In tribute to

Doudoune
1998 / 2009


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In tribute to
Doudoune
BERGER-ALLEMAND
Born on :30/10/1998
left us on:11/09/2009

Ma fille, mon bébé,
Tu nous manque énormément
On t' aime




30 candles

23600 Flowers
left by  Annie
left by Annie
Un bouquet plein de tendresse pour la jolie Doudoune
left by  tazounette
left by tazounette
25 mois aujourd'hui
left by  Rebelwriter
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Une fleur pleine de tendresse pour un précieux ange
left by  Rebelwriter
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Pour toi cher petit ange et mes amitiés à ta super maman
left by  oslososo
left by oslososo
left by  tacholoula
left by tacholoula
un petit bisou automnale pour toi doudoune
left by  Rebelwriter
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Ces ravissantes fleurs pour toi et ta chère maman
left by  tazounette
left by tazounette
repose en paix ma doudoune
left by  tazounette
left by tazounette
MERCI A TOUS CEUX QUI ONT PENSE A MA FILLE COURAGE A VOUS
left by  Pachkounet
left by Pachkounet
En ce triste anniversaire, douces caresses pour Doudoune. Repose en paix petit ange parti pour le Pays des Canoutoux. Bon courage à ceux qui t'ont tant aimé.
left by  mindy
left by mindy
Tendres pensées en ce triste anniversaire
left by  dawn64
left by dawn64
douces pensées en ce triste jour anniversaire
left by  Patyene
left by Patyene
Doux repos
left by  catherine37
left by catherine37
doux repos bel ange
left by  angedefeu16
left by angedefeu16
En ce triste jour les fleurs fanent mais les souvenirs restent...
left by  tacholoula
left by tacholoula
un petit vent de douceur pour toi
left by  giani54
left by giani54
Douces pensées en ce triste jour
left by  isabeldehb
left by isabeldehb
douces pensées petit ange
left by  MALOU
left by MALOU
belle doudoune née la même année que O'maley il t'a survecu un an,soyez heureux les p'tits loups.la maman de o'maley
left by  NAZCA
left by NAZCA
Ils ne nous quittent pas et veilles toujours sur nous



 
2407 messages

left by poutounou on 28/07/2024  
J'AI APPRIS
*
J'ai appris qu'il n'était pas toujours suffisant de pardonner aux autres,
il faut apprendre à se pardonner soi-même.
J'ai appris qu'il ne faut pas être trop persistant à connaître un secret,
le savoir peut changer notre vie pour toujours.
J'ai appris que les diplômes affichés au mur
ne font pas nécessairement de nous des humains décents.
J'ai appris qu'il est très difficile d'être gentil pour ne pas blesser les sentiments d'autrui
tout en restant ferme pour ce que l'on croit.
J'ai appris que l'on ne peut pas forcer quelqu'un à nous aimer,
tout ce que l'on peut faire, c'est d'être quelqu'un qui peut être aimé.
J'ai appris que l'on continuait d'avancer même après avoir pensé
qu'il nous était impossible de le faire.
J'ai appris que l'on pouvait faire une petite chose en un court instant
et que celle-ci pouvait nous donner des maux de tête pour la vie.
Au seuil de ma mort,
j'ai appris que la vie valait la peine d'être vécue.
(Auteur inconnu)

left by colombine67 on 26/07/2024  
Un p'tit clébard par Pierre Perret
Il n'avait jamais rien eu
Rien possédé de sa vie
Aussi nu à soixante piges
Que le jour où il naquit
L'avait jamais eu de frigo
Ni vaisselle, ni tableaux
Et même en guise d'Aubusson
L'avait qu' son paillasson
Lisant avec gratitude
Cent ans de solitude
Un chant d'oiseau dans le ciel
Remplaçait son Pleyel
Mais un beau jour, subito
Le gros lot du loto
Fit que le monde vint lui dire
"Qu'est-ce qui vous ferait plaisir ?"
Moi "Je veux un chien, un p'tit clébard
Je me fous de la marque"
Disait le papy soudain cossu comme un monarque
Un chien abandonné par des gens sans cervelle
Et que la SPA aurait pris sous son aile
"Je veux un chien, un p'tit bâtard sans estampille
Qui serait en somme comme qui dirait toute ma famille
Surtout ne pensez pas que je me méfie des hommes
Mais d'amitié, les clèbards sont moins économes"
Les gérants de son empire
Furent écroulés de rire
On lui acheta un kimono
Un château, des chevaux
Un beau perroquet malais
Qui s'exprime en anglais
Un superbe chat de Perse
Qui coûte la peau des fesses
On l'amena à Marengo
Y déguster du veau
Il acquit près de Cuzco
Les montagnes et l'écho
Quand son secrétaire habile
Front soucieux dit "Monsieur
Quel nouveau plaisir peut-il
Trouver grâce à vos yeux ?"
Moi "Je veux un chien, un p'tit clébard
Je me fous de la marque"
Disait le papy soudain cossu comme un monarque
Un chien abandonné par des gens sans cervelle
Et que la SPA aurait pris sous son aile
"Je veux un chien, un p'tit bâtard sans estampille
Qui serait en somme comme qui dirait toute ma famille
Surtout ne pensez pas que je me méfie des hommes
Mais d'amitié, les clèbards sont moins économes"

left by goulou50 on 25/07/2024  
Mon petit cœur,
Une porte se referme, s'ouvre une fenêtre
C'est pour la peine, pour qu'elle puisse disparaître et réapparaître...
J'ai laissé ainsi mon coeur
Quand tu as rejoins le ciel
Emportant tout mon bonheur
Les photos ne remplacent pas ce que laisse une absence
Elles ne sont qu'une image de toi,
Mais en rien ne remplaceront ta présence...
Mon petit chien, tu resteras maintenant la haut
Je resterais maintenant sans toi
Alors avec des sanglots je t'adresse ces quelques mots
Qu'ils arrivent jusqu'à toi
Je t'aime très fort mon ange

left by colombine67 on 25/07/2024  

Naissance de la voix lactée
Il y a bien longtemps, il n'y avait pas beaucoup d'étoiles dans le ciel.
Les indiens stockaient leur récolte de maïs dans de grands paniers. L'hiver ces grains leur permettaient de confectionner du pain.
Un matin, un couple découvre qu'on leur a dérobé du maïs pendant la nuit. Des grains sont dispersés sur le sol de la réserve et ils aperçoivent des empreintes géantes de chien.
Ils alertent aussitôt les villageois : ces traces ne peuvent avoir été faites que par un chien venant d’un autre monde !
Ils décident de se débarrasser d'une bête aussi monstrueuse en l'effrayant si fort qu'elle n'aura plus envie de revenir.
Ils rassemblent des tambours, des carapaces de tortues et se cachent pendant la nuit près de la réserve de grains.
Soudain, ils entendent un énorme bruissement d'ailes pareil à celui de milliers d'oiseaux en vol : un chien géant descend en piqué du ciel. Dés que ce dernier se trouve près du maïs, les Indiens font un vacarme énorme en frappant sur leurs ustensiles. L’animal s’enfuit mais les habitants du village le poursuivent en continuant de plus belle leur tintamarre.
Le chien géant grimpe alors au sommet d'une colline et se jette dans le ciel, les grains de maïs se répandant de sa gueule. Il traverse la nuit noire et disparaît. Les grains de maïs forment un chemin dans le ciel et chaque grain se transforme en étoile. C’est ainsi qu'est apparue la voie lactée...
Les Cherokee l’appellent gi li' ut sun stan un' yi, l'endroit où courait le chien.

left by poutounou on 24/07/2024  
Ces « amis sincères » sont nos doux « filous » à quatre pattes et une queue. Ce poème leur est dédié… !!!
*
UN AMI SINCÈRE
*
Un ami sincère
Peut faire naître un sourire
Quand nous sommes abattus
Et que rien ne va plus.
*
Un ami sincère
Peut comprendre nos épreuves
Et, d'une simple léchouille,
Nous remettre en chemin.
*
Un ami sincère
Est fait pour partager
Nos rêves les plus secrets
Tout en demeurant discret.
*
Un ami sincère
Vaut plus que de l'or,
Car, au fond de son coeur,
Il ne veut que notre bonheur.
*
(Auteur inconnu)

left by colombine67 on 24/07/2024  
La légende du pont de l'arc en ciel
"La légende du pont de l’arc en ciel"
"Il y a là-bas un pont qui connecte le ciel et la terre, on l'appelle le Pont de l'Arc-en-ciel"
Dans cette partie du Paradis existe un endroit nommé Pont de l'Arc-en-ciel.
Lorsque meurt un animal de compagnie, il se rend dans ce pays qui connecte le Ciel avec la Terre.
On y retrouve là-bas, prairies ondoyantes, paisibles collines et vallées luxuriantes et tous les amis à quatre pattes qui y sont réunis peuvent y courir et s'amuser ensemble.
Ils peuvent enfin y creuser tous les trous qu'ils désirent, courir dans de jolies plates-bandes, se rouler dans de généreux marais, bref toutes les interdictions terrestres n'y font plus loi.
Dans cette contrée lointaine abonde eau, nourriture et soleil, et tous nos amis y sont confortables et bien au chaud, à moins que l'on ne décide d'aller courir un peu dans les hautes montagnes coiffées de neiges éternelles.
Ceux qui étaient malades ou trop vieux ont recouvré ici santé et vigueur; ceux qui étaient blessés ou infirmes sont devenus sains et forts, ceux qui étaient abandonnés, négligés ou maltraités ont enfin trouvé chaleur et réconfort.
Les animaux sont heureux et en paix, mais pour un grand nombre d'entre eux, il manque quelque chose de précieux à leur cœur.
Ils ont perdu quelqu'un de très spécial qu'ils aimeraient tellement avoir de nouveau à leurs côtés.
Des jours de bonheur se coulent donc doucement dans d'interminables jeux et courses folles à l'intérieur de cette grande meute pacifique.
Mais un jour, arrivera le temps ou l'un d'eux s'arrêtera soudainement, tous ses sens se tiendront aux aguets.
Ses yeux perçants miroiteront de mille feux, ses oreilles attentives se dresseront tels des miradors, son corps frénétique palpitera de toutes parts.
L'élu commencera à courir hors du groupe, volant au-dessus des verts pâturages, traversant les larges rivières, ses pattes le portant de plus en plus vite, de plus en plus haut.
Ça y est, vous le voyez courir vers vous dans ce point de lumière au bout du tunnel... en toute fidélité votre chien vous a repéré entre tous et il est venu à cette ultime rencontre.
Vous souriez !
Enfin, vous vous retrouvez ensemble, ses joyeux bisous d'antan pleuvant de partout sur votre visage, vos mains pouvant à nouveau caresser son cou, son flanc, sa tête, vous pouvez enfin plonger votre regard dans les yeux confiants et aimants de votre chien.
Plus rien ne pourra dorénavant vous séparer, vous serez à jamais réunis.
Ainsi vous traverserez ensemble le Pont de l'Arc-en-ciel..."
« Rainbow bridge » texte d’un auteur anglais inconnu

left by colombine67 on 23/07/2024  
Je suis mort sans nom
Un long mais superbe texte, très émouvant....
Je suis mort sans nom
Sans une marque d’affection…
Je ne connais la définition
Du mot humain émotion
Que par la douleur de l’abandon.
J’ai attendu si longtemps,
D’hivers glaciaux en printemps,
Un rayon d’espoir, et souvent
Pétrifié dans le silence et le temps,
J’ai voulu fuir ce tourment.
Seul et apeuré dans ma cage,
Je m’accrochais à ce mirage…
De votre sourire, de votre visage
Qui m’ont apporté courage
L’instant d’un ciel sans nuage…
Je me suis habitué à la faim,
Au froid, à la peur du lendemain.
Mais jamais, je le crains,
De ne pas connaître enfin
Le plaisir de lécher votre main.
Mon corps martyrisé
N’en pouvant plus de lutter,
À bout de souffle et de fierté,
C’est sans bruit et sans dignité
Que je vous ai quittés.
Une seule caresse aurait suffi
À me permettre, sans bruit,
De quitter mes amis.
Qui encore aujourd’hui.
Vous appellent dans la nuit.
Je ne vous en veux pas
De n’avoir entendu mon désarroi.
J’avais pourtant en moi,
Au fil des jours et des mois,
La confiance, l’espoir et la foi.
Même si j’ai hurlé dans la nuit,
Tandis que mourraient mes petits,
La souffrance et la maladie
Ont eu raison aujourd’hui
De mon instinct de survie.
Ils ont tué mes espoirs
De pouvoir un jour voir
Le soleil et votre peignoir…
De fuir mon désespoir…
Fuir ma cellule dans le noir.
Je suis venu et passé,
Sans jamais être remarqué.
Pourtant, je vous ai toujours espéré…
Je ne demandais qu’à vous aimer…
Pourquoi m’avez-vous abandonné?
J’ai eu faim, j’ai eu froid,
J’ai eu peur et malgré moi,
De ce qui me restait de voix,
Votre nom j’ai appelé mille fois…
Où étiez-vous, dites-moi...
Ma carcasse incinérée
Aura pour l’éternité
Ce champ, ces fleurs et ce pré
Que j’ai longtemps espéré,
Et dont j’ai tellement rêvé.
J’aurais aimé avoir un jouet,
Un seul s’il-vous plait…
J’aurais voulu courir et qui sait,
Trébucher dans le gazon tout frais
À vos côtés, fier et coquet…
J’aurais dormi à vos pieds,
L’hiver vous aurais réchauffé,
La nuit vous aurais rassuré,
Et sans jamais rien demander,
Vous aurais écouté et aimé…
Je suis mort triste et seul,
Sans que l’on porte mon deuil.
On m’a offert pour tout linceul,
Un feu de paille et de feuilles,
Je suis libre, délivré et encore seul…
Ne m’offrez pas de fleurs…
Retenez vos pleurs…
Je ne veux plus que le bonheur,
De ceux qui ont dans leur cœur
D’encore espérer avec ferveur…
De quoi donc ai-je été coupable
Pour mériter une vie si misérable
Un destin aussi pitoyable,
Une mort cruelle et minable…
De cela vous m’êtes redevable…
Je vous aime encore
Je vous aime si fort…
À la vie et à la mort,
Je vous aime encore,
Bien au-delà de la mort…
Dites-moi que vous voulez,
Par amour et par pitié,
Encore quelques-uns sauver…
Ainsi ma cruelle destinée
N’aura été ni vaine ni oubliée…
Il est trop tard pour moi,
Voyez, je suis mort et froid…
Mais pour mes petits croyez-moi,
Par vous, ils ne le seront pas.
Sauvez-les en souvenir de moi…
Un chien parmi tant d’autres.

left by colombine67 on 22/07/2024  
Pataud
Dans ses yeux brillait encore une lueur d’espoir. En compagnon fidèle il était sûr qu’ils étaient en train de courir vers lui fous d’inquiétude.
Son crâne lui faisait mal, sœur battait avec peine et cette douleur au creux des reins, dieu qu’elle était atroce !
Ils s’étaient arrêtés sur une aire de repos, tout joyeux de pouvoir se dégourdir les muscles et de calmer leur soif par cette matinée torride de juillet. Durant le trajet, les enfants n’avaient pas cessé d’houspiller leur père : « On arrive quand ? Y aura une piscine ? On va où ? » Il n’avait répondu que par bribes, concentré sur la circulation. Son épouse somnolait ou elle faisait semblant. Après un petit déjeuner copieux, le père avait tout rangé soigneusement dans le coffre pendant que la maman avait accompagné les petits diables aux toilettes. Lui avait attendu sagement à l’ombre de la table en bois épais. Il s’était assoupi.
Le claquement des portières le fit sursauter. Il redressa la tête, déjà la voiture démarrait. « Ben et moi ? » pensa-t-il. Les grands yeux étonnés des petits qui lui faisaient de grands signes à la fenêtre arrière lui donnèrent du courage pour se lancer à la poursuite du véhicule. « C’est un jeu » se dit-il, « ils veulent voir combien de temps je mettrai à les rattraper, ils vont s’arrêter plus loin et se cacher. » Il galopa de plus en plus vite, sans peur, confiant en l’innocence de ce nouveau défi. C’était sans compter avec les bolides hurlants qui le frôlèrent. Il en évita un, puis un autre. Il louvoyait entre les carrosseries étincelantes sous le soleil de plomb, essayant de ne pas perdre de vue la belle voiture blanche où l’attendait sa couverture écossaise derrière le siège conducteur.
« Qu’est-ce qui s’est passé ? Sûr, ils se sont arrêtés et je suis en train de rêver aux pieds du petit Marco. »
Il sentit sur lui le souffle répété des véhicules qui passaient devant lui.
« Il y en a bien un qui va me voir, s’arrêter pour m’aider à les retrouver… »
Il sentait autour de lui le parfum de l’herbe écrasée qui se mêlait aux vapeurs des échappements. Le soleil lui sembla moins brûlant, il avait froid tout à coup, il ne sentait plus la douleur qui lui taraudait le dos il y avait à peine quelques minutes, ou était-ce quelques heures… ?
« Où sont-ils ? » Son esprit s’égarait, il avait envie de mordre et tenta de relever la tête. Il se sentait très faible.
« Eh, les petits ! Marco ! Suzy ! Je suis là ! » Il n’entendait plus la circulation que de loin. L’herbe autour de lui était humide à présent, elle avait changé d’odeur et dégageait un parfum qui curieusement réveillait son appétit.
A force de concentration il pu soulever les paupières et ne vit devant lui que le ciel d’un bleu si intense qu’il lui sembla irréel. Ce fut cette image qu’il emporta avec lui au paradis des amis à quatre pattes.
Il ne comprenait pas pourquoi il se retrouvait là ni où étaient ses maîtres, cependant il ne souffrait plus de ses blessures si ce n’est dans son cœur qui cherchait encore une réponse à la question qu’il se poserait à l’infini.
Marie Deluneq

left by poutounou on 21/07/2024  
Qu’elle est belle cette petite prière de Saint François d’Assise. C’est ce que nos Amours à quatre pattes font : Ils nous consolent, nous comprennent et nous aiment surtout… !!!
*
PRIÈRE SIMPLE
*
Seigneur, faites de moi un instrument de votre paix.
Là où il y a de la haine, que je mette l'amour.
Là où il y a l'offense, que je mette le pardon.
Là où il y a la discorde, que je mette l'union.
Là où il y a l'erreur, que je mette la vérité.
Là où il y a le doute, que je mette la foi.
Là où il y a le désespoir, que je mette l'espérance.
Là où il y a les ténèbres, que je mette votre lumière.
Là où il y a la tristesse, que je mette la joie.
*
Que je ne cherche pas tant
À être consolé, qu'à consoler ;
À être compris, qu'à comprendre ;
À être aimé, qu'à aimer.
*
• Car,
C'est en donnant, qu'on reçoit ;
C'est en s'oubliant, qu'on trouve ;
C'est en pardonnant, qu'on est pardonné ;
C'est en mourant, qu'on ressuscite à l'éternelle vie.
• *
(Saint François d'Assise)

left by colombine67 on 21/07/2024  
Quand ils ont claqué la portière
Il n'a pas compris tout de suite
Il a couru longtemps derrière
Mais la voiture allait trop vite
Et pendant des journées entières
Il a vu les autos passer
Mais vous, auriez-vous fait marche arrière
En voyant ce chien sans collier ?
Car après les premières caresses
Puis quelques mois d'indifférence
Beaucoup de chiens perdent leur laisse
Au début des grandes vacances…
Comme un objet que l'on jette
Quand il n'est plus au goût du jour
Il sera remplacé peut-être
Par un chien plus jeune au retour…
Le chien abandonné en été par ses maîtres
Flaire toujours la route et fait des kilomètres
Il traverse les villages et s'approche des enfants
Qui n'osent le caresser de peur qu'il soit méchant,
De peur qu'il soit méchant
Il n'a pas oublié ses maîtres
Depuis le jour qu'il vagabonde
Et pour les retrouver peut-être
Il ira jusqu'au bout du monde
Il n'a plus d'âge et plus de race
Qu'importe comment il s'appelle
Mais à le voir suivre leurs traces
Moi, je vais l'appeler Fidèle
Le chien abandonné en été par ses maîtres
Sur le bord d'un fossé vaut bien que l'on s'arrête
Qu'on ouvre sa portière pour le faire monter
Pour qu'un jour en été il n'y ait plus jamais
De chien abandonné.

left by colombine67 on 19/07/2024  
C'est dans l'aube chère à Verlaine
Que tu courais notre domaine
Humant l'air des quatre saisons
Odeurs de thym et de bruyère.
Sous tes pattes fraîches légères
S'élevaient comme une oraison,
Berger des landes familières
Tu vivais digne et solitaire.
Animal doué de raison
J'écris ce jour anniversaire
Où tu reposes sous la terre
A deux pas de notre maison
Jour après jour il faut l'admettre
Voir ceux qu'on aime disparaître
C'est ce qui fait vieillir trop tôt.
Au paradis des chiens peut-être
Ton long museau à la fenêtre
Tu nous accueilleras bientôt.
Au triple galop caracole,
Je vois tes pattes qui s'envolent,
Chevauchant l'herbe et les nuées.
Le vent siffle dans ton pelage,
Vole vole mon loup sauvage
Comme au temps des vertes années.
Jean Ferrat

left by poutounou on 17/07/2024  
Ce n’est pas l’amour qui fait si mal, c’est d’être sans toi…
*
TU ME MANQUES
*
Je suis assise ici, seule, si triste et solitaire. Je pense à toi souvent -- chaque minute du jour, me demandant comment tu vas, ce que tu fais, souhaitant te serrer dans mes bras.
*
Je suis assise, me souvenant de tout ce que nous avons partagé, rêvant à tout ce qui sera, et je verse une larme pour chaque minute sans toi.
*
Parfois, je crois en ma force et que le temps qui nous sépare s'écoulera vite, et puis parfois, je m'assieds et pleure et me demande pourquoi faut-il que l'amour fasse si mal...
*
Bien que parfois dans la solitude... quelque part dans le vide je me sente pourtant très aimée, et je réalise que ce n'est pas l'amour qui fait si mal... c'est d'être sans toi.
*
(Cathy Lynn Oaks)

left by poutounou on 14/07/2024  
Que c’est bien dit : « elle crie dans le silence ». Nous en avons « crié » des larmes quand vous êtes partis, doux Anges…
*
UNE LARME
*
Soudain elle surgit venue des profondeurs,
sa valeur est inestimable tant elle est vraie.
Plus riche qu'un trésor, elle perle au gré du moment,
scintillante de vérité et pourtant si indéchiffrable
qu'aucun n'eut pensé de la comprendre.
Merveille qu'elle est, elle s'écoule vivement
pour laisser fuir l'autre qui la suit.
Rempli de joie ou de mélancolie,
seul l'être qui la laisse filer peut la comprendre
car elle crie dans le silence.
*
Où il y a une larme,
il y a un coeur.

left by colombine67 on 14/07/2024  
Il y a un pont qui relie le Paradis et la Terre.
On l'appelle le 'Pont de l'Arc-en-ciel' à cause de ses nombreuses couleurs.
Au bout du Pont de l'Arc-en-ciel, il y a un pays de prairies,
de collines et de vallées luxuriantes.
Quand un de nos compagnons fidèle décède, il va là-bas.
Il y a toujours de l'eau et de la nourriture et un soleil d'un temps printanier.
Les animaux vieux et faibles sont jeunes à nouveau.
Ceux qui ont été blessés ou mutilés sont de nouveau en pleine forme.
Ils jouent ensemble toute la journée, Ils y sont heureux.
Une chose manque tout de même :
ils ne sont pas avec ceux qui les ont aimés sur terre.
Alors, chaque jour ils courent et jouent, jusqu'au moment où l'un d'eux
s'arrête soudain de jouer et regarde en l'air. Son nez s'agite !
Ses yeux fixent l'horizon ! Et tout d'un coup, il s'éloigne en courant
du groupe, volant au-dessus de l'herbe verte,
ses jambes le portant de plus en plus vite.
Il vous a vu, et, quand vous vous rencontrez,
vous prenez votre compagnon dans vos bras, et vous l'étreignez.
Les bisous pleuvent sur votre visage encore et encore et encore,
et vous caresser enfin à nouveau votre ami tant adoré.
Alors vous traversez ensemble le Pont de l'Arc-en-ciel,
pour ne plus jamais être séparé.

left by tazounette on 11/07/2024  
178 mois de manque de toi
178 mois de torture
178 mois ........
On t'aime pour toujours
Ma fille Ma bébé mon ange mon étoile

left by poutounou on 10/07/2024  
Juste toi et moi mon Ange
*
JUSTE
*
Si j'avais juste une seconde pour te voir
Juste une minute le temps de te faire une caresse
Juste un après-midi pour un moment dans tes pattes à rêver
Juste une journée toi et moi
Juste une semaine en vacances loin ensemble
Juste un mois pour me faire une place à tes côtés
Juste un an pour pouvoir m'épanouir à tes côtés
Juste une vie pour te dire : « Je t'aime »
*
Nathalie Auclair

left by choupinou on 10/07/2024  
Que le vent que vous souffle votre petit ange vous pousse toujours en avant et que le soleil illumine votre visage, que les vents du destin l'emmènent danser avec vous, auprès de vous, pour que celui ci vous énivre de sa douceur lorsque un instant vous fermez les yeux dans la chaleur de ce vent chaud, c'est votre petit amour qui vous étreint de son amour éternel

left by choupinou on 08/07/2024  
Vous savez ce que c'est la mélancolie ? Vous avez déjà vu une éclipse ? Et bien c'est ça : la lune qui se glisse devant le coeur, et le coeur qui ne donne plus sa lumière. La nuit en plein jour. La mélancolie c'est doux et noir. C'est la tristesse du coeur

left by poutounou on 07/07/2024  
Attention les neurones !!!
*
C'EST L'HISTOIRE DE...
*
C'est l'histoire de quatre individus: Chacun, Quelqu'un, Quiconque et Personne. Un travail important devait être fait, et on avait demandé à Chacun de s'en occuper. Chacun était assuré que Quelqu'un allait le faire. Quiconque aurait pu s'en occuper, mais Personne ne l'a fait. Quelqu'un s'est emporté parce qu'il considérait que ce travail était la responsabilité de Chacun. Chacun croyait que Quiconque pouvait le faire, mais Personne ne s'était rendu compte que Chacun ne le ferait pas. À la fin, Chacun blâmait Quelqu'un du fait que Personne n'avait fait ce que Quiconque aurait dû faire...
*
(Lamartine)

left by poutounou on 03/07/2024  
Petite pensée ! C'est tellement vrai ! Essayons juste de faire preuve d'indulgence.....
*
AVANT DE JUGER...
*
C'est tellement facile de trouver ce qui ne fonctionne pas dans la vie des autres.
Nous nous disons souvent :
"Si j'étais à sa place, je ferais telle chose, telle chose, telle chose !"
Mais avons-nous déjà pensé que si nous étions réellement à la place de l'autre personne, vraiment dans ses souliers, nous serions alors aux prises avec ses émotions, ses préjugés, ses réactions, ses inquiétudes, ses ambitions, ses objectifs, ses inhibitions, ses instincts ; bref, nous aurions son passé, son présent et son avenir et il est fort probable que nous agirions exactement de la même façon qu'elle.
*
Avant de condamner quelqu'un, essayons non seulement de le comprendre, mais de vibrer au même diapason que lui et nous constaterons alors que nos émotions ressemblent aux siennes.
*
(Auteur inconnu)




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