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En hommage à
GOLDEN-RETRIEVERSécotine
Il est né le:17/03/2001
Il nous a quittés le:25/09/2015
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602 messages
Déposé par patou90 le 18/12/2015Chanson de Indila "Boîte en argent" ~~~~~~~~~~~~~~~~~~ J'ai, j'ai gardé en secret Dans une boîte en argent Un petit monde à moi Des étoiles, un océan Un peu d'éternité, une flûte de pan Mais je n'ai rien de toi Toi qui manque tellement Je suis là où tu m'as laissée Sur la route du néant Ici la lune n'éclaire jamais Elle jaunît avec le temps Et de nuage en nuage Sur les ailes d'un oiseau blanc Je me suis laissée prendre en otage Puisque sans toi, plus ne rime Plus rien ne rime, rime Et je m'abîme, bîme Et je m'abîme, bîme Je suis allée au bout du monde J'ai demandé pardon Je suis là et je t'attends Sous les étoiles... D'Orion Il y avait comme un son Perdu dans l'univers Est-ce que ce serait toi ? Oh comme je l'espère Je suis là où tu m'as laissée Sur la route du néant Ici la lune n'éclaire jamais Elle jaunît avec le temps Et de nuage en nuage Sur les ailes d'un oiseau blanc Je me suis laissée prendre en otage Puisque sans toi, plus ne rime Plus rien ne rime, rime Et je m'abîme, bîme Et je m'abîme, bîme J'fais comme si tu m'attendais Mais le temps paraît long Et je ne peux m'empêcher De penser Comme une enfant Que veux-tu que j'y fasse ? Rien n'est plus enivrant Que de s'accrocher à toi Et d'y croire tout le temps Je suis là où tu m'as laissée Sur la route, sur ce banc Ici la lune n'éclaire jamais Elle jaunît avec le temps Et de nuage en nuage Sur les ailes d'un oiseau blanc Je me suis laissée prendre en otage Puisque sans toi, plus ne rime Plus rien ne rime, rime Et je m'abîme, bîme Et je m'abîme, bîme |
Déposé par patou90 le 17/12/2015👄 Nos yeux se sont promis ce qu'aucun mot n'aurait su dire. 👄 |
Déposé par patou90 le 16/12/2015Ne me regardez pas dedans Qu'il fait beau cela vous suffit Je peux bien dire qu'il fait beau Même s'il pleut sur mon visage Croire au soleil quand tombe l'eau Les mots dans moi meurent si fort Qui si fortement me meurtrissent Les mots que je ne forme pas Est-ce leur mort en moi qui mord Le malheur c'est savoir de quoi Je ne parle pas à la fois Et de quoi cependant je parle C'est en nous qu'il nous faut nous taire Louis Aragon (Recueil : Le fou d'Elsa) |
Déposé par patou90 le 14/12/2015"On ne choisit pas toujours les circonstances d'une rencontre. Parfois des êtres atterrissent bien proprement dans notre vie, comme tombés du ciel ou débarqués d'un vol en provenance directe du paradis ; et puis nous perdons brutalement ceux que nous avions cru à jamais tissés dans la trame de nos jours" John Irving (- Dernière nuit à Twisted River -) |
Déposé par patou90 le 12/12/2015Elle se penche sur moi Le cœur ignorant Pour voir si je l’aime Elle a confiance elle oublie Sous les nuages de ses paupières Sa tête s’endort dans mes mains Où sommes-nous Ensemble inséparable Vivants vivants Vivant vivante Et ma tête roule en ses rêves. Paul Eluard ❊❊❊❊❊❊❊ |
Déposé par patou90 le 11/12/2015Plus d’en rêver, je ne pense qu’à elle Dans mon cœur un émoi inexprimable Son âme est là, invisible mais réelle Plus rien n'existe, je ne vois que ses yeux… Mes pensées sont remplies d’elle •*¨*•.¸¸❤¸¸.•*¨*• |
Déposé par patou90 le 08/12/2015👄 Notre amour est resté entre des lèvres. C'est beau ce voyage posé, cette incertitude volontaire, ce flou sans déchirure ni regret. Entre des lèvres. Sur des mots silencieux et des yeux caressés je ne te vois plus, la peau est encore sensible de ce trouble et j'ai toujours mal au ventre de toi sans avoir à le dire, entre les lèvres. Carole Riquet. 👄 |
Déposé par patou90 le 07/12/2015Quand je partirai (poème hawaien) Maintenant que je suis parti, laissez-moi aller Même s'il me restait encore des choses à voir et à faire. Ma route ne s'arrête pas ici. Ne vous attachez pas à moi à travers vos larmes. Soyez heureux de toutes les années passées ensemble. Je vous ai donné mon amour, Et vous pouvez seulement deviner combien de bonheur vous m'avez apporté. Je vous remercie pour l'amour que vous m'avez témoigné Mais il est temps maintenant que je poursuive ma route. Pleurez-moi quelques temps, si pleurer il vous faut. Et ensuite, laissez votre peine se transformer en joie Car c'est pour un moment seulement que nous nous séparons Bénissez donc les souvenirs qui sont dans votre coeur. Je ne serai pas très loin, car la vie se poursuit Si vous avez besoin de moi, appelez-moi, je viendrai Même si vous ne pouvez me voir ou me toucher. Je serai près de vous. Et si vous écoutez avec votre coeur, Vous percevrez tout mon amour autour de vous dans sa douceur et sa clarté. Et puis, quand vous viendrez à votre tour par ici, Je vous accueillerai avec le sourire Et je vous dirai: « bienvenue chez nous». ❧❧❧ |
Déposé par patou90 le 06/12/2015Au début j'ai bien cru perdre ma voix, la parole et la mort sont comme deux personnes qui voudraient entrer dans une pièce en même temps et se gênent, demeurent bloquées sur le seuil, au début la mort devenait de plus en plus grande et la parole bégayait de plus en plus, ensuite j'ai compris qu'il fallait éviter comme la peste tout ce qu'on croyait savoir à ce sujet, tous les mots convenus sur la douleur et la nécessité de revenir à une vie distraite, j'ai compris que, comme pour la vie, il fallait écouter absolument personne et ne parler d'une mort que comme on parle d'un amour, avec une voix douce, avec une voix folle, en ne choisissant que des mots faibles accordés à la singularité de cette mort -là, à la douceur de cet amour-là. |
Déposé par patou90 le 04/12/2015Je n'arrive pas à faire semblant d'oublier Je n'oublie pas... Je n'aime pas le soir qui tombe, ces jours qui s'en vont. Je cherche les souvenirs... La précision des images... Il m'arrive encore de tendre la main, de te chercher, de me demander si tu vas bien, si tu as bien mangé, si tu n'es pas trop fatiguée... Mais je n'arrive plus à te toucher, tu ne surgis de nulle part, tu n'es pas là, même si je crie ton nom... |
Déposé par patou90 le 02/12/2015Quand le temps viendra… Si arrive le moment où je deviens frêle et faible Et que la douleur m’empêche de dormir Alors fais ce qui doit être fait La dernière bataille ne peut être gagnée. Tu seras triste, je comprends Mais ne laisse pas le chagrin t’arrêter. Pour ce jour, plus que tous les autres Ton amour et ton amitié doivent supporter l’épreuve. Nous avons eu tellement de belles années Tu ne voudrais pas me voir souffrir davantage. Quand le temps viendra, s’il te plait laisse-moi partir. Emmène-moi où quelqu’un prendra soin de moi Et reste avec moi jusqu’à la fin. Tiens-moi très fort et parle-moi Jusqu’à ce que mes yeux ne voient plus. Je sais qu’avec le temps tu seras d’accord Que c’est une bonté que tu m’as fait. Bien que ma queue ait remué pour la dernière fois Tu m’as sauvé de la misère et de la souffrance N’aie pas de peine Que ce soit toi qui a dû prendre cette décision Nous étions très proches pendant toutes ces années Ne te laisse surtout pas envahir par le chagrin. ...ton copain à 4 pattes, qui te remercie de lui avoir offert une si belle vie ! |
Déposé par Alouette le 27/11/2015Belle Sécotine, va voir mes toutous et mes toutounes, tu verras , ils sont sympas. <3 |
Déposé par patou90 le 25/11/2015Sécotine... 2 longs mois que nous a quittés Apprendre à ne plus parler de toi A vivre sans toi Ne pas y arriver Couler Apprendre à relever la tête Sourire Parler Travailler Ne plus laisser couler les larmes Sauf quand on est seule Penser à toi Chaque jour. 2 longs mois Une éternité... ✿˙·٠•●♥ Ƹ̵̡Ӝ̵̨̄Ʒ ♥●✿ |
Déposé par patou90 le 21/11/2015Même s'il fait mal, J'aime marcher sur le chemin de la mémoire, Juste parce que je peux t'y rencontrer ·٠•●♥ Ƹ̵̡Ӝ̵̨̄Ʒ ♥●•٠·˙˜”*°•., |
Déposé par patou90 le 18/11/2015💜💚❤💔💘💛💙 "Parce que j'ai voulu te redire Je t'aime Et que ce mot fait mal quand il est dit sans toi." L.Aragon |
Déposé par poutounou le 12/11/2015Poème de notre ou nos anges pour nous… * J’aimerais être l’ange de ton sommeil, Te protéger jusqu’au réveil. Tendrement et tout en douceur Ouvrir les portes de ton cœur. Et sans faire de bruit Entrer dans tes rêves les plus enfouis. Je garderai précieusement la clé Des plus profondes de tes pensées. Je dissiperai le brouillard Qui détruit tous les espoirs. Et lorsque tu te réveilleras Tu te souviendras de tout l’amour que j’ai pour toi. |
Déposé par patou90 le 12/11/2015Je ferme les yeux. Sur la paix de mon cœur, Je n'ai plus à chercher mon chemin. Bien sûr je te ferai mal. Bien sûr tu me feras mal. Bien sûr nous aurons mal. Mais ça, c'est la condition de l'existence. Se faire printemps, c'est prendre le risque de l'hiver. Se faire présent, c'est prendre le risque de l'absence... Et moi, c'est à mon risque de peine que je connais ma joie. Antoine de Saint Exupéry . |
Déposé par patou90 le 06/11/2015(¯`’•.¸*♫♪♥(✿◠‿◠)♥♫♪*¸.•’´¯) Plus je pense à toi et plus encore je m'aperçois Que le temps qui passe ne me guérira pas. Rien ne te remplace, je manque de toi, je meurs de toi, Et je m'aperçois que tu manques à l'espace. Patrick Fiori - Plus je pense à toi |
Déposé par patou90 le 05/11/2015Le ciel ne sera plus jamais Aussi noir qu'il n'est aujourd'hui Comme un soleil ensorcelé Tes yeux se perdent dans mes nuits On n'était pas du même monde Mais qu'est-ce que ça fait maintenant Puisque les anges et les colombes Se sont enfuis avec le vent Depuis que t'es montée là-haut Les anges n'ont jamais été plus beaux Depuis que t'es montée là-haut Ici moi je me sens toujours de trop Et je t'emmènerai Paraît que t'étais une princesse Moi je n'en ai jamais connue Juste des larmes et des détresses Et ma chanson un peu perdue Si un jour tu veux redescendre Sache que mon cur est ouvert Et qu'il saigne à n'en plus comprendre Où est l'eden où est l'enfer (paroles de Montée là haut - Damien Saez) .•♫•♬• •♬•♫•. |
Déposé par poutounou le 04/11/2015Quels sont les GROS CAILLOUX de notre vie ? * Gros cailloux * Un jour, un vieux professeur de l'Ecole Nationale d'Administration Publique (ENAP) fut engagé pour donner une formation sur la planification efficace de son temps à un groupe d'une quinzaine de dirigeants de grosses compagnies nord-américaines. Ce cours constituait l'un des cinq ateliers de leur journée de formation. Le vieux prof n'avait donc qu'une heure pour "passer sa matière". Debout, devant ce groupe d'élite (qui était prêt à noter tout ce que l'expert allait enseigner), le vieux prof les regarda un par un, lentement, puis leur dit : "Nous allons réaliser une expérience". De dessous la table qui le séparait de ses élèves, le vieux prof sortit un immense pot Mason d'un galon (pot de verre de plus de quatre litres) qu'il posa délicatement en face de lui. Ensuite, il sortit environ une douzaine de cailloux à peu près gros comme des balles de tennis et les plaça délicatement, un par un, dans le grand pot. Lorsque le pot fut rempli jusqu'au bord et qu'il fut impossible d'y ajouter un caillou de plus, il leva lentement les yeux vers ses élèves et leur demanda : "Est-ce que ce pot est plein ?". Tous répondirent : "Oui". Il attendit quelques secondes et ajouta : "Vraiment ?". Alors, il se pencha de nouveau et sortit de sous la table un récipient rempli de gravier. Avec minutie, il versa ce gravier sur les gros cailloux puis brassa légèrement le pot. Les morceaux de gravier s'infiltrèrent entre les cailloux... jusqu'au fond du pot. Le vieux prof leva à nouveau les yeux vers son auditoire et redemanda : "Est-ce que ce pot est plein ?". Cette fois, ses brillants élèves commençaient à comprendre son manège. L'un d'eux répondit : "Probablement pas ! ". "Bien ! " répondit le vieux prof. Il se pencha de nouveau et cette fois, sortit de sous la table une chaudière de sable. Avec attention, il versa le sable dans le pot. Le sable alla remplir les espaces entre les gros cailloux et le gravier. Encore une fois, il demanda : "Est-ce que ce pot est plein ?". Cette fois, sans hésiter et en choeur, les brillants élèves répondirent : "Non !". "Bien !" répondit le vieux prof. Et comme s'y attendaient ses prestigieux élèves, il prit le pichet d'eau qui était sur la table et remplit le pot jusqu'à ras bord. Le vieux prof leva alors les yeux vers son groupe et demanda "Quelle grande vérité nous démontre cette expérience ?". Pas fou, le plus audacieux des élèves, songeant au sujet de ce cours, répondit : "Cela démontre que même lorsque l'on croit que notre agenda est complètement rempli, si on le veut vraiment, on peut y ajouter plus de rendez-vous, plus de choses à faire". "Non" répondit le vieux prof. "Ce n'est pas cela. La grande vérité que nous démontre cette expérience est la suivante : si on ne met pas les gros cailloux en premier dans le pot, on ne pourra jamais les faire entrer tous, ensuite". Il y eu un profond silence, chacun prenant conscience de l'évidence de ces propos. Le vieux prof leur dit alors : "Quels sont les gros cailloux dans votre vie ?". "Votre santé ?", "Votre famille ?", "Vos ami(e)s ?", "Réaliser vos rêves ?", "Faire ce que vous aimez ?", "Apprendre ?", "Défendre une cause ?", "Relaxer ?", "Prendre le temps... ?", "Ou... toute autre chose ?". "Ce qu'il faut retenir, c'est l'importance de mettre ses GROS CAILLOUX en premier dans sa vie, sinon on risque de ne pas réussir... sa vie. Si l'on donne priorité aux peccadilles (le gravier, le sable), on remplira sa vie de peccadilles et on n'aura plus suffisamment de temps précieux à consacrer aux éléments importants de sa vie. Alors, n'oubliez pas de vous poser à vous-même la question : "Quels sont les GROS CAILLOUX dans ma vie ?" Ensuite, mettez-les en premier dans votre pot (vie)". D'un geste amical de la main, le vieux professeur salua son auditoire et lentement quitta la salle. * Anonyme |
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