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En hommage à
BOULEDOGUE-FRANCAISGeorgette
Il est né le:22/03/2011
Il nous a quittés le:02/08/2019
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245 Fleurs
568 messages
Déposé par spanky le 10/09/2022Je retiens mon souffle et je plonge soudain Dans ces eaux d’un bleu pur Les rives de mon amour-propre s’effacent Tout ce que je vois c’est toi. Je nage dans les vagues qui martèlent mon coeur Et frappent tous mes rêves Jusqu’à ce que, à bout de souffle, je reparte Sans vraiment savoir où je vais, Mais je retombe à nouveau, puis j’essaie de nager Je pousse fort avec mes deux pieds Je traverse toutes les peurs, tous les caprices Je nage vers quelque chose de doux. Je patauge à travers les vagues tumultueuses Devenant plus forte à chaque choc En franchissant toutes les épreuves de la vie Jusqu’à ce que je sente mes membres brisés. Mais je replonge dans l’amour une fois encore Je retiens mon souffle et je nage Jusqu’à ce que je puisse atteindre cette rive distante Qui me donnera la confiance. Je replonge à nouveau dans l’amour Et les eaux pure et bleues Irriguent mon coeur et ma tête Et, une fois encore, je plonge et je nage dans leur douceur D’après le poème de Sharon Frye |
Déposé par choupinou le 08/09/2022On s'en sort parce qu'on n'a pas le choix, la vie suit son cours et nous ne sommes, que quelques petits bout de bois, qui flottent au gré des courants... Nous avons été pris dans les remous des rapides, chavirés, percutés, noyés par moments mais nous flottons toujours. Agnès Ledig. (juste avant le bonheur) |
Déposé par poutounou le 07/09/2022Avec vous, nous avons ri et pleuré et notre cœur est rempli à ras bord de « parfums »… !!! * L’ardeur * Rire ou pleurer, mais que le coeur Soit plein de parfums comme un vase, Et contienne jusqu’à l’extase La force vive ou la langueur. * Avoir la douleur ou la joie, Pourvu que le coeur soit profond Comme un arbre où des ailes font Trembler le feuillage qui ploie ; * S’en aller pensant ou rêvant, Mais que le coeur donne sa sève Et que l’âme chante et se lève Comme une vague dans le vent. * Que le coeur s’éclaire ou se voile, Qu’il soit sombre ou vif tour à tour, Mais que son ombre et que son jour Aient le soleil ou les étoiles… * Anna de Noailles, Le coeur innombrable |
Déposé par spanky le 06/09/2022A vous, meilleur Ami de l’homme Votre corps, à jamais, repose en paix Mais on ne vous oubliera jamais, Grâce à ce magnifique regard qui était là Le soleil dans nos coeurs y entra. Complice d’un frôlement Avec autant d’étonnement, A quoi bon s'inquiéter d'aimer ou d'être aimé Nous avons toujours su que vous, vous nous avez aimé. Vous êtes toujours là près de nous Et, quand nous pensons à vous, Nous rions aux éclats car jamais on oublie le passé Beau, superbe, magnifique même si c’est terminé…. De nos échanges amoureux bien que virtuels L’amour reste présent et éternel, Que dire ! Rien, à part un sourire. Nous sommes là, ne pouvant nous passer de vous Vos aboiements raisonnent encore en nous, Avec vous nos soirées avaient la douceur du Miel Mais hélas vous êtes montés au Ciel. Notre plus grand bonheur à nous serait un jour de vous revoir Pour enfin apaiser notre désespoir, Et une fois de plus apprécier votre regard Vous, merveilleux Amis et rares. Le vide dans nos coeurs Recherche la chaleur, Alors de là-haut, cher « Être » De votre amour, faites nous renaître... |
Déposé par poutounou le 04/09/2022Je t’appelle et te parle avant de m’endormir, mon bel Ange * Au-delà des soupirs * Ta mort hante ma vie. Pour combler ton absence Sans cesse je remue de précieux souvenirs. Je trouve un réconfort en trompant ma souffrance Au-delà du chagrin, au-delà des soupirs. * Mes plus tendres pensées vont vers toi dès l’aurore, Je t’appelle et te parle avant de m’endormir, Et bien étrangement ta « voix » me berce encore Au-delà du chagrin, au-delà des soupirs. * Isabelle Callis-Sabot |
Déposé par spanky le 02/09/2022Avant je trouvais le ciel bleu ou nuageux, je le regardais pour m'informer du temps à venir. Mais aujourd'hui, c'est dans mon coeur que sont les nuages, dans mes yeux que sont les gouttes de pluie et dans mes pensées que nage le brouillard. Mais si je fixe un moment l'horizon, je vois alors dans le ciel transpercer ton regard qui me supplie d'avancer. Et le plus beau des soleils reflète alors sur mon visage. |
Déposé par spanky le 31/08/2022De toi, je garderai Pour toujours enfermé Tout au fond de mon cœur, Une idée du bonheur A toi je resterai A jamais attaché. Et tu seras toujours Comme au premier jour. Pour toi j’avais bravé, Contre vents et marées, La houle de la vie, Les jours parfois si gris. Avec toi je restais, Tu savais patienter Ne jamais me quitter, En boule, tu te roulais Que toi pour aboyer, Et puis t’impatienter Quand je parlais parfois A un autre que toi. Comme toi, moi j’aimais M’en aller promener Et tu te régalais De courir dans les prés. Sans toi, je ne sais plus Vraiment ce que je suis, Dans ton regard de chien Je me sentais si bien. |
Déposé par poutounou le 31/08/2022N’importe quoi ! Mais ça fait énormément de bien de rire un peu…et de dire n’importe quoi aussi !!! * Il était des petits Anges… * Il était des petits Anges, Pirouette, cacahouète. Il était des petits Anges, Qui habitaient de beaux nuages, Qui habitaient de beaux nuages. * Leurs nuages étaient en coton, Pirouette, cacahouète. Leurs nuages étaient en coton, Leurs escaliers en soie dorée, Leurs escaliers en soie dorée. * Le fleuriste y est monté, Pirouette, cacahouète. Le fleuriste y est monté, Et s’est cassé le bout du nez, Et s’est cassé le bout du nez. * Les Anges l’ont raccommodé, Pirouette, cacahouète. Les Anges l’ont raccommodé, Avec du joli fil doré, Avec du joli fil doré. * Mon histoire est terminée, Pirouette, cacahouète. Mon histoire est terminée, Toutous, toutounes, applaudissez, Toutous, toutounes, applaudissez. |
Déposé par spanky le 29/08/2022Quand le soleil me réchauffe, Je sais que c’est toi qui poses ta patte sur mon épaule Quand le vent souffle, Je sais que c’est toi qui ébouriffes mes cheveux, Quand la pluie tombe, Je sais que c’est toi qui ruisselles sur mon visage, Quand l’orage gronde, Je sais que c’est toi qui m’envoies un signe. |
Déposé par spanky le 28/08/2022Il faut laisser partir ceux qui nous ont aimés Et laisser s'en aller ceux qu'on a tant aimés. Des jours de souffrance nous t'avons épargnés, Pour toi, j'ai eu le choix : pouvoir te soulager. T'offrir comme un cadeau le sommeil éternel En laissant ton âme s'envoler vers le ciel. Une première fois je t'avais ramenée Et il fallait t'aider à monter l'escalier, A peine tu marchais déjà tu t'essoufflais Mais au delà de ça toujours tu me suivais. Tes yeux presque aveugles, bleutés, embués… Ton souffle s'épuisait, tes pattes fléchissaient. Tu écoutais le chant des oiseaux le matin, Et les chats partageaient avec toi ton coussin. Ta truffe dans le vent, tu humais les odeurs... Des choses t'échappaient mais tu n'avais pas peur. Tu semblais résigner à vivre diminuée Avec sagesse tu paraissais accepter Ces changements troublants sans comprendre vraiment Que les années passaient et que le facteur temps Poursuivait son chemin inexorablement. Mais la deuxième fois est trop vite arrivée Et nous avons tout fait pour tenter de gagner Encore quelques jours, pourquoi pas une année... Le moment redouté : le verdict est tombé. Il faut un peu de temps pour accepter l'idée Et faire quelques pas pour bien se préparer. Mais te voir trébucher, la tête de côté... Il faut se résigner. Alors que je pleurais De ton regard d'humain toi tu me consolais... Dans mes bras doucement toi tu t'es endormie... Blottie tout contre moi tu as quitté la vie Je suis restée longtemps à pleurer près de toi, Tu resteras en vie pour toujours avec moi... |
Déposé par poutounou le 28/08/2022Ou deviens ange parmi les anges, tout là-haut, derrière les nuages… * Prière indienne * Si un jour tu as perdu ton équilibre, que tu es dans le doute, trouve une forêt, cherche un tapis d’herbe ou de mousse, allonge-toi dessus, ferme les yeux, vide tes pensées, respire l’odeur de la terre, écoute la vie, adapte ta respiration aux battements de ton cœur, ressens les moindres recoins de ton corps et relâche un à un les muscles et les nerfs raidis par le temps. * Deviens oiseau au son du vent, deviens arbre parmi les arbres, deviens le vent qui bruisse dans le feuillage, deviens le cerf qui t’observe et que tu n’avais pas vu, deviens fleur, deviens ruisseau, écoute le chant des ancêtres… |
Déposé par spanky le 25/08/2022Une étoile est née Le jour de ton départ, Une nouvelle étoile est apparue dans le firmament, Elle brille de tout son éclat Pour éclairer notre route dans la noirceur de la peine. Elle éclaire notre vie De toute la brillance de son amour pour nous, Elle rayonne de toute sa ferveur Et nous indique la route à suivre. Elle nous donne l’espoir D’un juste retour et d’une nouvelle union. Elle symbolise l’AMOUR éternel. |
Déposé par poutounou le 24/08/2022Un papier, un crayon et c’est parti… * Avez-vous déjà envoyé une lettre au père Noël, quand vous étiez enfant, en espérant qu’il vous apporte des jouets par milliers ? Avez-vous déjà écrit dans votre journal intime toute votre tristesse et votre désespoir ? Avez-vous déjà écrit et jeté à la mer un message dans une bouteille vide, en espérant qu’il soit lu un jour ? Avez-vous déjà écrit une lettre d’amour anonyme à votre amour secret pour lui dire que vous l’aimez ? Avez-vous déjà écrit un poème à votre ange gardien ? Comme ça, juste pour voir l’effet que cela vous fait, un papier, un crayon, par envie, ou par curiosité. On l’oublie souvent et pourtant… L’ange est là, en train de nous regarder. Alors voici un poème que je t’écris ange, mon gardien, pour te remercier. * Poème à mon ange, un été * "Dis-moi une phrase ou un mot Parle-moi des nuages ou des eaux Le soir avant de m’endormir Chante-moi tes mots doux à l’oreille car ils apaisent mes pensées Dis-moi les histoires d’amour que le Seigneur t’a racontées Eclaire avec ton cœur mes nuits sombres Pour que même ton ombre m’aide à retrouver la paix Tu me dessines de façon subtil car toi seul sais Et lorsque tu caresses mes mains, mes cheveux Alors je sais que je suis en sécurité J’entends, j’ai entendu, je t’aime ! que ta douce voix m’a chuchoté Tu es la plus belle preuve d’amour, même dans mes tourments tu sais comment m’aimer" * L’ange est là, en train de nous regarder, de nous guider, de nous protéger, de nous aimer. * Nadia Lalaoui |
Déposé par spanky le 22/08/2022A toi mon ange qui n’est plus là, Mais que je sens si près de moi. Je t’offre ces quelques lignes, elles sont pour toi, Emporte-les dans ce pays où l’on dit que la vie est belle... Emporte-les, mon ange je te les donne, Prends bien soin d’elles, c’est mon cœur qui te parle. Nous avions bien plus que de l’amour à partager, Tu étais tout pour moi. Ce n’est pas de ta faute si tu as rejoint le Paradis, Moi, j'aurais voulu partir avec toi, Car je me sens tellement seule ici. Si seule sans toi mon ange. Il ne me reste que mes larmes pour me tenir compagnie. Ma vie n'a plus de sens depuis que tu n'es plus là. Mais ce que je sais, c'est qu'un jour, lorsque mon heure sera venue, Nous serons de nouveau réunis Et que je te retrouverai avec tout ton amour, Et ce pour l'éternité. |
Déposé par poutounou le 21/08/2022Et lorsque je suis las, je me laisse endormir et je rêve de toi mon doux cœur… !!! * Quel beau programme ! * FARNIENTE * Quand je n’ai rien à faire, et qu’à peine un nuage Dans les champs bleus du ciel, flocon de laine, nage, J’aime à m’écouter vivre, et, libre de soucis, Loin des chemins poudreux, à demeurer assis * Sur un moelleux tapis de fougère et de mousse, Au bord des bois touffus où la chaleur s’émousse. Là, pour tuer le temps, j’observe la fourmi Qui, pensant au retour de l’hiver ennemi, Pour son grenier dérobe un grain d’orge à la gerbe, Le puceron qui grimpe et se pend au brin d’herbe, La chenille traînant ses anneaux veloutés, La limace baveuse aux sillons argentés, Et le frais papillon qui de fleurs en fleurs vole. Ensuite je regarde, amusement frivole, La lumière brisant dans chacun de mes cils, Palissade opposée à ses rayons subtils, Les sept couleurs du prisme, ou le duvet qui flotte En l’air, comme sur l’onde un vaisseau sans pilote ; Et lorsque je suis las, je me laisse endormir, Au murmure de l’eau qu’un caillou fait gémir, Ou j’écoute chanter près de moi la fauvette, Et là-haut dans l’azur gazouiller l’alouette. * Théophile Gautier, Premières Poésies |
Déposé par spanky le 20/08/2022JE TE VOIS ... Tu es sur le nuage qui passe Tu es dans le bleu du ciel Tu es l'eau, le feu, la glace Je te vois dans la pluie qui tombe Je t'entends dans le souffle du vent Tu es papillon et colombe Tu es sur la feuille d'automne De l'été, tu es le soleil Tu es l'hiver quand il tonne Je te vois dans chaque visage Je t'entends à chaque bruit de pas Tu es le son, tu es l'image Tu es partout, ici et là.......... |
Déposé par choupinou le 19/08/2022je suis en livraison, et je me dois de m'arrêter chez toi, sur ton petit nuage blanc, belle amie, pour y déposer des bisous tout doux, et pour te faire un petit coucou. Je suis la mésange de l'amour qui va et vient, et je livre de la la part d'une gentille maman qui pense souvent a toi, petite camarade de ses amours |
Déposé par poutounou le 17/08/2022« Le plus lourd fardeau, c'est d'exister sans vivre... » Avec tout l'amour que nous leur donnons et que nous rendent nos Anges, nous existons et nous vivons pleinement...!!! * Ceux qui vivent, ce sont ceux qui luttent (extrait) * Ceux qui vivent, ce sont ceux qui luttent ; Ce sont ceux dont un dessein ferme emplit l'âme et le front. Ceux qui d'un haut destin gravissent l'âpre cime. Ceux qui marchent pensifs, épris d'un but sublime. Ayant devant les yeux sans cesse, nuit et jour, Ou quelque saint labeur ou quelque grand amour. C'est le prophète saint prosterné devant l'arche, C'est le travailleur, pâtre, ouvrier, patriarche. Ceux dont le coeur est bon, ceux dont les jours sont pleins. Ceux-là vivent, Seigneur ! les autres, je les plains. Car de son vague ennui le néant les enivre, Car le plus lourd fardeau, c'est d'exister sans vivre. Inutiles, épars, ils traînent ici-bas Le sombre accablement d'être en ne pensant pas. * Victor Hugo ("Les Châtiments" - 1844) |
Déposé par poutounou le 14/08/2022Un Paradis où « l'infini flotte dans l'éternel », comme le Paradis blanc de nos Anges !!! * Savez-vous pas... * Savez-vous pas quelque douce retraite, Au fond des bois, un lac au flot vermeil, Où des palmiers la grande feuille arrête Les bruits du monde et les traits du soleil - Oh ! je voudrais, loin de nos vieilles villes, Par la savane aux ondoyants cheveux, Suivre, en rêvant, les écureuils agiles, Et voir sauter, sur les branches mobiles, L'ara de pourpre et les bengalis bleus ! * Savez-vous pas, sur les plages lointaines Où n'ont jamais passé les matelots, Une île heureuse aux suaves haleines, Bouquet de fleurs effeuillé sur les flots ? - Oh ! je voudrais, seul avec ma pensée, Jetant au vent la poussière des jours, Sentir mon âme aux vagues balancée, Et m'endormir sur l'onde cadencée Comme un enfant que l'on berce toujours ! * Savez-vous pas, loin de la froide terre, Là-haut ! là-haut ! dans les plis du ciel bleu, Un astre d'or, un monde solitaire Roulant en paix sous le souffle de Dieu ? - Oh ! je voudrais une planète blonde, Des cieux nouveaux, d'étranges régions, Où l'on entend, ainsi qu'un vent sur l'onde, Glisser la nuit, sous la voûte profonde, Le char brillant de constellations ! * Où fuir ? où fuir ? Par les routes humaines Le sable est dur et le soleil est lourd. Ma bouche ardente a tari les fontaines Et l'arbre est mort où j'ai cueilli l'amour. - Oh ! je voudrais, loin du temps et des choses, Débarrassé de tout lien charnel, Courir joyeux dans les métamorphoses, Puis me plonger à la source des causes, Où l'Infini flotte dans l'Éternel ! * Louis BOUILHET (1822-1869) |
Déposé par poutounou le 10/08/2022« Paradis où le coeur donne ses rendez-vous... » * Le sommeil * Les perdus, les absents, les morts que fait la vie, Ces fantômes d'un jour si longuement pleurés, Reparaissent en rêve avec leur voix amie, Le piège étincelant des regards adorés. * Les amours prisonniers prennent tous leur volée, La nuit tient la revanche éclatante du jour. L'aveu brûle la lèvre un moment descellée. Après le dur réel, l'idéal a son tour ! * Ô vie en plein azur que le sommeil ramène, Paradis où le coeur donne ses rendez-vous, N'es-tu pas à ton heure une autre vie humaine, Aussi vraie, aussi sûre, aussi palpable en nous, * Une vie invisible aussi pleine et vibrante Que la visible vie où s'étouffent nos jours, Cette vie incomplète, inassouvie, errante, S'ouvrant sur l'infini, nous décevant toujours ? * Augustine-Malvina BLANCHECOTTE (1830-1895) |
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