|
|
|
|
||||||
Please login to use private mails, adress book and favorite |
20 persons like this page |
Log in to leave flowers, candles and messages |
You are not logged in |
In tribute to
Roucky
Born on :16/07/2000
left us on:24/06/2014
35 candles
|
3465 Flowers
2400 messages
left by rafia on 04/06/2015J'ai adopté votre chien, aujourd'hui ... J'ai adopté votre chien, aujourd'hui ... Celui que vous avez laissé au refuge Celui que vous avez eu pendant 10 ans Et que vous ne vouliez plus garder. J'ai adopté votre chien, aujourd'hui ... Saviez-vous qu'il avait perdu du poids ? Saviez-vous qu'il était effrayé et déprimé ? Et qu'il semblait avoir perdu toute confiance ? J'ai adopté votre chien, aujourd'hui ... Il avait des puces et avait un peu froid Je suppose qu'il vous importe peu de savoir dans quel état il est ? On m'a dit que vous l'aviez abandonné. J'ai adopté votre chien, aujourd'hui ... Avez-vous eu un bébé, ou avez-vous déménagé ? Avez-vous d'un coup, développé des allergies ? Ou n'y avait-il AUCUNE raison pour qu'il ne puisse rester avec vous ? J'ai adopté votre chien, aujourd'hui ... Il ne joue pas et mange à peine Je crois qu'il est très triste Et ça prendra du temps avant qu'il ne reprenne confiance. J'ai adopté votre chien, aujourd'hui ... Et ici, il sera aimé Il a trouvé sa famille POUR TOUJOURS Et un lit chaud, où se reposer. J'ai adopté votre chien, aujourd'hui ... Et je vais lui donner tout ce dont il a besoin - Patience, amour et sécurité. Et il pourra oublier votre égoïsme. Auteur inconnu |
left by Galinette3 on 03/06/2015 L'homme et son chien Un homme et son chien marchaient le long d'une route. L'homme admirait le paysage, quand tout à coup il réalisa qu'il était mort. Il se rappela sa mort... et réalisa que son chien aussi, était mort depuis des années. Il se demandait où le chemin les amènerait. Après un moment, ils approchèrent d'une grosse roche blanche. Elle ressemblait à une bille. En s'avançant, il s'aperçut qu'elle était fendue et une lumière en jaillit. Quand il s'approcha, il vit une route en or pur et une magnifique entrée toute scintillante. L'homme et son chien marchèrent jusqu'à la porte, et comme ils approchaient, l'homme vit un autre homme assis à une table. Quand il fut assez proche, il demanda à l'homme : - Où sommes-nous ? - Vous êtes au Paradis, monsieur. - Est-ce que vous auriez de l'eau ? - Certainement, entrez, je vais vous faire venir de l'eau froide dans un instant. L'homme fit quelques gestes et la porte s'ouvrit. - Est-ce que mon chien peut entrer ? demandant l'homme en pointant le chien. - Désolé, monsieur, mais nous n'acceptons pas les animaux, L'homme réfléchit et décida de reprendre le chemin. Après une longue marche, au sommet d'une colline, il croisa une route de terre qui menait à une porte de grange. Il n'y avait pas de clôture. Alors qu'il s'approchait, il vit un homme adossé à un arbre qui lisait un livre : - Excusez-moi, monsieur, est-ce que vous avez de l'eau ? - Bien sûr, il y a une pompe un peu plus loin. Il fit un geste, mais on ne voyait rien. - Entrez dans la grange, vous la découvrirez facilement. - Est-ce que mon ami peut venir ? - Bien sûr, il y a même un bol pour lui près de la pompe. Ils traversèrent la porte et trouvèrent la vieille pompe avec un bol à côté. L'homme remplit le bol, prit une gorgée et donna le reste à son chien. Quand ils eurent fini, ils retournèrent voir l'homme qui était toujours près de l'arbre. - Comment appelez-vous cet endroit ? - Mais c'est le ... Paradis ! - C'est troublant. L'homme que nous avons rencontré tout à l'heure, m'a dit la même chose . - Ah ... vous parlez du chemin en or et de la porte en perles ? Non, là-bas, c'est l'enfer. - Mais.. comment dire ? ça ne vous fâche pas qu'ils utilisent votre nom comme ça et qu'ils trompent les gens ? - Non, absolument pas ! mais je comprends que vous me posiez la question. À vrai dire, nous sommes contents qu'ils éliminent les gens qui laissent leurs amis derrière. L'auteur ne m'est pas connu |
left by poutounou on 02/06/2015C’est tellement vrai ! * La bonté * Vivre en soi, ce n'est rien ; il faut vivre en autrui. * A qui puis-je être utile et agréable, aujourd'hui ? Voilà, chaque matin, ce qu'il faudrait se dire. Et, le soir, quand des cieux la clarté se retire, heureux à qui son coeur tout bas a répondu : "Ce jour qui va finir, je ne l'ai pas perdu. Grâce à mes soins, j'ai vu, sur une face humaine, la trace d'un plaisir ou l'oubli d'une peine". * Anonyme |
left by choupinou on 02/06/2015je t'envoie dans le ciel des ballons d'amour, pour tous c'est instants d'amour et de bonheur passés ils vous donneront chaque jour,chaque heures,chaque seconde, ma reconnaissance,mon amour inconditionnel,mes caresses,mes bisous. je t'envoie dans le ciel des ballons d'amour, ils sont remplient de tendresse,de câlins,a l'infini je t'envoie dans le ciel des ballons d'amour, a l'intérieur,des fleurs ,aux douces senteurs,et regarde bien, parmi elle s'en cache une,un ruban autour de la tige,porte mon odeur. que c'est beaux ballons déversent une pluie de pétales de roses dans le jardin de ta nouvelle vie,qu'ils arrosent de lumière ton petit coeur de mon amour a jamais ,car pour toi mon beau ROUCKY ,il sera immortel.... MAMAN de quand tu étais petit a qui tu manques tant,je t'aime., |
left by poutounou on 29/05/2015Message d’un « être humain » pour lequel j’avais beaucoup d’estime… * Le secret du bonheur... * Vous valez ce que vaut votre coeur. Toute l'histoire de l'humanité est l'histoire du besoin d'aimer et d'être aimé. ... * Quel que soit l'usage qu'en font les humains, le coeur (symbole de l'amitié et de l'amour) a aussi ses normes, son éthique. Faire place au coeur dans la construction harmonieuse de votre personnalité n'a rien à voir avec la sensiblerie ni même la sentimentalité. Le coeur, c'est l'ouverture de tout l'être à l'existence des autres, la capacité de les deviner, de les comprendre. * Une telle sensibilité, vraie et profonde, rend vulnérable. C'est pourquoi certains sont tentés de s'en défaire en se durcissant. * Aimer, c'est donc essentiellement se donner aux autres. Loin d'être une inclination instinctive, l'amour est une décision consciente de la volonté d'aller vers les autres. Pour pouvoir aimer en vérité, il faut se détacher de bien des choses et surtout de soi, donner gratuitement, aimer jusqu'au bout. Cette dépossession de soi (oeuvre de longue haleine) est épuisante et exaltante. Elle est source d'équilibre. Elle est le secret du bonheur. * Jean-Paul II, Extrait du Message aux jeunes de France, Paris, 1980 |
left by poutounou on 25/05/2015L'écho * Rôdant, triste et solitaire Dans la forêt du mystère, J’ai crié le coeur très las : - « La vie est triste ici-bas ! » L’Écho m’a répondu : « Bah ! » – « Écho, la vie est méchante ! » Et, d’une voix bien touchante, L’Écho m’a répondu : « Chante ! » – « Écho, Écho des grands bois, Lourde, trop lourde est ma croix ! » L’Écho m’a répondu : « Crois ! » – « La haine en moi va germer, Dois-je rire ou blasphémer ? » Et l’Écho m’a dit : « Aimer ! » Comme l’Écho des grands bois M’a conseillé de le faire : J’aime, je chante et je crois ! Et je suis heureux sur terre ! * Théodore Botrel (1868-1925) |
left by goulou50 on 23/05/2015A toi Toi qui es parti Dans un autre univers, Toi qui es parti, Au paradis Tu me manques tellement, J'aimerais te revoir, Tu es si loin à présent, Tu m'as donné tant de bonheur Tu es aujourd'hui au ciel, J'aimerais retrouver ton odeur, Je voudrais des ailes Pour retrouver mon bonheur. Tu me manques tellement, J'aimerais te revoir, Mais tu es si loin à présent,je voudrais être une petite coccinelle pour pouvoir voler tous là haut et me poser sur toi pour ne plus te quitter. Sache que je t'aime,rien ne changera Pour toi et ta petite maman |
left by Biscuit on 22/05/2015e bonheur d'avoir un chien... Le chien est, et a toujours été mon ami, et il le restera jusqu’à la fin de ma vie, c’est ainsi, cela ne s’explique pas, cette communion est inscrite dans mes gênes, dans ceux de ma famille, je le connais depuis l’enfance, il a partagé ma vie depuis et chaque jour, il me surprend encore. Chaque matin, les possesseurs d’animaux de toute la planète éprouvent un égal bonheur au réveil, on devrait en dire autant des humains entre eux, pourtant, qui ne connaît pas de parents grognons au réveil, des ours des cavernes qui ont du mal à sortir du sommeil, émergeant d’une hibernation forcée, ils sont nombreux les humains à avoir mauvais caractère pour des raisons qui, souvent, nous échappent, mais si certains humains sont désagréables, il n’en va pas de même pour nos animaux domestiques. Ainsi, tous les possesseurs d’animaux domestiques, de ces compagnons fidèles à l’amitié, à l’amour indéfectible, s’entendent universellement pour exprimer leur joie de se sentir aimés, appréciés par leurs compagnons à quatre pattes. Laissez-moi expliquer, pour ceux qui ne connaissent pas ce bonheur, de quoi il s’agit : - Je vous parle du chien, car c’est celui que je connais le mieux ; quelle que soit votre humeur matinale, votre chien, sera systématiquement ravi de vous retrouver, soit il vous salue au saut du lit, le visage lisse, la queue en balancier battant la cadence, soit il vient directement vous rejoindre tout en sachant que le lit lui est interdit, mais les retrouvailles sont un moment exceptionnel qui mérite toutes les tolérances, surtout si le chien en question n’a que faire de l’autorité, cela concerne particulièrement les terriers, têtus, coriaces, insupportables avec leurs congénères, mais si fidèles, si amoureux de leurs maîtres que cela en devient émouvant. Ainsi, le voilà qui s’approche furtivement le rebelle, une patte après l’autre pour atteindre le corps de l’humain endormi, puis, de sa truffe humide, il cherche le visage du maître adoré qu’il commence à lécher amoureusement, le réflexe humain veut que l’on repousse le compagnon velu qui se blottit alors contre le corps de son maître et qui l’accompagne, comme une bouillotte bienfaisante, pour quelques minutes d’un précieux, mais bref sommeil partagé. Il y a également le chien qui salue vite fait en posant sa truffe humide sur la joue du maître, puis il se pose en bout du lit afin de veiller sur celui-ci comme un gardien du temple ; gare à celui qui s’approche, le chien protège son maître, c’est sa mission, celle qu’il s’est attribuée. Il arrive parfois que l’humain se lève avant le chien, il retrouve son animal qui dort encore sur sa couche ; à son arrivée, le chien, les yeux encore embrumés de sommeil, bat le fouet qui résonne sur le coussin, il lance en direction de son maître un regard d’une telle profondeur qu’il est difficile de réfréner une émotion profonde et bouleversante ; un langage inaudible, un lien unique relie l’homme et la bête, le chien est heureux, son visage lisse, les oreilles couchées, montre combien il aime son ami, son maître, il glisse alors sur le dos et lui offre son ventre à caresser, signe de la plus intime soumission, signe de son respect et de son amour. En offrant ainsi son ventre, il s’offre en sacrifice, et dit à son maître : - Je suis tiens, fais de moi ce que tu veux. Si le maître était un loup, il saisirait la gorge de son animal soumis dans sa gueule, pour exercer une simple pression, puis il se dirigerait vers ses parties intimes pour faire de même et indiquer combien il est son maître, nous, les humains, nous dominons les chiens, nous caressons nos compagnons en les couvrant de baisers. Les chiens n’aiment pas les baisers, ils ne les comprennent pas, mais ils les acceptent en se disant que c’est un fonctionnement de maître d’homme. En revanche, si l’humain offrait sa langue à son chien, comme il doit le faire avec le loup, celui-ci répondrait favorablement à cette caresse linguale par une autre identique, c’est le langage des chiens, celui qu’ils comprennent vraiment, mais les hommes ne sont pas des chiens avec leurs chiens, ils sont justes des loups avec les hommes. Chaque matin, je suis émerveillé par le bonheur qu’éprouve mon chien à me voir et je me dis que si les humains étaient aussi heureux de voir leurs prochains, le monde s’en porterait mieux. Bien sûr, il y a des inimités chez les chiens, certains même se détestent cordialement et sont prêts à se livrer un combat à mort, mais c’est assez rare. Chez les humains au contraire, c’est plutôt fréquent et cela se mesure à l’échelle du génocide, ce que jamais ne feraient les chiens. Le chien, ne tue pas gratuitement, il n’a pas cette perversion, il tue pour se défendre et par instinct, mais dans la nature, jamais un chien ne s’attaquerait gratuitement à un humain, pas plus que le loup, l’ours ou n’importe quel prédateur de nos contrées. Notre chien domestique a développé depuis des milliers d’années, une soumission totale aux humains, pourquoi, nul ne le sait, parfois pour notre bonheur, parfois, pour son malheur à lui. Il est comme un enfant qui ne comprend pas que l’homme puisse le faire souffrir, lui faire du mal ou même le tuer. Le chien que nous considérons comme un animal est certainement plus humain que l’homme dans de nombreuses situations, en tous les cas, il reste un animal que les hommes ne comprennent pas systématiquement, trop orgueilleux pour croire qu’ils parlent avec le chien, le même langage. Il m’est arrivé de fréquenter des aveugles avec leur chien, j’ai été surpris de constater la personnalité duelle de l’humain qui a perdu l’usage de la vue, il est avec son chien, à la fois plein d’amour, et parfois, il peut se montrer d’une profonde méchanceté avec son compagnon qui est soumis à tous ses désirs d’homme. Hier encore, je saluai un SDF qui avait attaché son chien à son sac à dos qui trainait sur le sol, c’était un brave animal, croisé de ci et de ça, un peu labrador, un peu berger, ce n’était pas un chien de race, mais il était tout de même de bonne race, toujours gentil avec son maître déjà ivre à 16h, pour supporter le froid de l’hiver et qui donnait de violents coups de tatanes dans le sac pour que le chien se tienne tranquille, alors que l’animal essayait simplement de trouver une place dessus, pour ne pas demeurer sur le béton froid et humide. Je gage que ce chien au réveil de son maître lui apporte au quotidien l’amour dont il manque en le saluant avec joie, comme mon chien me salue et je gage que cet amour est oublié dès que l’alcool embrume son cerveau. Mon chien, est toujours de bonne humeur et cela me bouleverse au quotidien, de me dire qu’un être sur cette terre manifeste son amour de moi de la sorte, c’est un bonheur rare que je souhaite à tous et que les propriétaires de chien connaissent bien. Nous approchons des fêtes de Noël, une période de joie et de petits bonheurs pour certains, de tristesse, pour d’autres. Il est possible que des parents, des conjoints décident d’offrir un être vivant, un chien, un chat à un enfant, à un amoureux, une amoureuse, je souhaiterais rappeler que nos amis à quatre pattes, sont des êtres vivants, et pas des jouets ou des peluches, qu’ils ont comme nous, des besoins, qu’ils nécessitent toute notre attention quotidienne et qu’ils ne supportent pas la solitude, ils peuvent la supporter, mais avec leur maître ; chaque race de chien a, d'ailleurs, sa spécificité, ainsi, on ne conseillera pas à une personne âgée de prendre un chien trop puissant qu’elle ne pourrait maîtriser, il y a des chiens de travail, d’agrément, des chiens fait pour la course, il y a un chien pour chaque besoin, il faut juste choisir le bon pour vivre en harmonie avec son compagnon. Un chien est comme un enfant, c’est une responsabilité que l’on a envers lui et envers soi-même. On promène son enfant pour l’aérer, pour lui permettre de se sociabiliser, et bien pour le chien, il en va de même et il ne faut pas oublier cette réalité pour ne pas rendre nos amis à quatre pattes malades ou fous. Nous ne souhaiterions pas rendre nos enfants malades et nous faisons tout pour les empêcher de souffrir, alors, ne faisons pas souffrir nos animaux de compagnie et apprenons à les respecter. Il y a, dans les refuges, tant de chiens et de chats qui attendent d’être adoptés, aimés, il y a des chiens magnifiques, d’autres moins beaux, mais que nous importe, tant que l’animal que l’on adopte nous convient, il se pliera à notre caractère, il apprendra à nous connaître, comme nous apprendrons à le connaître. J’ai trouvé mon chien dans un refuge, il avait été abandonné à 8 mois parce qu’il faisait tomber les enfants et qu’il aboyait, c’est sûr, un chien qui aboie, ce n’est pas normal, c’est comme un humain qui parle. J’ignore si la raison indiquée justifia cet abandon, ce que je sais, c’est que celui qui est aujourd’hui mon chien a été battu, qu’il déteste les "joggeurs" et les cyclistes et qu’il se méfie des jeunes hommes, je crois, qu’il en garde un mauvais souvenir. Je sais, je perçois sa peur d'être abandonné, je la comprends, mais je n'ai jamais abandonné un de mes chiens, je perçois également son attachement, son imprégnation et la grandeur de l'âme des chiens qui est émouvante au plus haut point. Je ne bats jamais mon chien, je n’en vois pas l’utilité, il sait quand il fait une bêtise, je hausse la voix, il baisse les oreilles, il est assis devant moi, plongeant son regard dans le mien, comme pour me présenter ses excuses, il attend la fin de mon discours composé de mots et de mimiques faciales, puis, il pose ses pattes sur ma poitrine, s’étire de tout son long, j’entends ses os craquer, c'est son exercice de yoga « quotichien », il est tellement touchant, alors je luis dis que je l’aime - on ne dit pas assez souvent aux gens que l'on aime ces mots magiques - et je le caresse, puis il vaque à ses occupations, et moi aux miennes. C’est mon ami plus que mon chien, mais je suis censé être son maître, c'est un ami fidèle qui jamais ne se plaint et qui m’apporte sa joie et son bonheur de vivre. Mon devoir est de veiller sur lui et d'être attentif à ses douleurs. La semaine dernière, il n'était pas bien, il me le fit comprendre en allant se coucher très tôt, en vomissant quelques fois. RDV fut pris chez le vétérinaire, il avait une pyroplasmose (maladie des tiques), heureusement, il a été sauvé, j'ai déjà perdu des chiens, c'est un drame insupportable dont on ne se remet jamais, je suis incapable de regarder une photo de ma chienne Lucille décédée dans mes bras, ma pauvre amie, trop âgée, pour lutter, enfin, ceux qui ont des animaux me comprennent. Ainsi, nous devons considérer nos chiens comme nos amis et savourer le privilège d’être aimé d’eux et ne jamais en faire nos esclaves. Je souhaiterais ajouter ceci, lorsqu’un chien appartient à une famille, il a déclenché un mécanisme dit « d’imprégnation » qui le rend dépendant à jamais de chaque membre de cette famille, il lui APPARTIENT véritablement, c’est un peu comme si le sang de son, de ses propriétaires coulait désormais dans ses veines ; le fait de l’abandonner, provoque un véritable traumatisme psychologique ressenti en profondeur par l’animal, à l’égal de celui d’un amoureux transi subitement abandonné par son amoureuse. Si légalement les peines de justice sont ridicules pour un abandon de chien, il faut comprendre que la douleur provoquée par ce traumatisme est intense, c’est comme une brulure à cœur ouvert, chacun doit comprendre ce qu’abandonner son chien veut dire, c’est comme d’abandonner un enfant, le crime est le même. Il faut être capable de ressentir cette déchirure vécue par le chien, c’est le drame d’une vie et ceux qui abandonnent leur chien au bord des routes, sur l’autoroute pour être certains qu’il se fasse écraser, dans la nature, ceux-là sont indignes d’amour et de sensibilité, et ils se comporteront aussi mal avec les êtres humains. Ainsi, « pour se débarrasser de son chien ont dit qu’il a la rage », oui c’est vrai, mais c’est inacceptable. Hier encore, on ignore pourquoi, un habitant de Cahors crevait les yeux de son chien, mais quelle folie est-ce là ? Pourquoi tant de cruauté, était-ce une façon d’impliquer sa supériorité sur celle de son animal ? Le monstre a écopé de deux mois de prison ferme, et le chien est désormais aveugle, pourquoi les êtres humains éprouvent-ils le besoin d’être aussi cruels avec ces êtres remarquables, et avec les autres ? On ne cesse de nous rabâcher les oreilles sur la supériorité des êtres humains sur le monde animal, mais où est leur supériorité dans ce cas ? Le monstre d'homme s’entraine sur son chien, et après, il le fera sur ses voisins, ses collègues, les enfants... ? Ne prenez pas de chien pour le laisser seuls dans votre maison ou dans votre appartement, ne prenez pas de chien si vous n’êtes pas disposés à vous en occuper, ne le frappez pas, ne criez pas inutilement, il comprend fort bien avec des gestes ce que vous avez à lui dire ; si vous êtes souffrant et si vous avez besoin de marcher pour aller mieux, prenez un chien, ce sera un merveilleux compagnon de route, Si vous êtes seul, sans ami, prenez un chien, c’est la meilleur façon de faire des rencontres et de partager votre solitude avec un compagnon qui sera toujours d’accord et fidèle à vous. Il y a mille raisons d’aimer un chien et cent mille pour ne pas en prendre, faites le bon choix pour vous, mais également pour lui. |
left by rafia on 21/05/2015Chien de refuge Lorsque je t’ai connu, Ton cœur et ton âme étaient nus. Le désespoir se lisait dans ton regard Un regard aussi terne, aussi triste que hagard Même des promenades tu n’avais plus envie. En toi on ne sentait plus la force ni l’envie de vivre. Il fallait presque te porter pour aller dans le parc, Pas même le courage de tenir sur tes quatre pattes Et puis cette soudaine maladie, Qui nous a fait craindre le pire, La peur qui nous prenait aux tripes, Cette peur de te voir pour toujours partir. Et grâce à un appel au secours Enfin ça été le grand jour Ils étaient là, tout près, mais ne le savaient pas. Alors ils t’ont tendu les bras, ils n’attendaient que toi. Ils ont su te choyer, ils ont su te soigner. Ils ont tout fait pour que tu te sentes aimé, Pour te redonner le goût de vivre Et te faire oublier tous tes soucis. A des maîtres responsables et aimants On ne peut que tirer notre révérence. Des maîtres forts, dignes de confiance Que l’on aimerait, pour chaque poilu, comme modèle de référence Auteur inconnu |
left by poutounou on 21/05/2015Une jolie petite histoire « vraie »… * Le petit garçon et les étoiles de mer * Pendant mes dernières vacances, au bord de la mer, un matin en arrivant sur la plage, j'ai découvert des milliers d'étoiles de mer qui s'étaient échouées dans la nuit. J'étais complètement estomaqué par ce spectacle quand je vois un petit garçon au bord de la mer qui prend une étoile de mer entre ses deux doigts et la rejette à la mer. Pendant que je m'approche, il continue sa tâche en essayant de lancer les étoiles de mer le plus loin possible dans la mer. Arrivé près de lui, je le félicite pour ce qu'il a entrepris, mais je lui fais remarquer que c'est une tâche impossible : * - Même si tu continues tout le temps à les rejeter, une par une, à la mer, compte tenu des milliers et des milliers d'étoiles de mer qui se sont échouées, à la fin de la journée, on ne verra pas beaucoup la différence sur la plage. * A ce moment là, le jeune garçon, qui venait de prendre délicatement une étoile de mer, s'est redressé, il m'a regardé droit dans les yeux et avec un grand sourire, il m'a dit : - D'accord, peut-être que ça ne changera pas beaucoup de choses sur la plage, mais, pour cette étoile de mer là, ça fait une sacrée différence. * C’est pareil pour un chien qu’on sort d’un refuge. Il y aura toujours plein de chiens dans les refuges, mais pour celui qu’on aura sorti de là, la vie ne sera plus la même ; pour lui ça fera une sacrée différence…. Si Dieu me prête vie, le prochain chien que je prendrai viendra d’un refuge. |
left by Galinette3 on 19/05/2015LE PARADIS DE NOS ANGES Regardez. Mais regardez donc là-haut. Que voyez vous ? Ne le voyez vous pas, ce paradis de nos chers animaux ? Là, au dessus de ce nuage où la forme est un chien. Et à côté de celui-ci, où la forme est un chat. Il est là ce paradis. Et puis, si votre regartd se tourne vers la droite, Il y a le coin des rongeurs. Regardez. Mais regardez donc. Laissez aller maintenant votre regard vers la gauche. Là, est le coin des chevaux, des ânes. Vous le voyez, n'est ce pas? Dans le ciel si bleu, au-dessus de nos têtes, Ils sont là. Ils vivent ailleurs, en pleine santé, Dans de grands prés verts bien fleuris, Où coule la source du paradis. Et quand vient la nuit, Ils allument pour nous les étoiles, Afin que nous ayons nous aussi, Cette lumière qui les entoure. Le paradis des animaux, il est là. Vous le voyez, n'est ce pas? |
left by poutounou on 17/05/2015Le manifeste de la gentillesse * Face à l'indifférence, au manque de respect et au cynisme, nous possédons sans le savoir l'arme la plus efficace qui soit : notre coeur. La gentillesse n'est pas un renoncement, une démission ou une soumission, c'est un choix traduit par des petits gestes qui rendent la vie plus agréable. La gentillesse est une intelligence et elle est contagieuse. Agissons ensemble chaque jour pour un monde plus humain. * POUR En finir avec le chacun pour soi Refuser le cynisme ambiant Déjouer l'agressivité quotidienne Dire non à l'indifférence Choisir d'être plus attentif aux autres Mettre de l'harmonie dans mes relations Etre altruiste et bienveillant * JE CHOISIS DE CONSTRUIRE CHAQUE JOUR, AVEC DES MILLIERS D'AUTRES, UN MONDE PLUS HUMAIN |
left by ovanek on 17/05/2015❤ *** Fidèle *** je ne compte pas les jours, Les semaines et les années : car en mon cœur je t'emmène partout Là où tu aimais te promener Et partout où tu ne pouvais aller. Tu me manques parfois si cruellement Que je n'arrive pas à retenir mes larmes, Et la tristesse me ronge dans ces moments là. Mais je te sais auprès de moi, fidèle à jamais. Et mon Cœur sourit de ta présence *** Pensée *** ❤ |
left by rafia on 14/05/2015Message d'un chiot.... Quand je naîtrai, tu me choisiras, Et pour la vie tu me garderas, Et si parfois dans ta maison je m'oublie Pardonne-moi je suis encore petit. Tu verras quand je grandirai Propre, très sage, je deviendrai. Je ne te demanderai presque rien Une caresse et un peu de pain, En échange, je veillerai sur tes biens Et ne laisserai personne importuner les tiens Mon amour et ma fidélité grandiront pour toi Tu seras mon univers, mon avenir et ma joie. Tu seras mon seigneur et mon maître Ton esclave et ton enfant je veux être Sans hésiter, je te donnerai ma vie Mais, s'il te plait, je t'en supplie Ne m'abandonne pas... Auteur inconnu |
left by poutounou on 13/05/2015Pour toi, bel Ange, ces quelques rimes de Monsieur Baudelaire… * Elévation * Au-dessus des étangs, au-dessus des vallées, Des montagnes, des bois, des nuages, des mers, Par-delà le soleil, par-delà les éthers, Par-delà les confins des sphères étoilées, * Mon esprit, tu te meus avec agilité, Et, comme un bon nageur qui se pâme dans l'onde, Tu sillonnes gaiement l'immensité profonde Avec une indicible et mâle volupté. * Envole-toi bien loin de ces miasmes morbides; Va te purifier dans l'air supérieur, Et bois, comme une pure et divine liqueur, Le feu clair qui remplit les espaces limpides. * Derrière les ennuis et les vastes chagrins Qui chargent de leur poids l'existence brumeuse, Heureux celui qui peut d'une aile vigoureuse S'élancer vers les champs lumineux et sereins ; * Celui dont les pensées, comme des alouettes, Vers les cieux le matin prennent un libre essor, Qui plane sur la vie, et comprend sans effort Le langage des fleurs et des choses muettes ! * Charles Baudelaire (1821-1867), Les fleurs du mal |
left by Biscuit on 13/05/2015Lettre venue d'ailleurs... Tu as souhaité m'écrire, laissant le soin aux nuages, le soin de me transmettre ton message. Cette seule intention m'autorise à te répondre afin de te dire qu'en partant, j'ai bien emporté toute la richesse et l'amour de notre vécu, et, si du poids de mon corps je me suis allégé, je n'en reste pas moins, dans l'ombre, à tes côtés. Dés lors, si tu es à la recherche de notre hier, laisse voguer en toi les pensées et les rêves, car, dans ces voyages, nous nous retrouverons pour vivre ensemble cette intime complicité, et donner ainsi toute sa force à son éternité. Que la caresse du vent, un rayon de soleil, une étoile filante ou une goutte de pluie soient les anges porteurs de cet écrit pour en traduire auprès de toi le sentiment, afin que, laissant de côté regrets comme oublis, tu vives intensément chaque moment de la vie. (Michel Thivent) |
left by rafia on 10/05/2015"Mes chiens, une valeur sûre" En ces temps de crise, de morosité, d’individualité, Dans un monde lancé en une course folle à la matérialité, la productivité, A la suprême jeunesse, à l’éternelle beauté, Laissant les plus démunis, les plus faibles de côté, Mes chiens sont un havre de paix ! Ainsi, l’être humain qui n’a plus d’humain que son physique, Ne sait plus prendre le temps de se poser, Triste est le bipède, qui ne sait plus regarder, ne sait plus écouter, Un réel constat, mes chiens sont plus humains que les humains, Mes chiens sont mon refuge quotidien ! Mes chiens sont présents chaque jour à mes côtés, Ils m’accompagnent, du lever au coucher, Mes chiens me regardent et savent de suite si je vais bien, Entre nous, pas besoin de parler, Juste leur hypersensibilité, qui sait tout détecter, Avec eux, pas de faire semblant, Avec eux, pas de faux fuyants, Avec eux, c’est honnêteté et authenticité ! Mes chiens me fêtent à mon retour, Le sourire aux babines, Ils ne badinent pas avec l’amour, Leur fidélité, leur amitié, leur complicité, Me font oublier les tracas de la journée, Sans détour, ils sont à 100 % tous les jours, Une fiabilité sans défection à l’année, Avec eux, c’est 365 jours sur 365 jours, Avec eux, tristesse, tracas, s’envolent, Avec eux, je me poile, quelle hilarité ! Avec eux, c’est auto dérision à volonté ! D’eux, je m’amuse de leurs mimiques, de leurs postures, Il y a, l’ancêtre « PONY », une valeur inestimable, Un air de vieux Teddy mité, une vraie antiquité, Souffrant hyper attachement, auquel je suis hyper attachée, « BEN », la dignité au bout des coussinets, Ce seigneur trône en maître sur le canapé, Les pattes avant croisées, il ose la pièce toiser, Puis, « CARAMEL », petit bout de rien, prenant une place incommensurable, Tantôt chien tantôt chat, se jonchant en hauteur, pour prendre toute son ampleur, « RIMMELLE », un regard aimant et protecteur, Elle veille sur toute la maisonnée, Elle prendra le parti du plus petit, veillera sur le plus âgé, Puis « ZEUS », le dernier arrivé, Le premier à bêtiser ! Un vrai polisson à poils longs ! Mes chiens sont mes racines à la Réalité, Ils sont mon retour à la simplicité, Avec eux c’est adieu superficialité ! Mes chiens sont ma valeur sûre, Un placement à valeur constante, Je crois le meilleur car il vient du cœur ! Auteur inconnu |
left by poutounou on 09/05/2015Mon Paradis * Quelque part, dans ce monde, je cherchais le Paradis. * En quête d’une île déserte, d’une planète inconnue, D’une terre vierge, encore inexplorée et nue, D’un petit coin d’univers, hors du temps, hors d’ici. * Quelque part, dans ce monde, je cherchais le Paradis. * Je voulais un peu de paix, pour mon cœur fatigué. Je voulais fuir les querelles et tout recommencer, Sur la terre originelle, renaître de l’oubli. * Quelque part, dans ce monde, je cherchais le Paradis. * Quitter cette vie insensée, rejoindre le ciel. Je l’imagine aussi pur que sa couleur pastelle, Vestige de beauté d’une nature si meurtrie. * Quelque part, dans ce monde, je cherchais le Paradis. * Comme une lueur d’espoir apaisant la souffrance, Et quand bien même un mensonge, pour nier l’évidence, D’avoir la peur pour compagne d’une vie sans répit. * Quelque part, dans ce monde, je cherchais le Paradis. * Et mes yeux, troublés de larmes, ont croisé ton regard, Et mon destin, soudain, s’est joué au gré du hasard. C’est là, aux frontières de ton cœur, qu’alors j’ai compris. * Quelque part, dans ce monde, je cherchais le Paradis. * Mais il n’existe ni asile, ni mythe fantastique. Il n’y a que l’Amour pour faire le monde magnifique. Et ton Amour pour moi a donné sens à ma vie. * Quelque part, dans ce monde, j’ai trouvé mon Paradis. |
left by rafia on 05/05/2015Un gâteau pour trois, Dans le grand jardin du château, Pierre, un jour, mangeait un gâteau ; C'était, je crois, de la galette Que sa bonne mère avait faite. Comme il était assez gourmand, Il mangeait très avidement ; Et le chien et le chat de Pierre, Tous deux assis sur leur derrière, Sans faire de bruit, sans bouger, Regardaient leur maître manger, Ayant l'espérance peut-être Que leur jeune et bon petit maître, Tout en dévorant son gâteau, Leur en donnerait un morceau. - Les bêtes comme les personnes, Aiment les choses qui sont bonnes. - Hélas ! vous l'avez vu plus haut, L'ami Pierre avait un défaut, Et bien vilain, quoi qu'on en dise, Le défaut de la gourmandise. Il mangeait donc, et chat et chien Regardaient, mais n'obtenaient rien. Or, Pierre ayant tourné la tête, Crac !... le chat saisit la galette Et, prenant son élan soudain, Il se sauva dans le jardin Pierre se mit à sa poursuite. Le chat de courait pas très vit, Etant gêné par le gâteau, Et Pierre l'attrapa bientôt ; Il lui fit rendre la galette Et corrigea la pauvre bête. Comme il s'occupait de cela, Sans se douter de rien, voilà Que le chien, qui venait derrière, Crac !... saisit le gâteau de Pierre Et détale, toujours courant. Pierre surpris, presque pleurant, Court après le chien et l'attrape Alors crac !... c'est le chat qui happe Vivement le fameux gâteau Et s'enfuit avec de nouveau, Si bien que le malheureux Pierre Ne savait plus trop comment faire, Car, dès qu'il poursuivait le chien, Crac !... le chat trouvait le moyen De s'emparer de la galette, Et quand, la mine stupéfaite, Après le chat Pierre courait, Du gâteau le chien s'emparait. Et vous concevez sans nul doute, Que les voleurs, pendant la route, Tenant le gâteau dans leurs dents, Dame ! mordaient un peu dedans. Avec de la persévérance, Pierre eut enfin assez de chance Pour saisir par la peau du cou Le chat et le chien d'un seul coup. Oui, mais, hélas ! de la galette Il ne restait plus une miette... Paul BILHAUD, |
left by larrydoudou on 03/05/2015Joli brin de muguet Voici le mois de Mai Et plein de bonheur A mettre dans nos coeurs |
The photo album contains 22 pictures