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In tribute to
CANICHENudji
Born on :05/06/1997
left us on:20/11/2013
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3936 messages
left by spanky on 10/06/2024Maintenant que tu nâes plus là ⊠--- Maintenant, il me reste quoi, Quoi sans toi⊠Du vide Ă perte de vue, Vu que je tâai perdu⊠Le silence rempli ma vie, Ma vie, elle nâest pas finie, Pourtant jâaimerais quâelle le soit Quâelle le soit, pour ĂȘtre avec toi⊠--- Maintenant, les soirs sont les mĂȘmes, La mĂȘme peine qui traĂźne, Ici ou lĂ , toujours la mĂȘme rengaine, Rengaine loin de ceux qui sâaiment⊠Je trouve plus de sens Ă faire les choses, Ces choses qui restent devant une porte close Les moments sont faits que de souvenirs, Souvenirs de savoir que tu ne vas pas revenir⊠--- Rien, c'est maintenant mon quotidien, Quotidien Ă©crit de larmes de chagrin, Qui revient⊠Revient chaque matin, Et qui reste entre mes mains⊠Je ne changerai plus rien, Plus rien ne sera vraiment bien, Puisque tu es maintenant bien loin⊠--- Sundhauser Flavien ----- |
left by ovanek on 09/06/2024Dans un monde oĂč les mots peuvent souvent Ă©chouer LĂ oĂč l'amour humain peut parfois pĂąlir Il y a un ami au cĆur si pur L'amour d'un chien, inĂ©branlable et sĂ»r â€ïžâ â âș â â âș â â âș*â€ïžÆžÌ”ÌĄÓ̔̚ÌÆ·â€ïž* â â âș â â âș â â âșâ€ïž Pas de promesses non tenues ni de mensonges Juste la loyautĂ© qui ne meurt jamais Ă chaque wag et Ă chaque bond joyeux Un amour si sans limites, large et profond â€ïžâ â âș â â âș â â âș*â€ïžÆžÌ”ÌĄÓ̔̚ÌÆ·â€ïž* â â âș â â âș â â âșâ€ïž Ils aiment sans un seul souci Pas de motivations cachĂ©es lĂ -bas En fourrure et pattes, une douce grĂące Une constance que nous pouvons tous tracer Quand les cĆurs sont lourds, les esprits bas Ils sentent la douleur que nous ne montrons pas Un nuzzle doux, un regard conscient Leur prĂ©sence, leur amour dans chaque position Aucun jugement passĂ©, aucune rancune gardĂ©e A cĂŽtĂ© de nous quand on rit ou pleurait Leur amour, un phare, toujours brillant Nous guidant Ă travers la nuit la plus sombre â€ïžâ â âș â â âș â â âș*â€ïžÆžÌ”ÌĄÓ̔̚ÌÆ·â€ïž* â â âș â â âș â â âșâ€ïž Car les cĆurs humains peuvent parfois s'Ă©garer Dans les jeux complexes, ils jouent souvent Mais les chiens, ils aiment avec une simple vĂ©ritĂ© Dans les annĂ©es de vieillissement ou les jours de la jeunesse â€ïžâ â âș â â âș â â âș*â€ïžÆžÌ”ÌĄÓ̔̚ÌÆ·â€ïž* â â âș â â âș â â âșâ€ïž Leur amour, un cadeau qu'on ne mĂ©rite pas Une verve parfaite, dĂ©sintĂ©ressĂ©e et sans fin En eux, nous voyons un amour si grand Bien mieux que ce que les humains ont prĂ©vu |
left by poutounou on 09/06/2024Au jardin de mon coeur... * Au jardin de mon coeur Vous y trouverez Un petit coin caché Une oasis charmante Un chapeau de paille oublié Sur le petit banc... Un cahier d'écoliÚre Une plume d'oiseau Pour graver mes mystÚres Et, la complainte des mots... * Au jardin de mon coeur Vous y découvrirez Une cabane d'enfant... Quelques nids pour l'oiseau... Un bassin de pierre Un colibri enivré Du muguet en grelots Et, une coupe de rosée... * Au jardin de mon coeur Vous y croiserez Le geai bleu et la tourterelle La sittelle et l'hirondelle Le bourdon et l'abeille Dansant la gigue du printemps... Au jardin de mon coeur Je vous y attendrai En soupirant... L'air du temps présent ! * © Jovette Mimeault (1952-2003) |
left by spanky on 08/06/2024L'absence, c'est une chaise vide qui projette son ombre, le soir, devant la porte, c'est un dialogue suspendu qui ne connait pas de fin. ---- L'absence, c'est un regard perdu qui part Ă la rencontre de souvenirs heureux, c'est une larme, au bord de la paupiĂšre, qui enfin roule sur la joue. ---- L'absence, c'est une voix quelque part qui ne nous parvient plus, c'est un bruit de pas pressĂ©s qui ne foulent plus l'allĂ©e. ---- L'absence c'est l'effluve d'un parfum frais qui ne flotte plus dans la salle Ă manger, c'est une place au bout de la table qui reste vide tous les jours de l'annĂ©e, c'est un silence pesant qui accompagne le dĂźner. ---- L'absence, c'est un anniversaire qu'on ne peut plus fĂȘter, c'est un bonsoir mon amour qui reste sans rĂ©ponse. ---- L'absence, c'est une main tremblante qui caresse le froid marbre d'une tombe, c'est un doigt tout lĂ©ger qui effleure les mĂ©andres d'un nom. ---- L'absence, c'est la peur d'oublier L'ĂȘtre que l'on ne reverra jamais. ------ |
left by spanky on 06/06/2024VIVRE ABANDONNĂS, ENFERMĂS... ...... " Il a un Ćil rond, des pupilles extra larges, il essaye d'ĂȘtre calme, il frĂ©tille, sautille, aboie, pleure, hurle, grogne , se tait, se cache, s'assoit, saute, ne se montre pas, cherche le contact, le fuit, est explosif , se terre sans un coin.... --- Sa truffe se concentre sur une odeur attrayante , il arrive Ă faire une pause dans le temps quelques instants , il est content de voir ses soigneurs fidĂšles chaque jour, ses repĂšres, se donnant cĆur et Ăąme pour qu'il soit dans les meilleures conditions possibles bien qu'il soit sans famille. --- Son stress sans doute chronique, (il arrive si vite ce stress une fois rentrĂ© dans une refuge), mĂ©lange ses Ă©motions, ce sont quelques minutes d'apaisement lors de visites, contre des heures de solitude dans le bruit rĂ©guliĂšrement, privĂ© d'une grande partie de ses besoins primaires faute d'avoir un foyer . --- Sans foyer c'est une absence de contacts sociaux ou une limitation de ceux-ci, c'est ĂȘtre ĂȘtre privĂ© de libertĂ© , vivre enfermĂ© et ne pouvoir donc fuir ce qui est un besoin primaire . --- C'est moins dormir, car bruit et stress empĂȘchent de dormir, c'est parfois devenir une cocotte minute avec une soif intense de sortir du box . --- C'est supporter la solitude mĂȘme si elle est dure, c'est supporter la vie de congĂ©nĂšres mĂȘme s'ils peuvent inquiĂ©ter, c'est tenter de contrĂŽler ses Ă©motions de stress car il n'y a d'autre choix que de rester derriĂšre les barreaux. --- C'est entendre et sentir le stress des congĂ©nĂšres avec un odorat, sens premier tellement dĂ©veloppĂ© et sensible , c'est subir une contagion Ă©motionnelle....c'est ĂȘtre moins apte Ă rĂ©flĂ©chir et se concentrer....c'est ... --- Ils sont nĂ©s car l'homme les a fait naĂźtre. Ils sont enfermĂ© car l'homme en a dĂ©cidĂ©. --- L'Ă©tĂ© arrive...pĂ©riode d'abandon...les vacances sont tellement mieux sans le chien....mettons le au refuge... oh comme j'espĂšre que ce ne sera pas le cas pour eux..... --- Courage les chiens !!!!! --- " Si le chien Ă©tait un Lion, on apprendrait Ă le connaĂźtre avant de l'adopter ou l'acheter".... encore bien des choses Ă transmettre --- PensĂ©e Ă©galement pour ces chiens d'Ă©levages qui vivent en chenil.....ce n'est pas mieux ...pas mieux du tout..... " --- Source : Le chien simplement --------- |
left by ovanek on 05/06/2024Je sais que ton cĆur souffre en ce moment Et j'aimerais pouvoir encore ĂȘtre lĂ Ă tes cĂŽtĂ©s Pour t'enlever tes larmes đŠâ ·.·¯`·.·â đž â ·.·¯`·.·â đžâ ·.·¯`·.·â đŠ J'ai traversĂ© le pont arc-en-ciel Un endroit magnifique et serein oĂč toutes les douleurs et les souffrances fondent Ici, je cours Ă travers des champs infinis d'herbe verte luxuriante đŠâ ·.·¯`·.·â đž â ·.·¯`·.·â đžâ ·.·¯`·.·â đŠ Le soleil rĂ©chauffant ma fourrure et une douce brise qui la brise Il y a ici un sentiment de paix et de joie qui remplit mon cĆur Et je porte l'amour que nous avons partagĂ© comme une couverture chaude et rĂ©confortante |
left by poutounou on 05/06/2024Comme câest joliment dit : Bonjour « Messieurs les bourgeons« ⊠* Bonjour * Comme un diable au fond de sa boĂźte, le bourgeon s'est tenu cachĂ©... mais dans sa prison trop Ă©troite il baille et voudrait respirer. Il entend des chants, des bruits d'ailes, il a soif de grand jour et d'air... il voudrait savoir les nouvelles, il fait craquer son corset vert. Puis, d'un geste brusque, il dĂ©chire son habit Ă©troit et trop court "enfin, se dit-il, je respire, je vis, je suis libre... bonjour !" * Paul Geraldy |
left by spanky on 04/06/2024AU PAYS DES ĂTOILES ----- Dans le vaste infini OĂč se noient les Ă©toiles Il existe un pays Que lâabsence nous voile. Câest un pays magique, BaignĂ© de pur amour, Aux charmes magnifiques OĂč seul rĂšgne le jour. Des cascades dâeau pure Et des prairies fleuries, Et des lacs, jâen suis sĂ»re OĂč lâon sâĂ©bat, ravi. A ce pays dorĂ© Seules accĂšdent les Ăąmes De nos ĂȘtres aimĂ©s Par un grand pont diaphane, Sous un bel arc en ciel, Vers une chaude lumiĂšre, Dans ce pays de miel Qui survit dans lâEther. Sây retrouvent ensemble Nos parents, nos amis, Nos amours et me semble Nos animaux chĂ©ris. Ils sont devenus anges EntourĂ©s dâune aura, Câest de lĂ quâils sâarrangent A gommer nos tracas ! Ils nous veillent sans cesse Et calment nos chagrins, Ăcartent nos dĂ©tresses, Nous montrant le chemin. Ils soulagent nos peines Et apaisent nos larmes, Toutes nos peurs sont vaines, Leur amour est une arme. Dans le vaste infini OĂč se noient les Ă©toiles Il existe un pays Que lâabsence nous voile. ----- |
left by ovanek on 04/06/2024Dans la douce Ă©treinte de chaque aube Je vois ton visage loyal et affectueux Avec la queue qui remue et les yeux si brillants Tu remplis mes journĂ©es de lumiĂšre sans fin đŠâ ·.·¯`·.·â đŠâ ·.·¯`·.·â đŠâ ·.·¯`·.·â đŠ Ă travers les chemins sinueux et les courbes de la vie Tu m'as soutenu, mon plus vrai ami Dans la joie et la douleur, les rires et les larmes Tu as Ă©tĂ© mon rocher au fil des ans đŠâ ·.·¯`·.·â đŠâ ·.·¯`·.·â đŠâ ·.·¯`·.·â đŠ Vos ronrons doux et vos maniĂšres ludiques J'ai coloriĂ© toutes mes journĂ©es nuageux Ton amour inĂ©branlable, si pur et vrai A fait de mon monde une teinte plus brillante đŠâ ·.·¯`·.·â đŠâ ·.·¯`·.·â đŠâ ·.·¯`·.·â đŠ Ensemble, nous avons partagĂ© d'innombrables rĂȘves Au bord des riviĂšres, des champs et des ruisseaux tranquilles Tu m'as montrĂ© de l'amour sans fin Mon fidĂšle animal de compagnie, mon plus cher ami đŠâ ·.·¯`·.·â đŠâ ·.·¯`·.·â đŠâ ·.·¯`·.·â đŠ Dans chaque battement de cĆur, chaque souffle Notre lien durera au-delĂ de la mort de la vie Car dans mon cĆur, tu seras toujours Mon ami Ă fourrure, Ă©ternellement đŠâ ·.·¯`·.·â đŠâ ·.·¯`·.·â đŠâ ·.·¯`·.·â đŠ Nous traverserons le temps main dans la patte DĂ©fiant la loi la plus cruelle de la nature Car mĂȘme quand le monde s'efface Notre amour est une promesse jamais influencĂ©e đŠâ ·.·¯`·.·â đŠâ ·.·¯`·.·â đŠâ ·.·¯`·.·â đŠ Pour toujours plus, dans le ciel au-dessus Nous allons chasser les Ă©toiles et partager notre amour Pour toi mon ami mon plaisir du cĆur Sera avec moi, jour et nuit đŠâ ·.·¯`·.·â đŠâ ·.·¯`·.·â đŠâ ·.·¯`·.·â đŠ Dans les rĂȘves et dans la rĂ©alitĂ© Ensemble pour l'Ă©ternitĂ© Mon fidĂšle animal de compagnie, mon meilleur ami Notre amour est une histoire sans fin Mon FidĂšle Meilleur Ami |
left by ovanek on 03/06/2024Quand je dis Au Revoir cela ne veut jamais dire Ă©ternellement cela veut simplement dire que je vous dis Adieu avec Amour Jusqu'Ă dans un autre temps et un autre espace âą* đž.âą* đž.âą* đđđ °ââ±âżâ«. *Žš`đ °ââ±âżâ«. Je te revois une fois de plus Pour ceux qu'on aime on ne peut jamais vraiment perdre Ne quitte que temporairement de... âą* đž.âą*đ ž.âą* đđđ °ââ±âżâ«. *Žš`đ °ââ±âżâ«. Et en attendant Tu peux me tenir dans ton CĆur Sachant que dans chaque pensĂ©e affectueuse tu penses Ă moi Et chaque action affectueuse que tu prends en mĂ©moire de moi Tu restes entiĂšrement connectĂ© Ă moi Car l'Amour VĂ©ritable transcende tout l'espace et le temps đŠ Tahlia Hunter |
left by spanky on 02/06/2024JE VOULAIS JUSTE ALLER A LA PLAGE ! ----- Hier soir, en train de dĂźner, elle a dit presque dans un murmure, -"cette annĂ©e, je veux partir en vacances Ă la plage..." Ensuite, tout le monde autour de la table a dit -"C'est cool !"... "Bonne idĂ©e !"... "Yessss !"... "Merveilleux"... Je pensais que c'Ă©tait beau et merveilleux de partir tous ensemble en vacances ! Je n'ai jamais connu la mer ! Et comme je fais partie de la famille, je fais partie de leurs vacances aussi ! Je m'imagine dĂ©jĂ sauter les vagues et nager, l'un des membres de ma famille va lancer ma Baballe et moi j'irais la chercher et je la ramĂšnerai ... ---- Puis j'ai entendu une dispute dans la salle : -"qu'est-ce qu'on va faire du chien ? dit ma mĂšre humaine et ils ont chuchoter entre eux. J'ai dormi merveilleusement bien avec des rĂȘves fabuleux. TrĂšs tĂŽt le lendemain matin, mon pĂšre humain m'a rĂ©veillĂ© et m'a dit : -" Allons-y " ! La laisse Ă©tait un peu serrĂ©e, mais je m'en fichais car nous allions Ă la plage. En montant dans la voiture, j'ai sautĂ© de joie, j'ai lĂ©chĂ© mes frĂšres humains et j'ai fini par me faire gronder car je faisais trop de lĂ©chouilles. Mais jâĂ©tais si heureux, si excitĂ© ! Nous sommes donc finalement partis et j'ai fini par dormir car le mouvement de la voiture m'avait endormi. Quelques heures plus tard, mon pĂšre a arrĂȘtĂ© de conduire et nous sommes partis sur une route dĂ©serte. Il a tirĂ© sur la laisse et l'a attachĂ©e Ă une poubelle. - Ha, ce doit ĂȘtre un nouveau jeu je pensais... Il monta dans la voiture et la dĂ©marra. Je n'ai pas compris la blague. Comment aurais-je pu courir aprĂšs la voiture alors que j'Ă©tais attachĂ© ? Enfin la nuit est venue et j'Ă©tais toujours lĂ . Je me suis dit et j'ai pensĂ© que c'Ă©tait une punition. Est-ce parce que j'ai fait pipi sur le lit de ma sĆur cette fois-lĂ ? Est-ce en raison du canapĂ© que je rongeais ? Est-ce parce que j'ai beaucoup aboyĂ© ? Peu Ă peu, la nuit est devenue plus froide et plus sombre. Pourtant Ils savent que j'ai peur du noir... Pourquoi mettent-ils tant de temps Ă venir me chercher ? Quand il reviendra, je leur pardonnerai malgrĂ© la peur. que j'ai eue. Je les aime tant, ce sont mes humains, ils sont tout pour moi ! Sans eux je ne suis rien. Je ne suis pas comme les humains et je pardonne facilement Ă quiconque me fait souffrir. Les jours et les nuits ont passĂ©, je suis restĂ© attachĂ© lĂ sans nourriture ni eau. Jusqu'Ă ce qu'une nuit j'ai rĂȘvĂ© qu'ils venaient me chercher, mais malheureusement ce n'Ă©tait qu'un rĂȘve car de faim et de soif j'ai fini par MOURIR ! J'aurais juste aimĂ© aller Ă la plage ! ----- Texte de AndrĂ© Luiz Ornellas ------- |
left by ovanek on 02/06/2024Dans les rĂȘves et les Ă©toiles on se reverra OĂč la douleur et le chagrin sont emportĂ©s par la pluie jusqu'Ă ce jour mon Cher Ami â ·.·¯`·.·â âšâ€ïžđ«â ·.·¯`·.·â âšâ€ïžđ« â ·.·¯`·.·â Sache que mon amour pour toi ne finira jamais Alors traverse le pont mon prĂ©cieux â ·.·¯`·.·â âšâ€ïžđ«â ·.·¯`·.·â âšâ€ïžđ« â ·.·¯`·.·â Dans les champs de lumiĂšre, nos Ăąmes ne feront qu'un Et bien que tu sois parti de vue pour voir Tu resteras Ă jamais dans mon cĆur |
left by poutounou on 02/06/2024Toi câest Toi, Ă jamais en moi⊠!!! * Toi Esther Granek * Toi câest un mot Toi câest une voix Toi câest tes yeux et câest ma joie * Toi câest si beau Toi câest pour moi Toi câest bien lĂ et je nây crois * Toi câest soleil Toi câest printemps Toi câest merveille de chaque instant * Toi câest prĂ©sent Toi câest bonheur Toi câest arc-en-ciel dans mon cĆur * Toi câest distant⊠Toi câest changeant⊠Toi câest rĂȘvant et esquivant⊠* Toi câest pensant⊠Toi câest taisant⊠Toi câest tristesse qui me prend⊠* Toi câest fini. Fini ? Pourquoi ? Toi câest le vide dans mes bras⊠Toi câest mon soleil qui sâen va⊠Et moi, je reste, pleurant tout bas. * Esther Granek, Ballades et rĂ©flexions Ă ma façon, 1978 |
left by choupinou on 31/05/2024Nos vie est comparable aux tempĂȘtes de sable que nous affrontons, Ă chaque pas il y a tout ces trĂ©sors amassĂ©s, qui ne brillent pour personne d'autre que chacun de nous, ces souvenirs qui perdurent et vivent mais illuminent le coeur et l'Ăąme de celui qui les dĂ©couvre sur vos pages, en les lisant, et qui partage de par son vĂ©cu, l'histoire de ces amours fabuleux, exceptionnel Ă la fois inaccessible, qui fĂ»t et fuse encore et se façonne un peu plus chaque jour, et qui redonne de la couleur, de la vie a nos mĂ©moires, vous y serez toujours bien vivant petits anges tant aimĂ©s choupinou |
left by spanky on 31/05/2024Mon Chien, ---- Un beau matin Tu as pris un autre chemin Tu as choisi de vivre Sur une autre rive LĂ oĂč les rĂȘves sont Ă©ternels Dans l'infinitĂ© du ciel Tu voyages Ă travers les nuages ---- Ă l'aurore des jours Qui se couvrent d'amour Tu te baignes dans l'ocĂ©an Aux reflets d'argent Et si le vide est grand Ici je tue le temps Ă percer le mystĂšre De ma prĂ©sence sur terre ---- Je m'enfonce dans les flots De ma vie qui prend l'eau Tout s'Ă©vanouit Sur la mer de mes nuits Ă chercher l'infini Quand l'horizon s'illumine Au soleil qui s'incline Dans les bras de l'oubli. ---- David BrĂ©ant ---- |
left by choupinou on 30/05/2024Pour toi mon petit amour, qui partie un jour tout la haut. J'aurais vraiment voulu te garder encore plus longtemps. Je ne te quittais presque jamais, je te tenais la patte quand tu me l'as donnĂ©. Je crois juste en l'amour qui nous lie trĂšs fort et qui au-delĂ de l'absence nous offre une prĂ©sence dans un souffle de vent, un rayon de soleil, une goutte de pluie qui tombe de ton nuage. Je serre contre mon coeur une photo de toi et mes yeux me semblent aussi pleins de larmes, et je sais que tu es triste mon Nudji de me voir comme ça. Mais te sentir, mĂȘme dans le silence, sentir ta prĂ©sence est essentiel pour moi, alors qu'importe la raison. Tu me manques...je t'aime tellement... |
left by ovanek on 30/05/2024La lune murmure des secrets, doux et vrais D'un amour qui dure, Ă jamais â ·.·¯`·.·â âšâ€ïžđ«â ·.·¯`·.·â âšâ€ïžđ« â ·.·¯`·.·â Bien que tu sois parti, ton esprit reste Dans la nuit au clair de lune, oĂč rĂšgnent les souvenirs â ·.·¯`·.·â âšâ€ïžđ«â ·.·¯`·.·â âšâ€ïžđ« â ·.·¯`·.·â Alors je vais m'asseoir sous le doux regard de la lune Perdu dans les souvenirs de nos jours plus heureux â ·.·¯`·.·â âšâ€ïžđ«â ·.·¯`·.·â âšâ€ïžđ« â ·.·¯`·.·â Car dans son Ă©clat, je trouve du rĂ©confort dans la nuit Tu me manques mon cher animal de compagnie dans la douce lumiĂšre de la lune |
left by poutounou on 29/05/2024Merci, Monsieur Hugo, pour ce trĂšs beau poĂšmeâŠCe sont nos Anges que nous entendons chanter dans lâinfini⊠!!! * Printemps * Voici donc les longs jours, lumiĂšre, amour, dĂ©lire ! Voici le printemps ! mars, avril au doux sourire, Mai fleuri, juin brĂ»lant, tous les beaux mois amis ! Les peupliers, au bord des fleuves endormis, Se courbent mollement comme de grandes palmes ; Lâoiseau palpite au fond des bois tiĂšdes et calmes ; Il semble que tout rit, et que les arbres verts Sont joyeux dâĂȘtre ensemble et se disent des vers. Le jour naĂźt couronnĂ© dâune aube fraĂźche et tendre ; Le soir est plein dâamour ; la nuit, on croit entendre, A travers lâombre immense et sous le ciel bĂ©ni, Quelque chose dâheureux chanter dans lâinfini. * Victor Hugo, |
left by colombine67 on 29/05/2024Met ta main sur ma patte, je ne te laisserai jamais partir Met ta confiance en moi, je ne te laisserai jamais, jamais Met ton cĆur dans mon cĆur, je te donnerai toujours de l'amour Met ma patte dans ta main, je veillerai toujours sur toi Tout ce que je demande en retour, c'est de l'amour |
left by spanky on 29/05/2024ABANDON ------ Je me promenais le long de la forĂȘt Lâair pensif, la mime gaie Un enfant jouait au loin Un homme promenait son chien. JâĂ©coutais chanter les oiseaux Dans le champ couraient des lapereaux. Un bel aprĂšs-midi Ă la campagne Tout ce qui fait son charme. Je dĂ©cidais de mâenfoncer un peu dans le bois En espĂ©rant tout au fond de moi Pouvoir apercevoir une biche avec son faon. Je marchais donc tout tranquillement Quand jâentendis un gĂ©missement. Un tout petit cri Ă peine audible Perdu au fin fond de cet endroit si paisible. Je secouais la tĂȘte en pensant Que ce cri vraiment pas charmant Ătait encore une illusion Un bruit sorti de mon imagination. Je repris ma marche paisiblement Quand pour la deuxiĂšme fois, retendit ce gĂ©missement. Jâai donc dĂ©cidĂ© courageusement De voir dâoĂč venait ce cri alarmant. Jâai marchĂ© quelques pas, en suivant le bruit Mille questions arrivĂšrent dans mon esprit Quâallais-je trouver au bout de ce chemin Qui pouvait Ă©mettre ce bruit inhumain ? Plus je mâapprochais, plus je mâinquiĂ©tais De savoir ce qui se trouvait dans les bosquets. Me voici donc arrivĂ©e sur les lieux Ou ma curiositĂ© mâavait conduite Et malheureusement, je nâai rien trouvĂ© de merveilleux Juste quelque chose dâaffreux. Il Ă©tait lĂ , tout tremblant Il Ă©tait lĂ , tout pleurant Se demandant ce qui avait fait pour mĂ©riter De finir Ă cet arbre attachĂ©. DĂšs quâil me vit, il remua la queue Ătres magiques, Ătres merveilleux Qui nâont dans leur cĆur Que joie et bonheur Pour nous les humains, souvent malsains. Ils nous aiment sans discernement Et pourtant, mĂȘme trop souvent On les maltraite, on les torture, on les bat Sans se rendre compte de tout lâamour quâils ont pour nous ici-bas. Il Ă©tait donc lĂ , ce petit chien Avec dans ces yeux tout lâamour pour lâhumain. Combien de temps avait-il pleurĂ© au milieu de ces bois Combien de temps a-t-il attendu le retour dâune o***** qui ne reviendrait pas? Je mâapprochais de lui, le caressais Lui retirais la corde qui lâentravait lĂ Je le pris dans mes bras Et doucement lui parla. Tu es sauvĂ© mon chien, mon ami Mais pour un que lâon retrouve en vie Combien meurent seuls dans la nuit ? Abandonner son animal est une horreur Que rien sur cette Terre ne justifie Alors vous, hommes pourris, hommes sans cĆur Si parfois vous en avez envie Dites-vous que je vous maudis. ------ |
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