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En hommage à
Benjy
CANICHE
Il nous a quittés le:03/02/2015

Mon petit Benjy
Tu as croisé ma route le 18 mai 1997,je t'ai vu dans le bas coté de notre rue ou tu semblais dormir,je suis aller chercher de la nourriture et c'est comme ça que j'ai pu de prendre dans mes bras.J'ai constaté que ton poil long n'était que bourres et j'ai décidé de couper tout ça et ensuite de te laver,après tu paraissais très maigre,personne ne t'as réclamé!Je t'ais emmené chez le vétérinaire pour vaccins,tatouage et c'est lui qui m'a dit que tu avais bien 3 ans.Et voilà ,tu as passé 15 ans avec nous,ptit Benjycotin comme t'appelais ton maître,tu as parcouru des Kilomêtres en promenade avec moi,tu avais un flaire incroyable,tu sentais le gibier,tu as été un bon petit chien et hier j'ai du prendre la décision qui est bien difficile,mais pour abréger tes souffrances.Je ne t'oublierais jamais,tu es partit rejoindre ton copain Nelson,doux repos,je t'aime.




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2357 messages

Déposé par Biscuit le 13/05/2015  
Lettre venue d'ailleurs...
Tu as souhaité m'écrire, laissant le soin aux nuages,
le soin de me transmettre ton message.
Cette seule intention m'autorise à te répondre
afin de te dire qu'en partant, j'ai bien emporté
toute la richesse et l'amour de notre vécu,
et, si du poids de mon corps je me suis allégé,
je n'en reste pas moins, dans l'ombre, à tes côtés.
Dés lors, si tu es à la recherche de notre hier,
laisse voguer en toi les pensées et les rêves,
car, dans ces voyages, nous nous retrouverons
pour vivre ensemble cette intime complicité,
et donner ainsi toute sa force à son éternité.
Que la caresse du vent, un rayon de soleil,
une étoile filante ou une goutte de pluie
soient les anges porteurs de cet écrit
pour en traduire auprès de toi le sentiment,
afin que, laissant de côté regrets comme oublis,
tu vives intensément chaque moment de la vie.
(Michel Thivent)

Déposé par poutounou le 09/05/2015  
Mon Paradis
*
Quelque part, dans ce monde, je cherchais le Paradis.
*
En quête d’une île déserte, d’une planète inconnue,
D’une terre vierge, encore inexplorée et nue,
D’un petit coin d’univers, hors du temps, hors d’ici.
*
Quelque part, dans ce monde, je cherchais le Paradis.
*
Je voulais un peu de paix, pour mon cœur fatigué.
Je voulais fuir les querelles et tout recommencer,
Sur la terre originelle, renaître de l’oubli.
*
Quelque part, dans ce monde, je cherchais le Paradis.
*
Quitter cette vie insensée, rejoindre le ciel.
Je l’imagine aussi pur que sa couleur pastelle,
Vestige de beauté d’une nature si meurtrie.
*
Quelque part, dans ce monde, je cherchais le Paradis.
*
Comme une lueur d’espoir apaisant la souffrance,
Et quand bien même un mensonge, pour nier l’évidence,
D’avoir la peur pour compagne d’une vie sans répit.
*
Quelque part, dans ce monde, je cherchais le Paradis.
*
Et mes yeux, troublés de larmes, ont croisé ton regard,
Et mon destin, soudain, s’est joué au gré du hasard.
C’est là, aux frontières de ton cœur, qu’alors j’ai compris.
*
Quelque part, dans ce monde, je cherchais le Paradis.
*
Mais il n’existe ni asile, ni mythe fantastique.
Il n’y a que l’Amour pour faire le monde magnifique.
Et ton Amour pour moi a donné sens à ma vie.
*
Quelque part, dans ce monde, j’ai trouvé mon Paradis.

Déposé par choupinou le 02/05/2015  
pour moi : Le muguet ne fleurira plus
En ce printemps le muguet ne fleurira plus
il a perdu sa blancheur
et dans mon coeur la noirceur se fait entendre
il perd ses arômes....
Tout est superficiel
pour devenir artificiel.
Il ne fleurira plus de par ses aboiement,
de par sa pureté,
il s'est égrainé pour mieux s'envoler.
De part ses fines clochettes,
le bonheur lui échappe au grès du vent,tel la cendre,
laissant le paysage saturé d'un embrun grisâtre.
Tu ne fleurira pas cette année,comme les autres d'ailleurs,
il pleut sur mon visage,la pluie te noie....
Tu fleuriras pas mon doux et beau muguet.....
le vent t'a emporté,tel un mois de mai en berne,
tel un visage fatigué d'un printemps,de ces printemps gâché.....
PERDUS....
écrit de TAMS

Déposé par poutounou le 01/05/2015  
Petit brin de Bonheur…
*
Très tôt dans la matinée,
Du pied droit, je me suis levée.
Mes gros sabots aux pieds,
Dans mon jardin, je suis allée,
Pour y cueillir des brins de muguet,
Recouverts de rosée.
*
Tintinnabulez, tintinnabulez !
Jolies clochettes de Mai.
Epandez vos douces senteurs
Jusque dans nos cœurs.
Et déposez dans chaque foyer
Un océan d’amour et d’amitié.
*
Je t’envoie, merveilleux Ange, un beau brin de muguet de mon jardin. Garde-le bien au chaud, tout contre ton cœur, car il porte Bonheur… Amitiés à ta famille de cœur…

Déposé par rafia le 01/05/2015  
Je serai toujours près de toi...
Cher maître,
Je voulais que tu saches que parfois la vie
Est sans pitié.
Elle nous sépare, or,
Jamais nous ne l'avions souhaité .
Du ciel parfois je te regarde mais tu
Ne me vois pas. Là- haut , je suis bien mieux .
J'ai trouvé ma place au milieu d'un monde heureux.
Et ce monde , lui , est ETERNITE.
Or, dans celui où je suis né les misères étaient bien réelles.
Elle m'ont emporté avec elle,
Oui maître , j'ai découvert que
Même avec toi , le monde pouvait se montrer
cruel .
Je suis quand même heureux d'avoir pu vivre avec toi.
Car petit ,
J'étais l'esclave de la maltraitance et des
Personnes sans coeur, sans amour.
Et puis tu es arrivé et m'a finalement délivré
Des chaînes qui me retenaient,
Et pour ça maître je te dis merci ...
J'ai encore beaucoup d'espoir .
Je me dis bien que l'on pourra se revoir.
Je reste fort comme je l'ai toujours été mais
Malheureusement , trop impuissant devant
la mort qui me menaçait.
.
Tu restes à jamais dans mon coeur .
Maître et Dieu du du bonheur
Ne m'oublie jamais,
Car moi je ne t'es jamais oublié .
Auteur inconnu

Déposé par ovanek le 01/05/2015  

Enfin te voilà,
Un joli brin de senteur
Petit brin de bonheur
Sur les ailes de ton cœur
Pose sa blancheur
Vive les clochettes
D’un petit brin de muguet
Rends la vie plus gaie
De ton essence irriguée
pensée

Déposé par Biscuit le 01/05/2015  
C'est le premier mai
Cherchons, cherchons...
Les brins de muguet.
Dans les bois, sur les talus,
Sentez, sentez...
Ces belles clochettes parfumées.
Regardez ce massif de fleurs :
Cueillons, cueillons..
Ce porte-bonheur.

Déposé par poutounou le 28/04/2015  
A vos plumes !
*
A ceux qui n'osent point ou qui ont peur,
Ceux pour qui écrire semble paralysie,
Rêvez en votre esprit d'un nom comme le bonheur.
Osez le dessiner avec des mots çà et là jaillis.
Suivez votre inspiration, sans être jugés et avoir peur...
Taillez ces mots comme s'ils étaient cueillis
Ils s'ouvriront alors comme de belles fleurs.
Caressez-les, gourmands, tels des fruits confits,
Humectez les un peu de votre coeur
Et ce qui vous semblait granit deviendra transcrit.
Usez de votre gomme pour rectifier l'erreur,
Rêvez d'être publiés sans être érudits...
Souriez ainsi d'avoir écrit un peu de poésie...

Déposé par Biscuit le 28/04/2015  
Mon ami à quatre pattes
Mon chien s’en est allé à l’aurore d’un jour
Vers le lieu mystérieux d’où l’on ne revient pas.
C’était mon compagnon, mon ami de toujours
Et comme les humains il connut le trépas.
La maison désormais se retrouve sans lui.
Il repose en forêt sous les feuilles jaunies.
Plus jamais son accueil, son regard tendre et doux
Ses jappements de joie, son amour un peu fou !
Je garderai toujours le souvenir ému
De cet ami charmant et à jamais perdu.
Et je comprends très bien que l’on aime son chien
Quand beaucoup d’hommes hélas ! ne valent presque rien.
de Christian Chabellard

Déposé par choupinou le 27/04/2015  
Je suis assise ici,seule,si triste et solitaire
je pense a toi si souvent,chaque minute du jour
me demandant comment tu vas,ce que tu fais,
souhaitant te serrer si fort dans mes bras.
Je suis assise là,me souvenant de tout ce que nous avons partagé
rêvant de toi, a tout,a qui sera,
et je verse une larme pour chaque minute sans toi,
parfois je crois a ma force et que le temps qui nous sépare,
s'écoulera vite,ce n'est qu'une petite tréve,mais qui fait mal.
Et puis parfois,je m'assieds et de nouveau je pleure et me demande:
Pourquoi faut t'il que l'amour fasse si souffrir....
Bien que parfois dans ma solitude,quelque part dans le vide,
je me sent pourtant encore aimée,et je réalise :
que ce n'est pas l'amour qui fait si mal ....
C'est d'être sans toi,sans ta présence a mes côtés....,

Déposé par poutounou le 24/04/2015  
Une toute mignonne poésie pour toi, bel Ange. Le printemps est une si belle saison….Cela mérite bien quelques poèmes jolis…..
*
Petit écho du matin
*
Voilà ce que m’a raconté la brise ce matin,
Alors qu’elle se reposait au banc du jardin.
Figurez vous qu’il y a une véritable révolution !
Que l’on parle, que l’on jase à travers les gazons !
N’a t’on point vu, quelle étrange amourette,
Sortir ensemble violette et pâquerette !
Il en est cependant que la nouvelle émoustille,
N’a t’on point vu danser ailleurs une jonquille ?
Je tiens la nouvelle toute fraîche du papillon
Qui comme chacun sait est un grand fripon .
On aurait vu, mais je n’ose toutefois le croire
Déjà une jeune abeille vaquer à ses devoirs….
Voilà ce que me disait la brise il y a peu de temps…
Mais j’avais lu dans les regards ! Ca y est !
C’est le printemps !

Déposé par rafia le 22/04/2015  
Mon amie (mais s'adapte aussi aux amis).
Tu as su me tendre la main
À cet instant où je n'allais pas bien
De nos rires, de nos confessions
Est née de l'affection
De notre tristesse, de notre complicité
Est née notre amitié
Mais il ne faut pas que ce cela reste
Un simple mot de six lettres
Si un jour tu es en détresse
N'hésite pas à me lancer un S.O.S.
Même si je ne trouve pas les mots
Ceux qui rendent le monde plus beau
Même si je suis maladroit
Tu pourras toujours compter sur moi
Ne laisse pas la maladie
Prendre le pas sur ta vie
Si aujourd'hui tes larmes sont salées
Demain elles te paraîtront sucrées
Dans une folle farandole
Tout tes amis réunis
Fêteront ainsi ta nouvelle vie
Mon amie tu m'as secouru
Alors que je me croyais perdu
Mon amie tu m'as aidé
Et ça je ne l'oublierais jamais
Aussi loin que tu sois
Je veillerai toujours sur toi.
Maxalexis

Déposé par ovanek le 21/04/2015  


** à plus tard **
Tu as toujours été là pour moi
Restes le seul qui me mets en émoi
Oubliés les soucis quand tu es dans mes bras
Parce que la vie n'est plus la même sans toi
Lorsqu' enfin nous nous retrouverons
On pourra pleinement revivre cette passion
Il faut juste un peu encore patienter
Ne serait ce que pour vivre ce moment d'intense amitié
**** Pensée ****


Déposé par Biscuit le 21/04/2015  

Oural Ouralou par Jean Ferrat
Un superbe hommage de Jean Ferrat à sa chienne disparue
C'est dans l'aube chère à Verlaine
Que tu courais notre domaine,
Humant l'air des quatre saisons.
Odeurs de thym et de bruyère
Sous tes pattes fraîches légères
S'élevaient comme une oraison.
Berger des landes familières,
Tu vivais digne et solitaire.
Animal doué de raison
J'écris ce jour anniversaire
Où tu reposes sous la terre
A deux pas de notre maison.
Hourrah Oural Ouralou
Oural Ouralou.
Hourrah Oural Ouralou
Oural Ouralou.
On voit souvent des souveraines
A la place des rois qui règnent
Rien qu'en posant leurs yeux dessus.
Il faut se méfier du paraître.
De nous deux qui était le maître ?
Nous ne l'avons jamais bien su.
Tu vécus la vie parisienne,
La nuit sur les quais de la Seine
Les music-halls et les tournées.
Et cette vie qui fut la mienne
Il me semble que tu l'entraînes
A la semelle de tes souliers.
Hourrah Oural Ouralou
Oural Ouralou.
Hourrah Oural Ouralou
Oural Ouralou.
Jour après jour il faut l'admettre,
Voir ceux qu'on aime disparaître
C'est ce qui fait vieillir trop tôt.
Au paradis des chiens, peut-être,
Ton long museau à la fenêtre,
Tu nous accueilleras bientôt.
Au triple galop, caracole,
Je vois tes pattes qui s'envolent,
Chevauchant l'herbe et les nuées.
Le vent siffle dans ton pelage,
Vole, vole, mon loup sauvage,
Comme au temps des vertes années.
Hourrah Oural Ouralou
Oural Ouralou.
Hourrah Oural Ouralou
Oural Ouralou.

Déposé par rafia le 21/04/2015  
Conseil à l'ami.
L'amitié ! quel nom ravissant !
Tout poète, depuis Homère,
Chante l'amitié, la chimère
La plus chère à l'esprit qui sent !
Que ton avis soit caressant,
Ami ; jamais de voix amère :
Sois semblable à la bonne mère,
Grondant son fils et l'embrassant.
Garde qu'un mot aigre, âme aimante,
Ne tombe en l'amitié charmante,
Breuvage dont la douceur plaît.
Souviens-toi que la moindre goutte
D'acide, quand elle y dégoutte,
Fait vite aigrir le plus doux lait !
Évariste Boulay-Paty

Déposé par poutounou le 20/04/2015  
Printemps
*
Voici donc les longs jours, lumière, amour, délire !
Voici le printemps ! mars, avril au doux sourire,
Mai fleuri, juin brûlant, tous les beaux mois amis !
Les peupliers, au bord des fleuves endormis,
Se courbent mollement comme de grandes palmes ;
L'oiseau palpite au fond des bois tièdes et calmes ;
Il semble que tout rit, et que les arbres verts
Sont joyeux d'être ensemble et se disent des vers.
Le jour naît couronné d'une aube fraîche et tendre ;
Le soir est plein d'amour ; la nuit, on croit entendre,
A travers l'ombre immense et sous le ciel béni,
Quelque chose d'heureux chanter dans l'infini.
*
Victor Hugo

Déposé par choupinou le 20/04/2015  
quand vient la nuit,voici le vent
l'oeil pleure,rouge flamboyant
ses larmes se noient dans un océan
des secrets et des tourments
la mer tempête sa colère
éclatent les vagues amère
nature laisse échapper ta rage
balaye les épaves de tes plages...
mon coeur ne cesse de se taire
mon ventre renferme la colère
la peur masque mon visage
quand saurais-je tourner la page?
toi qui veux que je continue ma vie qui me pousse devant
toi qui me dit ne part pas a la dérive,va de l'avant
car moi ton chien, ta chienne ,ton ami(e),
je serai toujours près de toi a l'infini,

Déposé par poutounou le 16/04/2015  
Si...
*
Si la sardine avait des ailes,
Si Gaston s'appelait Gisèle,
Si l'on pleurait lorsque l'on rit,
Si le pape habitait Paris,
Si l'on mourait avant de naitre,
Si la porte était la fenêtre,
Si l'agneau dévorait le loup,
Si les Normands parlaient zoulou,
Si la mer Noire était la Manche
Et la mer Rouge la mer Blanche,
Si le monde était à l'envers,
Je marcherais les pieds en l'air,
Le jour je garderais la chambre,
J'irais à la plage en décembre,
Deux et un ne feraient plus trois...
Quel ennui ce monde à l'endroit !
*
Jean-Luc Moreau

Déposé par poutounou le 13/04/2015  
« La cigale et la fourmi » à l’envers !
*
La fourmi et la cigale
*
La fourmi ayant stocké tout l’hiver
Se trouva fort encombrée
Quand le soleil fut venu :
Qui lui prendrait ses morceaux
De mouches ou de vermisseaux ?
Elle tenta de démarcher
Chez la cigale, sa voisine,
La poussant à s’acheter
Quelques grains pour subsister
Jusqu’à la saison prochaine.
«  Vous me paierez, lui dit-elle,
Apres l’out, foi d’animal,
Intérêt et principal. « 
La cigale n’est pas gourmande :
C’est là son moindre défaut.
Que faisiez-vous au temps froid ?
Dit-elle à cette amasseuse.
- Nuit et jour à tout-venant
Je stockais, ne vous déplaise.
- Vous stockiez ? j’en suis fort aise ;
Et bien soldez maintenant. « 
*
Françoise Sagan

Déposé par choupinou le 13/04/2015  
Mon copain
Quand j’ai du chagrin
Il ne me dit rien
Il sait bien que ça ne sert à rien
Quand j’ai du chagrin
Mon ami
Quand j’ai de la peine
Il ne me dit pas qu’il m’aime
Je sais bien que ça le gêne
Quand j’ai de la peine
Alors il m’écoute
Moi je sais qu’il m’entend
Et il me regarde
Moi je sais qu’il comprend
Il se met dans un coin
Ses yeux sont plus malheureux
Que les miens
Mon copain, mon ami
Il est plus qu’un ami
Plus qu’un bon copain
...Puisque c’etait mon chien
Chantal Abraham




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Highslide JS

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dur pour toi e marcher dans la neige
Highslide JS
Avec des copains sur le divan
Highslide JS

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Quand tu pouvais encore grimper dans le fauteuil
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