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En hommage à
BEAGLEDick
Il est né le:05/05/2002
Il nous a quittés le:01/11/2012
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216 messages
Déposé par rafia le 10/09/2014"Quand mon coeur sera voilé de tristesse, Sauvé ou perdu du chagrin qui l'entraine, J'écouterai le vent qui me parlera de toi, J'entendrai le son de ta voix, Et sa musique sera ivresse. A chaque matin d'été, chaque instant d'ignorance, Ce coeur imaginera là, une douce présence, Malgré cette sombre absence, Qui de toi, me sépare, Mais que l'Amour demeure, ici et quelque part." Caroll Riquet., |
Déposé par Albina le 08/09/2014A Dick. .Vivre sans toi Je pourrais vivre Sans passé, sans avenir, Abandonner mes rêves de trésors, Vivre sans richesse, sans or, Oublier la beauté d'un soleil couchant Qui sombre dans l'océan, Vivre dans le désert, Moi, qui n'aime que l'hiver... Mais ne me demande pas De vivre sans toi : Sans ta lumière, Mon coeur désespère ! Je pourrais vivre Sans famille, sans souvenirs, De la misère, porter le poids, Vivre sans toit, sans loi, Dormir sous les ponts Vêtue de haillons, Vivre emprisonnée, Moi, qui n'aime que la liberté... Mais ne me demande pas De vivre sans toi : Sans ta lumière, Mon âme est en enfer ! |
Déposé par rafia le 03/09/2014IL RESTERA DE TOI Il restera de toi ce que tu as donné. Au lieu de le garder dans des coffres rouillés. Il restera de toi de ton jardin secret, Une fleur oubliée qui ne s'est pas fanée. Ce que tu as donné En d'autres fleurira. Celui qui perd sa vie Un jour la trouvera. Il restera de toi ce que tu as offert Entre les bras ouverts un matin au soleil. Il restera de toi ce que tu as perdu Que tu as attendu plus loin que les réveils. Ce que tu as souffert En d'autres revivra. Celui qui perd sa vie Un jour la trouvera. Il restera de toi une larme tombée, Un sourire germé sur les yeux de ton cœur. Il restera de toi ce que tu as semé Que tu as partagé aux mendiants du bonheur. Ce que tu as semé En d'autres germera. Celui qui perd sa vie Un jour la trouvera. Michel Scouarnecl |
Déposé par rafia le 02/09/2014La chanson du souvenir. Dans le vol tremblant de l'heure Que nul ne peut retenir Passe lentement et pleure La chanson du souvenir. Et quand sa course l'emporte Plus loin que ne vont nos yeux, Plus d'une voix longtemps morte Murmure encor des adieux. Ainsi chaque heure envolée Du nid fragile des jours Nous fait plus inconsolée La perte de nos amours ! Armand Silvestre. |
Déposé par lucia le 29/08/2014Dick mon Ange, Tu étais mon cœur, mon bonheur, Ce qui m’est arrivé de meilleur, Tu m'écoutais avec tendresse, Toi mon petit chien, Tu n’étais que câlins et caresses, T'avais les yeux remplis d'affection Tu me donnais sans compter ton affection Je t’ai aimé comme mon enfant, Tu étais mon ami, mon confident Mais tu es parti, ce 6 janvier 2012 au paradis Pour mon plus grand regret Ton dernier soupir s’est enfuit, Laissant mon cœur meurtri, Me laissant dans mon silence Enfermée dans cette peine immense. Ton absence est une souffrance au quotidien Toi mon ange, mon amour de petit chien Au paradis où tu reposes, sois heureux, Pour toujours dans mon coeur tu demeures. |
Déposé par rafia le 27/08/2014Une fenêtre ouverte La mort n’est jamais complète, il y a toujours puisque je le dis puisque je l’affirme au bout du chagrin une fenêtre ouverte une fenêtre éclairée. Il y a toujours un rêve qui veille, désir à combler, faim à satisfaire, un cœur généreux une main tendue une main ouverte des yeux attentifs une vie, la vie à se partager. Paul Eluard |
Déposé par rafia le 25/08/2014La nuit n’est jamais complète. Il y a toujours, puisque je le dis, Puisque je l’affirme, Au bout du chagrin Une fenêtre ouverte, une fenêtre éclairée Il y a toujours un rêve qui veille, Désir à combler, Faim à satisfaire, Un cœur généreux, Une main tendue, une main ouverte, Des yeux attentifs, Une vie, la vie à se partager. — La nuit n’est jamais complète. Paul Eluard |
Déposé par rafia le 24/08/2014Le papillon Naître avec le printemps, mourir avec les roses, Sur l'aile du zéphyr nager dans un ciel pur, Balancé sur le sein des fleurs à peine écloses, S'enivrer de parfums, de lumière et d'azur, Secouant, jeune encore, la poudre de ses ailes, S'envoler comme un souffle aux voûtes éternelles, Voilà du papillon le destin enchanté! Il ressemble au désir, qui jamais ne se pose, Et sans se satisfaire, effleurant toute chose, Retourne enfin au ciel chercher la volupté! (Alphonse de Lamartine) |
Déposé par zenelle le 21/08/2014Au-delà des soupirs Je n'ai pu t'adresser un regard, un sourire, Tu es parti trop vite et sans me prévenir... Immense est mon regret. Je voudrais te le dire Au-delà du chagrin, au-delà des soupirs. Ta mort hante ma vie. Pour combler ton absence Sans cesse je remue de précieux souvenirs. Je trouve un réconfort en trompant ma souffrance Au-delà du chagrin, au-delà des soupirs. Mes plus belles pensées vont vers toi dès l'aurore, Je t'appelle et te parle avant de m'endormir, Et bien étrangement ta voix me berce encore Au-delà du chagrin, au-delà des soupirs. Isabelle Callis-Sabot _________________________ |
Déposé par rafia le 18/08/2014« À ceux que j’aime, et qui m’aiment » - Poème amérindien Quand je ne serai plus là, lâchez-moi ! Laissez-moi partir Car j’ai tellement de choses à faire et à voir ! Ne pleurez pas en pensant à moi ! Soyez reconnaissants pour les belles années Pendant lesquelles je vous ai donné mon amour ! Vous ne pouvez que deviner Le bonheur que vous m’avez apporté ! Je vous remercie pour l’amour que chacun m’a démontré ! Maintenant, il est temps pour moi de voyager seul. Pendant un court moment vous pouvez avoir de la peine. La confiance vous apportera réconfort et consolation. Nous ne serons séparés que pour quelques temps ! Laissez les souvenirs apaiser votre douleur ! Je ne suis pas loin et et la vie continue ! Si vous en avez besoin, appelez-moi et je viendrai ! Même si vous ne pouvez me voir ou me toucher, je sera là, Et si vous écoutez votre cœur, vous sentirez clairement La douceur de l’amour que j’apporterai ! Quand il sera temps pour vous de partir, Je serai là pour vous accueillir, Absent de mon corps, présent avec Dieu ! N’allez pas sur ma tombe pour pleurer ! Je ne suis pas là, je ne dors pas ! Je suis les mille vents qui soufflent, Je suis le scintillement des cristaux de neige, Je suis la lumière qui traverse les champs de blé, Je suis la douce pluie d’automne, Je suis l’éveil des oiseaux dans le calme du matin, Je suis l’étoile qui brille dans la nuit ! N’allez pas sur ma tombe pour pleurer Je ne suis pas là, je ne suis pas mort. |
Déposé par rafia le 17/08/2014 Ce que c’est que la mort » – Victor Hugo Ne dites pas : mourir ; dites : naître. Croyez. On voit ce que je vois et ce que vous voyez ; On est l’homme mauvais que je suis, que vous êtes ; On se rue aux plaisirs, aux tourbillons, aux fêtes ; On tâche d’oublier le bas, la fin, l’écueil, La sombre égalité du mal et du cercueil ; Quoique le plus petit vaille le plus prospère ; Car tous les hommes sont les fils du même père ; Ils sont la même larme et sortent du même oeil. On vit, usant ses jours à se remplir d’orgueil ; On marche, on court, on rêve, on souffre, on penche, on tombe, On monte. Quelle est donc cette aube ? C’est la tombe. Où suis-je ? Dans la mort. Viens ! Un vent inconnu Vous jette au seuil des cieux. On tremble ; on se voit nu, Impur, hideux, noué des mille noeuds funèbres De ses torts, de ses maux honteux, de ses ténèbres ; Et soudain on entend quelqu’un dans l’infini Qui chante, et par quelqu’un on sent qu’on est béni, Sans voir la main d’où tombe à notre âme méchante L’amour, et sans savoir quelle est la voix qui chante. On arrive homme, deuil, glaçon, neige ; on se sent Fondre et vivre ; et, d’extase et d’azur s’emplissant, Tout notre être frémit de la défaite étrange Du monstre qui devient dans la lumière un ange. |
Déposé par rafia le 15/08/2014C’est pas vraiment des fantômes, mais leur absence est tellement forte, qu’elle crée en nous une présence qui nous rend faible, nous supporte. C’est ceux qu’on a aimé qui créaient un vide presque tangible, car l’amour qu’on leur donnait est orphelin, il cherche une cible. Pour certains on le savait, on s’était préparé au pire, mais d’autres ont disparu d’un seul coup, sans prévenir. On leur a pas dit au revoir, ils sont partis sans notre accord, car la mort a ses raisons que notre raison ignore. Alors on s’est regroupé d’un réconfort utopiste. A plusieurs on est plus fort mais on est pas moins triste. C’est seul qu’on fait son deuil, car on est seul quand on ressent. On apprivoise la douleur et la présence de nos absents. Nos absents sont toujours là, à l’esprit et dans nos souvenirs. Sur ce film de vacances, sur ces photos pleines de sourires. Nos absents nous entourent et resteront à nos côtés, ils reprennent vie dans nos rêves, comme si de rien n’était. On se rassure face à la souffrance qui nous serre le cou, en se disant que là où ils sont, ils ont sûrement moins mal que nous. Alors on marche, on rit, on chante, mais leur ombre demeure, dans un coin de nos cerveaux, dans un coin de notre bonheur. Nous on a des projets, on dessine nos lendemains. On décide du chemin, on regarde l’avenir entre nos mains. Et au cœur de l’action, dans nos victoires ou nos enfers, on imagine de temps en temps que nos absents nous voient faire. Chaque vie est un miracle, mais le final est énervant. J’me suis bien renseigné, on en sortira pas vivant. Faut apprendre à l’accepter pour essayer de vieillir heureux, mais chaque année nos absents sont un peu plus nombreux. Chaque nouvelle disparition transforme nos cœurs en dentelle, mais le temps passe et les douleurs vives deviennent pastelles. Ce temps qui pour une fois est un véritable allié. Chaque heure passée est une pommade, il en faudra des milliers. Moi les morts, les disparus, je n’en parle pas beaucoup. Alors j’écris sur eux, je titille les sujets tabous. Ce grand mystère qui nous attend, notre ultime point commun à tous. Qui fait qu’on court après la vie, sachant que la mort est à nos trousse. C’est pas vraiment des fantômes, mais leur absence est tellement forte, qu’elle crée en nous une présence qui nous rend faible, nous supporte. C’est ceux qu’on a aimé qui créait un vide presque infini, qu’inspirent des textes premier degré. Faut dire que la mort manque d’ironie. |
Déposé par rafia le 10/08/2014On se retrouvera by Francis Lalanne Promets-moi si tu me survis D´être plus fort que jamais Je serai toujours dans ta vie Près de toi, je te promets Et si la mort me programme Sur son grand ordinateur De ne pas en faire un drame De ne pas en avoir peur Pense à moi, comme je t´aime Et tu me délivreras Tu briseras l´anathème Qui me tiens loin de tes bras Pense à moi, comme je t´aime Rien ne nous séparera Même pas les chrysanthèmes Tu verras, on se retrouvera N´oublie pas ce que je t´ai dit L´amour est plus fort que tout Ni l´enfer ni le paradis Ne se mettront entre nous Et si la mort me programme Sur son grand ordinateur Elle ne prendra que mon âme Mais elle n´aura pas mon cœur Pense à moi, comme je t´aime Et tu me délivreras Tu briseras l´anathème Qui me tiens loin de tes bras Pense à moi, comme je t´aime Rien ne nous séparera Même pas les chrysanthèmes Tu verras, on se retrouvera On se retrouvera On se retrouvera... |
Déposé par zenelle le 08/08/2014Dick mon chien je t aime Et j'ai du mal à trouver les mots Qui seraient pour toi les plus beaux Qui te ressembleraient un peu Auraient la couleur de tes yeux Oui, j'ai du mal à trouver les mots Les mots d'amour, les mots qu'il faut Pour te dire que je ne sais pas Je ne sais pas vivre sans toi |
Déposé par rafia le 07/08/2014LE SOUVENIR Un être humain qui s’éteint, ce n’est pas un mortel qui finit. C’est un immortel qui commence. C’est pourquoi en allant confier où il dormira doucement à coté des siens, en attendant que j’aille l’y rejoindre, je ne lui dis pas adieu, je lui dis à bientôt. Car la douleur qui me serre le cœur raffermit, à chacun de ses battements, ma certitude qu’il est impossible d’autant aimer un être et de le perdre pour toujours. Ceux que nous avons aimés et que nous avons perdus ne sont plus où ils étaient, mais ils sont toujours et partout où nous sommes. Cela s’appelle d’un beau mot plein de poésie et de tendresse : le souvenir. Doris Lussier |
Déposé par rafia le 01/08/2014J'étais sans vie et sans voix Sans espérance et sans joie Presque rendu au bout de mon temps Mais, voici que se sont ouverts Les grands bras de la lumière Et voilà que je pars vers l'univers Je pars, je pars Je monte, je monte Je vole Le ciel est à moi Je parle aux étoiles Je plane de soleil en soleil Je vole, je vole, Je brille, je brille, Je vis Le ciel est à moi L'infini est bleu Bleu et doux et bon et merveilleux ! J'étais sans vie et sans voix L'âme pleine de « pourquoi » Perdu dans les silences et dans le mots Quelle est la raison des choses Des galaxies et des roses ? On le sait quand on sait Que tout est beau Je pars, je pars Je monte, je monte Je vole Le ciel est à moi Je parle aux étoiles Je plane de soleil en soleil Je vole, je vole, Je brille, je brille, Je vis Le ciel est à moi L'infini est bleu Bleu et doux et bon et merveilleux ! J'étais sans vie et sans voix Sans espérance et sans joie Presque rendu au bout de mon temps Mais, voici que se sont ouverts Les grands bras de la lumière Et voilà que je pars vers l'univers ! Stéphane Venne Chanson du film « Le papillon bleu », interprétée par Marie-Hélène Thibert |
Déposé par zenelle le 29/07/2014Dick Deux cœurs qui battaient à l'unisson c'était le tien, c’était le mien Le tien fatigué s'est arrête de battre et le mien a continué Pour que ton souvenir perdure Malgré la douleur... J'ai longé le gouffre qui s'ouvrait devant moi, sans y tomber Pour continuer à dire ton nom Malgré les larmes. Chaque jour est une bataille Mais pour continuer à dire ton nom Cette bataille je la gagnerais, chaque jour... |
Déposé par rafia le 29/07/2014Bleus ou noirs, tous aimés, tous beaux, Des yeux sans nombre ont vu l'aurore ; Ils dorment au fond des tombeaux Et le soleil se lève encore. Les nuits plus douces que les jours Ont enchanté des yeux sans nombre ; Les étoiles brillent toujours Et les yeux se sont remplis d'ombre. Oh ! qu'ils aient perdu le regard, Non, non, cela n'est pas possible ! Ils se sont tournés quelque part Vers ce qu'on nomme l'invisible ; Et comme les astres penchants, Nous quittent, mais au ciel demeurent, Les prunelles ont leurs couchants, Mais il n'est pas vrai qu'elles meurent : Bleus ou noirs, tous aimés, tous beaux, Ouverts à quelque immense aurore, De l'autre côté des tombeaux Les yeux qu'on ferme voient encore. Par Sully Prudhomme |
Déposé par lili2248 le 28/07/2014SOUVENIR -------- Le souvenir, c’est la présence dans l’absence, C’est la parole dans le silence, C’est le retour sans fin d’un bonheur passé, Auquel le cœur donne l’immortalité. ---------- Lacordaire, |
Déposé par rafia le 28/07/2014Le prodige de ce grand départ céleste qu'on appelle la mort, c'est que ceux qui partent ne s'éloignent point. Ils sont dans un monde de clarté, mais ils assistent, témoins attendris, à notre monde de ténèbres. Ils sont en haut et tout près. Oh ! qui que vous soyez, qui avez vu s'évanouir dans la tombe un être cher, ne vous croyez pas quittés par lui. Il est toujours là. Il est à côté de vous plus que jamais. La beauté de la mort, c'est la présence. Présence inexprimable des âmes aimées, souriant à nos yeux en larmes. L'être pleuré est disparu, non parti. Nous n'apercevons plus son doux visage ; nous nous sentons sous ses ailes. Les morts sont les invisibles, mais ils ne sont pas les absents. Rendons justice à la mort. Ne soyons point ingrats envers elle. Elle n'est pas, comme on le dit, un écroulement et une embûche. C'est une erreur de croire qu'ici, dans cette obscurité de la fosse ouverte, tout se perd. Ici, tout se retrouve. La tombe est un lieu de restitution. Ici l'âme ressaisit l'infini ; ici elle recouvre sa plénitude ; ici elle rentre en possession de toute sa mystérieuse nature ; elle est déliée du corps, déliée du besoin, déliée du fardeau, déliée de la fatalité. La mort est la plus grande des libertés. Elle est aussi le plus grand des progrès. La mort, c'est la montée de tout ce qui a vécu au degré supérieur. Ascension éblouissante et sacrée. Chacun reçoit son augmentation. Tout se transfigure dans la lumière et par la lumière. Victor Hugo ************************ Tendre la main Se détourner de notre quotidien un geste simple, tendre la main... donner un sourire à ceux qui sont malheureux//ses à ceux qui ont été moins chanceux//ses... Par ce beau geste, donner de l'espoir offrir tout ce que l'on peut avoir... de la tendresse, de l'amitié, du réconfort ...mais surtout pas pr devoir. La vie ne ns a pas ts gâtés//ées Si on est chanceux/ses de notre côté... un geste simple, tendre la main aux mal aimés/es , ceux/celles que la vie a rejetés/ées. Ou que le malheur a traumatisés/ees Aux personnes qui n'ont plus d'espoir Leur redonner un peu d'estime... Leur dire qu'on les aime ....écouter ce qu'ils//elles ont à dire... Par un simple geste, tendre la main à tous ceux/celles qui ont mal... leur donner un peu de courage Cela ne coûte rien et cela fait du bien Prendre le temps de le faire Personne ne sait ce que la vie lui réserve Du jour au lendemain Tout peut s'écrouler peut-être qu'un jour ns aurons besoin... de quelqu'un...pr nous tendre la main... Je vs embrasse ma chère Jocelyne. Votre amie Maryem |
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