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In tribute to
CANICHENudji
Born on :05/06/1997
left us on:20/11/2013
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3936 messages
left by ovanek on 23/07/2016đ đ đ 89 đ đ **** A toi **** Toi qui es partie Dans un autre univers, Toi qui es partie, Au paradis Tu me manques tellement, J'aimerais te revoir, Tu es si loin Ă prĂ©sent, Tu m'as donnĂ© tant de bonheurâŠ. Tu es aujourd'hui au ciel, J'aimerais retrouver ton odeur, Je voudrais des ailes Pour retrouver mon bonheur. Tu me manques tellement, J'aimerais te revoir, mais tu es si loin Ă prĂ©sent, je voudrais ĂȘtre une petite coccinelle pour pouvoir voler tous lĂ haut et me poser sur toi pour ne plus te quitter. Sache que je t'aime, rien ne changera Tu me manques tellement. Il y'a des jours oĂč je donnerais n'importe quoi pour te regarder dans les yeux et voir tous cet amour qui nous unissait, des jours oĂč il me semble que cette sĂ©paration durera toujours. Mais je sais que cela n'arrivera pas, parce que les liens qui nous attachent sont trop forts. Quand viendra le jour oĂč nous nous retrouverons, Je sais que nous aurons l'impression que tout ce temps et toute cette distance n'avaient jamais existĂ© entre nous. Jusqu'Ă ce moment-lĂ , tu vis dans mon cĆur Ces moments sont inoubliables. Et ce bonheur inexplicable. *** Je t'aime mon chien...Phil *** đ |
left by poutounou on 23/07/2016Attention les neurones !!! * C'EST L'HISTOIRE DE... * C'est l'histoire de quatre individus: Chacun, Quelqu'un, Quiconque et Personne. Un travail important devait ĂȘtre fait, et on avait demandĂ© Ă Chacun de s'en occuper. Chacun Ă©tait assurĂ© que Quelqu'un allait le faire. Quiconque aurait pu s'en occuper, mais Personne ne l'a fait. Quelqu'un s'est emportĂ© parce qu'il considĂ©rait que ce travail Ă©tait la responsabilitĂ© de Chacun. Chacun croyait que Quiconque pouvait le faire, mais Personne ne s'Ă©tait rendu compte que Chacun ne le ferait pas. à la fin, Chacun blĂąmait Quelqu'un du fait que Personne n'avait fait ce que Quiconque aurait dĂ» faire... * (Lamartine) |
left by colombine67 on 23/07/2016 Je suis celui qui t'attend ... Ta voiture fait un bruit spĂ©cial et je la reconnaĂźtrais entre mille. Tes pas rĂ©sonnent de maniĂšre magique, c'est une musique pour moi. Ta voie est le signe le plus Ă©vident de mon bonheur, il n'est pas nĂ©cessaire de parler : j'entends ta tristesse. Si je vois ton bonheur, je suis heureux! Je ne fais pas de diffĂ©rence entre une bonne et une mauvaise odeur, je sais uniquement que ton arĂŽme est le meilleur. Certaines prĂ©sences me plaisent, d'autres moins. Mais ta prĂ©sence est celle qui Ă©meut mes sens. Ton rĂ©veil, me rĂ©veille. Toi, qui dors Ă la maison, tu es mon Dieu et moi, je suis le gardien de tes rĂȘves. Ton regard est un rayon de soleil, lorsque je m'aperçois que tu te rĂ©veilles ... Ses mains sur moi ont la lĂ©gĂšretĂ© de la paix. Et lorsque tu pars, tout est vide Ă nouveau... Et moi, je continue Ă t'attendre, encore et encore ... J'attends le bruit de ta voiture Le son de tes pas De ta voix J'attends ton humeur toujours lunatique Ton odeur Ton repos sous ma vigilance J'attends tes yeux Tes mains Et moi, je suis content ainsi. Je suis celui qui t'attends Je suis ton chien Gabriel Makaya |
left by colombine67 on 22/07/2016Je suis mort aujourd'hui! Je "vivais" dans un des chenils surpeuplĂ©s en Italie, j'ai attendu que quelqu'un me remarque.. attendus...attendus.. pendant 13 longues annĂ©es dans ma cage!! J'avais Ă©tĂ© mordu plusieurs fois, j'ai aussi failli mourir car je ne mangait pas... mais j'ai rĂ©sistĂ© Ă tout ca.. Et puis finalement, un ange nommĂ© Monica m'as remarquĂ©, as dĂ©cidĂ© de me sortir de la, pour me donner au moins quelque mois de bonheur! Elle m'as donc confiĂ© Ă ses amies Sandra et Silvana qui ont pris soin de moi, car j'Ă©tait trĂšf faible, mince et tordue par l'arthrite.. Mais j'ai eu la chance de connaitre des gens merveilleux, qui, je me souviens, c'Ă©tait l'hiver, m'avait preparĂ©s un lit douillet devant le radiateur.. le radiateur.. j'y ait passĂ© 2 jours le dos collĂ© contre.. moi qui n'avait jamais connu un merveilleux et chaleureux foyer.. pour moi c'Ă©tait le paradis! Et en dĂ©pit de toutes les prĂ©dictions, et que personne n'aurait cru que je vivrais plus de quelque mois de plus.. j'ai recupĂ©rĂ© et j'ai vĂ©cu encore 3 ans! Et pendant ces 3 ans.. j'ai Ă©tĂ© aimĂ© et choyĂ©, j'ai bien mangĂ©, dormis couchĂ© dans un bon lit chaud et doux! Je suis mort aujourd'hui, mais je suis mort heureux, parce que quelqu'un m'as donnĂ© de l'espoir et quelques annĂ©es de bonheur! Si mon ange ne m'aurait pas sauvĂ©, je serais parti sans vraiment exister, sans photos que je laisse derriĂšre moi, pas une seule trace de mon existence, sans que qui que ce soit pleure ma mort! Malheureusement, c'est le sort qui touche beaucoup de chiens, qui passent toute leur vie dans un refuge, derriĂšre les barreaux et meurent seuls, sans etre le chien Ă qui que ce soit, dans l'indiffĂ©rence gĂ©nĂ©rale.. alors avant de donner naissance Ă de nouveaux chiens, pensez Ă moi! Et avant d'acheter un chien, pensez Ă moi et au lieu de ca.. adoptez! Et si vous pouvez sortir un vieux chien de la fourriĂšre.. mĂȘme un jour de bonheur peut racheter une vie de souffrance! |
left by colombine67 on 21/07/2016Une vieille croyante avait un mari incroyant et un chien fidĂšle qui la suivait partout, mĂȘme le dimanche Ă l'Ă©glise. Il se couchait sous le banc oĂč s'asseyait sa maitresse (ce banc qu'il connaissait bien, car c'Ă©tait toujours le mĂȘme). La dame mourut, mais le chien conserva son habitude de se rendre Ă l'Ă©glise tous les dimanches lorsqu'il entendait sonner les cloches. Le mari s'Ă©tonnait de voir disparaĂźtre son chien chaque dimanche matin et il se demandait oĂč il pouvait bien aller. " Vous le trouverez Ă l'Ă©glise ", lui dirent ses voisins. Sa curiositĂ© le poussa Ă se rendre lĂ oĂč il avait jurĂ© de ne jamais mettre les pieds. Il trouva effectivement son chien couchĂ© sous un banc, mais comme l'office commençait et que tous les assistants le regardaient, il n'osa plus sortir. Il se sentit donc obligĂ© d'assister Ă tout le culte et d'entendre tout le sermon, qui le toucha au point qu'il changea de vie et trouva le Seigneur... Ce que sa femme avait Ă©tĂ© incapable de faire durant toute sa vie, son chien le fit aprĂšs sa mort. |
left by colombine67 on 20/07/2016Plus de doute, l'Ă©tĂ© est bel et bien lĂ , et avec lui une chaleur que nous n'avions pas connue depuis longtemps. Le thermomĂštre a dĂ©jĂ bien grimpĂ© et des tempĂ©ratures dĂ©passant les 35°C sont encore attendues dans les jours Ă venir dans plusieurs rĂ©gions. Vous prĂ©voyez de profiter comme il se doit des beaux jours avec votre chien ? Soyez prudents, la canicule est encore plus difficile Ă supporter pour un chien que pour un humain. Quelques prĂ©cautions vous permettront de prĂ©server votre chien de la chaleur et de passer de belles journĂ©es d'Ă©tĂ© en sa compagnie. 1. De l'eau fraĂźche La gamelle d'eau de votre chien doit toujours ĂȘtre remplie d'eau fraĂźche. Pensez donc Ă la changer rĂ©guliĂšrement sans toutefois remplacer l'eau tiĂ©die par de l'eau glacĂ©e. Pensez aussi Ă la fontaine Ă eau, qui permet au chien d'avoir toujours Ă de l'eau Ă sa disposition et Ă ses maĂźtres de ne pas avoir Ă la changer sans arrĂȘt ! 2. De l'air A la maison, installez dans une piĂšce bien aĂ©rĂ©e et fraĂźche un petit coin oĂč il pourra se prĂ©lasser Ă l'abri du soleil et de la chaleur. Si vous avez un jardin, prĂ©parez-lui un nid douillet dans un endroit ombragĂ©. En cas de fortes chaleurs, mieux vaut Ă©viter les balades aux heures de plus grande chaleur. PrĂ©fĂ©rez les promenades matinales et en fin d'aprĂšs-midi. Entre 11h et 16h, votre compagnon sera plus Ă l'aise dans un endroit frais et aĂ©rĂ©. 3. On ne laisse jamais un chien seul dans une voiture On ne le rĂ©pĂ©tera malheureusement jamais assez. Chaque annĂ©e des chiens sont victimes de l'irresponsabilitĂ© de leurs propriĂ©taires qui les laissent mourir de chaud dans leur voiture. Vous ne quittez votre voiture que quelques minutes ? Peu importe ! Par temps chaud, un chien, comme un enfant d'ailleurs, ne doit jamais rester seul dans une voiture, mĂȘme avec les fenĂȘtres entrouvertes. > Il se met Ă la place d'un chien laissĂ© dans une voiture en plein Ă©tĂ© Hier, nous rapportions comment une femme avait Ă©tĂ© contrainte aux Etats-Unis Ă rester enfermĂ©e dans sa voiture en pleine chaleur comme son chien qu'elle avait laissĂ© seul sur un parking. En France aussi, l'irresponsabilitĂ© de certains maĂźtres est montrĂ©e du doigt, comme celle de cette femme qui au Puy-en-Velay, en Haute-Loire, a fait courir un grand danger Ă son animal. AccompagnĂ©e de la police, la SPA a en effet dĂ» intervenir aprĂšs qu'une riveraine l'a contactĂ©e pour lui signaler la prĂ©sence d'un chien enfermĂ© dans une voiture depuis des heures en plein soleil. L'une des vitres avait Ă©tĂ© laissĂ©e entrouverte et la police a pu libĂ©rer le chien rapidement. Fort heureusement, l'animal allait bien, "mĂȘme sâil avait trĂšs soif. Mais ce genre de comportement est incomprĂ©hensible. Avec la chaleur quâil fait aujourdâhui, la tempĂ©rature dans une voiture fermĂ©e peut monter Ă 50 ou 60°C" souligne l'un des membres de la SPA intervenus pour secourir le chien. 4. En cas de coup de chaleur Si malgrĂ© toutes ces prĂ©cautions, votre chien est victime d'un coup de chaleur, il n'y a pas de temps Ă perdre. Une respiration rapide voire des halĂštements, une tempĂ©rature corporelle trĂšs Ă©levĂ©e, des vomissements et diarrhĂ©es, des tremblements musculaires, un Ă©tat lĂ©thargique, des mouvements inhabituels ou encore une perte de conscience sont autant de signes qui doivent vous alerter. Tentez de rĂ©duire sa tempĂ©rature en le mouillant avec de l'eau fraĂźche (mais jamais glacĂ©e) et en l'installant dans un lieu frais avec un ventilateur ou n'importe quel objet qui pourra en faire office. Si vous ne constatez pas d'amĂ©lioration rapide, n'attendez pas pour vous rendre chez le vĂ©tĂ©rinaire. 5. Attention Ă l'hydrocution ! Si vous souhaitez emmener votre chien au bord de la mer, d'un lac ou d'une riviĂšre pour qu'il puisse s'y baigner et se rafraĂźchir, restez trĂšs vigilants. Ne laissez pas votre compagnon courir dans l'eau. Mouillez-le un peu avant la baignade afin d'Ă©viter l'hydrocution puis rincez-le Ă l'eau douce aprĂšs afin de lui Ă©viter des irritations dues au sel. |
left by poutounou on 19/07/2016Faire une Ăąme moins tristeâŠ.. * Ăcoutez la chanson bien douce * Ăcoutez la chanson bien douce Qui ne pleure que pour vous plaire. Elle est discrĂšte, elle est lĂ©gĂšre : Un frisson d'eau sur de la mousse ! * La voix vous fut connue (et chĂšre?), Mais Ă prĂ©sent elle est voilĂ©e Comme une veuve dĂ©solĂ©e, Pourtant comme elle encore fiĂšre, * Et dans les longs plis de son voile Qui palpite aux brises d'automne, Cache et montre au coeur qui s'Ă©tonne La vĂ©ritĂ© comme une Ă©toile. * Elle dit, la voix reconnue, Que la bontĂ© c'est notre vie, Que de la haine et de l'envie Rien ne reste, la mort venue. * Elle parle aussi de la gloire D'ĂȘtre simple sans plus attendre, Et de noces d'or et du tendre bonheur D'une paix sans victoire. * Accueillez la voix qui persiste Dans son naĂŻf Ă©pithalame. Allez, rien n'est meilleur Ă l'Ăąme Que de faire une Ăąme moins triste ! * Elle est en peine et de passage, L'Ăąme qui souffre sans colĂšre, Et comme sa morale est claire !... Ăcoutez la chanson bien sage. * Paul Verlaine, Sagesse |
left by choupinou on 19/07/2016J'ai de mes pattes attrapĂ© tes larmes Elles venaient juste de couler sur tes joues Et de peur de les perdre Je me suis mis en avant pour Les accueillir Afin qu'elles ne se salissent pas Afin qu'elles restent toujours belles A regarder Afin que leur tristesse sâapaise Et qu'elles laissent apparaĂźtre ton visage DrapĂ© de ton sourire. A ma maman NUDJI |
left by Biscuit on 18/07/2016Les animaux ne sont pas Ă©ternels comme les diamants. Nous le savons. N'empĂȘche que mon chien est mort ce matin. Brusquement aprĂšs une mauvaise nuit. C'est con un chien mort et c'est encore plus con un maĂźtre avec une tonne d'amour sans son chien. Tout semble dĂ©risoire autour de nous sauf notre chagrin. La gamelle du chien est lĂ . Son panier est lĂ . Ses jouets sont lĂ . Le stock de croquettes est lĂ . Et mĂȘme ses mĂ©dicaments sont lĂ . Le chien n'est plus lĂ . Tout le monde ne peut pas comprendre la peine immense que nous Ă©prouvons quand un animal nous quitte parce que tout le monde n'aime pas les animaux et ici nous le savons plus qu'ailleurs. Il y a une phrase pour rĂ©sumer : les animaux ne nous font de la peine qu'une seule fois... Aujourd'hui est cette fois. Mon chien... d'abord ce n'Ă©tait mĂȘme pas "mon" chien car c'Ă©tait d'abord le chien d'une maman chien, nĂ© le jour de l'Ă©tĂ© il y a plus de 12 ans, puis un chien sans maman et ensuite un chien de foyer, un chien sans foyer en enfin, mon chien. Il m'a Ă©tĂ© donnĂ© l'honneur de vivre auprĂšs de lui, de le protĂ©ger, de le soigner toujours, de le nourrir, de le comprendre tel qu'il est -hum le vibrant caractĂšre !-, de jouer avec lui. Et surtout de bien l'aimer (et lui aussi). Tout cela je l'ai fait. J'ai mĂȘme fait plus : je l'aimais tant que je ne l'ai pas laissĂ©e souffrir davantage et c'est pour ça que mon chien est mort ce matin. Il aurait pu mourir demain ou aprĂšs-demain. Ceux qui sont passĂ©s par lĂ connaissent. On arrive Ă la premiĂšre heure chez son vĂ©tĂ©rinaire. Sans dire un mot, tout le monde comprend et puis on sort sans son chien. J'en ai vu des gens repartir sans leur chien et cette fois... Quelle est la diffĂ©rence entre mon chien et un diamant ? Enorme. Mon chien est plus Ă©ternel qu'un diamant et n'a pas un coeur de pierre. Quelqu'un, un jour, a donnĂ© une valeur inouĂŻe et spĂ©culative Ă un caillou transparent mais le premier qui a fait ça aurait trĂšs bien pu donner cette valeur Ă une agate ou s'abstenir. Mon chien est une agate car il a la valeur que je lui ai donnĂ©e moi-mĂȘme. Mon amour n'est pas cotĂ© en bourse pourtant il est stable sans jamais avoir subi aucune variation sinon Ă la hausse. Maintenant "mon" chien flotte au-dessus des nuages et s'en est allĂ© serrer la patte Ă tous les miens, les vĂŽtres bien-aimĂ©s et nous avons cela en commun. C'est pour ça que je vous Ă©cris que mon chien est mort ce matin... Merci mon chien d'avoir Ă©tĂ© mon chien et de le rester au fond de mon coeur Ă jamais comme les autres et les suivants |
left by choupinou on 18/07/2016Il Ă©tait mon ami, mon compagnon dâaventure, le confident de mes doutes, le copain qui rassure. Il a traversĂ© ma vie de sa gentillesse, se contentant dâun sourire, dâun mot doux, dâune caresse. Tant de balades sous la pluie, dans le vent, Ă lâabri du soleil sous les feuillages chantants. Aujourdâhui mon cĆur saigne de son dĂ©part, nous avions encore tant Ă faire nous, les insĂ©parables. Devant ma feuille, sous le poids de ma plume jâĂ©touffe mes cris, Je trĂ©buche sur les lettres mes yeux remplis de pluie. Dans un endroit charmant, dans sa maison, Ă prĂ©sent il dort, lĂ oĂč les oiseaux chantent et veillent sur sa mort. Il Ă©tait mon ami, mon chien, mon plus beau cadeau de NoĂ«l ; Il me plaĂźt Ă penser, que maintenant, il gambade dans le ciel., |
left by colombine67 on 18/07/2016Les animaux nous donnent parfois des leçons de vie importantes. Cette jolie histoire nous dĂ©montre qu'une mĂšre n'a pas besoin d'avoir de lien de sang avec son enfant pour bien s'en occuper. Et aussi, que l'amour inconditionnel n'est pas du tout reliĂ© Ă la race, ni mĂȘme... Ă l'espĂšce! Cette petite chienne Shih Tzu mĂ©langĂ©e a Ă©tĂ© retrouvĂ©e prĂšs de Greenville, en Caroline du Sud, sur le bord d'une autoroute. Des gens ont vu et entendu la chienne qui jappait incessamment et ont appelĂ© les autoritĂ©s, qui ont envoyĂ© une agente de contrĂŽle des animaux. L'agente, Michelle Smith, s'est aperçue que la chienne s'Ă©tait probablement prise dans des ronces, puisqu'elle avait plusieurs blessures superficielles et que sa fourrure Ă©tait pleine de dĂ©bris. La chienne, qui n'Ă©tait pas farouche, s'est laissĂ©e approcher. Et c'est lĂ que Mme Smith a eu toute une surprise : elle s'est rendue compte que la chienne cachait en dessous d'elle un minuscule chaton, qui Ă©tait en train de boire son lait! Les deux animaux ont Ă©tĂ© amenĂ©s dans un refuge du coin, oĂč ils ont Ă©tĂ© lavĂ©s et soignĂ©s. On les a gardĂ© ensemble et la chienne a continuĂ© de bien s'occuper de son « bĂ©bé »! Nul ne connaĂźt l'histoire de la chienne ni de sa rencontre avec le chaton... Elle avait peut-ĂȘtre eu une portĂ©e de chiots juste avant d'ĂȘtre abandonnĂ©e, ce qui expliquerait qu'elle puisse allaiter. Mais paraĂźt-il que les chiennes peuvent parfois avoir du lait sans donner naissance, lorsqu'elles font une « grossesse nerveuse canine ». Tout est bien qui finit bien: la chienne et son chaton ont Ă©tĂ© adoptĂ©s par la mĂȘme famille et sont maintenant trĂšs bien traitĂ©s! |
left by colombine67 on 17/07/2016« La haine nâest pas innĂ©e⊠Les hommes apprennent Ă haĂŻr, et sâils peuvent apprendre la haine, alors on peut leur enseigner lâamour, car lâamour gagne plus naturellement le cĆur humain que son contraire ⊠» Nelson MANDELA |
left by colombine67 on 16/07/2016Si un chien et un chat arrivent Ă s'aimer et se cĂŽtoyer Pourquoi pas nous aussi malgrĂ© toutes nos diffĂ©rences Que ce soit de couleur ou de religion, comme de pensĂ©es L'amour et le respect n'est t-il pas mieux que l'indiffĂ©rence Pourquoi vouloir Ă tout pris faire autant de mal autour de nous Dans la haine et la vengeance comme dans les guerres partout Pourquoi avoir tant de prĂ©jugĂ©s et le racisme au fond de nos cĆurs Vivre dans la colĂšre, dans la haine avec autant de cruelles rancĆurs Dieu ne nous apprend-il pas le pardon, l'amour et la bontĂ© depuis toujours Alors oui qu'attendons nous pour suivre son bel exemple rempli d'amour Fait-il une diffĂ©rence entre chacun de nous? Non, car tous il nous aime! Alors oui, empressez vous de rejeter ce sentiment de colĂšre et de haine Apprenez Ă devenir un ĂȘtre bon, oui rempli d'amour et de sagesse Car la sagesse commence par l'amour des autres tel qu'ils sont Il conduit au respect de l'autre, Ă l'amitiĂ© ainsi quâĂ la tendresse A la simplicitĂ© dans la bontĂ© Ă©ternelle, que jamais nous regretterons. |
left by poutounou on 15/07/2016La tĂ©lĂ©pathie entre animaux et humains j'y crois ! Sinon comment expliquer que votre chien attende derriĂšre la barriĂšre ou derriĂšre la fenĂȘtre, alors que vous ĂȘtes encore loin de votre maison, oĂč qu'il tremble dans la voiture lorsque vous vous rendez chez le vĂ©to ??? * Il Ă©tait neuf heures du soir. HervĂ©, son dĂźner achevĂ©, lisait tranquillement au coin de la cheminĂ©e oĂč crĂ©pitait un joyeux feu de bois. Tout semblait calme. La nuit, dehors, imposait le poids de son silence aux bruits de la vie. Lucky, lui, vadrouillait dans les parages. Rituellement, Ă la tombĂ©e du jour, il se payait une promenade vespĂ©rale et digestive, levant ici un campagnol Ă la recherche d'insectes, effarouchant lĂ un lapin sorti du terrier. Et, soudain, HervĂ© perçut, mentalement mais distinctement, les appels de dĂ©sespoir de son chien. Aucun son, pourtant, ne passait les murs Ă©pais de la maison... - Bon, j'ai rĂȘvĂ©, se dit-il. Et il reprit sa lecture. Mais les appels se renouvelaient, devenaient pressants... Il se leva, enfila son manteau et sortit. Sans se poser l'ombre d'une question, il se dirigea droit vers le bois qui, Ă deux cents mĂštres, profilait sur le ciel la masse plus sombre de ses arbres. - J'Ă©tais, me dit-il, comme guidĂ© par un fil invisible et je marchais sans hĂ©sitation dans une direction qui m'Ă©tait imposĂ©e. Il pĂ©nĂ©tra profondĂ©ment dans le bois et, dix minutes plus tard, les aboiements plaintifs de Lucky lui parvinrent pour la premiĂšre fois. Il le trouva enfin. Le chien avait posĂ© la patte sur un piĂšge Ă mĂąchoire et, ne pouvant s'en dĂ©gager, il appelait son ami Ă son secours... HervĂ© rĂ©ussit Ă le libĂ©rer et les blessures que le piĂšge avait occasionnĂ©es cicatrisĂšrent vite. Mais un fait s'imposait : c'est bien par la tĂ©lĂ©pathie que Lucky avait alertĂ© HervĂ© Grosjean. |
left by colombine67 on 15/07/2016Lâabandon. VoilĂ , câĂ©tait enfin lâĂ©tĂ©, pour lâoccasion mes maĂźtres avaient dĂ©cidĂ© de partir en vacances. Jâavais trop hĂąte dây ĂȘtre, dâautant plus que le soleil Ă©tait au rendez-vous. Cela faisait maintenant plusieurs heures que nous roulions en voiture. Pour mâoccuper, je regardais joyeusement, le paysage dĂ©filer devant mes yeux. Curieusement, aprĂšs un certain temps, le vĂ©hicule sâarrĂȘta. Mes maĂźtres descendirent, pour ensuite me mettre mon beau collier et ma belle laisse. Je crois bien avoir compris leur intention. Nous allions sĂ»rement faire une petite balade, pour nous dĂ©gourdir les jambes. JâĂ©tais super content, jâavais vraiment besoin de sortir. AprĂšs seulement quelques minutes de marche, mes maĂźtres mâavaient attachĂ© Ă un arbre. Je ne savais pas pourquoi ils avaient fait ça. Il devait bien y avoir une raison. Câest alors que je les vis me tourner le dos. Ils partirent alors, sans me jeter un dernier regard. Vu leur rĂ©action, ils allaient sĂ»rement revenir. Peut-ĂȘtre Ă©taient-ils mĂȘme partis chercher de quoi faire un pique-nique ? Ce serait super ! Jâadorais les pique-niques. Cela faisait maintenant deux heures que jâattendais leur retour. JâĂ©tais certain que mes maĂźtres allaient bientĂŽt revenir. Oui ! Jâen Ă©tais sĂ»r. Je ne savais plus, depuis combien de temps je les attendais ! Le soleil Ă©tait presque de lâautre cĂŽtĂ© du ciel. Ils Ă©taient longs Ă revenir. Se seraient-ils perdus ? Le soleil allait presque sâĂ©teindre, laissant bientĂŽt place Ă la nuit. Je commençais vraiment Ă mâinquiĂ©ter. Je restais ainsi assis, fixant lâhorizon, attendant leur retour. Alors que la nuit Ă©tait bercĂ©e par les Ă©toiles et mes inquiĂ©tudes, je rĂ©ussis quand mĂȘme Ă dormir. NĂ©anmoins, je me rĂ©veillai trĂšs tĂŽt pour guetter lâarrivĂ©e de mes maĂźtres. La fin et la soif commençaient fortement Ă se faire ressentir. En plus, il faisait trĂšs chaud. Je ne comprenais pas ce qui se passait. Je nâavais toujours aucun signe, venant dâeux. Pourtant, je les attendais gentiment. Soudainement, jâeus une idĂ©e de gĂ©nie. Et si je mangeais ma laisse ? Je pourrais ainsi la rompre et les chercher moi-mĂȘme. Si ça se trouve, ils sâĂ©taient vraiment perdus en chemin. JâespĂ©rais vraiment que mes maĂźtres allaient bien ! Bref, chose dite, chose faite. Jâavais dĂ©chirĂ© rapidement ma laisse, par chance elle Ă©tait en cuir. Elle ne valait rien face Ă mes crocs. Je sentais quâelle allait bientĂŽt se briser. Malheureusement, la nuit commençait Ă tomber alors que je nâavais pas fini. Je devrais donc attendre demain pour terminer mon Ćuvre. Heureusement, le matin rĂ©apparut rapidement. Encore une fois, je nâavais pas vraiment rĂ©ussi Ă bien dormir. Je voulais vraiment rentrer chez moi ! Dormir dans mon panier... En plus, jâĂ©tais mort dâinquiĂ©tude pour mes maĂźtres. Câest quâalors que les oreilles dressĂ©es, je humais lâair. Je venais de sentir une odeur. Une odeur humaine ! JâespĂ©rais que ce soient mes maĂźtres ! Dans le doute, jâavais dĂ©cidĂ© dâaboyer. AprĂšs un petit moment, je vis une silhouette, se dessiner au loin. Super ! CâĂ©tait une dame avec un chien ! Elle allait peut-ĂȘtre pouvoir mâaider. Cette dame aux cheveux grisonnants Ă©tait une personne trĂšs gentille. Elle mâavait donnĂ©, sans aucune hĂ©sitation, des biscuits et de lâeau. Jâavais bu et mangĂ© tout ce que lâon mâavait offert. Jâavais appris de « Sam », le caniche, que cette humaine sâappelait Katie. Sam mâavait aussi demandĂ©, « pourquoi es-tu accrochĂ© ? » Je nâavais pas pu lui rĂ©pondre. Malheureusement, aprĂšs quelques minutes Sam Ă©tait parti avec sa maĂźtresse Katie. Plus tard, je les avais revus avec une voiture rouge. La dame avait voulu que je monte dedans. Mais je ne savais pas si jâavais le droit de le faire, mes maĂźtres ne mâavaient rien dit. Cependant, jâavais encore tellement faim, que jâavais dĂ©cidĂ© de suivre Sam. Mes maĂźtres me retrouveraient sĂ»rement, ils Ă©taient intelligents. Katie, dans la voiture, mâavait donnĂ© de nouveau de la nourriture. Elle mâavait dit quâelle allait « mâemmener dans une fourriĂšre ». Câest quoi, une fourriĂšre ? Et pourquoi avait-elle un air si triste ? AprĂšs quelques minutes, la voiture sâĂ©tait arrĂȘtĂ©e, jâĂ©tais donc descendu du vĂ©hicule. JâĂ©tais maintenant devant un immense bĂątiment gris. Celui-ci sentait lâodeur de la tristesse. Jâavais peur ! Jâessayai de me dĂ©battre pour ne pas rentrer dedans. Mais plusieurs personnes mây forcĂšrent. Ă lâintĂ©rieur, il faisait sombre et ça sentait lâodeur de plusieurs animaux. Katie est partie, et Sam aussi. JâĂ©tais maintenant seul. Jâavais peur, vraiment trĂšs peur. Je voulais rentrer rapidement chez moi. Par la suite, on mâobligea Ă monter sur une table blanche. Elle sentait lâodeur dâautres chiens. Puis dâun coup, plusieurs humains regardĂšrent mon corps, mes dents et mon poids. Que cherchaient-ils ? Serais-je chez le vĂ©tĂ©rinaire ? Si câĂ©tait le cas, mes maĂźtres allaient peut-ĂȘtre revenir ! Si, ça se trouve, ils Ă©taient juste derriĂšre cette porte, mâattendant simplement. HĂ©las, ils ne vinrent pas. Pourtant jâavais regardĂ© attentivement cette porte, jâavais mĂȘme remuĂ© joyeusement la queue. Quelques minutes plus tard, une personne mâavait fait descendre de la table. Puis elle mâavait conduit vers une autre porte. DerriĂšre, jâavais entendu dâautres chiens et des chats. Leurs paroles Ă©taient pleines de tristesse. OĂč Ă©tais-je ? On mâavait ensuite conduit dans un couloir et mis dans une piĂšce. Les murs Ă©taient remplacĂ©s par des barreaux de mĂ©tal. On mâavait ensuite apportĂ© de lâeau et de la nourriture. AussitĂŽt, jâavais aboyĂ© en signe de dĂ©tresse, mais ils ne mâavaient pas Ă©coutĂ©. Le sol Ă©tait dur et froid. Jâavais peur. OĂč Ă©taient mes maĂźtres ? AprĂšs quelques minutes de rĂ©flexion, je crois que lâon mâavait enlevĂ©. Je devais donc mâenfuir de ce lieu ! Mes maĂźtres devaient sĂ»rement sâinquiĂ©ter. Jâavais dâabord essayĂ© de manger les barreaux. Mais ça nâavait pas marchĂ©, jâavais juste eu mal aux dents. Jâavais aussi essayĂ© de creuser le sol. Mais maintenant mes coussinets me faisaient mal. Lâodeur, le bruit... Tout Ă©tait insupportable ici. Comme je nâarrivais Ă rien, je dĂ©cidai de dormir. Peut-ĂȘtre que câĂ©tait un simple cauchemar. Si ça se trouve, demain, je serais dans mon panier au chaud, avec ma famille. Pourtant... MĂȘme en sachant cela. Jâavais pleurĂ© cette nuit-lĂ . Le lendemain, un nouvel humain avec de la nourriture apparut. Jâavais tentĂ© de le faire dĂ©guerpir en grognant contre lui. Mais il nâĂ©tait pas parti. Jâavais quand mĂȘme tentĂ© de fuir en essayant de passer entre la porte et lâhumain. Mais quelque chose mâen empĂȘcha. CâĂ©tait la voix dâun vieux chien : « tu ferais mieux de ne rien tenter. » Surpris, je me tournai vers cette voix. Elle venait dâun colley. Il Ă©tait allongĂ© au sol dans une cage Ă cĂŽtĂ©. Il avait lâair fatiguĂ© et vieux. Je lui rĂ©pondis de « sâoccuper de ses affaires. » Puis quand je me retournai, lâhumain Ă©tait dĂ©jĂ parti. Un peu Ă©nervĂ©, je demandai Ă ce chien « de quoi tu te mĂȘles ? ». Alors que jâallais bientĂŽt mâenfuir. Câest lĂ que jâappris ma vĂ©ritable situation. Dâune voix calme et triste, il me rĂ©pondit : « Ăa ne sert Ă rien, tu es maintenant un chien abandonnĂ© ». AbandonnĂ© ?! Que voulait dire ce mot ? Il mâa alors expliquĂ© que mes maĂźtres ne viendraient jamais. Quâils mâavaient abandonnĂ©, car jâĂ©tais sĂ»rement une gĂȘne pour eux. Devant cette rĂ©vĂ©lation, je reculai, les yeux tristes. HĂ©las, aucune larme ne tomba de mes yeux, je pleurais juste en silence. Seul... JâĂ©tais seul maintenant. Plus personne ne serait lĂ pour moi. Mais pourquoi ? Pourquoi mâavoir abandonnĂ© ? Alors que jâĂ©tais gentil, joueur, obĂ©issant, et surtout un bon gardien. Pourquoi ! Je me repliai sur moi-mĂȘme, murmurant quelques mots. Le vieux colley mâinterpella alors : « mon nom est Alban, quand tu auras repris tes esprits, viens me parler. » Je lâĂ©coutais dâune oreille. Puis je dĂ©cidai de dormir seul avec ma tristesse. Quand je me rĂ©veillai, lâhumain du matin Ă©tait lĂ , remplissant les bols de nourriture. Il repartit ensuite sans rien dire. Devant cette nourriture, je me dĂ©cidai Ă manger, car je nâavais rien pris depuis hier. Je remarquai enfin les alentours. Il y avait ainsi plein de cages, avec diffĂ©rentes races dâanimaux. Je pouvais voir des chats, des chiens, des furets, et mĂȘme des lapins. Comme moi, ils Ă©taient abattus. « Alors, ça va le jeune ? » Je me retournai, voyant Alban, il Ă©tait assis et il me fixait gentiment. Je rĂ©pondis que « non ». Il me demanda alors mon nom. Je rĂ©pondis fiĂšrement « Filou ». Puis, je me rappelai que câĂ©taient mes maĂźtres, qui mâavaient appelĂ© ainsi. Devant mon air abattu, Alban continua de parler. Mâexpliquant oĂč jâĂ©tais ! Jâappris que ce bĂątiment sâappelait « fourriĂšre ». Un lieu oĂč allaient les animaux abandonnĂ©s. DĂ©goĂ»tĂ© par ces propos, jâentendis Alban me demander mon Ăąge. Je lui rĂ©pondis alors : « deux ans ». Il soupira : « tu as de la chance ». Surpris devant son propos, je lui demandai « pourquoi ? ». Il mâexpliqua alors le terme de « lâadoption ». Un chien pouvait avoir une deuxiĂšme chance, surtout sâil Ă©tait trĂšs jeune. Ce qui nâĂ©tait pas le cas dâAlban, qui avait bientĂŽt neuf ans. De plus, il avait Ă©tĂ© sauvĂ© une fois, mais il avait Ă©tĂ© Ă nouveau abandonnĂ©. Bref, Ă cause de son Ăąge, il avait peu de chances de trouver une nouvelle famille. Devant sa rĂ©action, je lâencourageai, lui disant quâil avait encore une chance. Il me rĂ©pondit alors avec un soupir triste, suivi dâun « tu es gentil ». HĂ©las, notre conversation sâarrĂȘta vite, car un humain arrivait. Il prit plusieurs chiens avec lui, moi y compris. Ils Ă©taient tous heureux, remuant la queue. Curieux, je leur demandai « pourquoi cette agitation ? » Comme seule rĂ©ponse, je nâeus que le mot « balade ». Un terme, que je connaissais bien. Bref, nous Ă©tions plusieurs Ă marcher dehors avec une laisse. Mais ça nâavait rien dâune promenade individuelle. Celle qui Ă©tait normalement faite avec un maĂźtre aimant. En ce lieu, elle avait plus le goĂ»t de lâobligation, car lâhumain avec nous nâavait pas lâair satisfait. Par la suite, la journĂ©e passa, mais je ne vis pas Alban de lâaprĂšs-midi. Il fut ramenĂ© seulement vers le dĂ©but de la soirĂ©e. Le lendemain, le mĂȘme homme se prĂ©senta avec des gamelles. De nouveau, je me nourrissais dâune pĂątĂ©e infecte, mise dans une gamelle sale. Je levai la truffe de mon repas de mendiant, pour inspecter les alentours. Les autres animaux avaient lâair plus excitĂ©s et anxieux que la derniĂšre fois. Comme sâils attendaient un danger. Curieux, je me tournai vers Alban, cherchant une rĂ©ponse. Mais Alban avait lâair dĂ©sespĂ©rĂ©, voire angoissĂ©. Assis, il fixait le couloir en attente de quelque chose. Quand dâun coup, un humain apparut avec un labrador tenu en laisse. Devant ce spectacle, les jeunes chiens remuaient la queue, alors que les plus vieux se couchĂšrent avec un air triste. Ainsi, les plus ĂągĂ©es avaient lâair de savoir une chose que les nouveaux, comme moi, ignoraient. La premiĂšre chose que je pensai en voyant la laisse, Ă©tait que nous allions faire une nouvelle balade. Mais la rĂ©action des aĂźnĂ©es me fit comprendre que ce nâĂ©tait pas le cas. Câest alors que je vis lâhomme prendre la porte noire au fond du couloir. Quand il lâouvrit, le labrador se raidit, puis il rabaissa sa queue. Je compris alors son geste. Lâodeur qui se dĂ©gageait de cette piĂšce Ă©tait horrible. Ăa sentait la Mort ! Le labrador sâengouffra dans la salle, et la porte se referma. Puis, les cages se turent, remplissant la salle dâun silence de mort. CâĂ©tait le signe que chacun dâentre nous avait senti lâodeur de ce lieu. De nouveau, je me tournai vers Alban, lui demandant ce qui allait arriver Ă ce chien. Alban tourna son visage vers moi, les yeux pleins de larmes. Il articula alors cet unique mot : « Euthanasier ». Ne connaissant pas la signification de cette parole, je le questionnai. Il me rĂ©pondit tristement « lâhumain nous abandonne, puis, si nous dĂ©passons la date de la deuxiĂšme chance, il nous pique, pour nous tuer ». « DerriĂšre cette porte, il y a la mort ». Devant cette rĂ©vĂ©lation, mon poil se hĂ©rissa de frayeur. Lâhomme, cet ĂȘtre, qui nous avait apprivoisĂ©s Ă partir du Loup, pouvait nous jeter, mais aussi nous tuer. MĂȘme nous, entre chiens, tuer aussi simplement Ă©tait impossible. MĂȘme pendant nos combats, pour savoir, qui serait soumis ou dominĂ©, nous faisions attention de ne tuer personne. En face de cette rĂ©alitĂ©, je mâallongeai, tremblant comme une feuille. VoilĂ Ă quoi Ă©tait rĂ©duite ma vie. Jâavais aimĂ©, on mâavait abandonnĂ© et jâallais sĂ»rement mourir comme un vulgaire sac de viande. Je gĂ©missais alors de tristesse. Pourquoi moi ?! Pourquoi devais-je mourir ainsi ? Juste derriĂšre une porte, dans une salle crasseuse... Non, je ne voulais pas dâun tel destin. Je devais fuir... Alban mâadressa alors la parole, sĂ»rement, car il avait vu ma dĂ©tresse. « Ne tâinquiĂšte pas, tu peux Ă©viter ça ». Je relevai alors la tĂȘte, et lui demandai « comment ? ». « Fais-toi adopter par une famille. Tu es jeune, tu peux avoir cette chance ». Oui ! Peut-ĂȘtre avais-je une chance dâavoir une nouvelle vie ? Mais comment se faire adopter ? Et quâen Ă©tait-il des autres animaux qui se trouvaient dans cette fourriĂšre ? Allaient-ils mourir aussi simplement ? SĂ»rement ! Inquiet, je me tournai vers Alban, lui demandant comment, je pourrais ĂȘtre adoptĂ©. Il me rĂ©pondit dans un ton neutre « quâil fallait avoir quelque chose que les autres nâont pas ». Bref, il fallait se diffĂ©rencier des autres, ĂȘtre unique, comme avoir un air doux, ou ĂȘtre intelligent. Ou pire encore avoir un pelage au motif rare et peu rĂ©pandu. Ainsi, les critĂšres pour survivre nâĂ©taient pas dâĂȘtre une crĂ©ature vivante comme un chat ou un chien. Ni ĂȘtre gentil, dĂ©licat ou fidĂšle. Non ! Il fallait ĂȘtre un objet rare, comme on pouvait en trouver dans une brocante. Jâavais donc peu de chances dâĂȘtre choisi. Pourtant, Alban nâarrĂȘtait pas de dire que « mon jeune Ăąge Ă©tait un atout ». Ă ce moment, je ne le pris pas au sĂ©rieux, croyant que jâĂ©tais au bord du gouffre. Pourtant, il existait sĂ»rement pire que moi. Mais je nâavais pas encore remarquĂ© quâautour de ma personne vivaient des cadavres sur pattes. Je passais donc, le reste de la journĂ©e Ă me poser diverses questions sur ma condition de chien. Recherchant une Ă©chappatoire. Fallait-il mieux mourir, et ne plus vivre une telle vie ? Ou se battre et croire en une existence meilleure, mais en ayant toujours la peur de revenir dans une fourriĂšre ? Ă combien, un humain, Ă©valuait-il ma vie ? Et comment le faisait-il ? GrĂące Ă mon pelage ? Ă mon Ăąge ? Ou Ă mon prix ? Je ne savais que penser. Je mâendormis donc tard le soir, fixant dâun air triste mes congĂ©nĂšres tassĂ©s dans des cages de plus en plus petites. Un des seuls avantages, ou chances, que jâavais eu, Ă©tait une cage rien que pour moi. Mais pour combien de temps ? Le lendemain, je revis lâhomme aux croquettes. Cette fois, je ne me levai pas. Je regardai juste autour de moi. Câest alors que je vis la porte noire sâouvrir. Un humain sortait de la salle, poussant un chariot de sacs poubelles sombres. Reniflant lâair, je pus rapidement identifier le contenu des sacs. Ăa sentait la mort, lâurine et surtout lâodeur dâun labrador et dâun autre chien. Bref, jâavais devant moi un cercueil sur roulettes. Celui-ci traversait le couloir, comme pour nous rappeler que la mort Ă©tait juste lĂ , quâelle attendait seulement. Du coin de lâĆil, je vis lâintĂ©rieur de la salle Ă la porte Ă©bĂšne. Dedans, il y avait une table, et dâautres plus petites qui Ă©taient disposĂ©es contre les murs. Le sol et les murs Ă©taient recouverts de carrelage blanc. On pouvait aussi contempler une grosse bonbonne, dĂ©tenant un produit inconnu. Mais, je vis surtout, des outils de torture posĂ©s sur une table en Inox. Il semblait y avoir une seringue, des aiguilles et des sortes de petits couteaux. Il y avait mĂȘme des sangles, qui devaient servir Ă attacher quelque chose. Mais le plus sinistre Ă©tait de voir une chaĂźne argentĂ©e qui pendait, celle-ci Ă©tait attachĂ©e Ă la table au centre de la piĂšce. Et cette laisse dâun jour bougeait de gauche Ă droite. Comme pour indiquer quâun ĂȘtre vivant Ă©tait lĂ , il y a peu. HĂ©las, je ne pus en voir plus, car la porte se referma aussitĂŽt. Comme si cette salle avait honte dâĂȘtre remplie dâhorreur. Maintenant, la seule chose restante Ă©tait le silence. Les animaux, Ă la vue du chariot, sâĂ©taient tus. Saluant, ainsi, la vie de ces chiens, qui sâĂ©taient sacrifiĂ©s pour une quelconque raison. Ătaient-ils malades ? Vieux ? Ou encore trop jeunes ? Je ne savais pas... Du moins, je nâavais pas envie de savoir. Car quelque part, je croyais savoir pourquoi on les avait recouverts dâune bĂąche noire. Peut-ĂȘtre... Oui ! Peut-ĂȘtre, nâavaient-ils pas eu, simplement, la chance dâĂȘtre adoptĂ©s ? Peut-ĂȘtre Ă©taient-ils de trop dans ce monde, qui dĂ©tenait Ă©normĂ©ment dâhumains ? Un jour, je serais sĂ»rement Ă la place de ce chien. Ou alors, jâaurais cette minuscule chance, dâavoir un nouveau foyer. Mais personne ne pouvait le savoir. Et au fond de moi je sentais que cette chance ne serait pas pour moi. Dans cette fourriĂšre vivaient diffĂ©rentes races dâanimaux, qui pouvaient aussi bien mâempĂȘcher dâavoir lâoccasion dâĂȘtre adoptĂ©es. Quelque part, jâavais envie de saisir cette chance, de la voler. Ainsi, je devenais Ă©goĂŻste... Moi, un chien... Je venais Ă envier et Ă dĂ©sirer la vie des autres. NâĂ©tait-ce pas pathĂ©tique ? Alors, que je vivais sans connaĂźtre la dĂ©finition des mots « fourriĂšre » et « abandon » ! Je crois que je devenais le pire des animaux dans ce bas monde. Mais dans cette cage froide et sombre, je nâavais pas le choix. Je devais survivre !" |
left by colombine67 on 14/07/2016 Ange humain, MaĂźtre et ami, A toi jâai uni ma vie. Je te protĂšge et je te suis Partout oĂč tu vas lorsque tu veux bien de moi. Il y a plusieurs millĂ©naires, mes ancĂȘtres se sont attachĂ©s Ă tes pas. Tu les as invitĂ©s Ă sâasseoir auprĂšs de toi au coin du feu Pour partager ton frugal repas. Lâhistoire dâamour entre ta race et la mienne a commencĂ© ce soir lĂ . Depuis ce temps, MalgrĂ© lâatroce martyre que nous subissons parfois Par des monstres qui ont pris ton apparence mais ne te ressemblent pas Et ne mĂ©ritent pas le nom dâhumains, Nous sommes restĂ©s auprĂšs de toi, FidĂšles comme un chien trouvĂ©, Confiants comme un enfant sauvĂ©, Te rĂ©chauffant dans la glace et le froid, Te consolant dans la tristesse, Montant la garde devant ton corps blessĂ©, GuĂ©rissant ton Ăąme dĂ©sespĂ©rĂ©e, Allaitant lâenfant loup Ă©garĂ© dans la forĂȘt, Comme tu le fis pour moi Lorsquâun monstre inhumain Me martyrisa et mâabandonna au bord du chemin. Peu mâimporte Les richesses matĂ©rielles que tu possĂšdes. Que tu aies grande demeure ou humble nid, Je partage avec joie ton logis, Je me contente dâun tapis. Peu mâimporte la couleur de poil que tu as. Quâelle soit citron, cafĂ©, chocolat, petit pois, Ta peau ne mâimporte pas. Caresse-moi, nâarrĂȘte pas ! Peu mâimporte lâimportance quâon te donne. Quâon sâincline devant toi avec hypocrisie ou quâon te traite avec mĂ©pris, tu es le soleil de ma vie. Peu mâimporte la forme que tu as prise, Que tu sois long comme une asperge, rond comme un melon, Laid comme un pou, beau comme un bijou, je tâaime tel que tu es. Peu mâimporte le temps que la vie tâa pris, Tes tempes blanches, tes cheveux gris, ton corps ployĂ© sous les soucis, Jâaime tes rides quand tu souris. Peu mâimporte le pays oĂč tu vis, Les sciences que tu apprends, Les langues que tu parles, Ton cĆur parle Ă mon cĆur. Nul besoin dâun traducteur. Et nâoublie pas, Petit en deçà , grand au-delĂ . « La Terre perdue dans lâUnivers Est comme un anneau dâor perdu dans le dĂ©sert.» Quâadviendra-t-il de toi au Paradis dâAllah Si, ici-bas, tu me tortures et tu me bats? Notre ProphĂšte Bien AimĂ©, Que la Paix soit sur Lui, Qui toucha avec dĂ©licatesse le front dâun chat Pour y imprimer le M de Mahomet, a dit : « Dieu est Beau et Il aime la BeautĂ© ». Lis dans mes yeux. Y vois-tu quelque chose de laid? Je ne suis que ton reflet. Et ne te crois pas plus grand que moi car «Dieu nâaime pas qui a en son cĆur un grain de moutarde dâorgueil.» Et, je tâen supplie, dis aux monstres qui se croient humains Quâils ne nous prennent pas pour leur souffre-douleur Pour Ă©viter quâun jour ils ne tombent sur plus puissant quâeux Qui leur ferait endurer les atrocitĂ©s quâils nous ont infligĂ©es. La vie se charge toujours de nous chĂątier. Et que mes amis chats ne se croient pas abandonnĂ©es dans cette priĂšre, Ils sont une part de ton Ăąme comme ils sont une part de moi, Ils sont une infime parcelle de la CrĂ©ation Divine, comme tous les ĂȘtres vivants, humains, animaux et anges confondus. Dieu nâest pas fou, si nous nâavions pas tous un rĂŽle Ă jouer, il ne nous aurait pas crĂ©Ă©s. Il en est de mĂȘme pour toi, qui deviendras, Ă Son image, Grand, Bon, Beau, Parfait. Tu as encore du chemin Ă parcourir pour y arriver⊠Mais je tâaime, mĂȘme imparfait, Surtout lorsque, Ă la cause des enfants et des animaux souffrants, Tu sais te dĂ©vouer. Inutile de te le cacher, tu es mon dieu. Alors, comporte-toi comme tu aimerais bien que le Tien fasse pour toi. Exauce ma priĂšre, bon MaĂźtre, mon DĂ©vouĂ©, Mon ami pour lâĂ©ternitĂ©, Sois le chevalier protecteur de mes frĂšres animaux et humains envoyĂ©s sur Terre par le PĂšre Divin Et qui, par une terrible erreur, Vivent encore dans la douleur. Enseigne, encore et encore aux monstres que tu connais, jusquâĂ ce quâils deviennent humains, Que lâanimal a droit au respect, Quâon ne peut faire souffrir sans recevoir un jour la monnaie de sa piĂšce Car toute peine mĂ©rite salaire. Et si par miracle, ils se transforment un jour, comme nous, en monstres dâamour, Nous saurons les aimer autant quâils nous ont martyrisĂ©s, Et mĂȘme au centuple, car nous les avons dĂ©jĂ pardonnĂ©s. Nous sommes lâAmour incarnĂ©. Notre Ăąme affectueuse et belle est un don de lâEternel. Alors, Seigneur humain, MaĂźtre et Ami, Je tâen supplie, Fais que cesse un jour le martyre de tous mes frĂšres, Chiens, chats, cochons, chimpanzĂ©s, enfants et autres suppliciĂ©s, SacrifiĂ©s Ă lâorgueil de lâinhumaine humanitĂ©, Au sadisme des monstres qui nâont pas encore compris Quâon ne peut faire souffrir et dĂ©truire la vie Sans mutiler et tuer une partie de soi Car tous sont un, un mĂȘme Moi. Approche, DĂ©vouĂ©, mon ami, LâAnge de ma vie, Viens partager mon tapis Pour rĂȘver en catimini Un instant au Monde parfait, rempli de joie, dâamour, de beautĂ©, Qui tarde Ă arriver. |
left by colombine67 on 13/07/2016L'histoire d'un chien abandonnĂ© Lors de la course Adventure Racing World Championship en Ăquateur, la Team Peak Performance va nourrir un chien. La suite est clairement inimaginable ! ~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~ La compĂ©tition sportive Adventure Racing World Championship est la course la plus difficile au monde avec un parcourt de 700 km en pleine forĂȘt Ă©quatoriale incluant des Ă©preuves de rĂ©sistance physique extrĂȘmement difficiles. Pendant cette course, le groupe Team Peak Performance fait une pause pour manger. Mikael Lindnord, le chef dâĂ©quipe, aperçoit alors un chien affamĂ©, sans doute abandonnĂ© et seul vu son Ă©tat de fatigue incroyable. Celui-ci sâapproche dâeux et se couche Ă leurs pieds, sans rien dire. Mikael dĂ©cide instinctivement de lui donner Ă manger. Jâai pensĂ© quâil avait faim et je lui ai donnĂ© une boulette de viande. Et puis jâai cessĂ© de penser Ă lui. Puis les 4 sportifs reprennent leur course. AprĂšs plusieurs kilomĂštres, ils se sentent suivis et se retournent : le chien est derriĂšre eux. MalgrĂ© sa fatigue, le chien errant avait dĂ©cidĂ© de les suivre dans cette compĂ©tition extrĂȘme, prĂȘt Ă braver la boue, le dĂ©nivelĂ© et les riviĂšres pour ne pas ĂȘtre sĂ©parĂ© dâeux. Le 5Ăšme homme A cet instant, tout a changĂ© pour le groupe de suĂ©dois, qui sâest uni Ă ce chien pour former la nouvelle Team Peak Performance. Ce nouveau coĂ©quipier canin hors normes voulait les suivre tout au long de cette aventure extrĂȘme. Ils ont bien tentĂ© de le faire fuir pour Ă©viter quâil ne se blesse ou ne mette pas sa vie en danger mais rien nây a fait. La nouvelle Ă©quipe sâest alors entraidĂ©e, les sportifs devant quelques fois lâaider Ă passer certains obstacles. Mais le chien ne voulait rien lĂącher. MĂȘme embourbĂ©, il ne voulait pas rester derriĂšre ses nouveaux maĂźtres. MĂȘme extĂ©nuĂ©, aprĂšs avoir bu et manger un peu, il voulait repartir et les suivre toujours plus loin. Lors de lâĂ©preuve finale, les organisateurs ont demandĂ© aux suĂ©dois de ne pas laisser le chien les suivre. LâĂ©preuve, une descente de prĂšs de 60 kilomĂštres en kayak sur un torrent puissant, Ă©tait trop dangereuse. CâĂ©tait sans compter sur son indĂ©fectible loyautĂ© envers ses nouveaux maĂźtres. Ă peine Ă©taient-ils dans lâeau avec leurs kayaks quâil a sautĂ© pour les rejoindre et sâest mis Ă nager derriĂšre eux. Le chef dâĂ©quipe, touchĂ© par la volontĂ© du chien, lâa accueilli Ă bord de son embarcation et ce sont 5 Ă©quipiers qui ont franchi lâarrivĂ©e, aprĂšs 6 jours de compĂ©tition effrĂ©nĂ©e. Soins et adoption AprĂšs la course, Mikael, le responsable de lâĂ©quipe, nâa pas voulu se sĂ©parer de ce chien extraordinaire et lâa adoptĂ© en le baptisant Arthur. Il a fallut dâabord lui faire consulter un vĂ©tĂ©rinaire Ă Quito, la capitale de lâĂquateur. La compĂ©tition lâavait laissĂ© mal en point, avec de nombreuses blessures. SoignĂ© et aprĂšs avoir reçu lâaval des autoritĂ©s suĂ©doises, Arthur a dĂ» attendre encore 90 jours en quarantaine avant de retrouver son Ă©quipe de sport prĂ©fĂ©rĂ©e. DĂ©sormais, Arthur habite en SuĂšde avec Mikael Lindnord et vit avec une famille qui lâaime. Mikael nâaura de cesse de raconter cette histoire et de finir par ces phrases : Câest le genre de rencontre qui ne se produit que de rare fois dans une vie. Je suis allĂ© en Ăquateur pour gagner le Championnat du Monde. Au lieu de cela, je me suis fait un nouvel ami⊠CâĂ©tait le destin. |
left by colombine67 on 12/07/2016Voila lâhistoire de KARA. LâannĂ©e passĂ©e, je voyais souvent un berger malinois se balader dehors, bien sĂ»r, rien de trĂšs inquiĂ©tant vu que jâhabite dans la campagne et que beaucoup de chiens sont en libertĂ© pour se dĂ©gourdir les jambes. Mais un soir, elle Ă©tait dehors couchĂ©e contre la façade dâune maison. JâĂ©tais tellement triste pour elle que jâen ai parlĂ© Ă ma maman. Elle est allĂ©e la voir et est rentrĂ©e Ă la maison avec. AprĂšs avoir fait les prĂ©sentations avec mon beagle et mon chat, elle est restĂ©e toute la soirĂ©e dans le salon prĂšs de nous. Le lendemain, je lâai lavĂ©e (elle Ă©tait noire de poussiĂšres). Avant de se dire quâon allait la garder, nous avons Ă©tĂ© voir les voisins, le chien nâappartenait Ă personne et dâailleurs les voisins avaient dĂ©jĂ essayĂ© de lâattraper mais elle ne se laissait pas prendre. Nous sommes donc aller dans le refuge proche de chez nous. Elle avait une puce, la femme qui sâoccupait du refuge a tĂ©lĂ©phonĂ© au propriĂ©taire, sa rĂ©ponse fut : elle est partie depuis 2 mois, ce chien nâĂ©coute pas ! Je ne la veux plus. Nous avons aussi appris que son 1er propriĂ©taire lâavait enfermĂ©e dans une cave et battue. Nous avons donc dĂ©cidĂ© de la garder avec nous, en effet pour nous câĂ©tait un signe quâelle se soit approchĂ©e de ma maman et dâaucune autre personne. Depuis KARA vit avec nous, elle a beaucoup dâamis et je nâai jamais vu un chien qui Ă©coutait aussi bien. Elle commence tout doucement Ă ne plus avoir peur des hommes et on ne voit plus ses cĂŽtes !!!! Avant de vouloir un animal de compagnie, rĂ©flĂ©chissez Ă ce que vous allez en faire.... Ăa vous plairait quâon vous jette dehors ? Quâon vous enferme dans une cave ou quâon vous batte ??? Un chien est comme un ĂȘtre humain sauf quâil a une qualitĂ© en plus : il est dĂ©vouĂ© pour nous jusquâĂ sa mort et jamais il nâabandonne sa famille !!! Essayez de faire la mĂȘme chose. |
left by poutounou on 11/07/2016Encore une histoire qui nous dĂ©montre Ă quel point ils sont "indispensables", nos amours Ă 4 pattes.... * PĂ©trus, un vĂ©ritable chien hĂ©ros Nous avons vĂ©cu, l'automne dernier, un moment difficile qui, sans la prĂ©sence de notre Fox PĂ©trus aurait pu ĂȘtre dramatique, voire mĂȘme catastrophique. Dans la nuit du 6 au 7 octobre, nous sommes profondĂ©ment endormis. PĂ©trus aboie, cela lui arrive rarement : il est respectueux du sommeil de ses maĂźtres et s'il se manifeste c'est qu'il y a quelque chose : prĂ©sence de chats sur son territoire, passage et ou stationnement prolongĂ© de vĂ©hicules devant la maison, bruits inhabituels... * Cette nuit -lĂ donc PĂ©trus aboie. Comme chaque fois que cela se produit, je lui ordonne, depuis la chambre, de se coucher et de se taire, et les choses en restent lĂ . Mais cette nuit-lĂ il n'obĂ©it pas et il continue Ă donner de la voix, moi Ă lui ordonner de se taire et de se coucher ; cependant il se manifeste d'une maniĂšre tellement impĂ©rieuse et inhabituelle que je me vois obligĂ©e de me lever. *ArrivĂ©e dans l'entrĂ©e, je trouve notre chien qui m'ignore et qui cherche Ă sortir, je lui intime l'ordre de se coucher, il persiste dans sa demande de sortie. Avec le recul aujourd'hui, je rĂ©alise que j'aurais dĂ» commencer Ă m'inquiĂ©ter. Mais dans les brumes du sommeil, je n'ai pensĂ© qu'Ă faire taire PĂ©trus pour retrouver mon lit au plus tĂŽt. J'ai donc pris mon chien sous le bras et l'ai ramenĂ© autoritairement dans la cuisine dans son panier, et c'est Ă ce moment que j'ai compris le pourquoi des aboiements de PĂ©trus : par la fenĂȘtre de la cuisine, j'ai vu notre garage en flammes. * Le temps de rĂ©veiller mon mari, d'appeler les pompiers, d'aller confier PĂ©trus aux voisins et dĂ©jĂ les flammes dĂ©passaient le toit. Le seul Ă©lĂ©ment qui a souffert de l'incendie est le garage ; il est attenant Ă la maison par un auvent, celle-ci a juste eu les façades noircies. La chaleur y Ă©tait telle que les murs ont Ă©clatĂ©. Il y avait Ă l'intĂ©rieur deux bouteilles de gaz qui, Dieu merci, n'ont pas explosĂ©. * Tout ce qui se trouvait dans le garage a Ă©tĂ© totalement dĂ©truit : 2 voitures, salon de jardin, tondeuse, machinerie piscine, etc. Tout le monde est d'accord pour dire que nous devons beaucoup Ă PĂ©trus. Sans lui, la maison aurait Ă©tĂ© gravement endommagĂ©e, nos bouteilles de gaz auraient pu provoquer des dĂ©gĂąts dans tout le quartier et serions-nous aujourd'hui lĂ pour le raconter ? Comme disait Marie, la fille d'amis, aprĂšs qu'on lui ait racontĂ© ces Ă©vĂ©nements: « On devrait tous avoir un chien ». Et j'ajouterai : un Fox ! Depuis PĂ©trus a retrouvĂ© ses habitudes : Farniente sur le canapĂ©, chasse aux lĂ©zards, piscine avec les jeunes. |
left by Biscuit on 10/07/2016"Pour tous ces jours passĂ© avec toi Pour tous ces moments oĂč j'ai jouĂ© avec toi Pour tous ces reves ou j'ai penser Ă toi Pour tous ces lĂ©chouilles que tu ma fait Pour tous ces fou rire que j'ai passer avec toi Pour tous ces jours oĂč je penserais a toi Je ne voudrais te perdre pour rien au monde Je t'aime mon rayon de soleil." |
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