange Joli petit papillon tout charmant Envole-toi vers ma maman Apporte-lui mes plus tendres baisers Pour aujourd' hui et pour toute l' année. Bonne fête ma gentille maman Amicalement.Seensouarée |
Déposé par rafia le 24/05/2014La brebis et le chien La brebis et le chien, de tous les temps amis, Se racontaient un jour leur vie infortunée. - Ah ! disait la brebis, je pleure et je frémis Quand je songe aux malheurs de notre destinée. Toi, l'esclave de l'homme, adorant des ingrats, Toujours soumis, tendre et fidèle, Tu reçois, pour prix de ton zèle, Des coups et souvent le trépas. Moi, qui tous les ans les habille, Qui leur donne du lait, et qui fume leurs champs, Je vois chaque matin quelqu'un de ma famille Assassiné par ces méchants. Leurs confrères, les loups, dévorent ce qu'il reste. Victimes de ces inhumains, Travailler pour eux seuls, et mourir par leurs mains, Voilà notre destin funeste ! - Il est vrai, dit le chien, mais crois-tu plus heureux Les auteurs de notre misère ? Va, ma soeur, il vaut encore mieux Souffrir le mal que de le faire. Fable de Jean-Pierre Claris de Florian, |
Déposé par bouffie le 24/05/2014de la part d'un ange nommé Rubens Bonne fête petite maman de cœur petite maman bonheur toi qui m'as donné tout ton amour et qui me l'a promis pour toujours même si pour tes yeux, invisible je suis devenu saches que mon âme a choisi ton cœur comme nouvelle demeure bonne fête petite maman de mon coeur |
Déposé par ovanek le 24/05/2014Chaque soir avant de t’endormir regarde à la fenêtre et toutes les étoiles que tu verras sont les milliers de papouilles que je t'envoie !!! ***** |
Déposé par myriam31 le 24/05/2014Ces quelques lignes de la part de votre petit ange, pour fêter la fête des mères, pour une maman formidable et aimante. Il ne lui manquait que la parole pour vous adresser ce petit message de tendresse. "En l'honneur de la fête des mères, une maman que je connais bien mérite d'être tout particulièrement célébrée. C'est certainement la plus douce, la plus aimante des mamans qui existent au monde. Et puis, par chance, il se trouve que c'est la mienne ! Bonne fête à ma maman chérie." Bien amicalement |
Déposé par poutounou le 24/05/2014CHANSON DES ESCARGOTS QUI VONT A L'ENTERREMENT A l'enterrement d'une feuille morte Deux escargots s'en vont Ils ont la coquille noire Du crêpe autour des cornes Ils s'en vont dans le soir Un très beau soir d'automne Hélas quand ils arrivent C'est déjà le printemps Les feuilles qui étaient mortes Sont toutes ressuscitées Et les deux escargots Sont très désappointés Mais voilà le soleil Le soleil qui leur dit Prenez, prenez la peine La peine de vous asseoir Prenez un verre de bière Si le coeur vous en dit Prenez si ça vous plaît L'autocar pour Paris Il partira ce soir Vous verrez du pays Mais ne prenez pas le deuil C'est moi qui vous le dis Ça noircit le blanc de l’œil Et puis ça enlaidit Les histoires de cercueil C'est triste et pas joli Reprenez vos couleurs Les couleurs de la vie Alors toutes les bêtes Les arbres et les plantes Se mettent à chanter A chanter à tue-tête La vraie chanson vivante La chanson de l'été Et tout le monde de boire Tout le monde de trinquer C'est un très joli soir Un joli soir d'été Et les deux escargots S'en retournent chez eux Ils s'en vont très émus Ils s'en vont très heureux Comme ils ont beaucoup bu Ils titubent un p'tit peu Mais là-haut dans le ciel La lune veille sur eux. Jacques Prévert |
Déposé par monkillou le 24/05/2014L’amitié est comme un arc-en-ciel... Rouge est comme une pomme, tendre jusqu’au noyau... Orange, comme une flamme qui ne s’éteint pas... Jaune, comme le soleil qui éclaire votre journée... Vert, comme les plantes qui ne cessent de grandir... Bleu, comme l’eau si pure... Violet, comme une fleur prête à éclore... Indigo, comme un rêve qui meuble votre coeur... ****** Merci pour cette jolie citation et excellent week-end à vous sans oublier votre beau et regretté Rubens, qui reste à l'abri et bien au chaud dans le fond de votre coeur... Câlins aussi pour Iron! Amitiés! |
Déposé par viana67 le 24/05/2014Pour fêter sa maman chérie, votre ange vous envoie ce petit message d’amour : « J'ai de toi une image Qui ne vit qu'en mon cœur. Là, tes traits sont si purs Que tu n'as aucun âge. Là, tu peux me parler Sans remuer les lèvres, Tu peux me regarder Sans ouvrir les paupières. Et lorsque le malheur M'attend sur le chemin, Je le sais par ton cœur Qui bat contre le mien. » Maurice Carême (1899 - 1976) Bonne fête des mères |
Déposé par rafia le 23/05/2014« Va la chercher! » : Un chien héroïque sauve la vie d'une fillette L’homme aperçoit une fillette qui se débat dans l’eau glacée, hors de sa portée. Il crie aussitôt à son chien : « Va la chercher! » LISA FITTERMAN Deux jeunes soeurs empruntent un sentier non loin d’une passerelle. De là, elles contemplent la rivière Saskatchewan-Nord qui serpente dans la vallée entre deux rives gelées. Mais elles se lassent vite. Cheveux bruns et expression résolue, Krymzen descend un sentier recouvert de neige. Elle a 10 ans. Samara, sa cadette d’un an, visage rond et d’adorables fossettes, la suit. Elles se dirigent vers le seul lieu que leur mère leur a défendu d’approcher… la rivière. Et ses festons de glace. Les fillettes avancent à petits pas prudents sur la glace. Leurs bottes de caoutchouc baignent dans l’eau. Puis il se produit un craquement sourd. Rocky court devant Adam et Kelsey Shaw, essayant de renifler un maximum avant d’arriver au camion de son maître. Rocky est un grand chien de huit ans au poil hirsute, enjoué, avec un brin d’indépendance. Il n’est pas prêt à rentrer à la maison. Il adore chasser et rapporter, surtout s’il faut se mouiller. Venus de Fort Saskatchewan, à 25 km au nord d’Edmonton, les Shaw ont passé un bel après-midi au parc. Ici, les grands sentiers dégagés permettent de bien circuler avec la poussette où dorment leurs jumeaux. En trois heures, ils n’ont croisé qu’une poignée de marcheurs endurcis dans leur genre. Vers 16 h 20, ils empruntent la passerelle du parc pour regagner le stationnement. C’est alors qu’ils entendent des cris. Ils regardent par-dessus la rambarde. Ils sont alors pétrifiés quelques secondes par une scène d’horreur : une petite fille a traversé la glace, une autre essaie de la tirer de là. « On vous voit ! hurlent-ils. On arrive ! » Pendant que sa femme fait le 911, Adam lance : « Rocky, on descend ! » L’homme de 28 ans dévale le même talus que les deux fillettes. Il enfonce dans la neige, parfois jusqu’aux hanches, mais pas question de ralentir. Le souvenir lui revient de Ben, son frère et meilleur ami, tué dans une collision frontale sur l’autoroute six semaines auparavant, durant un blizzard le jour de la Saint-Valentin. « Pas aujourd’hui, se dit-il. Personne ne mourra aujourd’hui. » Krymzen voit le couple s’égosiller du haut de la passerelle, mais elle ne peut attendre : sa sœur est dans l’eau. En entendant le craquement, elle a fait demi-tour et s’est mise en sûreté. Samara, non. À présent, Krymzen donnerait n’importe quoi pour retourner en haut et ne jamais descendre. Pourquoi se sont-elles aventurées sur la glace ? « Peux-tu attraper ma main ? » crie-t-elle à sa sœur qui se débat à la surface. Mais voilà que la glace cède sous son poids et elle tombe à l’eau, elle aussi, tout en se cramponnant à un éperon de glace. Puis l’homme au chien se penche au-dessus d’elle, la soulève et la dépose en sûreté. « Ma femme est là, sur le pont, dit-il en la montrant du doigt. Elle a appelé les secours et va t’aider. Attends-la. Ne bouge pas. » Krymzen frissonne. « Ma sœur ! Où est ma sœur ? » Miranda Wagner vient de sortir la dinde du four quand on frappe à la porte. Son mari Cory Sunshine, un travailleur du pétrole, est en congé à la maison, mais ne peut répondre, car il s’occupe des deux fils cadets. Elle s’essuie les mains, ouvre. C’est le petit voisin de six ans qui est là, très énervé. « Les filles sont à l’eau ! — Dans une mare ? — Non, dans la rivière, répond le garçon. Samara flotte à la dérive. » Sa petite fille potelée, tombée à l’eau ? Miranda reste figée. Puis elle secoue la tête, hurle à son mari de surveiller les garçons et se précipite à l’extérieur. Une prière muette remue ses lèvres. Les paroles du gamin résonnent dans sa tête. Dans le courant qui l’emporte, Samara prie elle aussi, avec la même ferveur qu’à l’école catholique Sainte-Bernadette. « De grâce, Seigneur, laissez-moi vivre », implore-t-elle silencieusement. Elle a déjà perdu son manteau et une botte rose. Ses parents seront furieux ! Pour avoir des ennuis, tu dois survivre, lui chuchote une voix intérieure. Il fait si froid, plus froid qu’elle n’aurait cru possible. Elle sait nager, mais en est incapable. Pas là-dedans. Ses membres refusent. Huit minutes se sont écoulées -depuis qu’elle est tombée à l’eau. Elle a beau n’avoir que neuf ans, elle sait que le temps lui est compté. Krymzen sanglote pendant qu’Adam cherche sa sœur des yeux. Il la repère rapidement, un peu plus loin en aval, grâce à son t-shirt rouge et à son collant rose. Rocky et lui s’élancent, mais la glace fondante est recouverte de 15 cm de neige, et l’enfant flotte à un mètre et demi de la croûte solide, emportée comme un morceau de bois par le courant. Elle pourrait tout aussi bien se trouver à cinq kilomètres d’Adam chaque fois qu’il tente d’avancer vers elle, il sent la glace ployer sous lui. « Je ne peux pas bouger mes bras, ni mes jambes », crie-t-elle. En homme qui travaille dans les champs de pétrole et qui pratique le plein air, Adam reconnaît bien les symptômes d’hypothermie. Les muscles de Samara sont paralysés parce que tout son sang afflue aux organes internes pour les réchauffer. Bientôt, elle perdra connaissance, et ses fonctions vitales s’arrêteront. Elle n’a plus que quelques minutes à vivre. Adam lance la laisse de Rocky dans sa direction. Trop court. Il recommence un peu plus loin, mais – Dieu ! – la glace cède sous son poids et celui du chien, et il se retrouve dans l’eau jusqu’au cou, Rocky nageant à côté du lui. Quand il essaie de se soulever, le bloc de glace immergé sur lequel il s’appuie se dérobe sous ses pieds, et il doit nager frénétiquement pour se sauver lui-même. Dix secondes, puis vingt – l’heure tourne. Rocky prend enfin appui sur une plaque qui tient bon. Adam le pousse hors de l’eau et sort à son tour en s’accrochant au cou du chien. Il se relève en titubant et cherche Samara des yeux. À une quinzaine de mètres, il aperçoit une tête sombre et une tache rouge. L’homme et le chien repartent en courant, se rapprochent, mais la glace cède de nouveau. Adam reste là, impuissant, Rocky à ses côtés. Que faire ? La réponse fuse dans sa tête dictée par la confiance qu’il met dans son chien – ce chien qui porte le nom d’un boxeur de cinéma devenu champion contre toute attente. Rocky, chasseur et rapporteur hors pair, si heureux au froid qu’il a déjà creusé une grotte dans la neige et joué dedans par moins 46 degrés Celsius. Rocky, prêt à tirer jusqu’à la rive une Kelsey paresseusement accrochée à sa laisse. Pourquoi ne recommencerait-il pas aujourd’hui ? « Je vais attacher solidement la laisse et faire sauter le chien à l’eau un peu plus bas, hurle-t-il à Samara. Accroche-toi à lui, à la laisse, à sa fourrure, à n’importe quoi et ne lâche pas. » Le chien est leur dernière chance. « Rocky, vas-y ! » L’animal se jette à l’eau et nage vigoureusement à contre-courant pour rejoindre Samara. À bout de forces, elle le regarde approcher, les oreilles collées au crâne. Elle aime les chiens, même les grands, et n’a pas peur de lui, mais c’est à peine si elle parvient à garder les yeux ouverts quand il la pousse de sa truffe. Elle n’essaie pas d’attraper la laisse. Rocky lui donne un coup de patte comme pour dire : « Dépêche-toi, nous n’avons pas de temps à perdre. » Il est calme, solide comme le roc. Samara sent une partie de cette force passer en elle. Elle attrape la laisse. Rocky fera le reste, elle le sait. « Tiens-toi à deux mains », crie Adam avant d’ordonner : « Rocky, viens ! » Samara ferme enfin les yeux, le chien la ramène au bord. Adam la tire de l’eau et la serre dans ses bras. Il a l’impression de tenir un glaçon. « Tiens bon, dit-il. Tiens bon. » Il sursaute en entendant la sonnerie de son portable. Difficile de croire que l’appareil fonctionne encore après son bain forcé. Le responsable des urgences 911 est au bout du fil. Il est 16 h 35. À peine 15 minutes se sont écoulées depuis qu’Adam a gravi la passerelle, dans une autre vie. Le trio trempé se prépare à attendre. Rocky et Adam encadrent Samara pour la soutenir et tenter de la réchauffer. « C’est bon », murmure sans arrêt Adam comme s’il récitait un mantra. Miranda entre en trombe à l’hôpital de l’Université de l’Alberta en réclamant ses filles. Elle trouve une Krymzen contrite et larmoyante au fond d’un lit, sous une couverture chauffante. Samara dégèle au centre de traumatologie dans un cocon de couvertures. Le sang de Miranda se glace quand les médecins lui expliquent que sa fille n’avait que deux petites minutes à vivre lorsque Rocky l’a remorquée jusqu’à la berge. « Maman, j’ai failli mourir. » Miranda voudrait rire, hurler, pleurer. Sermonner ses filles, les raisonner, ne plus jamais les laisser hors de sa vue. Mais elle ne peut que serrer très fort Samara contre elle. |
L'Album photo contient 32 photos