Rebelwriter  ne souhaite plus recevoir de messages privés Connectez vous pour utilisez Mails privés, carnet d'adresses et favoris
Carnet d'adresses
La page de + SASSIE + a été vue  1 789 650  fois.
1 789 650 vues
Connectez vous pour utilisez Mails privés, carnet d'adresses et favoris
Favoris
Connectez vous pour utilisez Mails privés, carnet d'adresses et favoris



21 personnes aiment cette page
Connectez vous pour déposer fleurs, bougies et messages

Vous n'êtes pas connecté.

En hommage à
+ SASSIE +
BERGER-DE-BEAUCE
Il est né le:21/02/1998
Il nous a quittés le:25/01/2009

Ma Sassie, tu es née la nuit du 21 février 1998, alors qu'un palier d'immeuble nous séparait de toi. Ta mère était jeune pour avoir des chiots. Tu as failli mourir sans l'aide d'un voisin, parce que tu étais la huitième, la dernière de la portée, et que ta maman n'avait plus assez de forces pour te mettre au monde. Mais tu as survécu, petite labrador croisé beauceron qui était la plus chétive de tous tes frères et sœurs.

La première fois que ma route a croisé la tienne, tu étais endormie dans les mains de ma maman. Nous nous sommes revues le 10 avril 1998, lorsque tu es entrée à jamais dans notre famille. Six jours avant mes dix ans, tu es et resteras mon plus beau cadeau d'anniversaire.
Durant dix ans et onze mois, tu m'as, à chaque instant, rendue heureuse. Je n'oublierais jamais toutes les anecdotes que nous avons vécues ensemble, y compris celle de ton opération le 25 mai 2007. J'étais si angoissée, mais plus de peur que de mal ce jour-là.
Tu as toujours été douce, gentille, chaleureuse, câline, protectrice... Toujours présente lorsque mon cœur était blessé, comme si tu savais instinctivement quand j'allais mal. Jamais méchante, tu n'avais que des qualités.

Quelques jours avant ta disparition, je me sentais anormalement angoissée. Je ne trouvais pas de raison particulière à ce sentiment, peut-être aurais-je dû me méfier...
Tu nous as quittées au cours de la nuit du 25 janvier 2009, sans nous avoir donné de signe avant-coureur pour nous préparer à cet affreux drame. Ton cœur s'est arrêté, tout simplement, tandis que le mien saigne abondamment. J'avais redouté ce jour plus que tout, celui qui restait jusqu'alors une date inconnue sur le calendrier, et pourtant, ce dernier est inévitablement arrivé. Je n'ai pas pu te dire au revoir ni te serrer dans mes bras une ultime fois. Je me console de savoir que tu n'as pas souffert, que tu es partie d'une mort naturelle et non d'une maladie qui t'aurait diminuée, affaiblie, jusqu'à ce que nous prenions la terrible décision de te soulager.

Ce n'est pas ma chienne que j'ai perdue, c'est un membre de ma famille à part entière. Mon âme sœur canine, ma fille, ma meilleure amie, ma confidente, ma belle Chouchou comme j'aimais t'appeler. Il n'y a pas un jour où je ne te disais pas « je t'aime » et je continuerais encore et toujours...
Bien sûr, d'autres toutous te succéderont, d'autres qui vivront peut-être plus longtemps que toi, mais jamais l'un d'entre eux ne pourra te remplacer. Tu es unique et tu demeuras ma première chienne, celle que j'ai tant désirée et aimée.

Ma Sassie, merci pour ces presque onze ans d'amour et de douceur. Merci d'avoir fait partie de ma vie. Merci d'avoir été mon rêve devenu réalité.




45 bougies

10182 Fleurs
Seules les fleurs déposées depuis moins d'un an sont visibles



 
8503 messages

Déposé par spanky le 14/09/2024  
Voici ce que votre chien pense réellement de vous.
Cela risque de vous toucher profondément.
-----------
Nous avons tous conscience de l’affection que les chiens ont pour nous.
Ils nous câlinent, et nous réconfortent lorsque nous en avons le plus besoin.
----
Mais vous êtes-vous jamais demandé à quoi pensaient les chiens, et à quoi ils rêvaient ?
----
Pour vous en donner une petite idée, continuez donc votre lecture, et découvrez ce que, selon nous, votre chien pense vraiment de vous.
----
Je suis ton chien, et j’aimerais bien te murmurer quelque chose à l’oreille ; je sais que vous autres humains menez une vie très remplie.
Certains travaillent, d’autres élèvent leurs enfants.
Vous donnez toujours l’impression de courir dans tous les sens, bien souvent sans prêter attention autour de vous, et sans profiter des plaisirs de la vie.
----
Regarde-moi, en bas, alors que tu es assis devant ton ordinateur.
Est-ce que tu vois mes grands yeux sombres qui te regardent ?
Ils sont de moins en moins clairs, désormais.
C’est un effet de l’âge.
Je commence à avoir des poils gris autour de mon doux museau.
Tu me souris ; je peux voir l’amour dans ton regard.
Que vois-tu dans le mien ?
Est-ce que tu vois une âme ?
Une âme en moi, qui t’aime comme personne d’autre ne le pourra jamais ?
Un esprit qui te pardonnerait tous tes crimes pour passer quelques instants avec toi ?
---
C’est tout ce que je te demande ; ralentis un peu, ne serait-ce que pour passer quelques minutes avec moi.
Très souvent, tu as été ému en lisant, sur ton écran, l’annonce de la mort d’autres membres de ma race.
Parfois nous mourrons jeunes et rapidement, parfois même tellement brusquement que cela te brise le cœur.
Parfois, nous vieillissons si lentement en ta compagnie que tu ne sembles même pas t’en apercevoir avant qu’il ne soit trop tard, et que nous te regardions,
avec notre museau grisonnant et nos yeux aveuglés par la cataracte.
Mais notre affection est toujours bel et bien là, même lorsque nous devons te faire nos adieux, et partir courir, enfin libres, dans ce pays très lointain et imaginaire.
----
Je ne serai peut-être plus là demain ; je ne serai peut-être plus là la semaine prochaine.
Un jour, tu pleureras toutes les larmes de ton corps, celles que les humains versent lorsqu’ils sont bouleversés, et tu te maudiras de ne pas avoir pu passer
« une journée de plus » en ma compagnie.
----
Comme je t’aime énormément, ta tristesse me touche et me blesse.
Nous sommes ensemble, MAINTENANT.
Alors approche-toi, assieds-toi près de moi sur le sol, et regarde-moi bien dans les yeux.
Qu’est-ce que tu vois ?
Si tu regardes avec attention, nous pourrons échanger, toi et moi, à cœur ouvert.
----
Ne t’adresse pas à moi comme un mâle dominant, un dresseur, ou même un maître/une maîtresse ; considère-moi comme une autre âme vivante, caresse mon pelage,
regardons-nous dans les yeux, et parlons.
Je te raconterai peut-être à quel point il est amusant de courir après une balle de tennis, ou bien te dirai-je quelque chose de profond à mon sujet,
ou bien au sujet de la vie en général.
----
Tu as décidé de m’avoir dans ta vie, car tu voulais avoir quelqu’un avec qui partager ce genre de choses.
Quelqu’un de très différent de toi… et je suis là.
----
Je suis un chien, mais je suis un être vivant à part entière.
Je ressens des émotions, j’ai des sens physiques, et j’adore les différences qui existent entre toi et moi.
Je ne te vois pas comme un « chien sur deux pattes » – je sais ce que tu es.
Tu es un humain, avec toutes les bizarreries que cela implique, et pourtant je t’aime quand même.
----
Maintenant, assieds-toi par terre à mes côtés.
Entre dans mon monde, et laissons le temps ralentir pendant au moins 15 minutes.
Regarde-moi droit dans les yeux, et murmure dans mes oreilles.
----
Parle-moi avec ton cœur, avec ta joie, et je connaîtrai alors ton moi profond. Demain ne viendra peut-être jamais, et la vie est beaucoup trop courte.
----
Alors je t’en prie, assieds-toi à mes côtés, et partageons ces moments précieux qui nous restent à vivre ensemble.
----
Avec tout mon amour,
Ton Chien.
----
Partagez ce merveilleux message avec tous vos amis !
----

Déposé par colombine67 le 14/09/2024  
On m’a dit...
Que ma maison
Sentait le chien...
Alors je lui ai demandé...
Tu sais qu’est-ce que sent un chien...?
Un chien sent de la :
Gratitude...
Fidélité...
Noblesse...
Affection...
Amour pur et inconditionnel...
Et malgré
Tout ce qu’ils ont souffert
Ils ne sentent pas la rancoeur...
Alors oui...
Je me sens privilégié
Que ma maison sente le chien...

Déposé par spanky le 12/09/2024  
Mon chien ne reviendra pas.
---
Mon chien ne reviendra pas,
Il est loin de moi,
Si loin de moi...
--
Mon chien ne redescendra pas,
Dans le ciel, il restera...
Et même si il le voulait,
Il ne le pourrait...
---
Mon chien ne reviendra pas,
Il ne viendra plus près de moi,
Les jours de chagrin,
Qui reviennent tous les matins...
---
Le ciel est sa prison,
Me condamnant mon amour
Pour lui...
---
Mon chien ne reviendra pas,
Il est loin de moi,
Si loin de moi...
----

Déposé par goulou50 le 12/09/2024  
Coucou joli coeur,je viens remercier ta chère maman pour son touchant message envers ma petite Pépette et moi-meme, cela me touche toujours autant de savoir que ta maman est toujours présente. Grace à ce site j'ai l'impression que nos petits anges sont toujours avec nous et nous pouvons leur faire un bel hommage ici. Je vous envoie des gros bisous

Déposé par poutounou le 11/09/2024  
Le Bonheur c’est une truffe fraîche dans le cou…
*
Le bonheur
*
Le bonheur est une plume
La plus légère qui soit.
Il faut l'attraper
Quand elle passe.
*
Le bonheur se cueille dans l'instant,
Avec précaution
Comme une fleur,
Avant qu'elle ne se fane.
*
Le bonheur est cette poudre de soie,
Qui passe, légère, devant la lune,
L'effleure, l'enserre,
Et la pénètre de sa paix.
*
Même fragile, le bonheur
Transfigure les choses insignifiantes,
Il fait oublier le réel,
Alors que la pensée remodèle nos traits.
*
La joie monte en nous, quand nous la donnons.
C'est cela le moteur du bonheur.
La découverte du bonheur d'aimer
S'ajoute au bonheur d'être aimé.
*
Et malgré la nuit du monde,
Malgré les destructions,
Tenons notre lampe allumée,
Pour que vive au dehors la lumière du bonheur.
*
Hélène Ellenberger, Ferveur d'Automne

Déposé par goulou50 le 08/09/2024  
Coucou petit ange, je remercie ta petite maman pour ses douces pensées à mon petit cœur Eskimo et moi-même ça me touche beaucoup. Depuis de nombreuses années ta maman est là pour moi, nous avons tisser de merveilleux liens qui sont très importants pour moi et grâce à vous petits anges et pour cela un grand merci. Je vous envoie des gros bisous

Déposé par poutounou le 08/09/2024  
La joie
*
O ces larges beaux jours dont les matins flamboient !
La terre ardente et fière est plus superbe encor
Et la vie éveillée est d'un parfum si fort
Que tout l'être s'en grise et bondit vers la joie.
*
Soyez remerciés, mes yeux,
D'être restés si clairs, sous mon front déjà vieux,
Pour voir au loin bouger et vibrer la lumière ;
Et vous, mes mains, de tressaillir dans le soleil ;
Et vous, mes doigts, de vous dorer aux fruits vermeils
Pendus au long du mur, près des roses trémières.
*
Soyez remercié, mon corps,
D'être ferme, rapide, et frémissant encor
Au toucher des vents prompts ou des brises profondes ;
*
O ces matins de fête et de calme beauté !
Roses dont la rosée orne les purs visages,
Oiseaux venus vers nous, comme de blancs présages,
Jardins d'ombre massive ou de frêle clarté !
*
A l'heure où l'ample été tiédit les avenues,
Je vous aime, chemins, par où s'en est venue
Celle qui recélait entre ses mains, mon sort ;
*
Je vous aime, lointains marais et bois austères,
Et sous mes pieds, jusqu'au tréfonds, j'aime la terre
Où reposent mes morts.
*
J'existe en tout ce qui m'entoure et me pénètre.
Gazons épais, sentiers perdus, massifs de hêtres,
Eau lucide que nulle ombre ne vient ternir,
Vous devenez moi-même étant mon souvenir.
*
Emile Verhaeren, La Multiple Splendeur

Déposé par poutounou le 08/09/2024  
La joie
*
O ces larges beaux jours dont les matins flamboient !
La terre ardente et fière est plus superbe encor
Et la vie éveillée est d'un parfum si fort
Que tout l'être s'en grise et bondit vers la joie.
*
Soyez remerciés, mes yeux,
D'être restés si clairs, sous mon front déjà vieux,
Pour voir au loin bouger et vibrer la lumière ;
Et vous, mes mains, de tressaillir dans le soleil ;
Et vous, mes doigts, de vous dorer aux fruits vermeils
Pendus au long du mur, près des roses trémières.
*
Soyez remercié, mon corps,
D'être ferme, rapide, et frémissant encor
Au toucher des vents prompts ou des brises profondes ;
*
O ces matins de fête et de calme beauté !
Roses dont la rosée orne les purs visages,
Oiseaux venus vers nous, comme de blancs présages,
Jardins d'ombre massive ou de frêle clarté !
*
A l'heure où l'ample été tiédit les avenues,
Je vous aime, chemins, par où s'en est venue
Celle qui recélait entre ses mains, mon sort ;
*
Je vous aime, lointains marais et bois austères,
Et sous mes pieds, jusqu'au tréfonds, j'aime la terre
Où reposent mes morts.
*
J'existe en tout ce qui m'entoure et me pénètre.
Gazons épais, sentiers perdus, massifs de hêtres,
Eau lucide que nulle ombre ne vient ternir,
Vous devenez moi-même étant mon souvenir.
*
Emile Verhaeren, La Multiple Splendeur

Déposé par spanky le 08/09/2024  
Mémoire immortelle
----
Colombe blanche qui côtoie les cieux
Demeure avec les anges et le bon dieu
Elle est telle une note de musique qui plait à l’ouïe
Si rayonnante comme une fleur qui s’épanouit
Juvénile, d’une blancheur pure et angélique
Et un sourire qui nous emmène vers un monde féerique
Jadis, on cheminait à destination en chantant
La main dans la main souvent en galopant
Cette image je la garde de bien avant
Ce jour damné qui à ton existence a mis un trait Houda…
Ta mémoire je la garde dans mon cœur d’enfant
Elle sera intacte, je veillerai à ce qu’elle soit autant…
Car ton authenticité et ton amitié furent à part
Quoi qu’aujourd’hui ton esprit ait erré loin de mon regard
Je me rappellerai toujours de nos dires, nos rires, et même de nos larmes
En priant le bon dieu pour qu’il prenne bien soin de ton âme
----
Rhita Benjelloun, 2012
---

Déposé par spanky le 06/09/2024  
Je suis entièrement d accord !
Toujours bon a se rappeler.
Les espèces animales sont douées de conscience, d'intelligence, d'émotions, ce qui nous sépare n'est pas le fond mais le degré d'expression de caractéristiques communes.
Chaque animal est un individu, jeté dans un monde construit par l'homme dont les règles échappent à son mode propre de fonctionnement.
Enfermer un animal c'est le privé d'un de ses droits fondamentaux.
Vivre sa vie en toute liberté et en harmonie avec un nombre incalculable d’interactions tant au sein de son espèce qu'avec l'environnement.
Quelle que soit la prison - dorée ou non - la souffrance ou plutôt les souffrances, physiologiques éthologiques comportementales sont toujours au rendez-vous.
Visiter un zoo c'est participer.
C'est accepter et devenir complice de ces souffrances.
----
Dr Yvan Beck
----

Déposé par goulou50 le 05/09/2024  
Coucou petit ange, un grand merci a ta gentille maman, elle est toujours présente après tout ce temps pour me soutenir et de ses douces pensées à chacun de mes petits amours chaque mois ça me touche beaucoup et m'aide à avancer. 7 mois aujourd'hui qu'il est partit tout là-haut mon petit Loustick il me manque tellement et j'ai toujours beaucoup de chagrin. Je vous envoie des gros bisous et encore merci mon amie

Déposé par spanky le 04/09/2024  
L'enfant précoce
----
Une lampe naquit sous la mer
Un oiseau chanta
Alors dans un village reculé
Une petite fille se mit à écrire
Pour elle seule
Le plus beau poème
Elle n'avait pas appris l'orthographe
Elle dessinait dans le sable
Des locomotives
Et des wagons pleins de soleil
Elle affrontait les arbres gauchement
Avec des majuscules enlacées et des cœurs
Elle ne disait rien de l'amour
Pour ne pas mentir
Et quand le soir descendait en elle
Par ses joues
Elle appelait son chien doucement
Et disait
« Et maintenant cherche ta vie ».
---
René-Guy Cadou ("Les amis d'enfance" - 1965)
---

Déposé par poutounou le 04/09/2024  
L'écho
*
Rôdant, triste et solitaire
Dans la forêt du mystère,
J’ai crié le coeur très las :
- « La vie est triste ici-bas ! »
L’Écho m’a répondu : « Bah ! »
– « Écho, la vie est méchante ! »
Et, d’une voix bien touchante,
L’Écho m’a répondu : « Chante ! »
– « Écho, Écho des grands bois,
Lourde, trop lourde est ma croix ! »
L’Écho m’a répondu : « Crois ! »
– « La haine en moi va germer,
Dois-je rire ou blasphémer ? »
Et l’Écho m’a dit : « Aimer ! »
Comme l’Écho des grands bois
M’a conseillé de le faire :
J’aime, je chante et je crois !
Et je suis heureux sur terre !
*
Théodore Botrel (1868-1925)

Déposé par ovanek le 03/09/2024  
Tes petites pattes, une touche douce
J'ai laissé des empreintes sur mon cœur, une embrayage aimante
A chaque pas, un souvenir fait
Un voyage partagé, un lien affiché
💕༺♥༻❀༺♥༻💕༺♥༻❀༺♥༻💕
Vos sniff curieux, un son joyeux
Explorer des mondes, les pieds sur terre
Ta queue remuante, un guide heureux
Un ami constant, toujours à mes côtés
💕༺♥༻❀༺♥༻💕༺♥༻❀༺♥༻💕
Dans tes grands yeux bruns, un amour si vrai
Un reflet du cœur, je tiens pour toi
A chaque câlin, un cœur bat vite
Un amour si fort, pour toujours
💕༺♥༻❀༺♥༻💕༺♥༻❀༺♥༻💕
Même si votre temps avec moi a été court et doux
Les souvenirs que nous avons créés, ne peuvent pas être battus
Tu es peut-être parti, mais dans mon cœur
Vos empreintes de pattes restent, une œuvre d'art🐾🐾🐾

Déposé par colombine67 le 03/09/2024  
"Le chien"
....Sur la tombe du Maître il s'obstine à mourir
Il n'a pas oublié les soldats qui l'aimaient
Et dont il partagea la gamelle de soupe...
Il a toujours suivi docilement la troupe
De ceux qui ne sont plus et qui le caressaient.
Pauvre chien! il a vu succomber ses amis...
Il était là quand se déroulait la bataille...
Il les a vus, fauchés par la rude mitraille
Et sait que pour toujours ils se sont endormis.
Hélas! Jusqu’à la mort il leur sera fidèle...
Il ne veut pas quitter le glorieux tombeau
Et près de l'humble croix que voisine un drapeau
Il garde leur dépouille et parfois les appelle.
Il n'a pas oublié les soldats qui l'aimaient
Et dont il partagea la gamelle de soupe...
Il a toujours suivi docilement la troupe
De ceux qui ne sont plus et qui le caressaient.
Et quand le soir descend sur la plaine endeuillée,
Il a des aboiements lugubres qui font peur.
Pauvre chien, qui n'eût pas le suprême bonheur
De mourir avec eux, là-bas, dans la tranchée.
Poème écrit par un soldat de la guerre 1914-1918

Déposé par ovanek le 02/09/2024  
Je t'enverrai un baiser avec le vent
Et je sais que tu l'entendras
💦꧂💦꧁꧂💦꧂💦꧁꧂💦
Tu te retourneras et, sans me voir, je serai là
En un baiser, tu sauras tout ce que je ne t’ai pas dit
🦋
Pablo Neruda

Déposé par spanky le 02/09/2024  
Texte sur la souffrance du deuil d'Erich Fried
---
Souffler son Malheur
Son malheur, pouvoir le souffler
Profondément l’expirer
Pour à nouveau pouvoir inspirer
Son malheur, pouvoir le dire
Avec des mots
Avec de vrais mots,
Justes et pleins de sens
Que l’on comprenne encore soi-même
Et que quelqu'un d’autre peut-être
Puisse comprendre
Ou pourrait comprendre
Et pouvoir pleurer
Ce serait, à nouveau, presque du bonheur
----

Déposé par poutounou le 01/09/2024  
Elévation
*
Au-dessus des étangs, au-dessus des vallées,
Des montagnes, des bois, des nuages, des mers,
Par-delà le soleil, par-delà les éthers,
Par-delà les confins des sphères étoilées,
*
Mon esprit, tu te meus avec agilité,
Et, comme un bon nageur qui se pâme dans l'onde,
Tu sillonnes gaiement l'immensité profonde
Avec une indicible et mâle volupté.
*
Envole-toi bien loin de ces miasmes morbides;
Va te purifier dans l'air supérieur,
Et bois, comme une pure et divine liqueur,
Le feu clair qui remplit les espaces limpides.
*
Derrière les ennuis et les vastes chagrins
Qui chargent de leur poids l'existence brumeuse,
Heureux celui qui peut d'une aile vigoureuse
S'élancer vers les champs lumineux et sereins ;
*
Celui dont les pensées, comme des alouettes,
Vers les cieux le matin prennent un libre essor,
Qui plane sur la vie, et comprend sans effort
Le langage des fleurs et des choses muettes !
*
Charles Baudelaire (1821-1867), Les fleurs du mal

Déposé par colombine67 le 01/09/2024  
Certains chiens passent plus de temps au refuge que d’autres, sans que les bénévoles en sachent toujours la raison. Acorn fait partie de ceux qui y ont passé un temps record, avec plus de 600 journées dans son box.
Acorn est un chien de sauvetage. Il a passé exactement 633 jours dans le refuge Outer Banks SPCA, basé à Manteo dans l’État de Caroline du Nord aux États-Unis. Cela fait donc plus de 2 ans qu’il a patienté derrière les barreaux de son box, rapporte le média People. Il a vu bon nombre de ses compagnons partir, les uns après les autres, pour rejoindre le doux foyer de leur famille adoptive.
Mais personne ne s’intéressait à Acorn. Les gens arrivaient devant son chenil, puis passaient leur chemin, pour aller adopter un autre toutou. L’adorable boule de poils au pelage caramel est donc devenue le plus ancien des résidents du refuge Outer Banks SPCA.
Le miracle espéré pendant si longtemps s’est enfin produit
Acorn avait passé tant de temps au refuge qu’il avait noué une relation très forte avec le personnel, dont notamment son soigneur attitré, prénommé Brad. Celui-ci s’efforçait de lui faire passer d’agréables moments de jeux et de promenade, afin que le brave toutou puisse éprouver un peu de joie chaque jour.
Il y a quelques semaines, au mois de mars dernier, le miracle qu’Acorn attendait depuis si longtemps s’est enfin produit. Cathy Phemister Widzga est arrivée au refuge, en quête d’un compagnon à 4 pattes. Elle a littéralement craqué pour Acorn et l’a adopté dans la foulée.
Le refuge a publié l’heureuse nouvelle, le 18 mars 2023, sur sa page Facebook : « Après 633 jours dans notre refuge, notre résident le plus ancien, Acorn, est enfin adopté ! »
Brad a été très attristé de ne plus pouvoir s’occuper d’Acorn, mais, comme tous les autres bénévoles, il était surtout très heureux que la boule de poils ait enfin trouvé son foyer pour la vie.
« Nous attendions et espérions ce moment depuis très longtemps. Notre personnel et notre bénévole Brad se sont tellement attachés à Acorn au cours des dernières années. Nous avons gardé l'espoir qu'un jour, la bonne personne prendrait le temps de s'occuper de lui et lui donnerait le foyer qu'il mérite, et notre souhait s'est réalisé ! », ont écrit les bénévoles sur le réseau social.
Cathy est la plus heureuse d’avoir pu agrandir sa famille avec Acorn. Elle a même déjà donné de ses nouvelles, indiquant qu’il était heureux chez elle, parmi ses autres compagnons à 4 pattes : « Il s'est très bien intégré ! Mes autres chiens l'adorent ! »

Déposé par spanky le 31/08/2024  
Seigneur, mon maître, dont je partage la destinée, ma fidélité n'est pas mesurée aux commodités de ta demeure;
ni à la pâtée que tu me réserves.
Je garde ta maison comme la mienne qu'elle soit des planches ou de marbre.
Je te suis où tu veux, fais ce que tu m'ordonnes et tout est facile et agréable quand tu me montres de l'amitié.
Car plus que les biens que tu as ou que tu n'as pas, plus que le confort que tu m'assures où ne peux m'offrir;
j'apprécie la caresse amicale de ta main et ton regard confiant
Montre moi souvent que je compte un peu pour toi;
Seigneur mon Maître, qui est tout pour moi.
----




L'Album photo contient 39 photos
Highslide JS

Décembre 2008.
Highslide JS

Juillet 2008.
Highslide JS

Juillet 2008.
Highslide JS

Juin 2008.
Highslide JS

Juin 2008.
Highslide JS

Juin 2008.
Highslide JS

Mai 2008.
Highslide JS

Mai 2008.
Highslide JS

Mai 2008.
Highslide JS

Mai 2008.
Highslide JS

Mai 2008.
Highslide JS

Mai 2008.
Highslide JS

Mai 2008.
Highslide JS

Mai 2008.
Highslide JS

Mai 2008.
Highslide JS

Mai 2008.
Highslide JS

Mai 2008.
Highslide JS

Avril 2008.
Highslide JS

Avril 2008.
Highslide JS

Décembre 2007.
Retourner en haut