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En hommage à
JOCKER
Il nous a quittés le:12/05/2016
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263 messages
Déposé par poutounou le 16/09/2016La vie est faite de "charmantes fleurs" mais aussi d'épines et de cailloux... * La Mort et la Vie * Si la mort est le but, pourquoi donc sur les routes Est-il dans les buissons de si charmantes fleurs ? Et lorsqu'au vent d'automne elles s'envolent toutes, Pourquoi les voir partir d'un oeil momifié de pleurs ? * Si la vie est le but, pourquoi donc sur les routes Tant de pierres dans l'herbe et d'épines aux fleurs, Que, pendant le voyage, hélas ! nous devons toutes Tacher de notre sang et mouiller de nos pleurs ? * Louise-Angélique BERTIN (1805-1863) |
Déposé par poutounou le 12/09/2016C'est vrai qu'il est bon d'aimer ; aimer un chien, un chat, des oiseaux, un hérisson, " une puce", la musique, les poèmes, celui ou celle qui partage notre vie... Il est simplement bon d'aimer... * Comme il est bon d'aimer * Il suffit d'un mot Pour prendre le monde Au piège de nos rêves. Il suffit d'un geste Pour relever la branche, Pour apaiser le vent. Il suffit d'un sourire Pour endormir la nuit, Délivrer nos visages De leur masque d'ombre. Mais cent milliards de poèmes Ne suffirait pas Pour dire Comme il est bon d'aimer * Jean-Pierre Siméon |
Déposé par poutounou le 07/09/2016Je veux la même et je ne la tuerai pas ; promis ! J'en ferai profiter tout le monde... * La Poule aux oeufs d'or * L'avarice perd tout en voulant tout gagner. Je ne veux, pour le témoigner, Que celui dont la Poule, à ce que dit la fable, Pondait tous les jours un oeuf d'or. Il crut que dans son corps elle avait un trésor. Il la tua, l'ouvrit, et la trouva semblable A celles dont les oeufs ne lui rapportaient rien, S'étant lui-même ôté le plus beau de son bien. Belle leçon pour les gens chiches : Pendant ces derniers temps, combien en a-t-on vus Qui du soir au matin sont pauvres devenus Pour vouloir trop tôt être riches ? * Jean de La Fontaine Mes poésies préférées |
Déposé par poutounou le 02/09/2016Disons « au revoir » au mois d’août….. * Soleil d'août... * Partir sur les sentiers brûlés, écouter battre la garrigue, Respirer les herbes arrosées d'un soleil d'août, sous les figues... Fermer les yeux, ouvrir son âme et se gorger des sons d'été, Se laisser prendre par le calme, s'approprier l'éternité... Vibrer des souffles d'air humide, sentir la vie souterraine, Source d'images translucides, d'une douceur souveraine... Noyer ses yeux dans les couleurs d'une eau limpide, enchanteresse, Glissant sur les grises rondeurs des gorges arides qu'elle caresse... Ecouter craquer sous nos pas les souvenirs des argiles, Délicatement, du bout des doigts, saisir la magie subtile... Se parfumer de la chaleur qui ensorcelle et qui envoûte, L'humble berger, le promeneur, sous le torride soleil d'août... * Blanche Plume |
Déposé par poutounou le 28/08/2016Quelle jolie poésie sur l’été qui s’en va tout doucement… * L'ETE (Les 4 saisons suite : l'été) * Un sphinx m'a dit bonjour de ses ailes de velours. La libellule s'envole sur les berges de roseaux, Tandis que l'alouette égrène son chant d'amour Réveillant dame chouette qui bougonne en sursaut. * Maman chevreuil présente son fils tout tacheté A la forêt, tandis que le roux martin-pêcheur Donne une leçon d'envol à sa dernière couvée, Perchée au bord du nid, elle tremble de tout son coeur ! * Dans la plaine irradiée, le soleil monte au zénith, Obligeant les animaux à chercher de l'ombre Dédaignant la mare où les grenouilles vous invitent, A venir les rejoindre dans les belles eaux profondes... * Une chaleur étouffante règne au milieu des terres Quand une brise soudaine prosterne tous les blés, Un éclair précède le grondement du tonnerre. Un orage se prépare, il faut tout rassembler. * Soleil qui nourrit et fait grandir toutes choses, Complice de nos vacances, tu remplis notre vie, D'instants merveilleux qui changent la vie en rose, Au lieu du quotidien qui trop vite ressurgit. * Les plages sont désertes, c'est la fin de l'été, Vacanciers et flâneurs sont retournés en ville : L'âme débordant d'espaces, d'air pur, de liberté... Premier amour, premiers baisers tendres et subtils ... * (Jean-Claude Brinette) |
Déposé par poutounou le 24/08/2016Pour tous nos beaux anges qui nous manquent tant… * L'ange envolé. * Poète : François-Marie Robert-Dutertre (1815-1898) * Mon ange a reployé ses ailes Et dort glacé sous un linceul ; Coulez, ô larmes éternelles, Car ici-bas je reste seul. * Ô chère ombre au ciel envolée, Chaque nuit sous les noirs cyprès Versant des pleurs sur ton blanc mausolée, Je viens épancher mes regrets. * Cette douce sœur de mon âme, Pour charmer mon cœur attristé, Me parlait encore de sa flamme Sur le seuil de l'éternité. * Ô chère ombre au ciel envolée, Chaque nuit sous les noirs cyprès Versant des pleurs sur ton blanc mausolée, Je viens épancher mes regrets. * Si jusqu'à toi, de cette terre S'élève mon chant désolé, Sois attentive à ma prière En ton beau royaume étoilé. * Ô chère ombre au ciel envolée, Chaque nuit sous les noirs cyprès Versant des pleurs sur ton blanc mausolée, Je viens épancher mes regrets. |
Déposé par poutounou le 20/08/2016Les caresses des yeux les plus douces, les plus pures, sont celles de nos merveilleux Anges... * Les caresses des yeux * Les caresses des yeux sont les plus adorables ; Elles apportent l'âme aux limites de l'être, Et livrent des secrets autrement ineffables, Dans lesquels seul le fond du coeur peut apparaître. * Les baisers les plus purs sont grossiers auprès d'elles ; Leur langage est plus fort que toutes les paroles ; Rien n'exprime que lui les choses immortelles Qui passent par instants dans nos êtres frivoles. * Lorsque l'âge a vieilli la bouche et le sourire Dont le pli lentement s'est comblé de tristesses, Elles gardent encor leur limpide tendresse ; * Faites pour consoler, enivrer et séduire, Elles ont les douceurs, les ardeurs et les charmes ! Et quelle autre caresse a traversé des larmes ? * Auguste ANGELLIER (1848-1911) |
Déposé par poutounou le 15/08/2016Les "vieilles personnes" ont souvent raison ! * La guenon, le singe et la noix * Une jeune guenon cueillit Une noix dans sa coque verte ; Elle y porte la dent, fait la grimace... Ah ! Certes, dit-elle, ma mère mentit Quand elle m'assura que les noix étaient bonnes. Puis, croyez aux discours de ces vieilles personnes Qui trompent la jeunesse ! Au diable soit le fruit ! Elle jette la noix. Un singe la ramasse, Vite entre deux cailloux la casse, L'épluche, la mange, et lui dit : Votre mère eut raison, ma mie : Les noix ont fort bon goût, mais il faut les ouvrir. Souvenez-vous que, dans la vie, Sans un peu de travail on n'a point de plaisir. * Jean-Pierre Claris de Florian Mes poésies préférées |
Déposé par poutounou le 12/08/2016L’espoir….. * L’espoir porte un costume de plumes, Se perche dans l’âme Et inlassablement chante Un air sans paroles ; Mais c’est dans la tempête Que son chant est le plus doux. * Emilie Dickinsonn |
Déposé par poutounou le 07/08/2016Malheureusement "Merci" est un mot qu'on entend trop rarement ! * Le blaireau sans gêne * Lui offrait-on quelque gâteau ? C’est simple il en réclamait deux. Devant un cadeau, ce blaireau Faisait la moue, remerciait peu. Partout il se sentait à l’aise Se glissant à la meilleure place. On le vit devenir obèse Mais toujours faisant la grimace. Un jour chez la Dame Belette Il dit un gros mot incongru ; Alors sa renommée fut faite : Désormais nul ne le reçut. Moralité Soyez polis, soyez courtois Dites bonjour, dites merci On vous recevra avec joie, Et vous aurez beaucoup d’amis * Yvon Danet Mes poésies préférées |
Déposé par poutounou le 03/08/2016Très joli texte interprété par Maurane et Lara Fabian * Tu Es Mon Autre * Ame ou soeur Jumeau ou frère De rien mais qui es-tu Tu es mon plus grand mystère Mon seul lien contigu Tu m'enrubannes et m'embryonnes Et tu me gardes à vue Tu es le seul animal de mon arche perdue * Tu ne parles qu'une langue, aucun mot déçu Celle qui fait de toi mon autre L'être reconnu Il n'y a rien à comprendre Et que passe l'intrus Qui n'en pourra rien attendre Car je suis seule à les entendre Les silences et quand j'en tremble * Toi, tu es mon autre La force de ma foi Ma faiblesse et ma loi Mon insolence et mon droit Moi, je suis ton autre Si nous n'étions pas d'ici Nous serions l'infini * Et si l'un de nous deux tombe L'arbre de nos vies Nous gardera loin de l'ombre Entre ciel et fruit Mais jamais trop loin de l'autre Nous serions maudits Tu seras ma dernière seconde Car je suis seule à les entendre Les silences et quand j'en tremble * Toi, tu es mon autre La force de ma foi Ma faiblesse et ma loi Mon insolence et mon droit Moi, je suis ton autre Si nous n'étions pas d'ici Nous serions l'infini * Et si l'un de nous deux tombe |
Déposé par poutounou le 29/07/2016Guidés par les yeux de nos Anges, « Etres de lumière« …. * Puisque l'aube grandit... * Puisque l'aube grandit, puisque voici l'aurore, Puisque, après m'avoir fui longtemps, l'espoir veut bien Revoler devers moi qui l'appelle et l'implore, Puisque tout ce bonheur veut bien être le mien, * C'en est fait à présent des funestes pensées, C'en est fait des mauvais rêves, ah ! c'en est fait Surtout de l'ironie et des lèvres pincées Et des mots où l'esprit sans l'âme triomphait. * Arrière aussi les poings crispés et la colère A propos des méchants et des sots rencontrés; Arrière la rancune abominable ! arrière L'oubli qu'on cherche en des breuvages exécrés ! * Car je veux, maintenant qu'un Être de lumière A dans ma nuit profonde émis cette clarté D'une amour à la fois immortelle et première, De par la grâce, le sourire et la bonté, * Je veux, guidé par vous, beaux yeux aux flammes douces, Par toi conduit, ô « patte » où tremblera ma main, Marcher droit, que ce soit par des sentiers de mousses Ou que rocs et cailloux encombrent le chemin ; * Oui, je veux marcher droit et calme dans la Vie, Vers le but où le sort dirigera mes pas, Sans violence, sans remords et sans envie : Ce sera le devoir heureux et gais combats. * Et comme, pour bercer les lenteurs de la route, Je chanterai des airs ingénus, je me dis Qu'elle m'écoutera sans déplaisir sans doute ; Et vraiment je ne veux pas d'autre Paradis. * Paul Verlaine, La bonne chanson |
Déposé par poutounou le 23/07/2016Attention les neurones !!! * C'EST L'HISTOIRE DE... * C'est l'histoire de quatre individus: Chacun, Quelqu'un, Quiconque et Personne. Un travail important devait être fait, et on avait demandé à Chacun de s'en occuper. Chacun était assuré que Quelqu'un allait le faire. Quiconque aurait pu s'en occuper, mais Personne ne l'a fait. Quelqu'un s'est emporté parce qu'il considérait que ce travail était la responsabilité de Chacun. Chacun croyait que Quiconque pouvait le faire, mais Personne ne s'était rendu compte que Chacun ne le ferait pas. À la fin, Chacun blâmait Quelqu'un du fait que Personne n'avait fait ce que Quiconque aurait dû faire... * (Lamartine) |
Déposé par poutounou le 20/07/2016Faire une âme moins triste….. * Écoutez la chanson bien douce * Écoutez la chanson bien douce Qui ne pleure que pour vous plaire. Elle est discrète, elle est légère : Un frisson d'eau sur de la mousse ! * La voix vous fut connue (et chère?), Mais à présent elle est voilée Comme une veuve désolée, Pourtant comme elle encore fière, * Et dans les longs plis de son voile Qui palpite aux brises d'automne, Cache et montre au coeur qui s'étonne La vérité comme une étoile. * Elle dit, la voix reconnue, Que la bonté c'est notre vie, Que de la haine et de l'envie Rien ne reste, la mort venue. * Elle parle aussi de la gloire D'être simple sans plus attendre, Et de noces d'or et du tendre bonheur D'une paix sans victoire. * Accueillez la voix qui persiste Dans son naïf épithalame. Allez, rien n'est meilleur à l'âme Que de faire une âme moins triste ! * Elle est en peine et de passage, L'âme qui souffre sans colère, Et comme sa morale est claire !... Écoutez la chanson bien sage. * Paul Verlaine, Sagesse |
Déposé par Galinette3 le 17/07/2016LES MAINS PROPRES 🐶 O Grand Esprit, Dont j'entends la voix dans le vent, Et dont le souffle donne la vie au monde, Ecoute-moi ! Puissent mes pas me porter dans la beauté, Puissent mes yeux toujours voir Le coucher du soleil rouge et pourpre . Puissent mes mains respecter les choses que tu as créées Et mes oreilles être attentives à ta voix . Que je puisse apprendre les leçons que tu as cachées dans chaque feuille et chaque pierre . Je cherche la force, pas pour être plus grand que mon frère, mais pour combattre mon pire ennemi : moi-même . Pour que je puisse toujours venir vers toi les mains propres et le regard franc . Pour qu'au crépuscule de la vie, comme le soleil qui se couche, je puisse venir vers toi sans honte . 🐶 Un indien d'Amérique |
Déposé par poutounou le 16/07/2016La télépathie entre animaux et humains j'y crois ! Sinon comment expliquer que votre chien attende derrière la barrière ou derrière la fenêtre, alors que vous êtes encore loin de votre maison, où qu'il tremble dans la voiture lorsque vous vous rendez chez le véto ??? * Il était neuf heures du soir. Hervé, son dîner achevé, lisait tranquillement au coin de la cheminée où crépitait un joyeux feu de bois. Tout semblait calme. La nuit, dehors, imposait le poids de son silence aux bruits de la vie. Lucky, lui, vadrouillait dans les parages. Rituellement, à la tombée du jour, il se payait une promenade vespérale et digestive, levant ici un campagnol à la recherche d'insectes, effarouchant là un lapin sorti du terrier. Et, soudain, Hervé perçut, mentalement mais distinctement, les appels de désespoir de son chien. Aucun son, pourtant, ne passait les murs épais de la maison... - Bon, j'ai rêvé, se dit-il. Et il reprit sa lecture. Mais les appels se renouvelaient, devenaient pressants... Il se leva, enfila son manteau et sortit. Sans se poser l'ombre d'une question, il se dirigea droit vers le bois qui, à deux cents mètres, profilait sur le ciel la masse plus sombre de ses arbres. - J'étais, me dit-il, comme guidé par un fil invisible et je marchais sans hésitation dans une direction qui m'était imposée. Il pénétra profondément dans le bois et, dix minutes plus tard, les aboiements plaintifs de Lucky lui parvinrent pour la première fois. Il le trouva enfin. Le chien avait posé la patte sur un piège à mâchoire et, ne pouvant s'en dégager, il appelait son ami à son secours... Hervé réussit à le libérer et les blessures que le piège avait occasionnées cicatrisèrent vite. Mais un fait s'imposait : c'est bien par la télépathie que Lucky avait alerté Hervé Grosjean. |
Déposé par poutounou le 11/07/2016Encore une histoire qui nous démontre à quel point ils sont "indispensables", nos amours à 4 pattes.... * Pétrus, un véritable chien héros Nous avons vécu, l'automne dernier, un moment difficile qui, sans la présence de notre Fox Pétrus aurait pu être dramatique, voire même catastrophique. Dans la nuit du 6 au 7 octobre, nous sommes profondément endormis. Pétrus aboie, cela lui arrive rarement : il est respectueux du sommeil de ses maîtres et s'il se manifeste c'est qu'il y a quelque chose : présence de chats sur son territoire, passage et ou stationnement prolongé de véhicules devant la maison, bruits inhabituels... * Cette nuit -là donc Pétrus aboie. Comme chaque fois que cela se produit, je lui ordonne, depuis la chambre, de se coucher et de se taire, et les choses en restent là. Mais cette nuit-là il n'obéit pas et il continue à donner de la voix, moi à lui ordonner de se taire et de se coucher ; cependant il se manifeste d'une manière tellement impérieuse et inhabituelle que je me vois obligée de me lever. *Arrivée dans l'entrée, je trouve notre chien qui m'ignore et qui cherche à sortir, je lui intime l'ordre de se coucher, il persiste dans sa demande de sortie. Avec le recul aujourd'hui, je réalise que j'aurais dû commencer à m'inquiéter. Mais dans les brumes du sommeil, je n'ai pensé qu'à faire taire Pétrus pour retrouver mon lit au plus tôt. J'ai donc pris mon chien sous le bras et l'ai ramené autoritairement dans la cuisine dans son panier, et c'est à ce moment que j'ai compris le pourquoi des aboiements de Pétrus : par la fenêtre de la cuisine, j'ai vu notre garage en flammes. * Le temps de réveiller mon mari, d'appeler les pompiers, d'aller confier Pétrus aux voisins et déjà les flammes dépassaient le toit. Le seul élément qui a souffert de l'incendie est le garage ; il est attenant à la maison par un auvent, celle-ci a juste eu les façades noircies. La chaleur y était telle que les murs ont éclaté. Il y avait à l'intérieur deux bouteilles de gaz qui, Dieu merci, n'ont pas explosé. * Tout ce qui se trouvait dans le garage a été totalement détruit : 2 voitures, salon de jardin, tondeuse, machinerie piscine, etc. Tout le monde est d'accord pour dire que nous devons beaucoup à Pétrus. Sans lui, la maison aurait été gravement endommagée, nos bouteilles de gaz auraient pu provoquer des dégâts dans tout le quartier et serions-nous aujourd'hui là pour le raconter ? Comme disait Marie, la fille d'amis, après qu'on lui ait raconté ces événements: « On devrait tous avoir un chien ». Et j'ajouterai : un Fox ! Depuis Pétrus a retrouvé ses habitudes : Farniente sur le canapé, chasse aux lézards, piscine avec les jeunes. |
Déposé par Biscuit le 10/07/2016"Pour tous ces jours passé avec toi Pour tous ces moments où j'ai joué avec toi Pour tous ces reves ou j'ai penser à toi Pour tous ces léchouilles que tu ma fait Pour tous ces fou rire que j'ai passer avec toi Pour tous ces jours où je penserais a toi Je ne voudrais te perdre pour rien au monde Je t'aime mon rayon de soleil." |
Déposé par poutounou le 08/07/2016Petit poème sur "l'habitude" qui nous aide à poursuivre notre chemin malgré les durs moments de la vie... * L'habitude * La tranquille habitude aux mains silencieuses Panse, de jour en jour, nos plus grandes blessures ; Elle met sur nos coeurs ses bandelettes sûres Et leur verse sans fin ses huiles oublieuses ; * Les plus nobles chagrins, qui voudraient se défendre, Désireux de durer pour l'amour qu'ils contiennent, Sentent le besoin cher et dont ils s'entretiennent Devenir, malgré eux, moins farouche et plus tendre ; * Et, chaque jour, les mains endormeuses et douces, Les insensibles mains de la lente Habitude, Resserrent un peu plus l'étrange quiétude Où le mal assoupi se soumet et s'émousse ; * Et du même toucher dont elle endort la peine, Du même frôlement délicat qui repasse Toujours, elle délustre, elle éteint, elle efface, Comme un reflet, dans un miroir, sous une haleine, * Les gestes, le sourire et le visage même Dont la présence était divine et meurtrière ; Ils pâlissent couverts d'une fine poussière ; La source des regrets devient voilée et blême. * A chaque heure apaisant la souffrance amollie, Otant de leur éclat aux voluptés perdues, Elle rapproche ainsi de ses mains assidues, Le passé du présent, et les réconcilie ; * La douleur s'amoindrit pour de moindres délices ; La blessure adoucie et calme se referme ; Et les hauts désespoirs, qui se voulaient sans terme, Se sentent lentement changés en cicatrices ; * Et celui qui chérit sa sombre inquiétude. Qui verserait des pleurs sur sa douleur dissoute, Plus que tous les tourments et les cris vous redoute, Silencieuses mains de la lente Habitude. * Auguste ANGELLIER (1848-1911) |
Déposé par poutounou le 03/07/2016Il y a des jours comme ça… * Il y a des jours comme ça, Des jours où ça ne va pas. Des jours où on aimerait Serrer notre Ange contre soi. Lui murmurer des mots doux, Lui faire des câlinous tout partout Il y a des jours comme ça… Depuis qu’il n’est plus là. |
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