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En hommage à
Paco
BOXER
Il est né le:10/06/2008
Il nous a quittés le:26/05/2015
 


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En hommage à Paco

Mon Paco, mon tombeur des ces dames tu es né le 10 06 2008 et tu es rentré dans ma vie le 5 novembre 2010 jour où je t'ai sorti de la spa, tu avais déjà été abandonné deux fois et n'avais que 19 kg!

Tu n'auras seulement connu le vrai bonheur que 4ans et 6 mois, car aujourd'hui ce 26 mai 2015 est un jour atroce pour moi car je me suis donnée le pouvoir de décider la fin de ta vie sur terre et ça, je ne pourrai jamais l'oublier.
Pardon mon grand, cela a été une décision très difficile à prendre pour moi, mais c'est le coeur gros avec des larmes plein les yeux que j'ai appris que tu avais une saleté de crabe en toi, et que malgré tous les traitements que tu avais reçu, radiothérapie, chimiothérapie il avait pris le dessus.
Jusqu'au bout, j'ai voulu croire qu'un miracle se produirait..
mais plus aucun traitement n'était possible après ce dernier scanner fait le 19 mai 2015 dont le résultat était dramatique et qui montrait bien que cette p.....de chose t'avais envahis le crâne, et commençait à te bouffer petit à petit à une vitesse incroyable, j'ai commencé à réaliser que tu ne t'en sortirais pas et que je ne pouvais pas me permettre de te laisser souffrir,
et que cet acte de te laisser partir est le dernier geste d'Amour que je pouvais te donner, pardonne moi mon coeur.

Tu étais un loulou super gentil, câlin, obéissant aimant tout le monde, les deux pattes comme les quatre pattes ......... ton seul défaut était ta destruction, mais jamais au grand jamais je n'ai pensé aller t' abandonner, l'enfer des barreaux et la maltraitance c'étaient fini pour toi.

Je t'ai conduis chez notre vétérinaire à qui tu as encore fait la fête.
Je sais que tu avais compris
Car dans tes yeux s'est dessiné une larme
Cette larme m'a détruit m'a brisé....
J'aurai tant voulu ne pas la voir
Elle m'a culpabilisé
Elle a augmenté mon désespoir.... je t'ai accompagné jusqu'au bout , dans mes bras tu t'es blotti et je t'ai chuchoté à l'oreille combien je t'aimais et que ce n'était pas un adieu mais juste un au revoir car on se retrouverait là haut lorsque mon heure serait venue.
T'es beaux yeux alors se sont fermés et tu t'es endormi pour ne jamais te réveiller.

Au Paradis blanc,
les anges ne t'y attendaient pas si tôt, tu aimais la vie, tu aimais courir dans les prés et dans les bois, tu adorais les caresses, tu étais heureux et cela se voyait dans tes teux.
Ta disparition m'a plongé dans le plus grand désarroi, la maison est tellement vide aujourd'hui, même tes soeurettes Tekila et Diana ainsi que ton frérot Lyos te cherchent partout, là où il y a ton odeur....ils se couchent sur ton (tes) coussins..., l'atmosphère y est tellement pesante.
Je n'oublierai jamais ces merveilleuses trop courtes années que j'ai vécu près de toi.
Je n' oublierai pas ton bon coeur.
Je me souviendrai de la fierté que tu arborais.
Tu as été un compagnon fidèle, aimant et par dessus tout, tu as lutté de toutes tes forces jusqu'à ton dernier souffle avec tant de courage.

j'ai beau me dire que tu étais heureux,
que tu avais de quoi faire des envieux,
oui j'ai beau me dire tout cela,
mais la réalité,elle est bien là !
Sous mon toit tu n'es plus là,
dans mon espace il ne manque que toi,
ta place, même si le vide s'en est accaparé,
dans mon coeur, elle restera à jamais.

Je suis certaine que mon Spanky et mon Junior seront là pour t'accueillir, je compte sur toi pour leur dire de ma part que je les aime et qu'ils me manquent toujours autant, tu verras tu vas bien t'éclater avec Spanky car il était comme toi, il adorait jouer avec des ballons, avec
mon Juju qui était le plus boxérien des labradors il te montreras des bonnes positions pour faire des gros dodos. Ils ne te laisseront pas seul vous allez gambader tous les trois au paradis blanc là ou la maladie et la souffrance
n'existent plus avec tous les autres copains et copines qu'ils te feront connaître.

Je t'aime et t'aimerai toujours mon Paco et tu resteras pour toujours dans mon coeur.

Gros gros bisous sur ton si beau museau mon ange.




70 bougies

20407 Fleurs
Déposé par Chantalotte21
Déposé par Chantalotte21
Ce bouquet en hommage à Paco. Repose en paix mon beau et veille bien sur tes maîtres qui ont tant de chagrin.
Déposé par MAMYLYNE
Déposé par MAMYLYNE
Dors en paix petit ange
Déposé par elise2512
Déposé par elise2512
Une belle et douce pensée pour Paco
Déposé par spanky
Déposé par spanky
Que ma maison est vide sans toi mon coeur, j'aimerais que tu reviennes, je suis anéantie... je t'aime tant mon Paco d'Amour. Gros gros bisous mon ange.
Déposé par DivaBibi
Déposé par DivaBibi
Tendres pensées petit coeur.
Déposé par papyrus
Déposé par papyrus
Déposé par rafia
Déposé par rafia
BIENVENUE au Paradis, ami PACO..tu y trouveras de nouveaux amis...dont ns, Niagara, Rafia, Punky, Rock...et Paramour.
Déposé par Alexlyly
Déposé par Alexlyly
Déposé par cathy46
Déposé par cathy46
R.I.P. auprès de mes deux anges, Paco, beaucoup de courage à ta famille
Déposé par superfetatoire
Déposé par superfetatoire
Déposé par mistral
Déposé par mistral
famille MISTRAL DE LA SAUVAGETTE ET RAMSES II
Déposé par spanky
Déposé par spanky
Coucou mon coeur, qu'est ce que tu peux me manquer, ma maison est bien vide sans toi. Je t'aime mon Paco d'Amour
Déposé par christine71
Déposé par christine71
28/05/15 Pour Paco, repose en paix petit Ange, courage à vous et toutes mes pensées de soutien ....
Déposé par michelpat51
Déposé par michelpat51
doux repos petit ange prés de mes amours courage a ta famille
Déposé par michel51
Déposé par michel51
bel hommade pour paco doux repos prés de mes amouurs
Déposé par Gwen60
Déposé par Gwen60
Repose en paix Paco, réconfort à ta famille
Déposé par vacodile
Déposé par vacodile
Doux repos,petit coeur.
Déposé par mumubert
Déposé par mumubert
gros bisous pour toi
Déposé par ovanek
Déposé par ovanek
Belle pensée 27/05/2015
Déposé par Jacky50
Déposé par Jacky50
Doux repos Paco


2613 messages

Déposé par poutounou le 03/08/2015  
Quel beau programme !
*
FARNIENTE
*
Quand je n’ai rien à faire, et qu’à peine un nuage
Dans les champs bleus du ciel, flocon de laine, nage,
J’aime à m’écouter vivre, et, libre de soucis,
Loin des chemins poudreux, à demeurer assis
Sur un moelleux tapis de fougère et de mousse,
Au bord des bois touffus où la chaleur s’émousse.
Là, pour tuer le temps, j’observe la fourmi
Qui, pensant au retour de l’hiver ennemi,
Pour son grenier dérobe un grain d’orge à la gerbe,
Le puceron qui grimpe et se pend au brin d’herbe,
La chenille traînant ses anneaux veloutés,
La limace baveuse aux sillons argentés,
Et le frais papillon qui de fleurs en fleurs vole.
Ensuite je regarde, amusement frivole,
La lumière brisant dans chacun de mes cils,
Palissade opposée à ses rayons subtils,
Les sept couleurs du prisme, ou le duvet qui flotte
En l’air, comme sur l’onde un vaisseau sans pilote ;
Et lorsque je suis las, je me laisse endormir,
Au murmure de l’eau qu’un caillou fait gémir,
Ou j’écoute chanter près de moi la fauvette,
Et là-haut dans l’azur gazouiller l’alouette.
*
Théophile Gautier, Premières Poésies

Déposé par choupinou le 03/08/2015  

Nul ne l'a vue et, dans mon cœur,
Je garde sa beauté suprême ;
(Arrière tout rire moqueur !)
Et morte,mort je l'aime, je l'aime.
J'ai consulté tous les devins,
Ils m'ont tous dit : « C'est la plus belle,le plus beau ! »
Et depuis j'ai bu tous les vins
Contre la mémoire rebelle.
Oh ! son joli poil livrés au vent !
Ses yeux, crépuscule d'automne !
Ses aboiements qu'encore souvent
J'entends dans la nuit monotone.
C'était la plus belle/le plus beau à jamais,
Parmi les chiennes/chiens de la terre...
Et je l'aimais, oh ! je l'aimais
Tant, que ma bouche doit se taire.
Je n'ai pas honte de ce que je dis ;
Car nul ne saura oh combien je l'aimais
l'amour,était si fort si puissant pour elle/lui partie/i au paradis
Que je garde au fond de mon âme,notre histoire inachevée
Que ces mots restent enfouis,
a jamais dans mon coeur mémoire douce
Comme un coffret plein de louis
Au pied du mur couvert de mousse.,

Déposé par colombine67 le 03/08/2015  
Lueurs d’Âme
Quand une porte se ferme, une autre s’ouvre.
Qu’est-ce que je suis en train de faire de ma vie ?
Les difficultés ne sont pas là pour me décourager,
mais pour me faire découvrir quelque chose.
Je cesse de me sentir obligée de faire ce que les autre attendent de moi,
je suis vraie avec moi-même.
Je cesse d’attendre, car ce qui doit arriver viendra de toutes façons.
Je vis dans l’instant présent, sans me soucier du passé ou du futur
Je prends contact avec ma force intérieure.
Je règle ma situation devenue intolérable, je m’en libère.
Je porte attention aux coïncidences, puisque le hasard n’existe pas.
J’assume ma vie et je cesse de déléguer mon pouvoir aux autres.
Tout découle de mon attitude Intérieure.
Plus la place est prise par mes peurs,
moins j’ai d’espace pour la Joie et l’Amour.
Aujourd’hui, je dis Oui au changement.
Aujourd’hui, je me dégage de ma culpabilité,
je me pardonne et m’accepte telle que je suis.
La vie est un cadeau et je l’accepte, même si je l’ai mal emballé.
Je souris à la Vie et je rayonne sur mon entourage.
Je définis mes vrais besoins et abandonne les faux désirs.
Aujourd’hui, je me respecte et ne renonce pas à mes projets,
même si les autres ne sont pas d’accord.
Je cherche à ressentir le sens réel dans tout ce qui m’arrive.
Chaque personne que je rencontre détient un message
et j’en détiens un pour elle : je suis à l’écoute.
Je re-crée ma Vie, ma vie est le résultat de mes choix quotidiens.
Je ne cherche plus le chemin du bonheur, car le bonheur, c’est le chemin.
Le bonheur, c’est de se sentir remplie d’Amour, de le recevoir et de le redonner.

Déposé par rafia le 02/08/2015  
Une petite flamme
Une petite flamme
Un éclat de lumière
Fragile et solitaire
Perdu dans l'univers
Une petite flamme
Qui vacille parfois
Dans le triste et le froid
Mais qui ne s'éteint pas
Une petite flamme
A peine une étincelle
Silencieuse et fidèle
Comme un écho du ciel
Une petite flamme
Eclairant le chemin
Et chassant l'air de rien
Les noirceurs du chagrin
Elle me disait mon rêve à moi
C'est chanter le feu de mon âme
Et embraser ce que je vois
Moi je voudrais devenir flamme
Devenir une flamme
Brûler par tous les temps
Et répondre en dansant
Aux colères du vent
Devenir une flamme
Et donner sans compter
Tout l'or d'un feu sacré
Sans jamais l'épuiser
Devenir une flamme
Et chanter l'éphémère
L'exil de la lumière
La brûlure du mystère
Devenir une flamme
Faire reculer le noir
Et rallumer l'espoir
Aux grisailles des regards
Elle me disait mon rêve à moi
C'est dissiper le vague à l'âme
Faire voler le rire en éclats
Devenir un jour une flamme
Etre un jour une flamme
Pouvoir vaincre la nuit
Sans combat et sans bruit
D'une étincelle de vie
Etre un jour une flamme
Et brûler l'inutile,
L'encombrant, le futile
Et les guerres imbéciles
Etre un jour une flamme
Qui se tait et espère
Silencieuse prière
Quand le monde se perd
Etre un jour une flamme
Légère comme une aile
Et semer dans le ciel
Des milliers d'étincelles
Elle me disait mon rêve à moi
Quand je serai une vieille dame
C'est d'être passionnément là
Et ne plus être qu'une flamme
N'être plus qu'une flamme
Une flamme qui danse
Obstinée dans l'enfance
N'être qu'incandescence
N'être plus qu'une flamme
N'être qu'une lueur,
Un éclat, une chaleur
Un murmure du cœur
N'être plus qu'une flamme
N'avoir pour seul recours
Que de brûler toujours
D'infini et d'amour
N'être plus qu'une flamme
N'être qu'une poussière
D'étoile qui éclaire
A des années-lumière
Et brûler comme un feu de joie
Chauffant le corps autant que l'âme
Même en cendres, renaître, tu vois
Pour redevenir une flamme
Une petite flamme
Qui chante l'éphémère
Un éclat de lumière
Dansant dans l'univers
(Fabienne Marsaudon)

Déposé par colombine67 le 02/08/2015  
LE COLLIER DE PERLE..
EST UNE HISTOIRE VRAIE ET VRAIMENT BELLE!
Une belle petite fille enjouée avec des boucles blondes de presque 5 ans, en attendant avec sa maman près de la caisse, aperçoit un collier de perles toutes brillantes en nacre dans une boite en aluminium rose!
'Oh s'il te plait, maman, est-ce que je peux les avoir? Maman je t'en supplie, s'il te plait?'
Vivement la maman regarda à l'arrière de la boite rose et se tourna vers ces petits yeux bleus qui lui suppliaient avec sa petite frimousse tournée vers le haut.
'$1.85. C'est presque 2 dollars. Tu sais, si tu les veux vraiment, tu peux faire des choses extra à la maison et en un rien de temps tu auras assez d'argent pour les acheter toi-même. Et ton anniversaire est seulement dans une semaine, tu auras surement des sous de ta grand-maman aussi.'
Aussitot que Jenny retourna à la maison, elle vida sa petite tirelire en forme de cochon... elle calcule 17 cents. Après le diner, elle a fait plus que demander pour aider à la maison et ensuite elle a été chez la voisine Mme. Mc James en lui demandant si elle pouvait arracher ses mauvaises herbes pour 10 cents?
À son anniversaire, sa grand maman lui donna un autre dollar et enfin elle avait assez d'argent pour s'acheter le collier. Oh, Jenny adorait ses perles. Ça la faisait sentir madame et grande fille. Elle les portait partout à l'église le dimanche, à la garderie, même au lit!
Les seules fois qu'elles les enlevaient c'était pour nager ou prendre un bain. Car sa maman lui avait dit que si elles étaient trempées, elles tourneraient peut-être son cou vert.
Jenny avait un père qui l'aimait beaucoup et à chaque soir quand il était temps de la mettre au dodo, il arrêtait tout ce qu'il faisait pour aller lui raconter une belle histoire.
Un soir, après avoir terminé son histoire, il demanda a Jenny, 'Est-ce que tu m'aimes?'
'Oh que oui papa, tu le sais que je t'aime'
'Alors, donne-moi tes perles.'
' Oh, papa, pas mes perles. Mais tu peux avoir ma Princesse- le cheval blanc de ma collection. Celle avec la queue rose. Tu te souviens papa? C'est toi qui me l'a offerte. C'est ma préférée.'
'C'est ok, ma puce. Papa t'aime. Bonne nuit' Et comme toujours lui effleura la joue avec un bécot.
Environ une semaine plus tard, après le conte du soir, le papa de Jenny lui demanda encore, 'Est-ce que tu m'aimes?'
'Papa , tu sais que je t'aime'
'Alors, donne-moi tes perles.' 'Oh papa, pas mes perles. Mais tu sais tu peux avoir ma poupée, la nouvelle, elle est toute neuve, celle que j'ai recue pour mon anniversaire, elle est si belle et tu peux même avoir la petite couverture jaune qui est appareillée à ses souliers.'
'C'est ok. Dors bien. Que Dieu te bénisse, ma puce. Papa t'aime.' Et comme toujours, il lui caressa la joue tendrement avec un bécot.
Quelques soirs passèrent, et un soir quand son papa est entré dans la chambre, Jenny était assise comme une indienne au pied du lit. Comme il s'approchait d'elle, il remarqua son petit menton tout tremblant et une larme silencieuse qui coulait sur sa petite joue.
'Mais qu'as-tu Jenny? Qu'est-ce qui se passe?'
Jenny ne dit rien mais leva ses petites mains menues vers son papa. Et quand elle les ouvra, le collier de perles y était. Avec une voix tremblante elle lui dit, 'Voilà papa, c'est pour toi.'
Avec ses propres larmes qui coulaient sur son visage, le gentil papa de Jenny pris les fausses perles d'une main et de l'autre sorti de sa poche, un étui en velours bleu avec un collier en perles véritables et lui donna.
Il les avaient depuis le début. Il attendait seulement qu'elle lui donne les fausses perles pour qu'il puisse lui donner le vrai trésor.
Comme Dieu, il attend de nous qu'on lui donne les choses fausses à quoi on tient dans notre vie, pour les remplaçer par un trésor magnifique.
Tenez-vous à quelque chose que Dieu veut que vous vous débarassiez?
Avez-vous des compagnons qui ne sont pas nécessaire et vous font mal? Des habitudes, des activités, auxquelles vous êtes si habitué et attaché qu'il semble impossible de se débarrasser?
Parfois c'est difficile de voir ce que l'autre main retient, mais croyez en une chose....* Dieu ne prendra jamais quelque chose à quoi vous tenez sans le remplacer par quelque chose de mieux!
Vous pouvez faire 2 choses avec cette histoire
a) Vous la passez aux autres qui en seront touchés
b) Vous pouvez la jeter et ne pas en être touché.
Les plus beaux cadeaux arrivent, quand vous partagez l'amour et que vous touchez les autres au coeur.*

Déposé par rafia le 01/08/2015  
{De Là-haut} (Interprète Thierry AMIEL)
De ce temps-là, je n'entends plus ma voix
De ce temps-là, je ne guide plus mes pas
De ce temps-là, je sais que je vais mais ne marche pas
Sans aucun repos, j'avance puisqu'il le faut
De là-haut, peux-tu me dire si les mots sont plus beaux?
Peux-tu me dire si l'air est aussi chaud?
Est-ce que tu le sens, est-ce que tu m'entends?
Désormais, s'il fait un peu plus frais
Ce n'est pas que le temps soit mauvais
Mais il est vrai que je me perds dans ce monde imparfait
Ni meilleur, ni plus laid mais juste un pâle reflet
De là-haut, peux-tu me dire si les mots sont plus beaux?
Peux-tu me dire si l'air est aussi chaud?
Est-ce que tu le sens, est-ce que tu m'entends?
Tous mes mots? Peux-tu me dire si leur sens est plus beau?
Peux-tu me dire si leur souffle est plus chaud?
Et s'ils te réconfortent, là où il t'emportent
Je ne rêve qu'en noir et blanc
Mes souvenirs se mêlent de sang et pourtant
Je me lève pour faire semblant de vivre comme un vivant
De là-haut, peux-tu me dire si les mots sont plus beaux?
Peux-tu me dire si l'air est aussi chaud?
Est-ce que tu le sens, est-ce que tu m'entends?
Tous mes mots? Peux-tu me dire si leur sens est plus beau?
Peux-tu me dire si leur souffle est plus chaud?
S'ils te réconfortent, là où ils t'emportent... de
là-haut.

Déposé par colombine67 le 01/08/2015  
L'ARC-EN-CIEL
Un beau jour, toutes les couleurs du monde entier se mirent à se disputer. Chacune prétendait qu'elle était la plus belle, la plus importante, la plus utile, la préférée !
Elles se vantaient, à haute voix, chacune étant convaincue d'être la meilleure. Le bruit de leur querelle s'enfla de plus en plus.
Soudain, un éclair d'une lumière aveuglante apparut dans le ciel, accompagné de roulements de tonnerre. La pluie commença à tomber à torrents sans discontinuer.
Effrayées, toutes les couleurs se tapirent et se rapprochèrent pour chercher un abri les unes près des autres.
La pluie prit la parole :
"Stupides créatures qui vous battez entre vous, chacune essayant de dominer l'autre, ne savez-vous pas que c'est le Grand Esprit qui vous a faites toutes, chacune dans un but particulier, uniques et différentes ?
Il aime chacune d'entre vous, il a besoin de vous toutes. Joignez vos mains et venez à moi. Il va vous étendre à travers le ciel en un magnifique arc-en-ciel, pour vous montrer qu'il vous aime toutes, que vous pouvez vivre ensemble en paix. Comme une promesse qu'il est avec vous et comme un signe d'espérance pour demain ..."
Ainsi, chaque fois que le Grand Esprit envoie une pluie pour laver le monde, il place l'arc-en-ciel dans son ciel, et quand nous l'apercevons, nous devrions nous rappeler qu'il veut que nous sachions, nous aussi, nous apprécier les uns les autres et le louer de notre merveilleuse complémentarité.
Légende Amérindienne

Déposé par rafia le 31/07/2015  
La grande erreur, c'est de s'imaginer que ceux que la mort emporte nous quittent ; ils ne nous quittent pas, ils restent... nous ne les voyons pas, parce qu'un nuage obscur nous enveloppe, mais eux nous voient. Ils tiennent leurs yeux pleins de gloire arrêtés sur nos yeux pleins de larmes. Ce qui pourrait le mieux consoler ceux qui pleurent, c'est l'intuition claire, pénétrante, que par la mort, ils ne sont ni éloignés, ni même absents, mais vivants, près de nous, heureux, transfigurés et n'ayant perdu dans ce changement glorieux ni une délicatesse de leur âme, ni une tendresse de leur coeur, ni une préférence de leur amour.
D'après Mgr Bougaud

Déposé par Galinette3 le 31/07/2015  

🐶
Depuis que je suis devenu chien
A force de ne plus pouvoir sentir les hommes,
J'ai de l'amour pour mon prochain.
Je me sens plus humain, plus humain en somme.
🐶
Tout avait si bien commencé :
Petit Français moyen, propre et bien dressé,
On me disait civilisé.
Mais dans la suffisance je m'étais installé.
🐶
La nuit de ma transformation
Alors que je n'avais plus d'espoir en ma race,
J'ai dit : "Ce soir est le bon
Changeons enfin de corps, changeons de carapace".
🐶
Depuis que je suis devenu chien,
Je vis la vie dont j'ai rêvé.
Depuis que je ne suis plus humain,
J'ai retrouvé mon humanité.
🐶
Le premier jour de ma vie de chien,
Grâce à mon nouveau point de vue,
L'humilité m'est revenue soudain,
De moi, je n'étais plus imbu.
🐶
Et quand mon ventre gargouille de faim,
Quand j'ai les crocs de viande crue,
Je fais le siège à la boucherie du coin
Avec un air de chien battu.
🐶
A force de vivre ma nouvelle vie de chien
J'ai vu combien j'étais heureux.
Quand je trimballe mes puces sur les chemins
Je me sens libre, même si ça gratte un peu.
🐶
Depuis que je suis devenu chien
Je vis la vie dont j'ai rêvé.
Depuis que je ne suis plus humain,
J'ai retrouvé mon humanité.
🐶
Allez ... Solo ....
🐶
Le chhien par Thomasi (2006 "Lundi dans la Lune")

Déposé par colombine67 le 31/07/2015  
"Considérez vos rêves
comme les enfants de votre Âme
Et accordez-leur toute votre attention,
car ils sont à l'origine de vos accomplissements".
....alors, j'ai pensé à cette fabuleuse chanson d'Yves Duteil dont je me permets de vous rappeler les paroles. Puissent-elles faire souffler un vent d'innocence sur chaque coin du Monde qui constitue notre si Belle Planète et chasser les odeurs de violence et de cruauté :
Prendre un enfant par la main
Pour l'emmener vers demain.
Pour lui donner la confiance en son pas
Prendre un enfant pour un roi.
Prendre un enfant dans ses bras
Et pour la première fois
Sécher ses larmes en étouffant de joie
Prendre un enfant dans ses bras.
Prendre un enfant par le coeur
Pour soulager ses malheurs,
Tout doucement, sans parler, sans pudeur,
Prendre un enfant sur son coeur.
Prendre un enfant dans ses bras
Mais pour la première fois
Verser des larmes en étouffant sa joie,
Prendre un enfant contre soi.
Prendre un enfant par la main
Et lui chanter des refrains
Pour qu'il s'endorme à la tombée du jour,
Prendre un enfant par l'amour.
Prendre un enfant comme il vient
Et consoler ses chagrins,
Vivre sa vie des années puis soudain,
Prendre un enfant par la main,
En regardant tout au bout du chemin
Prendre un enfant pour le sien.
Je vous remercie tous de vous montrer si "Beaux"...

Déposé par colombine67 le 30/07/2015  
Toi dont la voix s’entend dans le souffle de la brise,
Toi dont l’haleine donne vie au monde,
Nous avons besoin de ta force et de ta sagesse.
Fais que nous marchions dans ta beauté,
Que jamais nos yeux ne se lassent de contempler
les ors et les pourpres du soleil couchant.
Aide-nous à lire les messages que tu as cachés dans les feuilles et les rochers.
Rends-nous sages, afin que nous saisissions ce que tu nous as enseigné.
Fais que nous soyons toujours prêts à venir à toi
les mains propres et le regard clair.
Ainsi quand la vie s’éteindra comme s’éteint le couchant,
sans honte, nos esprits pourront venir à toi.
Transforme nos cœurs afin que nous n’enlevions jamais
à la beauté de ta création plus que nous ne lui donnons.
Apprend-nous à ne jamais rien détruire à la légère
pour satisfaire notre avidité, à ne jamais oublier de prêter nos mains
pour édifier la beauté de la terre ;
à ne jamais prendre ce dont nous n’avons pas besoin.
Rends-nous capables de comprendre que détruire la musique de la terre,
c’est créer la confusion, ruiner son apparence,
et nous rendre aveugles à la beauté.
Polluer son doux parfum par notre insouciance,
c’est en faire une maison de puanteur.
Mais si nous prenons soin d’elle, la terre prendra soin de nous.
(prière amérindienne)

Déposé par poutounou le 29/07/2015  
Une très belle histoire avec une belle fin comme on les aime…
*
A la Réunion, un chien s'évade du chenil de la SPA et fait 10 km pour retrouver son frère!
*
Le comportement des animaux n'a pas fini de nous surprendre.
*
Christian, en adoptant Atchy à la SPA de Sainte-Marie, était loin d'imaginer qu'il allait en fait adopter aussi le frère de l'animal. "En adoptant ce chien, j'avais remarqué un autre chien qui avait l'air triste. En fait, c'était son frère", explique-t-il.
*
Ne souhaitant adopter qu'un seul chien, Christian emmène Atchy chez lui.
*
Quinze jours plus tard, Atchy s'est parfaitement habitué à son nouveau domicile. "C'est un chien très gentil", indique Marie-Lina, l'épouse de Christian.
*
Jeudi dernier, Marie Lina remarque un chien au rond-point de la Rivière des Pluies. "Je ne pouvais savoir qu'il s'agissait en fait du frère d'Atchy", affirme Marie-Lina, laissant transparaître son émotion.
*
Dimanche dernier, toute la famille est surprise de voir Atchy aboyer pendant un long moment après un autre chien au portail. "Ils ont longtemps aboyé et j'ai fini par ouvrir le portail", raconte Christian. "Quand l'autre chien est entré, il s'est mis tout de suite à jouer avec Atchy. J'en ai eu des frissons à cause de l'émotion qui est monté à cet instant. Le lendemain, lorsque j'ai appelé la SPA, ils m'ont expliqué que ce deuxième chien était le frère d'Atchy et qu'il s'était échappé depuis plusieurs jours, sûrement parce que son frère lui manquait trop".
*
Appelé Rex, le frère d'Atchy est encore un peu maigre à cause de son périple de plusieurs jours pour effectuer les 10 km qui séparent le chenil de la SPA de la maison de Christian et Marie-Lina . Depuis, les deux chiens ne se quittent plus et ils ont droit chaque soir à une petite balade dans le quartier de Beauséjour.
*
Aujourd'hui, Christian et Marie-Lina s'interrogent. Comment Rex a-t-il fait pour retrouver la maison où Atchy avait été emmené ? S'est-il servi de son odorat pour y arriver ? Ou est-ce que ce sont plutôt les aboiements d'Atchy qui étaient audibles à 10km de distance et qui ont guidé Rex jusqu'à Beauséjour ? Une bien belle histoire en tous les cas...

Déposé par choupinou le 29/07/2015  
"La légende du pont de l’arc en ciel"
"Il y a là-bas un pont qui connecte le ciel et la terre, on l'appelle le Pont de l'Arc-en-ciel"
Dans cette partie du Paradis existe un endroit nommé Pont de l'Arc-en-ciel.
Lorsque meurt un animal de compagnie, il se rend dans ce pays qui connecte le Ciel avec la Terre.
On y retrouve là-bas, prairies ondoyantes, paisibles collines et vallées luxuriantes et tous les amis à quatre pattes qui y sont réunis peuvent y courir et s'amuser ensemble.
Ils peuvent enfin y creuser tous les trous qu'ils désirent, courir dans de jolies plates-bandes, se rouler dans de généreux marais, bref toutes les interdictions terrestres n'y font plus loi.
Dans cette contrée lointaine abonde eau, nourriture et soleil, et tous nos amis y sont confortables et bien au chaud, à moins que l'on ne décide d'aller courir un peu dans les hautes montagnes coiffées de neiges éternelles.
Ceux qui étaient malades ou trop vieux ont recouvré ici santé et vigueur; ceux qui étaient blessés ou infirmes sont devenus sains et forts, ceux qui étaient abandonnés, négligés ou maltraités ont enfin trouvé chaleur et réconfort.
Les animaux sont heureux et en paix, mais pour un grand nombre d'entre eux, il manque quelque chose de précieux à leur cœur.
Ils ont perdu quelqu'un de très spécial qu'ils aimeraient tellement avoir de nouveau à leurs côtés.
Des jours de bonheur se coulent donc doucement dans d'interminables jeux et courses folles à l'intérieur de cette grande meute pacifique.
Mais un jour, arrivera le temps ou l'un d'eux s'arrêtera soudainement, tous ses sens se tiendront aux aguets.
Ses yeux perçants miroiteront de mille feux, ses oreilles attentives se dresseront tels des miradors, son corps frénétique palpitera de toutes parts.
L'élu commencera à courir hors du groupe, volant au-dessus des verts pâturages, traversant les larges rivières, ses pattes le portant de plus en plus vite, de plus en plus haut.
Ça y est, vous le voyez courir vers vous dans ce point de lumière au bout du tunnel... en toute fidélité votre chien vous a repéré entre tous et il est venu à cette ultime rencontre.
Vous souriez !
Enfin, vous vous retrouvez ensemble, ses joyeux bisous d'antan pleuvant de partout sur votre visage, vos mains pouvant à nouveau caresser son cou, son flanc, sa tête, vous pouvez enfin plonger votre regard dans les yeux confiants et aimants de votre chien.
Plus rien ne pourra dorénavant vous séparer, vous serez à jamais réunis.
Ainsi vous traverserez ensemble le Pont de l'Arc-en-ciel..."

Déposé par colombine67 le 29/07/2015  
LE CONTE DE GRAND-PAPA QUI N'AIMAIT PAS LES GÂTEAUX
Il était une fois un vieux grand-père qui assistait au repas de mariage de sa dernière petite-fille. Il était heureux, serein, apaisé devant le merveilleux spectacle de toute sa famille réunie. Leur joie, leur bonheur à tous l'entouraient d'une émotion tendre.
Comme elle était belle, sa petite-fille dans une éblouissante robe blanche ! Elle riait de bon cœur en découpant avec son jeune époux la somptueuse pièce montée toute scintillante de caramel blond et de dragées roses.
- Servez-vous tous et faites passer à vos voisins de table, disait-elle en déposant les choux tout rebondis de crème sur les assiettes chaudes.
Quand la petite-fille passa l'assiette à son grand-père :
- Tiens, Pépé Paco ! prends donc du gâteau !
- Mais non ! fais passer le plat, l'interrompit sa mère, toujours attentive, tu sais que Pépé n'aime pas les gâteaux.
Il y eut un instant de silence et l'on entendit soudain la voix joyeuse du grand-père :
- Mais oui ! j'aime les gâteaux. Tiens, je vais prendre ce beau chou-là.
Regard stupéfait de sa fille.
- Comment ça, tu aimes les gâteaux ? Mais tu n'as jamais aimé les gâteaux ! Moi ta fille, j'ai cinquante ans et je ne t'ai jamais vu manger un gâteau de toute ma vie...
- De ta vie à toi, ma fille, oui…Mais pas de la mienne ! C'est que je les aime, les gâteaux ! J'ai toujours aimé les gâteaux… Seulement, nous étions si pauvres quand vous étiez petits avec tes sœurs et ton frère, tu le sais bien…Des gâteaux, votre mère ne pouvait en acheter qu'une fois de temps en temps, et encore seulement les dimanches de fête… Elle en prenait un pour chacun, c'est sûr, mais moi, quand je voyais tes yeux à toi, ma toute petite, quand tu venais t'asseoir sur mes genoux et que tu dévorais ton gâteau avec tant de plaisir, mon plaisir à moi, tu vois, c'était de te regarder manger mon gâteau que je te donnais si volontiers. Et j'ajoutais toujours pour que ton plaisir soit complet : " Mange ma petite petitounet, va !…moi je n'aime pas les gâteaux : "
Le grand-père en disant cela souriait tendrement, dodelinant doucement de la tête. Il dit encore en riant franchement :
- Tiens, ma fille, aujourd'hui c'est fête, donne-moi aussi celui qui reste sur le plat, là… D'ailleurs il va finir par tomber si tu continues à trembler comme ça ! Tu as froid ou c'est l'émotion de marier ta fille ?
Il arrive quelquefois que les cadeaux d'amour mettent de longues années avant d'être reconnus comme tels. Il suffit parfois d'un moment de tendresse, qui vient se poser sur un souvenir avec la délicatesse d'un pétale de fleur pour qu'ils se révèlent au grand jour.

Déposé par rafia le 28/07/2015  
La nuit n’est jamais complète.
Il y a toujours, puisque je le dis,
Puisque je l’affirme,
Au bout du chagrin
Une fenêtre ouverte,
Une fenêtre éclairée,
Il y a toujours un rêve qui veille,
Désir à combler, Faim à satisfaire,
Un cœur généreux,
Une main tendue, une main ouverte,
Des yeux attentifs,
Une vie, la vie à se partager.
La nuit n’est jamais complète. Paul Eluard

Déposé par colombine67 le 28/07/2015  
Un Roi avait pour fils unique un jeune Prince courageux, habile et intelligent. Pour parfaire son apprentissage de la Vie, il l'envoya auprès d'un Vieux Sage.
- Eclaire-moi sur le Sentier de la Vie, demanda le Prince.
- Mes paroles s'évanouiront comme les traces de tes pas dans le sable, répondit le Sage. Cependant je veux bien te donner quelques indications. Sur ta route, tu trouveras 3 portes. Lis les préceptes indiqués sur chacune d'entre elles. Un besoin irrésistible te poussera à les suivre. Ne cherche pas à t'en détourner, car tu serais condamné à revivre sans cesse ce que tu aurais fui. Je ne puis t'en dire plus. Tu dois éprouver tout cela dans ton coeur et dans ta chair. Va, maintenant. Suis cette route, droit devant toi.
Le Vieux Sage disparut et le Prince s'engagea sur le Chemin de la Vie.
Il se trouva bientôt face à une grande porte sur laquelle on pouvait lire
CHANGE LE MONDE
« C'était bien là mon intention, pensa le Prince, car si certaines choses me plaisent dans ce monde, d'autres ne me conviennent pas» et il entama son premier combat. Son idéal, sa fougue et sa vigueur le poussèrent à se confronter au monde, à entreprendre, à conquérir, à modeler la réalité selon son désir. Il y trouva le plaisir et l'ivresse du conquérant, mais pas l'apaisement du coeur. Il réussit à changer certaines choses mais beaucoup d'autres lui résistèrent.
Bien des années passèrent.
Un jour il rencontra le Vieux Sage qui lui demande :
- Qu'as-tu appris sur le chemin ?
- J'ai appris, répondit le Prince, à discerner ce qui est en mon pouvoir et ce qui m'échappe, ce qui dépend de moi et ce qui n'en dépend pas.
- C'est bien, dit le Vieil Homme. Utilise tes forces pour agir sur ce qui est en ton pouvoir. Oublie ce qui échappe à ton emprise.
Et il disparut.
Peu après, le Prince se trouva face à une seconde porte. On pouvait y lire
CHANGE LES AUTRES
« C'était bien là mon intention, pensa-t-il. Les autres sont source de plaisir, de joie et de satisfaction mais aussi de douleur, d'amertume et de frustration.» et il s'insurgea contre tout ce qui pouvait le déranger ou lui déplaire chez ses semblables. Il chercha à infléchir leur caractère et à extirper leurs défauts. Ce fut là son deuxième combat.
Bien des années passèrent.
Un jour, alors qu'il méditait sur l'utilité de ses tentatives de changer les autres, il croisa le Vieux Sage qui lui demanda :
- Qu'as-tu appris sur le chemin ?
- J'ai appris, répondit le Prince, que les autres ne sont pas la cause ou la source de mes joies et de mes peines, de mes satisfactions et de mes déboires. Ils n'en sont que le révélateur ou l'occasion. C'est en moi que prennent racine toutes ces choses.
- Tu as raison, dit le Sage. Par ce qu'ils réveillent en toi, les autres te révèlent à toi-même. Soit reconnaissant envers ceux qui font vibrer en toi joie et plaisir. Mais sois-le aussi envers ceux qui font naître en toi souffrance ou frustration, car à travers eux la Vie t'enseigne ce qui te reste à apprendre et le chemin que tu dois encore parcourir.
Et le Vieil Homme disparut.
Peu après, le Prince arriva devant une porte où figuraient ces mots
CHANGE-TOI TOI-MEME
« Si je suis moi-même la cause de mes problèmes, c'est bien ce qui me reste à faire» se dit-il. Et il entama son 3ème combat. Il chercha à infléchir son caractère, à combattre ses imperfections, à supprimer ses défauts, à changer tout ce qui ne lui plaisait pas en lui, tout ce qui ne correspondait pas à son idéal. Après bien des années de ce combat où il connut quelque succès mais aussi des échecs et des résistances, le Prince rencontra le Sage qui lui
demanda :
- Qu'as-tu appris sur le chemin ?
- J'ai appris, répondit le Prince, qu'il y a en nous des choses qu'on peut améliorer, d'autres qui nous résistent et qu'on n'arrive pas à briser.
- C'est bien, dit le Sage.
- Oui, poursuivit le Prince, mais je commence à être las de ma battre contre tout, contre tous, contre moi-même. Cela ne finira-t-il jamais ? Quand trouverai-je le repos ? J'ai envie de cesser le combat, de renoncer, de tout abandonner, de lâcher prise.
- C'est justement ton prochain apprentissage, dit le Vieux Sage. Mais avant d'aller plus loin, retourne-toi et contemple le chemin parcouru.
Et il disparut.
Regardant en arrière, le Prince vit dans le lointain la 3ème porte et s'aperçut qu'elle portait sur sa face arrière une inscription qui disait
ACCEPTE-TOI TOI-MEME
Le Prince s'étonna de ne point avoir vu cette inscription lorsqu'il avait franchi la porte la première fois, dans l'autre sens. «Quand on combat, on devient aveugle, se dit-il.» Il vit aussi, gisant sur le sol, éparpillé autour de lui, tout ce qu'il avait rejeté et combattu en lui : ses défauts, ses ombres, ses peurs, ses limites, tous ses vieux démons. Il apprit alors à les reconnaître, à les accepter, à les aimer. Il apprit à s'aimer lui-même sans plus se comparer, se juger, se blâmer.
Il rencontra le Vieux Sage qui lui demanda :
- Qu'as-tu appris sur le chemin ?
- J'ai appris, répondit le Prince, que détester ou refuser une partie de moi, c'est me condamner à ne jamais être en accord avec moi-même. J'ai appris à m'accepter moi-même, totalement, inconditionnellement.
- C'est bien, dit le Vieil Homme, c'est la première Sagesse. Maintenant tu peux repasser la 3ème porte.
A peine arrivé de l'autre côté, le Prince aperçut au loin la face arrière de la seconde porte et y lut
ACCEPTE LES AUTRES
Tout autour de lui il reconnut les personnes qu'il avait côtoyées dans sa vie ; celles qu'il avait aimées comme celles qu'il avait détestées. Celles qu'il avait soutenues et celles qu'il avait combattues. Mais à sa grande surprise, il était maintenant incapable de voir leurs imperfections, leurs défauts, ce qui autrefois l'avait tellement gêné et contre quoi il s'était battu.
Il rencontra à nouveau le Vieux Sage.
- Qu'as-tu appris sur le chemin demanda ce dernier.
- J'ai appris, répondit le Prince, qu'en étant en accord avec moi-même, je n'avais plus rien à reprocher aux autres, plus rien à craindre d'eux. J'ai appris à accepter et à aimer les autres totalement, inconditionnellement.
- C'est bien, dit le Vieux Sage. C'est la seconde Sagesse. Tu peux franchir à nouveau la deuxième porte.
Arrivé de l'autre côté, le Prince aperçut la face arrière de la première porte et y lut
ACCEPTE LE MONDE
« Curieux, se dit-il, que je n'aie pas vu cette inscription la première fois.» Il regarda autour de lui et reconnut ce monde qu'il avait cherché à conquérir, à transformer, à changer. Il fut frappé par l'éclat et la beauté de toute chose. Par leur perfection. C'était pourtant le même monde qu'autrefois. Etait-ce le monde qui avait changé ou son regard ?
Il croisa le Vieux Sage qui lui demanda.
- Qu'as-tu appris sur le chemin ?
- J'ai appris, dit le Prince, que le monde est le miroir de mon âme. Que mon âme ne voit pas le monde, elle se voit dans le monde. Quand elle est enjouée, le monde lui semble gai. Quand elle est accablée, le monde lui semble triste. Le monde, lui, n'est ni triste ni gai. Il est là ; il existe, c'est tout. Ce n'était pas le monde qui me troublait, mais l'idée que je m'en faisais. J'ai appris à accepter sans le juger, totalement, inconditionnellement.
- C'est la 3ème Sagesse, dit le Vieil Homme. Te voilà à présent en accord avec toi-même, avec les autres et avec le Monde.
Un profond sentiment de paix, de sérénité, de plénitude envahit le Prince. Le Silence l'habita.
- Tu es prêt, maintenant, à franchir le dernier Seuil, dit le Vieux Sage, celui du passage du silence de la plénitude à la Plénitude du Silence.
Et le Vieil Homme disparut.
Merci à Françoise Laurent pour ce texte

Déposé par myriam31 le 27/07/2015  
L'amour naît dans un sourire,
Grandit dans un regard,
S'approfondit Par une caresse,
Et meurt dans une larme.
Là-bas où que tu sois, je pense à toi
et des milliers de bisous
je t'envoie.
Tendres pensées bel ange, amitiés et remerciements à ta maman pour ces bouquets et messages à mon BB Lucky.

Déposé par colombine67 le 27/07/2015  
CONSEILS POUR MENER VOTRE VIE :
1. Tenez compte du fait que le grand amour et les grandes réussites impliquent de grands risques.
2. Lorsque vous perdez, ne perdez pas la leçon.
3. Suivez les trois R : Respect de soi-même, Respect des autres, Responsabilité de tous vos actes.
4. Souvenez vous que ne pas obtenir ce que vous voulez est parfois un merveilleux coup de chance.
5. Apprenez les règles pour savoir comment les transgresser correctement.
6. Ne laissez pas une petite dispute meurtrir une grande amitié.
7. Lorsque vous réalisez que vous avez commis une erreur, prenez immédiatement des mesures pour la corriger.
8. Passez un peu de temps seul chaque jour.
9. Ouvrez vos bras au changement, mais ne laissez pas s'envoler vos valeurs.
10. Rappelez-vous que le silence est parfois la meilleure des réponses.
11. Vivez votre vie d'une façon bonne et honorable. Ainsi, lorsque vous vieillirez et que vous regarderez en arrière, vous en profiterez une deuxième fois.
12. Un foyer aimant est la fondation de votre vie.
13. Dans les désaccords que vous avez avec ceux que vous aimez, ne vous occupez que de la situation actuelle. Ne réveillez pas le passé.
14. Partagez votre savoir. C'est une manière d'atteindre l'immortalité.
15. Soyez tendre avec la terre.
16. Une fois par an, allez quelque part où vous n'êtes jamais allé auparavant.
17. Souvenez-vous que la meilleure des relations est celle dans Laquelle l'amour que chacun porte à l'autre dépasse le besoin que vous avez de l'autre.
18. Jugez vos succès d'après ce que vous avez dû sacrifier pour les obtenir.
19. Approchez l'amour et la cuisine avec un abandon insouciant.
Source: attribué au Dalaï Lama....www.lespasseurs.com

Déposé par rafia le 26/07/2015  
J'ai l'âme en détresse et le coeur en miette
Comme un navire en pleine tempête
J'ai les yeux qui pleurent ma peine et mon désespoir
Comme un enfant perdu dans le noir.
Les larmes coulent lentement
Comme autant de mots emportés par le vent
Mon coeur se serre douloureusement
Le mal est là, affreusement.
Avec toute ma bien sincère amitié.
+ 1000 mercis.
+ 1000 bisous + toute une cargaison d'ondes positives (enseignement du yoga pr leur bienfait)...Courage !!! je suis avec vs, pr la pensée.
Maryem, votre amie.

Déposé par wilaika le 26/07/2015  
2 mois que ton exhubérance, ta gentillesse , ta présence me manquent mon Paco




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