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In tribute to
Valentine
BICHON-MALTAIS
Born on :20/11/1997
left us on:30/10/2008

Ma valentine adorée qui nous as quittés si vite, trop vite
tu mettais dans notre maison et dans nos coeurs tant de bonheur ;
maintenant tout n'est plus que tristesse et pleurs.
Tu as rejoint ta soeur Viana et tes nouveaux amis
dans cet endroit magique qui s'appelle "paradis".
Veille sur nous nous, notre bébé adoré,
jusqu'au jour où nous allons nous retrouver
mais sache petit amour
que nous t'aimerons toujours

30 Octobre 2008

---------------------

Entends le vent chanter une chanson triste, il sait que je te laisse aujourd’hui ;
S’il te plaît ne pleure pas, sinon mon cœur se brisera quand j’irai sur mon chemin.
Aussi longtemps que tu te rappelleras de moi, je ne serai jamais trop loin,
Au revoir ma maman chérie, au revoir toi que j’aime …

30 octobre 2009

-------------

Il est 14 heures, ton beau regard couleur noisette s’est éteint à jamais ; comment n’ai-je pas su entendre ce que tu me disais, toi qui étais mon enfant, mon âme-sœur, une partie de mon cœur. Je n’étais pas présente pour recueillir ton dernier soupir, pour te serrer dans mes bras avant ton dernier voyage. Tous ces remords m’habiteront éternellement...

Goodbye my love, au revoir mon amour, toi que j’aimais, que j’aime et que j’aimerai toujours.

30 octobre 2010

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30 Octobre 2011.
Trois ans déjà…

C’est l’automne et j’ai les yeux remplis de brouillard.
Noël approche, mais le cœur n’y est pas.
Tu étais mon équilibre et sans toi,
Chaque jour je perds pied et m’enfonce dans l’abîme.
Comme j’aimerais parler de toi au présent et pas au passé,
Dire j’ai et non j’avais.
Je ne croise plus ton doux regard.
Je regarde tes photos mais n’y vois plus d’étincelles.
Ton image reste figée.
Un jour de plus passé sans toi, mon cœur est meurtri à jamais.
Il était une fois TOI et MOI.

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20 novembre 1997 – 30 octobre 2008

A ma Valentine adorée,

Pour te rendre un hommage digne de toi, je n’évoquerai que l’heureux temps partagé, avec tout le bonheur que tu m’as donné, que tu nous as donné.

Dix ans, cela est peu quand on a encore tant de choses à vivre ensemble,
Mais cela est en même temps beaucoup quand il y a eu tant d’amour ;
De tes premiers moments passés à la maison, jusqu’à cette horrible journée,
Tout n’a été que bonheur avec toi.
La chaise-longue partagée, toi couchée tout contre moi,
Le ¼ d’heure américain qui consistait en une course folle autour des canapés,
Les jours de fête que tu aimais tant…… et toutes ces petites choses de la vie quotidienne qui ont l’air insignifiantes jusqu’au jour où elles disparaissent…

La douceur de ton souvenir me fait rêver, à ce qui fut et à ce qui serait si tu étais là. Je sais que cette rêverie n'est qu'une inaptitude à vivre le présent. Je me laisse entraîner par ce courant sans regarder trop loin ou trop profondément. J'attends le moment où je retrouverai la force. Il viendra. Je sais que la vie me passionne encore. Je veux me sauver, non me délivrer de toi. Pour cela il faut que tu m’aides, que tu me donnes le courage de continuer, et que ton amour me porte au-delà des incertitudes et de l’ennui. Il n’y a que toi ma petite magicienne pour réaliser ce futur qui me fait peur sans ta lumineuse présence !

A toi que j’aime inconditionnellement, tendrement, de toutes mes forces…

Maman

30 octobre 2012

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30 Octobre 2013

Je n'ai pas choisi la photo qui orne ta page d'accueil aujourd'hui par hasard. La montre marque 2 heures moins 10, moment où ta petite âme s'est envolée vers l'éternité.

Après ton envol, pendant de nombreux mois, je n’ai plus regardé mon piano alors que la musique fait partie intégrante de ma vie.
Aujourd’hui mon chagrin et tout cet amour que je te porte seront accompagnés par la « Consolation n°3 » de Franz Liszt, morceau qui a été si souvent présent lors des nombreux moments musicaux que nous avons partagés, toi sur le canapé et moi au piano. Cette mélodie chargée d’émotion me rapprochera encore de toi si cela était possible.
Je t’aimerai toujours mon petit cœur, avec fidélité et espoir.


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Le jour J est arrivé, jour redouté, jour qui a vu basculer une grande partie de ma vie... Tout comme aujourd'hui, c'était un jeudi...
Petit bonheur s’est envolé à 13h50, nous laissant dans un total désarroi mais avec un amour intact que nous garderons à jamais dans notre cœur.
La "Consolation n°3" de Franz Liszt nous accompagnera à nouveau car nulle autre oeuvre musicale ne pourrait mieux dépeindre ce que nous ressentons.

30 octobre 2014

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30 octobre 2015
« Un arc-en-ciel d’amour »
7 ans d’amour et de séparation matérialisés par un arc-en-ciel
Je visualise ton cœur, je visualise le mien… Le trajet est court, et j’imagine un arc-en-ciel d’amour de l’un à l’autre. Un arc-en-ciel, parce que l’amour est tout aussi impalpable et immatériel, mais tout aussi coloré.
Un arc-en-ciel infini, qui va se perdre quelque part de l’autre côté de l’horizon, loin, très loin, dans un lieu magique, là où j’imagine que tu es partie …
Ta maman qui t’aime

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30 octobre 2016

Malgré le temps qui passe, notre amour n'a pas pris une ride. Les souvenirs des jours joyeux prennent doucement le pas sur les jours de peine et t'imaginer heureuse me rend le sourire. Merci ma douce petite âme pour les dix années de bonheur à jamais gravées dans mon coeur.

Je t'aime ma belle angelette

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30 octobre 2017

Deux mains sur un piano, des souvenirs précieux qui nous lient à tout jamais. Si le temps c'est de l'amour, il sera éternel pour nous deux...

"Une belle vie, c'est celle qui commence par l'amour et qui finit par l'amour."
François Mauriac

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30/10/2008 - 30/10/2018

On est bien peu de chose
Et mon amie la rose
Est morte ce matin
La lune cette nuit
A veillé mon amie
Moi en rêve j'ai vu
Eblouissante et nue
Son âme qui dansait
Bien au-delà des nues
Et qui me souriait

(Françoise Hardy)

A ma belle rose éternelle

******************************

30 octobre 2019

Depuis 11 ans, tu habites exclusivement dans mon cœur mais je sens toujours ta présence à mes côtés, et sous mes doigts la douceur de ta belle toison blanche. Ton regard noisette reste lui aussi omniprésent et scrute mes états d’âme…

«Se sentir aimé de son vivant, c’est savoir qu’il existe quelque part un après, un moyen de poursuivre la route ensemble. L’absence n’est pas qu’un vide. C’est aussi de l’amour qui nous accompagne. Servir encore, être utile à quelqu’un… Un beau destin pour nos absents… »
Yves Duteil

******************************

30 octobre 2020

Le Souvenir... c'est la présence dans l'absence, c'est la parole dans le silence, c'est le retour sans fin d'un bonheur passé auquel le coeur donne l'immortalité (Henri Lacordaire)

Le Souvenir, c'est aussi TOI à jamais gravée dans mon coeur 💖

*******************************

30 octobre 2021

Pour ma petite âme-fée à jamais dans mon cœur :

« Plus je pense à toi et plus encore je m'aperçois que le temps qui passe ne me guérira pas. Rien ne te remplace, je manque de toi, je meurs de toi, et je m'aperçois que tu manques à l'espace… » (P.Fiori)

Maman qui t'aime

**************************

30 octobre 2022

Je ne pouvais me résoudre aux adieux, il est toujours trop tôt, même pour un au-revoir ! Maintenant tu vois la couleur des nuages et je garde tous ces morceaux de nous dans mon cœur prêt à te rejoindre...
Aujourd’hui le "Liebestraum" n°1 de Franz Liszt t'accompagnera de sa tendresse. Moins connu que le n°3, il n’appartient qu’à nous deux 💕

"Un jour ou l’autre, on se retrouvera mon cher, mon tendre amour"

Ta maman qui t’aime 💖

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30 octobre 2023

Mon âme-sœur

Quinze ans d’absence physique mais de présence perpétuelle dans nos cœurs. J’ai tant besoin de toi et de ta protection devant l’inconnu qui s’ouvre devant moi cher amour…

« Tu es le sang de mon cœur, la clarté de mes yeux, la vie de ma vie, l'âme de mon âme. Pour moi, tu es plus moi que moi-même. Je suis à jamais dans tes ailes. Je t'adore éperdument, ô mon ange! »
Victor Hugo

Le Nocturne op.27 n°2 en ré bémol majeur de Frédéric Chopin que nous aimions tant nous accompagnera durant cette journée d’AMOUR




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La vie se charge de nous donner, mais de nous reprendre, la seule chose qu'elle ne peut nous voler, c'est l'amour profond qui vit et persiste dans nos coeur , pour nos petits anges partis ...
left by  colombine67
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Je crois que chaque chien entre dans notre vie pour nous enseigner quelque chose.
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left by poutounou on 04/08/2024  
J'OUBLIE... QUAND...
*
J'oublie mes migraines...
Quand tu déposes une tendre léchouille sur mon front.
*
J'oublie mes peines...
Quand de ta patte, tu effleures ma joue.
*
J'oublie mes problèmes...
Quand tu te couches tout contre moi.
*
J'oublie ma douleur...
Quand tu poses ta tête contre la mienne.
*
Mais jamais JE N'OUBLIE...
Quand tu me regardes avec les yeux de l’Amour…
*
JE T'AIME

left by spanky on 03/08/2024  
Le petit cheval       Paroles:  Paul Fort - musique: Georges Brassens
------
Le petit cheval dans le mauvais temps
Qu'il avait donc du courage
C'était un petit cheval blanc
Tous derrière, tous derrière
C'était un petit cheval blanc
Tous derrière et lui devant
---
Il n'y avait jamais de beau temps
Dans ce pauvre paysage
Il n'y avait jamais de printemps
Ni derrière, ni derrière
Il n'y avait jamais de printemps
Ni derrière, ni devant
---
Mais toujours il était content
Menant les gars du village
A travers la pluie noire des champs
Tous derrière, tous derrière
A travers la pluie noire des champs
Tout derrière et lui devant
---
Sa voiture allait poursuivant
Sa belle petite queue sauvage
C'est alors qu'il était content
Tous derrière, tous derrière
C'est alors qu'il était content
Tous derrière et lui devant
---
Mais un jour dans la mauvais temps
Un jour qu'il était si sage
Il est mort par un éclair blanc
Tous derrière, tous derrière
Il est mort par un éclair blanc
Tous derrière et lui devant
---
Il est mort sans voir le beau temps
Qu'il avait donc le courage
Il est mort sans voir le printemps
Ni derrière, ni derrière
Il est mort sans voir le printemps
Ni derrière, ni devant
----

left by choupinou on 02/08/2024  
Bonne nuit, bel ange, je te souhaite des rêves pleins d'étoiles et de magie ! Si tu pars à l'aventure dans tes rêves, fais attention à ne pas trop te fatiguer ! Tu peux dormir tranquillement, la lune te protège et les fées veillent sur toi. Bonne nuit, bel ange.

left by spanky on 01/08/2024  
Adieu ! mot qu'une larme humecte sur la lèvre ;
Mot qui finit la joie et qui tranche l'amour ;
Mot par qui le départ de délices nous sèvre ;
Mot que l'éternité doit effacer un jour !
Adieu !.... Je t'ai souvent prononcé dans ma vie,
Sans comprendre, en quittant les êtres que j'aimais,
Ce que tu contenais de tristesse et de lie,
Quand l'homme dit : "Retour !" et que Dieu dit : "Jamais !"
Mais aujourd'hui je sens que ma bouche prononce
Le mot qui contient tout, puisqu'il est plein de toi,
Qui tombe dans l'abîme, et qui n'a pour réponse
Que l'éternel silence entre une image et moi !
Et cependant mon cœur redit à chaque haleine
Ce mot qu'un sourd sanglot entrecoupe au milieu,
Comme si tous les sons dont la nature est pleine
N'avaient pour sens unique, hélas ! qu'un grand adieu !
----
Alphonse de Lamartine.
---

left by poutounou on 31/07/2024  
Nos « cœurs de poils » sont très riches…
*
LA RICHESSE DU COEUR
*
Qui ne peut voir un autre monde est aveugle.
Qui ne sait dire un mot gentil quand il le faut est muet.
Qui est tourmenté par un trop grand désir est pauvre.
Celui dont le coeur est content est riche.
*
(Auteur inconnu)

left by spanky on 30/07/2024  
Le chemin des Anges
----
Les petits anges dansent autour d'un être s'endormant
douceur immense pour le départ d'un compagnon.
puis le vent s’arrête un instant
le temps peint aux couleurs des saisons
des bleus lisses roses et blancs se répandent
Lentement visages tendres et humides
des mains tremblantes te glissent dans ton jardin du paradis
Se sourient de larmes sans chuchotant…
Se sourient de larmes sans chuchotant…
sans le moindre tourment
On prend sur nous ce long moment de ce départ
nos pensées folles s'envolent dans nos yeux brillants et rougies...
elles s'unissent aux lucioles pour vivre un dernier instant
pour qu’à jamais restent en suspens
nous avons si souvent souhaité que ce jour n’excitait pas
pour ne pas hériter de cette flamme qui s'éteint
en gardant le sentiment que nous vivrons éternellement
que nos yeux soient grands ouverts
Pour fêter ce triste enterrement… celle du relâchement
nous qui t’aimons puissamment
N'adressons aucune prière mais des milliers de pensées
Où que tu ailles nous te retrouverons... nos cœurs veillent
si le corps n’est plus… l'âme restée et Vit hors du temps...
alors les anges nous réuniront à nouveau.
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left by spanky on 28/07/2024  
Les Yeux...
---
Bleus ou noirs,tous aimés, tous beaux,
Des yeux sans nombre ont vu l’aurore;
Ils dorment au fond des tombeaux
Et le soleil se lève encore.
Les nuits plus douces que les jours
Ont enchanté des yeux sans nombre;
Les étoiles brillent toujours
Et les yeux se sont remplis d’ombre.
Oh!qu’ils aient perdu le regard,
Non,non, cela n’est pas possible!
Ils se sont tournés quelque part
Vers ce qu’on nomme l’invisible;
Et comme les astres penchants,
Nous quittent, mais au ciel demeurent,
Les prunelles ont leurs couchants,
Mais il n’est pas vrai qu’elles meurent:
Bleus ou noirs,tous aimés, tous beaux,
Ouverts à quelque immense aurore,
De l’autre côté des tombeaux
Les yeux qu’on ferme voient encore.
----

left by poutounou on 28/07/2024  
J'AI APPRIS
*
J'ai appris qu'il n'était pas toujours suffisant de pardonner aux autres,
il faut apprendre à se pardonner soi-même.
J'ai appris qu'il ne faut pas être trop persistant à connaître un secret,
le savoir peut changer notre vie pour toujours.
J'ai appris que les diplômes affichés au mur
ne font pas nécessairement de nous des humains décents.
J'ai appris qu'il est très difficile d'être gentil pour ne pas blesser les sentiments d'autrui
tout en restant ferme pour ce que l'on croit.
J'ai appris que l'on ne peut pas forcer quelqu'un à nous aimer,
tout ce que l'on peut faire, c'est d'être quelqu'un qui peut être aimé.
J'ai appris que l'on continuait d'avancer même après avoir pensé
qu'il nous était impossible de le faire.
J'ai appris que l'on pouvait faire une petite chose en un court instant
et que celle-ci pouvait nous donner des maux de tête pour la vie.
Au seuil de ma mort,
j'ai appris que la vie valait la peine d'être vécue.
(Auteur inconnu)

left by spanky on 26/07/2024  
Comment peut on?
Aujourd'hui les refuges sont saturés,              
Certaines personnes sont écœurées,              
Certaines autres, se sont démenées,             
Pour trouver des solutions contre la médiocrité.           
---
La médiocrité des âmes vides,             
La médiocrité d'un cœur creux,            
Avec en prime des pensées sordides,             
Accusant un malheureux.           
---                 
Il faut être un lâche sans cervelle,             
Un abrutis de circonstance,           
Pour commettre un acte aussi cruel,            
Qu'un abandon de convenance.           
---               
Aucune raison ne justifie l'abandon,             
C'est l'enterrement volontaire d'une âme,            
L'authentique lâcheté d'un con,                
Et des heures d'attente et d'espoir face au drame.                
---               
Comment peut on ?            
Comment peut on seulement ?          
Abandonner si lâchement,             
Jeter comme un chiffon.
---                              
L'animal, notre plus fidèle et authentique ami,             
Le seul être au monde,             
Qui lui, n'hésiterait pas donner sa vie,             
Pour sauver la nôtre.           
---                           
Je suis démunie, je suis affaiblie,              
Devant tous ces box qui, chaque jour se remplissent,            
Devant ces regards remplis d'espoir,             
Ces yeux  plein d'amour rivés sur chaque personne qui s'arrête devant les grilles.         
---               
Mais les grilles ne s'ouvrent pas,            
Les grilles ne s'ouvrent plus,           
Et ces heures qui passent, 
Se changeant  peu à peu en années d'attente.               
---         
Mon cœur est en lambeau,            
Parce que j'ai beau essayé de comprendre leurs gestes,             
Je n'y  parviens pas, Ces gens me révulsent,           
Et je n'éprouve que de la haine.           
---               
J'ai une haine viscérale pour tous ces gens,              
Qui se donnent bonne conscience sans honte,               
Parce qu'aucun animal au monde,          
Ne mérite un tel châtiment...               
---               
Mon enveloppe est humaine,            
Mon cœur reste à jamais animal ...           
---            
Emmanuelle B. 
-----             

left by colombine67 on 26/07/2024  
Un p'tit clébard par Pierre Perret
Il n'avait jamais rien eu
Rien possédé de sa vie
Aussi nu à soixante piges
Que le jour où il naquit
L'avait jamais eu de frigo
Ni vaisselle, ni tableaux
Et même en guise d'Aubusson
L'avait qu' son paillasson
Lisant avec gratitude
Cent ans de solitude
Un chant d'oiseau dans le ciel
Remplaçait son Pleyel
Mais un beau jour, subito
Le gros lot du loto
Fit que le monde vint lui dire
"Qu'est-ce qui vous ferait plaisir ?"
Moi "Je veux un chien, un p'tit clébard
Je me fous de la marque"
Disait le papy soudain cossu comme un monarque
Un chien abandonné par des gens sans cervelle
Et que la SPA aurait pris sous son aile
"Je veux un chien, un p'tit bâtard sans estampille
Qui serait en somme comme qui dirait toute ma famille
Surtout ne pensez pas que je me méfie des hommes
Mais d'amitié, les clèbards sont moins économes"
Les gérants de son empire
Furent écroulés de rire
On lui acheta un kimono
Un château, des chevaux
Un beau perroquet malais
Qui s'exprime en anglais
Un superbe chat de Perse
Qui coûte la peau des fesses
On l'amena à Marengo
Y déguster du veau
Il acquit près de Cuzco
Les montagnes et l'écho
Quand son secrétaire habile
Front soucieux dit "Monsieur
Quel nouveau plaisir peut-il
Trouver grâce à vos yeux ?"
Moi "Je veux un chien, un p'tit clébard
Je me fous de la marque"
Disait le papy soudain cossu comme un monarque
Un chien abandonné par des gens sans cervelle
Et que la SPA aurait pris sous son aile
"Je veux un chien, un p'tit bâtard sans estampille
Qui serait en somme comme qui dirait toute ma famille
Surtout ne pensez pas que je me méfie des hommes
Mais d'amitié, les clèbards sont moins économes"

left by colombine67 on 25/07/2024  

Naissance de la voix lactée
Il y a bien longtemps, il n'y avait pas beaucoup d'étoiles dans le ciel.
Les indiens stockaient leur récolte de maïs dans de grands paniers. L'hiver ces grains leur permettaient de confectionner du pain.
Un matin, un couple découvre qu'on leur a dérobé du maïs pendant la nuit. Des grains sont dispersés sur le sol de la réserve et ils aperçoivent des empreintes géantes de chien.
Ils alertent aussitôt les villageois : ces traces ne peuvent avoir été faites que par un chien venant d’un autre monde !
Ils décident de se débarrasser d'une bête aussi monstrueuse en l'effrayant si fort qu'elle n'aura plus envie de revenir.
Ils rassemblent des tambours, des carapaces de tortues et se cachent pendant la nuit près de la réserve de grains.
Soudain, ils entendent un énorme bruissement d'ailes pareil à celui de milliers d'oiseaux en vol : un chien géant descend en piqué du ciel. Dés que ce dernier se trouve près du maïs, les Indiens font un vacarme énorme en frappant sur leurs ustensiles. L’animal s’enfuit mais les habitants du village le poursuivent en continuant de plus belle leur tintamarre.
Le chien géant grimpe alors au sommet d'une colline et se jette dans le ciel, les grains de maïs se répandant de sa gueule. Il traverse la nuit noire et disparaît. Les grains de maïs forment un chemin dans le ciel et chaque grain se transforme en étoile. C’est ainsi qu'est apparue la voie lactée...
Les Cherokee l’appellent gi li' ut sun stan un' yi, l'endroit où courait le chien.

left by poutounou on 24/07/2024  
Ces « amis sincères » sont nos doux « filous » à quatre pattes et une queue. Ce poème leur est dédié… !!!
*
UN AMI SINCÈRE
*
Un ami sincère
Peut faire naître un sourire
Quand nous sommes abattus
Et que rien ne va plus.
*
Un ami sincère
Peut comprendre nos épreuves
Et, d'une simple léchouille,
Nous remettre en chemin.
*
Un ami sincère
Est fait pour partager
Nos rêves les plus secrets
Tout en demeurant discret.
*
Un ami sincère
Vaut plus que de l'or,
Car, au fond de son coeur,
Il ne veut que notre bonheur.
*
(Auteur inconnu)

left by spanky on 24/07/2024  
Mes humains à moi et que j'ai tant aimés.
S.v.p. ne vous sentez coupables de rien car vous ne m'avez pas laissé souffrir...
Quand vous avez vu que je n'étais plus moi même, vous avez tout fait pour m'aider,
mais il était malheureusement trop tard et je le savais.
Je suis tellement désolé de ne pas vous avoir donné de signes de ma maladie, je continuais à être normal,
mais en dedans de moi, il se passait des choses que je ne comprenais pas moi-même....
Mais je sais que maintenant, c'est vous deux qui souffrez de mon absence et j'en suis sincèrement désolé....
----
je suis bien maintenant même si je m'ennuie de vous autant que vous devez vous ennuyer de moi....
j'ai eu une belle vie avec vous même si elle a été trop courte.
Je vous remercie de ce que vous avez décidé , c'était la chose à faire car je n'aurais pas pu supporter la suite........
j'étais heureux de vous voir à mon chevet pour rester avec moi jusqu'à la fin et je suis parti en paix et content.
C'est sur que j'aurais aimé rester, mais c'était impossible dans les circonstances.
N'oubliez jamais que je vous aime et que du pont de l'Arc-en-Ciel, je veille sur vous.
Un jour viendra ou nous allons être tous réunis à nouveau......
Je vous aime et jamais je ne vous oublierai..
----

left by colombine67 on 24/07/2024  
La légende du pont de l'arc en ciel
"La légende du pont de l’arc en ciel"
"Il y a là-bas un pont qui connecte le ciel et la terre, on l'appelle le Pont de l'Arc-en-ciel"
Dans cette partie du Paradis existe un endroit nommé Pont de l'Arc-en-ciel.
Lorsque meurt un animal de compagnie, il se rend dans ce pays qui connecte le Ciel avec la Terre.
On y retrouve là-bas, prairies ondoyantes, paisibles collines et vallées luxuriantes et tous les amis à quatre pattes qui y sont réunis peuvent y courir et s'amuser ensemble.
Ils peuvent enfin y creuser tous les trous qu'ils désirent, courir dans de jolies plates-bandes, se rouler dans de généreux marais, bref toutes les interdictions terrestres n'y font plus loi.
Dans cette contrée lointaine abonde eau, nourriture et soleil, et tous nos amis y sont confortables et bien au chaud, à moins que l'on ne décide d'aller courir un peu dans les hautes montagnes coiffées de neiges éternelles.
Ceux qui étaient malades ou trop vieux ont recouvré ici santé et vigueur; ceux qui étaient blessés ou infirmes sont devenus sains et forts, ceux qui étaient abandonnés, négligés ou maltraités ont enfin trouvé chaleur et réconfort.
Les animaux sont heureux et en paix, mais pour un grand nombre d'entre eux, il manque quelque chose de précieux à leur cœur.
Ils ont perdu quelqu'un de très spécial qu'ils aimeraient tellement avoir de nouveau à leurs côtés.
Des jours de bonheur se coulent donc doucement dans d'interminables jeux et courses folles à l'intérieur de cette grande meute pacifique.
Mais un jour, arrivera le temps ou l'un d'eux s'arrêtera soudainement, tous ses sens se tiendront aux aguets.
Ses yeux perçants miroiteront de mille feux, ses oreilles attentives se dresseront tels des miradors, son corps frénétique palpitera de toutes parts.
L'élu commencera à courir hors du groupe, volant au-dessus des verts pâturages, traversant les larges rivières, ses pattes le portant de plus en plus vite, de plus en plus haut.
Ça y est, vous le voyez courir vers vous dans ce point de lumière au bout du tunnel... en toute fidélité votre chien vous a repéré entre tous et il est venu à cette ultime rencontre.
Vous souriez !
Enfin, vous vous retrouvez ensemble, ses joyeux bisous d'antan pleuvant de partout sur votre visage, vos mains pouvant à nouveau caresser son cou, son flanc, sa tête, vous pouvez enfin plonger votre regard dans les yeux confiants et aimants de votre chien.
Plus rien ne pourra dorénavant vous séparer, vous serez à jamais réunis.
Ainsi vous traverserez ensemble le Pont de l'Arc-en-ciel..."
« Rainbow bridge » texte d’un auteur anglais inconnu

left by colombine67 on 23/07/2024  
Je suis mort sans nom
Un long mais superbe texte, très émouvant....
Je suis mort sans nom
Sans une marque d’affection…
Je ne connais la définition
Du mot humain émotion
Que par la douleur de l’abandon.
J’ai attendu si longtemps,
D’hivers glaciaux en printemps,
Un rayon d’espoir, et souvent
Pétrifié dans le silence et le temps,
J’ai voulu fuir ce tourment.
Seul et apeuré dans ma cage,
Je m’accrochais à ce mirage…
De votre sourire, de votre visage
Qui m’ont apporté courage
L’instant d’un ciel sans nuage…
Je me suis habitué à la faim,
Au froid, à la peur du lendemain.
Mais jamais, je le crains,
De ne pas connaître enfin
Le plaisir de lécher votre main.
Mon corps martyrisé
N’en pouvant plus de lutter,
À bout de souffle et de fierté,
C’est sans bruit et sans dignité
Que je vous ai quittés.
Une seule caresse aurait suffi
À me permettre, sans bruit,
De quitter mes amis.
Qui encore aujourd’hui.
Vous appellent dans la nuit.
Je ne vous en veux pas
De n’avoir entendu mon désarroi.
J’avais pourtant en moi,
Au fil des jours et des mois,
La confiance, l’espoir et la foi.
Même si j’ai hurlé dans la nuit,
Tandis que mourraient mes petits,
La souffrance et la maladie
Ont eu raison aujourd’hui
De mon instinct de survie.
Ils ont tué mes espoirs
De pouvoir un jour voir
Le soleil et votre peignoir…
De fuir mon désespoir…
Fuir ma cellule dans le noir.
Je suis venu et passé,
Sans jamais être remarqué.
Pourtant, je vous ai toujours espéré…
Je ne demandais qu’à vous aimer…
Pourquoi m’avez-vous abandonné?
J’ai eu faim, j’ai eu froid,
J’ai eu peur et malgré moi,
De ce qui me restait de voix,
Votre nom j’ai appelé mille fois…
Où étiez-vous, dites-moi...
Ma carcasse incinérée
Aura pour l’éternité
Ce champ, ces fleurs et ce pré
Que j’ai longtemps espéré,
Et dont j’ai tellement rêvé.
J’aurais aimé avoir un jouet,
Un seul s’il-vous plait…
J’aurais voulu courir et qui sait,
Trébucher dans le gazon tout frais
À vos côtés, fier et coquet…
J’aurais dormi à vos pieds,
L’hiver vous aurais réchauffé,
La nuit vous aurais rassuré,
Et sans jamais rien demander,
Vous aurais écouté et aimé…
Je suis mort triste et seul,
Sans que l’on porte mon deuil.
On m’a offert pour tout linceul,
Un feu de paille et de feuilles,
Je suis libre, délivré et encore seul…
Ne m’offrez pas de fleurs…
Retenez vos pleurs…
Je ne veux plus que le bonheur,
De ceux qui ont dans leur cœur
D’encore espérer avec ferveur…
De quoi donc ai-je été coupable
Pour mériter une vie si misérable
Un destin aussi pitoyable,
Une mort cruelle et minable…
De cela vous m’êtes redevable…
Je vous aime encore
Je vous aime si fort…
À la vie et à la mort,
Je vous aime encore,
Bien au-delà de la mort…
Dites-moi que vous voulez,
Par amour et par pitié,
Encore quelques-uns sauver…
Ainsi ma cruelle destinée
N’aura été ni vaine ni oubliée…
Il est trop tard pour moi,
Voyez, je suis mort et froid…
Mais pour mes petits croyez-moi,
Par vous, ils ne le seront pas.
Sauvez-les en souvenir de moi…
Un chien parmi tant d’autres.

left by spanky on 22/07/2024  
Ce texte n'est pas de moi....
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Choupette n'était pas une chienne comme les autres. Elle était un chienne de laboratoire et s'est vu offrir une seconde vie grâce à sa famille adoptante.
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Je m’appelais Choupette… Je venais de fêter mes 16 ans..
Je suis née dans une cage, comme ma maman d’ailleurs, comme mes frères et sœurs, comme mes enfants aussi… J’y suis restée 9 ans et demi..
Jusqu’à ce qu’ils décrètent que je ne servais plus à rien… et oui, j’étais ce qu’on appelle un chien de labo .
Il paraît que se sont des recherches pour les humains, que les labradors sont tous comme mes copains les beagles, des chiens.
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« adéquats ».
Ils m’avaient inoculé la myopathie, ou peut-être que c’est ma maman qui m’avait filé cette s*****rie, je ne saurai jamais.
Au bout de 9 ans, j’étais pas morte alors à quoi bon continuer des tests sur un chien qui résiste ?? Ils ont dû considérer que soit leur traitement était efficace,
soit j’étais trop résistante… bref, leur conclusion m’a sauvé la vie, elle aurait pu être mon arrêt de mort.
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C’est à ce moment-là qu’une dame du labo a mis une annonce pour me trouver une famille, certainement pour m’éviter la piqure qui les aurait débarrassés.
Je suis sortie pour la 1ère fois dans l’univers extérieur.
Qu’est-ce que j’ai eu peur ! De tout, des humains, des congénères que je ne connaissais pas, des voitures, des bruits, des mains,…
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Je ne connaissais rien à rien, j’ai du tout apprendre comme un bébé. A + de 9 ans, si vous saviez comme c’est dur .
Il parait que la nature se débarrasse de ce qui ne sert pas, alors je crois que mon cerveau avait éliminé tout ce qui ne m’avait pas servi depuis 9 ans comme courir, monter les escaliers, aboyer, jouer, montrer des sentiments comme la joie, la peur, la tristesse et même la douleur.
J’ai eu du mal à mettre les pattes dans l’herbe, dans l’eau, dans la neige ; à faire mes besoins lors des sorties.
Mais mes parents m’ont tout fait faire, on ne s’est jamais découragés.
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J’ai, toute ma vie, conserver une peur farouche lorsqu’on me touchait.
J’ai jamais réussi à communiquer, à créer des liens particuliers avec mes congénères même si, dans mon fort intérieur, je tenais à eux.
Je les ai tous aimés à ma façon.
Je me suis accrochée pendant ces 6 ans et demi de vie de sursis, comme je pouvais, comme mes parents et toute ma famille, pouvaient.
J’étais leur « petite autiste ».
On avait beaucoup de mal à communiquer mais la seule chose dont on était sûr, c’est qu’on s’aimait très fort et qu’on resterait fidèles jusqu’au bout.
Ce bout est arrivé …
J’ai fait un incident cardiaque il y a 10 jours, et vu mon âge, j’ai pas réussi à remonter la pente… j’ai peut-être même fait en plus un avc a dit le véto.
Bref, mon corps a lâché, je ne tenais plus debout, j’avais de grosses grosses difficultés à respirer.
Je savais depuis 2 jours que je n’y arriverais pas, et je l’ai fait comprendre à mes parents, je ne voulais plus être seule, j’avais trop peur de partir sans eux..
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Voilà, j’espère que la haut, si ça existe ( ??) je retrouverai mon Toto, mon Fidèle et ma copine Doly, la seule avec qui j’ai réussi à tisser des liens particuliers d’amitié visibles.
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Au revoir tout le monde, je n’oublierai personne…ne m’oubliez pas !
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left by colombine67 on 22/07/2024  
Pataud
Dans ses yeux brillait encore une lueur d’espoir. En compagnon fidèle il était sûr qu’ils étaient en train de courir vers lui fous d’inquiétude.
Son crâne lui faisait mal, sœur battait avec peine et cette douleur au creux des reins, dieu qu’elle était atroce !
Ils s’étaient arrêtés sur une aire de repos, tout joyeux de pouvoir se dégourdir les muscles et de calmer leur soif par cette matinée torride de juillet. Durant le trajet, les enfants n’avaient pas cessé d’houspiller leur père : « On arrive quand ? Y aura une piscine ? On va où ? » Il n’avait répondu que par bribes, concentré sur la circulation. Son épouse somnolait ou elle faisait semblant. Après un petit déjeuner copieux, le père avait tout rangé soigneusement dans le coffre pendant que la maman avait accompagné les petits diables aux toilettes. Lui avait attendu sagement à l’ombre de la table en bois épais. Il s’était assoupi.
Le claquement des portières le fit sursauter. Il redressa la tête, déjà la voiture démarrait. « Ben et moi ? » pensa-t-il. Les grands yeux étonnés des petits qui lui faisaient de grands signes à la fenêtre arrière lui donnèrent du courage pour se lancer à la poursuite du véhicule. « C’est un jeu » se dit-il, « ils veulent voir combien de temps je mettrai à les rattraper, ils vont s’arrêter plus loin et se cacher. » Il galopa de plus en plus vite, sans peur, confiant en l’innocence de ce nouveau défi. C’était sans compter avec les bolides hurlants qui le frôlèrent. Il en évita un, puis un autre. Il louvoyait entre les carrosseries étincelantes sous le soleil de plomb, essayant de ne pas perdre de vue la belle voiture blanche où l’attendait sa couverture écossaise derrière le siège conducteur.
« Qu’est-ce qui s’est passé ? Sûr, ils se sont arrêtés et je suis en train de rêver aux pieds du petit Marco. »
Il sentit sur lui le souffle répété des véhicules qui passaient devant lui.
« Il y en a bien un qui va me voir, s’arrêter pour m’aider à les retrouver… »
Il sentait autour de lui le parfum de l’herbe écrasée qui se mêlait aux vapeurs des échappements. Le soleil lui sembla moins brûlant, il avait froid tout à coup, il ne sentait plus la douleur qui lui taraudait le dos il y avait à peine quelques minutes, ou était-ce quelques heures… ?
« Où sont-ils ? » Son esprit s’égarait, il avait envie de mordre et tenta de relever la tête. Il se sentait très faible.
« Eh, les petits ! Marco ! Suzy ! Je suis là ! » Il n’entendait plus la circulation que de loin. L’herbe autour de lui était humide à présent, elle avait changé d’odeur et dégageait un parfum qui curieusement réveillait son appétit.
A force de concentration il pu soulever les paupières et ne vit devant lui que le ciel d’un bleu si intense qu’il lui sembla irréel. Ce fut cette image qu’il emporta avec lui au paradis des amis à quatre pattes.
Il ne comprenait pas pourquoi il se retrouvait là ni où étaient ses maîtres, cependant il ne souffrait plus de ses blessures si ce n’est dans son cœur qui cherchait encore une réponse à la question qu’il se poserait à l’infini.
Marie Deluneq

left by poutounou on 21/07/2024  
Qu’elle est belle cette petite prière de Saint François d’Assise. C’est ce que nos Amours à quatre pattes font : Ils nous consolent, nous comprennent et nous aiment surtout… !!!
*
PRIÈRE SIMPLE
*
Seigneur, faites de moi un instrument de votre paix.
Là où il y a de la haine, que je mette l'amour.
Là où il y a l'offense, que je mette le pardon.
Là où il y a la discorde, que je mette l'union.
Là où il y a l'erreur, que je mette la vérité.
Là où il y a le doute, que je mette la foi.
Là où il y a le désespoir, que je mette l'espérance.
Là où il y a les ténèbres, que je mette votre lumière.
Là où il y a la tristesse, que je mette la joie.
*
Que je ne cherche pas tant
À être consolé, qu'à consoler ;
À être compris, qu'à comprendre ;
À être aimé, qu'à aimer.
*
• Car,
C'est en donnant, qu'on reçoit ;
C'est en s'oubliant, qu'on trouve ;
C'est en pardonnant, qu'on est pardonné ;
C'est en mourant, qu'on ressuscite à l'éternelle vie.
• *
(Saint François d'Assise)

left by poutounou on 21/07/2024  
Qu’elle est belle cette petite prière de Saint François d’Assise. C’est ce que nos Amours à quatre pattes font : Ils nous consolent, nous comprennent et nous aiment surtout… !!!
*
PRIÈRE SIMPLE
*
Seigneur, faites de moi un instrument de votre paix.
Là où il y a de la haine, que je mette l'amour.
Là où il y a l'offense, que je mette le pardon.
Là où il y a la discorde, que je mette l'union.
Là où il y a l'erreur, que je mette la vérité.
Là où il y a le doute, que je mette la foi.
Là où il y a le désespoir, que je mette l'espérance.
Là où il y a les ténèbres, que je mette votre lumière.
Là où il y a la tristesse, que je mette la joie.
*
Que je ne cherche pas tant
À être consolé, qu'à consoler ;
À être compris, qu'à comprendre ;
À être aimé, qu'à aimer.
*
• Car,
C'est en donnant, qu'on reçoit ;
C'est en s'oubliant, qu'on trouve ;
C'est en pardonnant, qu'on est pardonné ;
C'est en mourant, qu'on ressuscite à l'éternelle vie.
• *
(Saint François d'Assise)

left by viana67 on 21/07/2024  
Bonjour mon amour
Je sais que cela fait bien longtemps que je ne suis pas venue te parler mais tu en connais les raisons et contrairement à de nombreux humains tu gardes ta fidélité intacte. Grâce à toi et tes soeurettes, je vois un peu le bout du tunnel même si cela reste très fragile mais permet à l'espoir de renaître. Vous avez toutes les quatre connu les affres de la maladie et vous vous êtes battues avec ce courage que j'essaie d'égaler aujourd'hui. Mes pensées s'envolent vers vous, inoubliables amours qui avez partagé nos bons moments de joie, je ne voudrais garder que les belles choses celles qui réchauffent les coeurs et apaisent les tourments. Je me remets au piano bien que la neuropathie me joue encore des tours mais avec l'espoir, la confiance revient également. Je mets toutes mes forces dans mon message, la correspondance faisant aussi partie de ces choses qui peuvent sembler si simples et qui pourtant exigent une grande volonté. Je te demande de partager ces lignes avec tes soeurettes car vous êtes toutes les quatre dans mon coeur que vous ne quitterez jamais puisque vous m'accompagnerez jusqu'à la fin de mon voyage terrestre et ensuite nous ne nous quitterons plus jamais.
Papa se joint à moi pour vous dire combien nous vous aimons 💝💝💝💝




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le 14/04/2013 après la visite à
notre chère Hydromel, ce petit moment de tendresse sous les amandiers...
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souvenir d'une journée inoubliable
avec mon âme-soeur
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merveilleux souvenir qui restera
dans mon coeur et dans celui de maman ; superbe création de la maman de Tania et Chot : 20/03/2013
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à S'Agaro dans les bras de mon
papa
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une petite halte sur un banc ;
maman ne doit pas être bien loin...
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ma merveilleuse petite peluche
toute blanche
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à Juan-les-Pins, septembre 1998
tu étais déjà un petit être merveilleux
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en Savoie, je ne pouvais déjà plus
me passer de toi
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encore sur la plage de Juan-les-
Pins ; nous partagions notre chaise-longue pour le plus grand bonheur de toutes les deux
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quel plaisir de se reposer sur un
lit bien douillet !
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à S'Agaro sur la Costa Brava,
le lit me donnait toute satisfaction...
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sur les hauteurs de Bastia, collée
contre ma maman, je faisais le show pour le plus grand plaisir des vacanciers
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avec mon papa lors de notre
séjour à Porto-Vecchio
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au restaurant, à Saint-tropez dans
les bras de mon papa
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j'adorais mes vacances en Corse !
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un petit bain de mer pour suivre
ma maman...
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à St Cyr ; j'étais à l'aise partout
puisque j'étais avec maman et papa
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dans mon jardin avec mon lapin
que j'ai emmené dans mon voyage vers ma nouvelle galaxie
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dans les bras de ma maman chérie
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avec mon ami, le fidèle lapin qui
ne m'a jamais quitté
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