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In tribute to
SETTER-GORDONRUBENS
Born on :03/06/2000
left us on:04/03/2013
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In tribute to
RUBENS
151 candles
63617 Flowers
left by Sissi10 une autre fleur pour toi bel ange qui n'est pas oublié ! mille caresses pour toi et amuse toi avec mes amours là haut au paradis des toutous ! left by myriam31 Tendresse et câlins, en ce triste jour d'anniversaire, doux repos bel ange, affectueuses pensées et soutien à ta maman left by cotontoujours Un joli bouquet pour un beau prince qui gambade au Paradis et demeure bien au chaud dans le coeur de son papa et de sa maman. Affectueuses pensées de la part de la maman de Vickou. left by choupinou doux sommeil bel ange Rubens ,amour éternel jamais ne sombrera, as tu rencontré mon p'tit Nudji d'amour ,il est parti vous rejoindre il y a 3 mois dans ce beau paradie blanc et mon beau Titus left by seensouaree A toi, joli petit ange , j' envoie plein de gros bisous et de tendres caresses .Tendres pensées à ta maman en ce jour de triste anniversaire left by clorodick on n oublie jamais ceux que l on aime en ce triste anniversaire tendres pensees pour ce petit ange |
6780 messages
left by choupinou on 29/07/2015"La légende du pont de l’arc en ciel" "Il y a là-bas un pont qui connecte le ciel et la terre, on l'appelle le Pont de l'Arc-en-ciel" Dans cette partie du Paradis existe un endroit nommé Pont de l'Arc-en-ciel. Lorsque meurt un animal de compagnie, il se rend dans ce pays qui connecte le Ciel avec la Terre. On y retrouve là-bas, prairies ondoyantes, paisibles collines et vallées luxuriantes et tous les amis à quatre pattes qui y sont réunis peuvent y courir et s'amuser ensemble. Ils peuvent enfin y creuser tous les trous qu'ils désirent, courir dans de jolies plates-bandes, se rouler dans de généreux marais, bref toutes les interdictions terrestres n'y font plus loi. Dans cette contrée lointaine abonde eau, nourriture et soleil, et tous nos amis y sont confortables et bien au chaud, à moins que l'on ne décide d'aller courir un peu dans les hautes montagnes coiffées de neiges éternelles. Ceux qui étaient malades ou trop vieux ont recouvré ici santé et vigueur; ceux qui étaient blessés ou infirmes sont devenus sains et forts, ceux qui étaient abandonnés, négligés ou maltraités ont enfin trouvé chaleur et réconfort. Les animaux sont heureux et en paix, mais pour un grand nombre d'entre eux, il manque quelque chose de précieux à leur cœur. Ils ont perdu quelqu'un de très spécial qu'ils aimeraient tellement avoir de nouveau à leurs côtés. Des jours de bonheur se coulent donc doucement dans d'interminables jeux et courses folles à l'intérieur de cette grande meute pacifique. Mais un jour, arrivera le temps ou l'un d'eux s'arrêtera soudainement, tous ses sens se tiendront aux aguets. Ses yeux perçants miroiteront de mille feux, ses oreilles attentives se dresseront tels des miradors, son corps frénétique palpitera de toutes parts. L'élu commencera à courir hors du groupe, volant au-dessus des verts pâturages, traversant les larges rivières, ses pattes le portant de plus en plus vite, de plus en plus haut. Ça y est, vous le voyez courir vers vous dans ce point de lumière au bout du tunnel... en toute fidélité votre chien vous a repéré entre tous et il est venu à cette ultime rencontre. Vous souriez ! Enfin, vous vous retrouvez ensemble, ses joyeux bisous d'antan pleuvant de partout sur votre visage, vos mains pouvant à nouveau caresser son cou, son flanc, sa tête, vous pouvez enfin plonger votre regard dans les yeux confiants et aimants de votre chien. Plus rien ne pourra dorénavant vous séparer, vous serez à jamais réunis. Ainsi vous traverserez ensemble le Pont de l'Arc-en-ciel..." |
left by colombine67 on 29/07/2015LE CONTE DE GRAND-PAPA QUI N'AIMAIT PAS LES GÂTEAUX Il était une fois un vieux grand-père qui assistait au repas de mariage de sa dernière petite-fille. Il était heureux, serein, apaisé devant le merveilleux spectacle de toute sa famille réunie. Leur joie, leur bonheur à tous l'entouraient d'une émotion tendre. Comme elle était belle, sa petite-fille dans une éblouissante robe blanche ! Elle riait de bon cœur en découpant avec son jeune époux la somptueuse pièce montée toute scintillante de caramel blond et de dragées roses. - Servez-vous tous et faites passer à vos voisins de table, disait-elle en déposant les choux tout rebondis de crème sur les assiettes chaudes. Quand la petite-fille passa l'assiette à son grand-père : - Tiens, Pépé Paco ! prends donc du gâteau ! - Mais non ! fais passer le plat, l'interrompit sa mère, toujours attentive, tu sais que Pépé n'aime pas les gâteaux. Il y eut un instant de silence et l'on entendit soudain la voix joyeuse du grand-père : - Mais oui ! j'aime les gâteaux. Tiens, je vais prendre ce beau chou-là. Regard stupéfait de sa fille. - Comment ça, tu aimes les gâteaux ? Mais tu n'as jamais aimé les gâteaux ! Moi ta fille, j'ai cinquante ans et je ne t'ai jamais vu manger un gâteau de toute ma vie... - De ta vie à toi, ma fille, oui…Mais pas de la mienne ! C'est que je les aime, les gâteaux ! J'ai toujours aimé les gâteaux… Seulement, nous étions si pauvres quand vous étiez petits avec tes sœurs et ton frère, tu le sais bien…Des gâteaux, votre mère ne pouvait en acheter qu'une fois de temps en temps, et encore seulement les dimanches de fête… Elle en prenait un pour chacun, c'est sûr, mais moi, quand je voyais tes yeux à toi, ma toute petite, quand tu venais t'asseoir sur mes genoux et que tu dévorais ton gâteau avec tant de plaisir, mon plaisir à moi, tu vois, c'était de te regarder manger mon gâteau que je te donnais si volontiers. Et j'ajoutais toujours pour que ton plaisir soit complet : " Mange ma petite petitounet, va !…moi je n'aime pas les gâteaux : " Le grand-père en disant cela souriait tendrement, dodelinant doucement de la tête. Il dit encore en riant franchement : - Tiens, ma fille, aujourd'hui c'est fête, donne-moi aussi celui qui reste sur le plat, là… D'ailleurs il va finir par tomber si tu continues à trembler comme ça ! Tu as froid ou c'est l'émotion de marier ta fille ? Il arrive quelquefois que les cadeaux d'amour mettent de longues années avant d'être reconnus comme tels. Il suffit parfois d'un moment de tendresse, qui vient se poser sur un souvenir avec la délicatesse d'un pétale de fleur pour qu'ils se révèlent au grand jour. |
left by Biscuit on 28/07/2015Je ne peux pas encore te dire adieu Meme si tu es monté dans les cieux Je ne peux pas parler de toi au passé Ma douleur est non refermée Je regarde tes photos Ma vue embuée par tous ces maux Tous ses petits chiens qui jouent dans ce paradis Attendent la tombée de la nuit Pour nous voir prier Je t'aime si fort Je ne t'oublierai jamais Dans mon coeur tu es Un jour ,je te retrouverai Adieu mon petit ange |
left by colombine67 on 28/07/2015Un Roi avait pour fils unique un jeune Prince courageux, habile et intelligent. Pour parfaire son apprentissage de la Vie, il l'envoya auprès d'un Vieux Sage. - Eclaire-moi sur le Sentier de la Vie, demanda le Prince. - Mes paroles s'évanouiront comme les traces de tes pas dans le sable, répondit le Sage. Cependant je veux bien te donner quelques indications. Sur ta route, tu trouveras 3 portes. Lis les préceptes indiqués sur chacune d'entre elles. Un besoin irrésistible te poussera à les suivre. Ne cherche pas à t'en détourner, car tu serais condamné à revivre sans cesse ce que tu aurais fui. Je ne puis t'en dire plus. Tu dois éprouver tout cela dans ton coeur et dans ta chair. Va, maintenant. Suis cette route, droit devant toi. Le Vieux Sage disparut et le Prince s'engagea sur le Chemin de la Vie. Il se trouva bientôt face à une grande porte sur laquelle on pouvait lire CHANGE LE MONDE « C'était bien là mon intention, pensa le Prince, car si certaines choses me plaisent dans ce monde, d'autres ne me conviennent pas» et il entama son premier combat. Son idéal, sa fougue et sa vigueur le poussèrent à se confronter au monde, à entreprendre, à conquérir, à modeler la réalité selon son désir. Il y trouva le plaisir et l'ivresse du conquérant, mais pas l'apaisement du coeur. Il réussit à changer certaines choses mais beaucoup d'autres lui résistèrent. Bien des années passèrent. Un jour il rencontra le Vieux Sage qui lui demande : - Qu'as-tu appris sur le chemin ? - J'ai appris, répondit le Prince, à discerner ce qui est en mon pouvoir et ce qui m'échappe, ce qui dépend de moi et ce qui n'en dépend pas. - C'est bien, dit le Vieil Homme. Utilise tes forces pour agir sur ce qui est en ton pouvoir. Oublie ce qui échappe à ton emprise. Et il disparut. Peu après, le Prince se trouva face à une seconde porte. On pouvait y lire CHANGE LES AUTRES « C'était bien là mon intention, pensa-t-il. Les autres sont source de plaisir, de joie et de satisfaction mais aussi de douleur, d'amertume et de frustration.» et il s'insurgea contre tout ce qui pouvait le déranger ou lui déplaire chez ses semblables. Il chercha à infléchir leur caractère et à extirper leurs défauts. Ce fut là son deuxième combat. Bien des années passèrent. Un jour, alors qu'il méditait sur l'utilité de ses tentatives de changer les autres, il croisa le Vieux Sage qui lui demanda : - Qu'as-tu appris sur le chemin ? - J'ai appris, répondit le Prince, que les autres ne sont pas la cause ou la source de mes joies et de mes peines, de mes satisfactions et de mes déboires. Ils n'en sont que le révélateur ou l'occasion. C'est en moi que prennent racine toutes ces choses. - Tu as raison, dit le Sage. Par ce qu'ils réveillent en toi, les autres te révèlent à toi-même. Soit reconnaissant envers ceux qui font vibrer en toi joie et plaisir. Mais sois-le aussi envers ceux qui font naître en toi souffrance ou frustration, car à travers eux la Vie t'enseigne ce qui te reste à apprendre et le chemin que tu dois encore parcourir. Et le Vieil Homme disparut. Peu après, le Prince arriva devant une porte où figuraient ces mots CHANGE-TOI TOI-MEME « Si je suis moi-même la cause de mes problèmes, c'est bien ce qui me reste à faire» se dit-il. Et il entama son 3ème combat. Il chercha à infléchir son caractère, à combattre ses imperfections, à supprimer ses défauts, à changer tout ce qui ne lui plaisait pas en lui, tout ce qui ne correspondait pas à son idéal. Après bien des années de ce combat où il connut quelque succès mais aussi des échecs et des résistances, le Prince rencontra le Sage qui lui demanda : - Qu'as-tu appris sur le chemin ? - J'ai appris, répondit le Prince, qu'il y a en nous des choses qu'on peut améliorer, d'autres qui nous résistent et qu'on n'arrive pas à briser. - C'est bien, dit le Sage. - Oui, poursuivit le Prince, mais je commence à être las de ma battre contre tout, contre tous, contre moi-même. Cela ne finira-t-il jamais ? Quand trouverai-je le repos ? J'ai envie de cesser le combat, de renoncer, de tout abandonner, de lâcher prise. - C'est justement ton prochain apprentissage, dit le Vieux Sage. Mais avant d'aller plus loin, retourne-toi et contemple le chemin parcouru. Et il disparut. Regardant en arrière, le Prince vit dans le lointain la 3ème porte et s'aperçut qu'elle portait sur sa face arrière une inscription qui disait ACCEPTE-TOI TOI-MEME Le Prince s'étonna de ne point avoir vu cette inscription lorsqu'il avait franchi la porte la première fois, dans l'autre sens. «Quand on combat, on devient aveugle, se dit-il.» Il vit aussi, gisant sur le sol, éparpillé autour de lui, tout ce qu'il avait rejeté et combattu en lui : ses défauts, ses ombres, ses peurs, ses limites, tous ses vieux démons. Il apprit alors à les reconnaître, à les accepter, à les aimer. Il apprit à s'aimer lui-même sans plus se comparer, se juger, se blâmer. Il rencontra le Vieux Sage qui lui demanda : - Qu'as-tu appris sur le chemin ? - J'ai appris, répondit le Prince, que détester ou refuser une partie de moi, c'est me condamner à ne jamais être en accord avec moi-même. J'ai appris à m'accepter moi-même, totalement, inconditionnellement. - C'est bien, dit le Vieil Homme, c'est la première Sagesse. Maintenant tu peux repasser la 3ème porte. A peine arrivé de l'autre côté, le Prince aperçut au loin la face arrière de la seconde porte et y lut ACCEPTE LES AUTRES Tout autour de lui il reconnut les personnes qu'il avait côtoyées dans sa vie ; celles qu'il avait aimées comme celles qu'il avait détestées. Celles qu'il avait soutenues et celles qu'il avait combattues. Mais à sa grande surprise, il était maintenant incapable de voir leurs imperfections, leurs défauts, ce qui autrefois l'avait tellement gêné et contre quoi il s'était battu. Il rencontra à nouveau le Vieux Sage. - Qu'as-tu appris sur le chemin demanda ce dernier. - J'ai appris, répondit le Prince, qu'en étant en accord avec moi-même, je n'avais plus rien à reprocher aux autres, plus rien à craindre d'eux. J'ai appris à accepter et à aimer les autres totalement, inconditionnellement. - C'est bien, dit le Vieux Sage. C'est la seconde Sagesse. Tu peux franchir à nouveau la deuxième porte. Arrivé de l'autre côté, le Prince aperçut la face arrière de la première porte et y lut ACCEPTE LE MONDE « Curieux, se dit-il, que je n'aie pas vu cette inscription la première fois.» Il regarda autour de lui et reconnut ce monde qu'il avait cherché à conquérir, à transformer, à changer. Il fut frappé par l'éclat et la beauté de toute chose. Par leur perfection. C'était pourtant le même monde qu'autrefois. Etait-ce le monde qui avait changé ou son regard ? Il croisa le Vieux Sage qui lui demanda. - Qu'as-tu appris sur le chemin ? - J'ai appris, dit le Prince, que le monde est le miroir de mon âme. Que mon âme ne voit pas le monde, elle se voit dans le monde. Quand elle est enjouée, le monde lui semble gai. Quand elle est accablée, le monde lui semble triste. Le monde, lui, n'est ni triste ni gai. Il est là ; il existe, c'est tout. Ce n'était pas le monde qui me troublait, mais l'idée que je m'en faisais. J'ai appris à accepter sans le juger, totalement, inconditionnellement. - C'est la 3ème Sagesse, dit le Vieil Homme. Te voilà à présent en accord avec toi-même, avec les autres et avec le Monde. Un profond sentiment de paix, de sérénité, de plénitude envahit le Prince. Le Silence l'habita. - Tu es prêt, maintenant, à franchir le dernier Seuil, dit le Vieux Sage, celui du passage du silence de la plénitude à la Plénitude du Silence. Et le Vieil Homme disparut. Merci à Françoise Laurent pour ce texte |
left by rafia on 27/07/2015NOS ABSENTS chanson de Grand Corps Malade C'est pas vraiment des fantômes, mais leur absence est tellement forte Qu'elle crée en nous une présence qui nous rend faible ou nous supporte C'est ceux qu'on a aimés qui créent un vide presque tangible Car l'amour qu'on leur donnait est orphelin et cherche une cible Pour certains on le savait, on s'était préparé au pire Mais d'autres ont disparu d'un seul coup, sans prévenir On leur a pas dit au revoir, ils sont partis sans notre accord Car la mort a ses raisons que notre raison ignore Alors on s'est regroupé d'un réconfort utopiste À plusieurs on est plus fort mais on n'est pas moins triste C'est seul qu'on fait son deuil, car on est seul quand on ressent On apprivoise la douleur et la présence de nos absents Nos absents sont toujours là, à l'esprit, dans nos souvenirs Nos absents nous entourent et resteront à nos côtés Ils reprennent vie dans nos rêves, comme si de rien n'était On se rassure face à la souffrance qui nous serre le cou En se disant que là où ils sont, ils ont sûrement moins mal que nous Alors on marche, on rit, on chante, mais leur ombre demeure Dans un coin de nos cerveaux, dans un coin de notre bonheur Nous, on a des projets, on dessine nos lendemains On décide du chemin, on regarde l'avenir entre nos mains Et au cœur de l'action, dans nos victoires ou nos enfers On imagine de temps en temps que nos absents nous voient faire Chaque vie est un miracle, mais le final est énervant Je me suis bien renseigné, on n'en sortira pas vivant Il faut apprendre à l'accepter pour essayer de vieillir heureux Mais chaque année nos absents sont un petit peu plus nombreux Chaque nouvelle disparition transforme nos cœurs en dentelle Mais le temps passe et les douleurs vives deviennent pastel Ce temps qui, pour une fois, est un véritable allié Chaque heure passée est une pommade, il en faudra des milliers Moi, les morts, les disparus, je n'en parle pas beaucoup Alors j'écris sur eux, je titille mes sujets tabous Ce grand mystère qui nous attend, notre ultime point commun à tous Qui fait qu'on court après la vie, sachant que la mort est à nos trousses C'est pas vraiment des fantômes, mais leur absence est tellement forte Qu'elle crée en nous une présence qui nous rend faible ou nous supporte C'est ceux qu'on a aimés qui créent un vide presque infini Qu'inspirent des textes premier degré Faut dire que la mort manque d'ironie |
left by colombine67 on 27/07/2015CONSEILS POUR MENER VOTRE VIE : 1. Tenez compte du fait que le grand amour et les grandes réussites impliquent de grands risques. 2. Lorsque vous perdez, ne perdez pas la leçon. 3. Suivez les trois R : Respect de soi-même, Respect des autres, Responsabilité de tous vos actes. 4. Souvenez vous que ne pas obtenir ce que vous voulez est parfois un merveilleux coup de chance. 5. Apprenez les règles pour savoir comment les transgresser correctement. 6. Ne laissez pas une petite dispute meurtrir une grande amitié. 7. Lorsque vous réalisez que vous avez commis une erreur, prenez immédiatement des mesures pour la corriger. 8. Passez un peu de temps seul chaque jour. 9. Ouvrez vos bras au changement, mais ne laissez pas s'envoler vos valeurs. 10. Rappelez-vous que le silence est parfois la meilleure des réponses. 11. Vivez votre vie d'une façon bonne et honorable. Ainsi, lorsque vous vieillirez et que vous regarderez en arrière, vous en profiterez une deuxième fois. 12. Un foyer aimant est la fondation de votre vie. 13. Dans les désaccords que vous avez avec ceux que vous aimez, ne vous occupez que de la situation actuelle. Ne réveillez pas le passé. 14. Partagez votre savoir. C'est une manière d'atteindre l'immortalité. 15. Soyez tendre avec la terre. 16. Une fois par an, allez quelque part où vous n'êtes jamais allé auparavant. 17. Souvenez-vous que la meilleure des relations est celle dans Laquelle l'amour que chacun porte à l'autre dépasse le besoin que vous avez de l'autre. 18. Jugez vos succès d'après ce que vous avez dû sacrifier pour les obtenir. 19. Approchez l'amour et la cuisine avec un abandon insouciant. Source: attribué au Dalaï Lama....www.lespasseurs.com |
left by Biscuit on 27/07/2015Parfois, deux personnes s'aperçoivent que même si elles sont très proches et même si elles s'aiment beaucoups, la vie les mènes dans des directions différentes au moins pendant quelque temps ... Tu me manques tellement. Il y'a des jours où je donnerais n'importe quoi pour te regarder dans les yeux et voir tous cet amour qui nous unissait, des jours où il me semble que cette séparation durera toujours. Mais je sais que cela n'arrivera pas, parce que les liens qui nous attachent sont trop forts. Quand viendra le jour où nous nous retrouverons, je sais que nous aurons l'impression que tout ce temps et toute cette distance n'avaient jamais existé entre nous. Jusqu'à ce moment-là, tu vis dans mon coeur. Ces moments sont inoubliables. Et ce bonheur inexplicable. Pensées ,Amitiés. |
left by rafia on 26/07/2015J'ai l'âme en détresse et le coeur en miette Comme un navire en pleine tempête J'ai les yeux qui pleurent ma peine et mon désespoir Comme un enfant perdu dans le noir. Les larmes coulent lentement Comme autant de mots emportés par le vent Mon coeur se serre douloureusement Le mal est là, affreusement. Avec toute ma bien sincère amitié. + 1000 mercis. + 1000 bisous + ma tendresse pr le bel Iron. J'espère que vs continuez votre convalescence en toute quiétude et chouchoutée...sans modération. Pardonnez ma curiosité...mais les médecins ne vs ont-ils pas conseillé ...l'air marin, pr son iode, bénéfique à la thyroïde ??? Maryem, votre amie. |
left by seensouaree on 26/07/2015Il pleut sur mes lunettes Il pleut sur mes lunettes Je n’y vois plus très bien Je dois avoir l’air bête Je ne sens plus ta patte Il pleut sur mes lunettes Tu parles d’un temps de chien Il pleut sur mes lunettes Ou bien j’ai du chagrin Et dire que c’est la dernière fois Que nous nous voyons toi et moi Et dire qu’au moment de l’adieu J’ai de la buée dans les yeux Il pleut sur mes lunettes Je n’y vois plus très bien Je dois avoir l’air bête Reste jusqu’à demain Je pleure sous mes lunettes Pourquoi te le cacher J’ai du chagrin, c’est bête C’est rien, je vais me moucher ! Tendres câlins pour joli petit ange Bonne semaine à ta gentille maman avec toute mon amitié |
left by Galinette3 on 26/07/2015🐶 Je t'aime mon chien 🐶 Tu m'as donné tant de bonheur Sans rien vouloir en retour Mais voila qu'est venu l'heure Où tu nous quitte pour toujours 🐶 Tu m'as offert les plus beau moments de ma vie Et maintenant te voila partie pour de bon Dans mon coeur, tous nos bon souvenirs resterons Ne l'oublie jamais, je t'aime 🐶 Poème de Sacha |
left by bouffie on 26/07/2015Petits anges, nos amours à quatre pattes, Hélas votre vie est si courte, Cependant la trace d'amour que vous laissez derrière vous est infinie. Vos doux petits corps libérés de cette terre ont disparus, Nous laissant dans un désarroi, un manque et une peine immense. Mais vos tendres et lumineuses petites âmes si pures demeurent Et elle resteront avec nous à jamais. tendres câlins mon beau Rubens amitié à ta maman |
left by myriam31 on 26/07/2015L'amour naît dans un sourire, Grandit dans un regard, S'approfondit Par une caresse, Et meurt dans une larme. Là-bas où que tu sois, je pense à toi et des milliers de bisous je t'envoie. Tendres pensées bel ange, amitiés et remerciement à ta maman pour ces bouquets et messages à mon BB Lucky. |
left by colombine67 on 26/07/2015L’arc-en-ciel de ma vie La vie m’a choyé dans un sens Jeune adolescente, le destin m’a donné De grandes responsabilités que j’ai acceptées C’était ma destinée… J’y ai mis tout mon cœur et mon amour, Cette grande expérience m’a permis de grandir Des bonheurs sous le soleil Des chagrins sous la pluie Des montagnes à gravir Non sans peines et difficultés Mais j’ai toujours réussi… Ça recommence toujours… Mais dans mon cœur j’ai une vision. C’est de voir la vie « belle et d’y croire » J’y mets toute mon énergie, je garde confiance. Avec les évènements de la vie, j’ai vu noir Et aussi toutes les couleurs de l’arc-en-ciel De beaux jardins remplis de fleurs Des gestes et paroles remplis d’amour Des montagnes qui me semblaient incontournables Des situations qui ont perturbées le courant de ma vie J’ai gardé confiance et le sourire. Pour traverser le chemin de ma vie… Je regarde toujours devant, mon vécu m’a permis De grandir, de m’épanouir et de sourire, J’ai aidé, j’ai donné et j’ai reçu et ça continue La vie est belle, il faut y croire Et ça recommence toujours… Des montagnes à gravir des chagrins sous la pluie Mais des bonheurs sous le soleil sont à l’horizon Remplis d’amour et de joies… Christine QC Canada |
left by rafia on 25/07/2015« Arigato » Pascal Obispo Je t’ai vu me quitter des yeux Pour d’autres ailleurs, vers d’autres cieux On y parle d’endroits merveilleux Merveilleux Mais personne n’est revenu déjà Pour nous dire si c’est vrai ou pas Tu aurais pu me dire « Adieu » Tenir ma main encore un peu Même si là-bas on y est mieux On y est mieux Mais personne n’est revenu encore De cet autre côté du décor Arigato Mon amour…. A bientôt… Mon amour… Je t’ai vu t’en aller heureux Pour un voyage vers le grand bleu Qui ne se fait jamais à deux Jamais à deux Mais personne n’est revenu déjà Pour dire qu’on vous attend là-bas Arigato Mon amour…. A bientôt… Mon amour… S’il fallait entre nous un mot Qui soit comme un dernier cadeau Avant de fermer les rideaux Mon amour…. Mon amour…. Mon amour… Mon amour… A bientôt Arigato Mon amour…. Mon amour… A bientôt Arigato |
left by Annie on 25/07/2015Cher Rubens Ce n'était pas des paroles en l'air quand nous t'avions parlé d'une bolée de cidre, ou même plusieurs (clin d'oeil), car nous pesons toujours nos mots et nous voudrions savoir si tu seras libre le dimanche 2 août pour venir goûter à notre production mais tu peux aussi choisir un autre jour de la semaine à ta convenance. l'ennéade au grand complet tient à t'accueillir et ne te fais aucun souci pour le retour, nous t'accompagnerons volontiers et nous nous assiérons au bord du lac qui est sur le chemin et que nous n'avons encore jamais vu au clair de lune. À bientôt cher ami, nous t'envoyons de gros poutous si ils ne sont pas réservés à ta maman (lol). ♥ |
left by colombine67 on 25/07/2015"Le Bonheur Le Bonheur ne se trouve pas avec effort et volonté, Mais réside là, tout proche, Dans la détente et l'abandon. Ne sois pas inquiet, il n'y a rien à faire. Tout ce qui s'élève dans l'esprit n'a aucune importance, Parce que dépourvu de toute réalité. Ne t'attache pas aux pensées, ne les juge pas. Laisse le jeu de l'esprit se faire tout seul, S'élever et retomber, sans intervenir. Tout s'évanouit et recommence à nouveau, sans cesse. Cette quête même du bonheur est ce qui t'empêche de le trouver. Comme un arc-en-ciel qu'on poursuit sans jamais le rattraper. Parce qu'il n'existe pas, parce qu'il a toujours été là, Et parce qu'il t'accompagne à chaque instant. Ne crois pas à la réalité des choses bonnes ou mauvaises, Elles sont semblables aux arcs-en-ciel. A vouloir saisir l'insaisissable, on s'épuise en vain. Dès lors qu'on relâche cette saisie, l'espace est là, Ouvert, hospitalier, et confortable. Alors jouis-en. Ne cherche plus. Tout est déjà tien. A quoi bon aller traquer dans la jungle inextricable, L'éléphant qui demeure tranquillement chez lui. Cesse de faire. Cesse de forcer. Cesse de vouloir. Et tout se trouvera accompli, Naturellement. Guendune Rinpoché, Maître de méditation" |
left by Biscuit on 25/07/2015Oh! ma maîtresse , Comme tu m'as aimé, Je ne sais comment te remercier, De m'avoir dorloté, De m'avoir tant choyé. Merci pour ta tendresse Ton amour et ta gentillesse, Ma vie auprès de toi A été une merveille , merci! Merci de ne pas m'avoir laissé souffrir Il n'y avait plus de solution pour me guérir, J'aurais voulu rester près de toi Ne pas te causer de peine, En te laissant seule dans la détresse. De là où je suis, je te vois Sur toi je veille... Encore MERCI... Ma maitresse, ma maman ,mon amie, Je t'aime et jamais, O grand jamais, Je ne t'oublierai. |
left by rafia on 24/07/2015Paroles de On Se Retrouvera Promets-moi si tu me survis D'être plus fort que jamais Je serai toujours dans ta vie Près de toi, je te promets Et si la mort me programme Sur son grand ordinateur De ne pas en faire un drame De ne pas en avoir peur Pense à moi, comme je t'aime Et tu me délivreras Tu briseras l'anathème Qui me tient loin de tes bras Pense à moi, comme je t'aime Rien ne nous séparera Même pas les chrysanthèmes Tu verras, On se retrouvera N'oublie pas ce que je t'ai dit L'amour est plus fort que tout Ni l'enfer ni le paradis Ne se mettront entre nous Et si la mort me programme Sur son grand ordinateur Elle ne prendra que mon âme Mais elle n'aura pas mon coeur. Pense à moi, comme je t'aime Et tu me délivreras Tu briseras l'anathème Qui me tient loin de tes bras Pense à moi, comme je t'aime Rien ne nous séparera Même pas les chrysanthèmes Tu verras, On se retrouvera On se retrouvera On se retrouvera... |
left by colombine67 on 24/07/2015Une jeune dame attendait l’embarquement de son vol dans un grand aéroport. Puisqu’elle aurait à attendre plusieurs heures, elle décida de s’acheter un bon livre. Elle acheta aussi un paquet de biscuits. Elle s’est donc assise dans un bon fauteuil dans la salle VIP de l’aéroport pour se reposer et lire en paix. Le sac de biscuits se trouvait sur le bras du fauteuil ; un homme vint s’asseoir dans le fauteuil adjacent et il ouvrit son magazine et se mit à lire. Lorsqu’elle prit un premier biscuit, l’homme fit de même. Elle se sentait irritée par ce comportement mais elle ne dit rien, se contentant de penser: “Quel effronté, j’ai envie de lui sacrer une bonne claque sur la gueule. ” À chaque biscuit qu’elle prenait, l’homme en prenait un aussi. Ceci la mettait dans tout ses états mais elle ne voulait pas faire une scène. Lorsque qu’il ne resta qu’un seul biscuit elle pensa: “Et que va t’il faire maintenant cet abruti de profiteur?” L’homme prit le dernier biscuit, le brisa en deux et lui en remis la moitié. Ah! Mais là c’était trop! Elle était hors d’elle à ce moment! Dans un temps d’éclair, elle prit son livre et ses choses et sortit en trombe pour se rendre au guichet d’embarquement. Lorsqu’elle prit son siège dans l’avion, elle ouvrit son sac à main pour y prendre ses verres de lecture et à sa grande surprise, elle y découvrit son paquet de biscuits, intact et non-ouvert ! Elle se sentit tellement MAL!!! Elle réalisait comment elle s’était trompée... Elle avait oublié qu’elle avait mis son paquet de biscuits dans son sac à main. L’homme avait partagé ses biscuits avec elle sans rancune ni appréhension... pendant qu’elle s’était choquée, pensant qu’elle avait partagé ses biscuits avec lui...et maintenant elle n’aurait plus la chance de s’expliquer ou de s’excuser...” IL Y A 4 CHOSES QU’ELLE NE POURRAIT JAMAIS RATTRAPER... La Pierre.... Après le Lancement... Le mot.... ..Après l’avoir dit! L’Occasion... Après l’avoir perdu! Le temps... ...Lorsqu’il est passé! Un merveilleux texte partagé par Nadjet Tabouni D'Algérie |
left by Galinette3 on 24/07/2015🐌 Chanson des Escargots qui vont à l'enterrement 🐌 A l'enterrement d'une feuille morte Deux escargots s'en vont Ils ont la coquille noire Du crêpe autour des cornes Ils s'en vont dans le soir Un très beau soir d'automne Hélas quand ils arrivent C'est déjà le printemps Les feuilles qui étaient mortes Sont toutes réssucitées Et les deux escargots Sont très désappointés Mais voila le soleil Le soleil qui leur dit Prenez prenez la peine La peine de vous asseoir Prenez un verre de bière Si le coeur vous en dit Prenez si ça vous plaît L'autocar pour Paris Il partira ce soir Vous verrez du pays Mais ne prenez pas le deuil C'est moi qui vous le dit Ça noircit le blanc de l'oeil Et puis ça enlaidit Les histoires de cercueils C'est triste et pas joli Reprenez vos couleurs Les couleurs de la vie Alors toutes les bêtes Les arbres et les plantes Se mettent a chanter A chanter a tue-tête La vrai chanson vivante La chanson de l'été Et tout le monde de boire Tout le monde de trinquer C'est un très joli soir Un joli soir d'été Et les deux escargots S'en retournent chez eux Ils s'en vont très émus Ils s'en vont très heureux Comme ils ont beaucoup bu Ils titubent un petit peu Mais la haut dans le ciel La lune veille sur eux. 🐌 Jacques Prévert |
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