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En hommage à
CANICHEBenjy
Il nous a quittés le:03/02/2015
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2357 messages
Déposé par Biscuit le 13/05/2015Lettre venue d'ailleurs... Tu as souhaité m'écrire, laissant le soin aux nuages, le soin de me transmettre ton message. Cette seule intention m'autorise à te répondre afin de te dire qu'en partant, j'ai bien emporté toute la richesse et l'amour de notre vécu, et, si du poids de mon corps je me suis allégé, je n'en reste pas moins, dans l'ombre, à tes côtés. Dés lors, si tu es à la recherche de notre hier, laisse voguer en toi les pensées et les rêves, car, dans ces voyages, nous nous retrouverons pour vivre ensemble cette intime complicité, et donner ainsi toute sa force à son éternité. Que la caresse du vent, un rayon de soleil, une étoile filante ou une goutte de pluie soient les anges porteurs de cet écrit pour en traduire auprès de toi le sentiment, afin que, laissant de côté regrets comme oublis, tu vives intensément chaque moment de la vie. (Michel Thivent) |
Déposé par poutounou le 09/05/2015Mon Paradis * Quelque part, dans ce monde, je cherchais le Paradis. * En quête d’une île déserte, d’une planète inconnue, D’une terre vierge, encore inexplorée et nue, D’un petit coin d’univers, hors du temps, hors d’ici. * Quelque part, dans ce monde, je cherchais le Paradis. * Je voulais un peu de paix, pour mon cœur fatigué. Je voulais fuir les querelles et tout recommencer, Sur la terre originelle, renaître de l’oubli. * Quelque part, dans ce monde, je cherchais le Paradis. * Quitter cette vie insensée, rejoindre le ciel. Je l’imagine aussi pur que sa couleur pastelle, Vestige de beauté d’une nature si meurtrie. * Quelque part, dans ce monde, je cherchais le Paradis. * Comme une lueur d’espoir apaisant la souffrance, Et quand bien même un mensonge, pour nier l’évidence, D’avoir la peur pour compagne d’une vie sans répit. * Quelque part, dans ce monde, je cherchais le Paradis. * Et mes yeux, troublés de larmes, ont croisé ton regard, Et mon destin, soudain, s’est joué au gré du hasard. C’est là, aux frontières de ton cœur, qu’alors j’ai compris. * Quelque part, dans ce monde, je cherchais le Paradis. * Mais il n’existe ni asile, ni mythe fantastique. Il n’y a que l’Amour pour faire le monde magnifique. Et ton Amour pour moi a donné sens à ma vie. * Quelque part, dans ce monde, j’ai trouvé mon Paradis. |
Déposé par choupinou le 02/05/2015pour moi : Le muguet ne fleurira plus En ce printemps le muguet ne fleurira plus il a perdu sa blancheur et dans mon coeur la noirceur se fait entendre il perd ses arômes.... Tout est superficiel pour devenir artificiel. Il ne fleurira plus de par ses aboiement, de par sa pureté, il s'est égrainé pour mieux s'envoler. De part ses fines clochettes, le bonheur lui échappe au grès du vent,tel la cendre, laissant le paysage saturé d'un embrun grisâtre. Tu ne fleurira pas cette année,comme les autres d'ailleurs, il pleut sur mon visage,la pluie te noie.... Tu fleuriras pas mon doux et beau muguet..... le vent t'a emporté,tel un mois de mai en berne, tel un visage fatigué d'un printemps,de ces printemps gâché..... PERDUS.... écrit de TAMS |
Déposé par poutounou le 01/05/2015Petit brin de Bonheur… * Très tôt dans la matinée, Du pied droit, je me suis levée. Mes gros sabots aux pieds, Dans mon jardin, je suis allée, Pour y cueillir des brins de muguet, Recouverts de rosée. * Tintinnabulez, tintinnabulez ! Jolies clochettes de Mai. Epandez vos douces senteurs Jusque dans nos cœurs. Et déposez dans chaque foyer Un océan d’amour et d’amitié. * Je t’envoie, merveilleux Ange, un beau brin de muguet de mon jardin. Garde-le bien au chaud, tout contre ton cœur, car il porte Bonheur… Amitiés à ta famille de cœur… |
Déposé par rafia le 01/05/2015Je serai toujours près de toi... Cher maître, Je voulais que tu saches que parfois la vie Est sans pitié. Elle nous sépare, or, Jamais nous ne l'avions souhaité . Du ciel parfois je te regarde mais tu Ne me vois pas. Là- haut , je suis bien mieux . J'ai trouvé ma place au milieu d'un monde heureux. Et ce monde , lui , est ETERNITE. Or, dans celui où je suis né les misères étaient bien réelles. Elle m'ont emporté avec elle, Oui maître , j'ai découvert que Même avec toi , le monde pouvait se montrer cruel . Je suis quand même heureux d'avoir pu vivre avec toi. Car petit , J'étais l'esclave de la maltraitance et des Personnes sans coeur, sans amour. Et puis tu es arrivé et m'a finalement délivré Des chaînes qui me retenaient, Et pour ça maître je te dis merci ... J'ai encore beaucoup d'espoir . Je me dis bien que l'on pourra se revoir. Je reste fort comme je l'ai toujours été mais Malheureusement , trop impuissant devant la mort qui me menaçait. . Tu restes à jamais dans mon coeur . Maître et Dieu du du bonheur Ne m'oublie jamais, Car moi je ne t'es jamais oublié . Auteur inconnu |
Déposé par ovanek le 01/05/2015❤ Enfin te voilà, Un joli brin de senteur Petit brin de bonheur Sur les ailes de ton cœur Pose sa blancheur Vive les clochettes D’un petit brin de muguet Rends la vie plus gaie De ton essence irriguée pensée ❤ |
Déposé par Biscuit le 01/05/2015C'est le premier mai Cherchons, cherchons... Les brins de muguet. Dans les bois, sur les talus, Sentez, sentez... Ces belles clochettes parfumées. Regardez ce massif de fleurs : Cueillons, cueillons.. Ce porte-bonheur. |
Déposé par poutounou le 28/04/2015A vos plumes ! * A ceux qui n'osent point ou qui ont peur, Ceux pour qui écrire semble paralysie, Rêvez en votre esprit d'un nom comme le bonheur. Osez le dessiner avec des mots çà et là jaillis. Suivez votre inspiration, sans être jugés et avoir peur... Taillez ces mots comme s'ils étaient cueillis Ils s'ouvriront alors comme de belles fleurs. Caressez-les, gourmands, tels des fruits confits, Humectez les un peu de votre coeur Et ce qui vous semblait granit deviendra transcrit. Usez de votre gomme pour rectifier l'erreur, Rêvez d'être publiés sans être érudits... Souriez ainsi d'avoir écrit un peu de poésie... |
Déposé par Biscuit le 28/04/2015Mon ami à quatre pattes Mon chien s’en est allé à l’aurore d’un jour Vers le lieu mystérieux d’où l’on ne revient pas. C’était mon compagnon, mon ami de toujours Et comme les humains il connut le trépas. La maison désormais se retrouve sans lui. Il repose en forêt sous les feuilles jaunies. Plus jamais son accueil, son regard tendre et doux Ses jappements de joie, son amour un peu fou ! Je garderai toujours le souvenir ému De cet ami charmant et à jamais perdu. Et je comprends très bien que l’on aime son chien Quand beaucoup d’hommes hélas ! ne valent presque rien. de Christian Chabellard |
Déposé par choupinou le 27/04/2015Je suis assise ici,seule,si triste et solitaire je pense a toi si souvent,chaque minute du jour me demandant comment tu vas,ce que tu fais, souhaitant te serrer si fort dans mes bras. Je suis assise là,me souvenant de tout ce que nous avons partagé rêvant de toi, a tout,a qui sera, et je verse une larme pour chaque minute sans toi, parfois je crois a ma force et que le temps qui nous sépare, s'écoulera vite,ce n'est qu'une petite tréve,mais qui fait mal. Et puis parfois,je m'assieds et de nouveau je pleure et me demande: Pourquoi faut t'il que l'amour fasse si souffrir.... Bien que parfois dans ma solitude,quelque part dans le vide, je me sent pourtant encore aimée,et je réalise : que ce n'est pas l'amour qui fait si mal .... C'est d'être sans toi,sans ta présence a mes côtés...., |
Déposé par poutounou le 24/04/2015Une toute mignonne poésie pour toi, bel Ange. Le printemps est une si belle saison….Cela mérite bien quelques poèmes jolis….. * Petit écho du matin * Voilà ce que m’a raconté la brise ce matin, Alors qu’elle se reposait au banc du jardin. Figurez vous qu’il y a une véritable révolution ! Que l’on parle, que l’on jase à travers les gazons ! N’a t’on point vu, quelle étrange amourette, Sortir ensemble violette et pâquerette ! Il en est cependant que la nouvelle émoustille, N’a t’on point vu danser ailleurs une jonquille ? Je tiens la nouvelle toute fraîche du papillon Qui comme chacun sait est un grand fripon . On aurait vu, mais je n’ose toutefois le croire Déjà une jeune abeille vaquer à ses devoirs…. Voilà ce que me disait la brise il y a peu de temps… Mais j’avais lu dans les regards ! Ca y est ! C’est le printemps ! |
Déposé par rafia le 22/04/2015Mon amie (mais s'adapte aussi aux amis). Tu as su me tendre la main À cet instant où je n'allais pas bien De nos rires, de nos confessions Est née de l'affection De notre tristesse, de notre complicité Est née notre amitié Mais il ne faut pas que ce cela reste Un simple mot de six lettres Si un jour tu es en détresse N'hésite pas à me lancer un S.O.S. Même si je ne trouve pas les mots Ceux qui rendent le monde plus beau Même si je suis maladroit Tu pourras toujours compter sur moi Ne laisse pas la maladie Prendre le pas sur ta vie Si aujourd'hui tes larmes sont salées Demain elles te paraîtront sucrées Dans une folle farandole Tout tes amis réunis Fêteront ainsi ta nouvelle vie Mon amie tu m'as secouru Alors que je me croyais perdu Mon amie tu m'as aidé Et ça je ne l'oublierais jamais Aussi loin que tu sois Je veillerai toujours sur toi. Maxalexis |
Déposé par ovanek le 21/04/2015❤ ** à plus tard ** Tu as toujours été là pour moi Restes le seul qui me mets en émoi Oubliés les soucis quand tu es dans mes bras Parce que la vie n'est plus la même sans toi Lorsqu' enfin nous nous retrouverons On pourra pleinement revivre cette passion Il faut juste un peu encore patienter Ne serait ce que pour vivre ce moment d'intense amitié **** Pensée **** ❤ |
Déposé par Biscuit le 21/04/2015Oural Ouralou par Jean Ferrat Un superbe hommage de Jean Ferrat à sa chienne disparue C'est dans l'aube chère à Verlaine Que tu courais notre domaine, Humant l'air des quatre saisons. Odeurs de thym et de bruyère Sous tes pattes fraîches légères S'élevaient comme une oraison. Berger des landes familières, Tu vivais digne et solitaire. Animal doué de raison J'écris ce jour anniversaire Où tu reposes sous la terre A deux pas de notre maison. Hourrah Oural Ouralou Oural Ouralou. Hourrah Oural Ouralou Oural Ouralou. On voit souvent des souveraines A la place des rois qui règnent Rien qu'en posant leurs yeux dessus. Il faut se méfier du paraître. De nous deux qui était le maître ? Nous ne l'avons jamais bien su. Tu vécus la vie parisienne, La nuit sur les quais de la Seine Les music-halls et les tournées. Et cette vie qui fut la mienne Il me semble que tu l'entraînes A la semelle de tes souliers. Hourrah Oural Ouralou Oural Ouralou. Hourrah Oural Ouralou Oural Ouralou. Jour après jour il faut l'admettre, Voir ceux qu'on aime disparaître C'est ce qui fait vieillir trop tôt. Au paradis des chiens, peut-être, Ton long museau à la fenêtre, Tu nous accueilleras bientôt. Au triple galop, caracole, Je vois tes pattes qui s'envolent, Chevauchant l'herbe et les nuées. Le vent siffle dans ton pelage, Vole, vole, mon loup sauvage, Comme au temps des vertes années. Hourrah Oural Ouralou Oural Ouralou. Hourrah Oural Ouralou Oural Ouralou. |
Déposé par rafia le 21/04/2015Conseil à l'ami. L'amitié ! quel nom ravissant ! Tout poète, depuis Homère, Chante l'amitié, la chimère La plus chère à l'esprit qui sent ! Que ton avis soit caressant, Ami ; jamais de voix amère : Sois semblable à la bonne mère, Grondant son fils et l'embrassant. Garde qu'un mot aigre, âme aimante, Ne tombe en l'amitié charmante, Breuvage dont la douceur plaît. Souviens-toi que la moindre goutte D'acide, quand elle y dégoutte, Fait vite aigrir le plus doux lait ! Évariste Boulay-Paty |
Déposé par poutounou le 20/04/2015Printemps * Voici donc les longs jours, lumière, amour, délire ! Voici le printemps ! mars, avril au doux sourire, Mai fleuri, juin brûlant, tous les beaux mois amis ! Les peupliers, au bord des fleuves endormis, Se courbent mollement comme de grandes palmes ; L'oiseau palpite au fond des bois tièdes et calmes ; Il semble que tout rit, et que les arbres verts Sont joyeux d'être ensemble et se disent des vers. Le jour naît couronné d'une aube fraîche et tendre ; Le soir est plein d'amour ; la nuit, on croit entendre, A travers l'ombre immense et sous le ciel béni, Quelque chose d'heureux chanter dans l'infini. * Victor Hugo |
Déposé par choupinou le 20/04/2015quand vient la nuit,voici le vent l'oeil pleure,rouge flamboyant ses larmes se noient dans un océan des secrets et des tourments la mer tempête sa colère éclatent les vagues amère nature laisse échapper ta rage balaye les épaves de tes plages... mon coeur ne cesse de se taire mon ventre renferme la colère la peur masque mon visage quand saurais-je tourner la page? toi qui veux que je continue ma vie qui me pousse devant toi qui me dit ne part pas a la dérive,va de l'avant car moi ton chien, ta chienne ,ton ami(e), je serai toujours près de toi a l'infini, |
Déposé par poutounou le 16/04/2015Si... * Si la sardine avait des ailes, Si Gaston s'appelait Gisèle, Si l'on pleurait lorsque l'on rit, Si le pape habitait Paris, Si l'on mourait avant de naitre, Si la porte était la fenêtre, Si l'agneau dévorait le loup, Si les Normands parlaient zoulou, Si la mer Noire était la Manche Et la mer Rouge la mer Blanche, Si le monde était à l'envers, Je marcherais les pieds en l'air, Le jour je garderais la chambre, J'irais à la plage en décembre, Deux et un ne feraient plus trois... Quel ennui ce monde à l'endroit ! * Jean-Luc Moreau |
Déposé par poutounou le 13/04/2015« La cigale et la fourmi » à l’envers ! * La fourmi et la cigale * La fourmi ayant stocké tout l’hiver Se trouva fort encombrée Quand le soleil fut venu : Qui lui prendrait ses morceaux De mouches ou de vermisseaux ? Elle tenta de démarcher Chez la cigale, sa voisine, La poussant à s’acheter Quelques grains pour subsister Jusqu’à la saison prochaine. « Vous me paierez, lui dit-elle, Apres l’out, foi d’animal, Intérêt et principal. « La cigale n’est pas gourmande : C’est là son moindre défaut. Que faisiez-vous au temps froid ? Dit-elle à cette amasseuse. - Nuit et jour à tout-venant Je stockais, ne vous déplaise. - Vous stockiez ? j’en suis fort aise ; Et bien soldez maintenant. « * Françoise Sagan |
Déposé par choupinou le 13/04/2015Mon copain Quand j’ai du chagrin Il ne me dit rien Il sait bien que ça ne sert à rien Quand j’ai du chagrin Mon ami Quand j’ai de la peine Il ne me dit pas qu’il m’aime Je sais bien que ça le gêne Quand j’ai de la peine Alors il m’écoute Moi je sais qu’il m’entend Et il me regarde Moi je sais qu’il comprend Il se met dans un coin Ses yeux sont plus malheureux Que les miens Mon copain, mon ami Il est plus qu’un ami Plus qu’un bon copain ...Puisque c’etait mon chien Chantal Abraham |
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