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In tribute to
CANICHENudji
Born on :05/06/1997
left us on:20/11/2013
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left by spanky on 27/03/2016Aujourd'hui quand j'ai levĂ© ma tĂȘte J'ai pu voir dans le ciel clair IlluminĂ© de tes beaux yeux, Le bonheur que j'avais perdu. Je me rappelle alors, Les beaux souvenirs que tu m'as laissĂ©, Et le soleil dans mon coeur, Ne m'a jamais paru si beau, Il me caresse de ses rayons, Et rĂ©chauffe mon Ăąme. Le temps d'un instant, Mes rĂȘves me trahissent, Lorsqu'ils me font croire Que tu es prĂšs de moi. Mais aujourd'hui j'ai vu dans le ciel, Que c'Ă©tait bien rĂ©el. |
left by colombine67 on 27/03/2016A PĂąques, la nature sâĂ©veille et resplendit, A PĂąques, les sourires sâagrandissent et les enfants rient, A PĂąques, les familles se rĂ©unissent et cĂ©lĂšbrent la vie, A PĂąques, tous les souhaits de bonheur sont permis ! Je te souhaite une merveilleuse fĂȘte de PĂąques !!! |
left by colombine67 on 26/03/2016Cueille le temps Tu ne peux pas retenir le temps. Il passe. Il coule entre tes doigts comme l'eau de la fontaine. Il glisse dans ta main comme le sable de la mer. Tu ne peux rattraper le passé. Il n'est plus. Il s'en est allé comme le couchant d'hier. Il est disparu comme un souvenir perdu. Tu ne peux emprisonner le futur. Il n'est pas encore. Il viendra à son heure comme le levant de demain. Il te rejoindra comme la vague qui s'approche du rivage. Mais tu peux toujours cueillir le présent comme un beau présent de Dieu. Ce présent est comme un grand arbre: il plonge ses profondes racines dans ton passé tout plein de souvenir et d'expérience, comme une sagesse accumulée. Et il lance ses longues branches vers ton futur tout plein de promesse et d'espérance, comme un projet emballant. Le présent est fait de ton passé qui n'est plus et de ton futur qui n'est pas encore. Prends le temps qui t'est donné à chaque instant qui passe. Cueille-le précieusement comme l'eau du ruisseau qui t'est toujours disponible. Ne gaspille pas ton temps, c'est un cadeau de Dieu. Ne passe pas ton temps à courir aprÚs le temps. Prends ton temps. Ne dis pas: je n'ai pas le temps. Dis plutÎt: j'ai tout mon temps. Ne sois pas avare de ton temps. Donne de ton temps aux autres comme Dieu te le donne à toi. Ne cours pas tout le temps, prends ton temps. Et laisse au temps le temps de faire son temps. Alors, tu gagneras du temps. Et tu découvriras que c'est beau et bon le temps, que c'est plein de Dieu dedans... Jules BEAULAC (1933-2010) |
left by colombine67 on 25/03/2016 Pardonner, ce n'est pas tout laisser passer. Pardonner, ce n'est pas tout oublier. Pardonner, ce n'est pas ĂȘtre faible, c'est ĂȘtre fort pour vaincre le mal. Pardonner, c'est refuser la rancune, l'exaspĂ©ration, la vengeance; le mal que m'a fait l'autre me brĂ»lera longtemps, mais je refuse de lui faire payer. Pardonner, c'est regarder la faute en face, c'est la regarder Ă deux : celui qui l'a commise, celui qui la pardonne. Mais s'il y a l'Amour, il n'y a ni juge ni victime. Pardonner, c'est redonner ma confiance, sans rĂ©serve, Ă celui Ă qui je pardonne. C'est lui dire : ''Tu es meilleur que ce que tu as fait''. Pardonner, c'est lui permettre de retrouver confiance en lui-mĂȘme. Pardonner, c'est porter avec l'autre le mal qui est en lui et qui est en moi aussi. Demain, c'est lui qui devra me pardonner. Ensemble nous sortirons du mal qui est en nous. Pardonner, c'est vivre et faire vivre avec un cĆur nouveau. Le mal serait en moi si je ne pardonnais pas. Pardonner, c'est aimer deux fois. « Notre PĂšre pardonne-nous nos offenses comme nous pardonnons Ă ceux qui nous ont offensĂ©s. » |
left by poutounou on 24/03/2016Coucou câest PĂąques ! * Coucou c'est PĂąques ! Les lapins, les oeufs, les poussins en chocolat Coucou c'est PĂąques ! C'est le printemps maintenant Coucou c'est PĂąques ! Il faut avoir un coeur d'enfant Coucou c'est PĂąques ! L'espoir de tous les coeurs Coucou c'est PĂąques ! Le chocolat fond dans les mains Vite mange-le Hum ! Que c'est bon ! Attention Ă vos petits bedons ! * Coucou petit « Bonheur » ! Va voir dans tes fleurs : Il y a des Ćufs de toutes les couleurs, Et du chocolat, en veux-tu, en voilĂ ! Puisque, lĂ -haut, tu y as droit. Et des jouets et des os Ă mĂącherâŠ. CachĂ©s dans les fourrĂ©s. * Je vous souhaite, Ă toi et ta famille de cĆur, de Joyeuses FĂȘtes de PĂąques et plein de bonheur pour les jours Ă venirâŠ. |
left by colombine67 on 24/03/2016 La PriĂšre de la SĂ©rĂ©nitĂ© (On accorde cette priĂšre Ă l' Empereur Marc AurĂšle ou a des moines sous son empire, il n'en reste pas moins qu'elle est rĂ©confortante dans des moments difficiles.) Si, dans ta vie, un jour tu devais pleurer, Te sentant bien seul, loin de ceux que tu as aimĂ©s. Dis toi bien quâil y aura toujours quelquâun qui te montrera le droit chemin. Ăcoute ces mots, car moi qui te les dis, je nâai pas toujours Ă©tĂ© ce que je suis. Jâai connu bien des pleurs, des paniques,et des misĂšres, Alors rĂ©cite avec moi cette priĂšre. Mon Dieu donne-moi la sĂ©rĂ©nitĂ©, dâaccepter toutes les choses que je ne peux changer. Donne-moi le courage de changer les choses que je peux, Et la sagesse dâen connaĂźtre la diffĂ©rence. Tu devras aussi te prendre en main, Si tu veux changer ton destin, Laisse de cĂŽtĂ© les choses qui te dĂ©truisent, Tu auras alors de belles surprises. Pour toi, chaque jour deviendra ensoleillĂ©, Ton coeur sâouvrira Ă lâamour. Ne vis quâun jour Ă la fois si tu veux en profiter, Et tu seras heureux pour toujours. Mon Dieu donne-moi la sĂ©rĂ©nitĂ©, dâaccepter toutes les choses que je ne peux changer. Donne-moi le courage de changer les choses que je peux changer Et la sagesse dâen connaĂźtre la diffĂ©rence. Quand ma patience est Ă bout, aide-moi Ă la retrouver. Apprends-moi Ă faire face aux difficultĂ©s avec calme et sĂ©rĂ©nitĂ©. Lorsque, je suis Ă court de rĂ©ponses vives et dâexplications intelligentes, Permets que cesse le flot de questions, au moins pendant un court moment. Mon Dieu donne-moi la sĂ©rĂ©nitĂ©, dâaccepter toutes les choses que je ne peux changer. Donne-moi le courage de changer les choses que je peux, Et la sagesse dâen connaĂźtre la diffĂ©rence. Et quand jâai lâimpression que les journĂ©es sont trop brĂšves pour que je puisse accomplir toutes les tĂąches qui mâattendent, Fais au moins que je trouve le temps de faire le plus important, le temps dâĂ©couter, le temps dâaimer et le temps de rire aussi. Mon Dieu donne-moi la sĂ©rĂ©nitĂ© Dâaccepter toutes les choses que je ne peux changer, donne-moi le courage de changer les choses que je peux changer Et la sagesse dâen connaĂźtre la diffĂ©rence. |
left by colombine67 on 23/03/2016SI TU CROIS⊠Si tu crois quâun sourire est plus fort quâune arme, Si tu crois Ă la puissance dâune main offerte, Si tu crois que ce qui rassemble les hommes est plus important que ce qui divise, Si tu crois quâĂȘtre diffĂ©rent est une richesse et non pas un danger, Si tu sais regarder lâautre avec un brin dâamour, Si tu prĂ©fĂšres lâespĂ©rance au soupçon, Si tu estimes que câest Ă toi de faire le premier pas, plutĂŽt quâĂ lâautre, Si le regard dâun enfant parvient encore Ă dĂ©sarmer ton coeur, Si tu peux te rĂ©jouir de la joie de ton voisin, Si lâinjustice qui frappe les autres te rĂ©volte autant que celle que tu subis, Si pour toi lâĂ©tranger est un frĂšre qui tâest proposĂ©, Si tu sais donner gratuitement un peu de ton temps par amour, Si tu acceptes quâun autre te rende service, Si tu partages ton pain et que tu saches y joindre un morceau de ton coeur, Si tu crois quâun pardon va plus loin quâune vengeance, Si tu sais chanter le bonheur des autres et danser leur allĂ©gresse, Si tu peux Ă©couter le malheureux qui te fait perdre ton temps et lui garder ton sourire, Si tu sais accepter la critique et en faire ton profit, sans la renvoyer et te justifier, Si tu sais accueillir et adopter un avis diffĂ©rent du tien, Si pour toi lâautre est dâabord un frĂšre, Si la colĂšre est pour toi une faiblesse, non une preuve de force, Si tu prĂ©fĂšres ĂȘtre lĂ©sĂ© que faire tort Ă quelquâun, Si tu refuses quâaprĂšs toi ce soit le dĂ©luge, Si tu te ranges du cĂŽtĂ© du pauvre et de lâopprimĂ© sans te prendre pour un hĂ©ros, Si tu crois que lâAmour est la seule force de dissuasion, Si tu crois que la Paix est possible, Alors la paix viendra. Pierre Guilbert |
left by colombine67 on 22/03/2016Rire câest risquer de paraĂźtre Ă©tourdi. Pleurer câest risquer de paraĂźtre sentimental. Atteindre une autre personne câest risquer lâintimitĂ©. Laisser couler ses Ă©motions câest risquer de laisser paraĂźtre son vrai soi-mĂȘme. Parler de ses idĂ©es,de ses rĂȘves devant les autres câest risquer de les perdre. Aimer câest risquer de ne pas ĂȘtre aimĂ© en retour. Vivre câest risquer de mourir. EspĂ©rer câest risquer le dĂ©sespoir. Essayer câest risquer lâĂ©chec. Cependant les risques doivent ĂȘtre pris. Car le plus grand risque dans la vie câest de ne rien risquer Lâindividu qui ne risque rien ne fait rien, nâa rien, nâest rien : il a confisquĂ© sa libertĂ© Seulement une personne qui ose prendre des risques est⊠LIBRE |
left by colombine67 on 21/03/2016Un agriculteur avait des chiots quâil avait besoin de vendre. Il a peint un panneau annonçant les 4 chiots et le cloua Ă un poteau sur le cĂŽtĂ© de sa cour. Comme il plantait le dernier clou dans le poteau, il se sentit un tirage sur sa s*****tte .. Il tomba dans les yeux dâun petit garçon. « Monsieur , » dit-il, » je veux acheter un de vos chiots. » «Eh bien, » dit le fermier, en frottant la sueur Ă lâarriĂšre de son cou : « Ces chiots viennent des parents trĂšs racĂ©s et coĂ»tent beaucoup dâargent ». Le garçon baissa la tĂȘte un moment. Ensuite, fouillant profondĂ©ment dans sa poche, il sortit une poignĂ©e de monnaie et la tendit Ă lâagriculteur. «Jâai trente-neuf cents. Est- ce suffisant pour acheter un ? » «Bien sĂ»r» dit le fermier âŠ.. Et il laissa Ă©chapper un sifflement .. «Ici, Dolly! » il a appelĂ© Venant de la niche et descendant la rampe, Dolly courut, suivie par quatre petites boules de fourrure. Le petit garçon pressa son visage contre le grillage. Ses yeux dansaient de joie. Comme les chiens arrivaient Ă la clĂŽture, le petit garçon 4875469-Chiots-bouvier-bernois-440x320remarqua quelque chose dâautre qui remuait Ă lâintĂ©rieur de la niche. Lentement, une autre petite boule apparut, nettement plus petite. En bas de la rampe, elle glissa . Ensuite, de maniĂšre un peu maladroite, le petit chiot a clopinĂ© vers les autres, faisant de son mieux pour les rattraper. «Je veux celui-lĂ , » dit le petit garçon, pointant lâavorton Lâagriculteur sâagenouilla Ă cĂŽtĂ© du garçon et lui dit: «Mon fils, tu ne veux pas ce chiot .. Il ne sera jamais capable de courir et de jouer avec toi comme ces autres chiens le feraient. » Le petit garçon recula de la clĂŽture, se baissa et commença Ă rouler une jambiĂšre de son pantalon. Ce faisant, il rĂ©vĂ©la une attelle en acier des deux cĂŽtĂ©s de la jambe, fixĂ©e sur une chaussure spĂ©cialement conçue⊠En regardant en lâair vers lâagriculteur, il dit : «Vous voyez, monsieur, je ne cours pas trĂšs bien moi-mĂȘme, et il aura besoin de quelquâun qui le comprend. » Avec des larmes dans les yeux, lâagriculteur se baissa et ramassa le petit chiot⊠Le tenant dĂ©licatement, il le tendit au petit garçon. » Combien? » demanda le petit garçon. » Rien », rĂ©pondit le paysan, « il nây a pas de prix pour lâamour. » Le monde est plein de gens qui ont besoin de quelquâun qui les comprenne. |
left by poutounou on 20/03/2016Vive le printemps et ses bourgeons, son soleil, sa lumiĂšreâŠ.. * Le moulin au printemps * Le chaume et la mousse Verdissent le toit ; La colombe y glousse, L'hirondelle y boit. Le bras d'un platane Et le lierre Ă©pais Couvrent la cabane D'une ombre de paix. La rosĂ©e en pluie Brille Ă tout rameau ; Le rayon essuie La poussiĂšre d'eau ; Le vent, qui secoue Les vergers flottants, Fait de notre joue Neiger le printemps. Sous la feuille morte, Le brun rossignol Niche vers la porte, Au niveau du sol. L'enfant qui se penche Voit dans le jasmin Ses oeufs sur la branche Et retient sa main. * Lamartine |
left by colombine67 on 20/03/2016LETTRE A MON MAĂTRE: Ce matin tu Ă©tais dĂ©jĂ debout, Tu faisais les bagages .tu as ...pris ma laisse, Que j'Ă©tais content ! Une petite promenade avant les vacances ! On est parti en voiture tu t'es arrĂȘtĂ© au bord de la route , La portiĂšre s'est ouverte tu m'a lancĂ© un bĂąton, J'ai couru couru , je l'ai attrapĂ©, Mais quand je me suis retournĂ© , tu n'Ă©tais plus lĂ ... Pris de panique, j'ai couru dans tout les sens, Pour te retrouver..mais ce fut en vain ! De jour en jour je m'affaiblissais... Un homme s'est approchĂ© de moi , m'a mis une laisse, Et je me suis retrouvĂ© en cage, C'est lĂ que j'ai attendu ton retour , mais tu n'es jamais venu, La cage s'est ouverte mais ce n'Ă©tais pas toi, C'Ă©tait cet homme qui m'avait ramassĂ©... Il m'a conduit dans une piĂšce qui sentait la mort, Mon heure Ă©tait venu.... Cher maĂźtre , je veux que tu saches que malgrĂ© ce que tu m'as fait, C'est ton image qui me revenait avant mon dernier soupir, Et si je pouvais revenir sur terre, C'est vers toi que je courrais , car je t'aimais ! A rĂ©pandre autour de soi ,pour que cela n'arrive jamais plus ! Pour que les gens se rendent compte, de se qu'ils font subir Ă leurs animaux.. |
left by colombine67 on 19/03/2016 Voici une lettre reçu du bureau de poste ... c'est absolument fantastique !! Nous ne savons pas qui nous a rĂ©pondu, mais il y a certainement une belle Ăąme qui travaille au service des lettres "non adressable" et qui comprend L'AMOUR .... Notre chienne Abbey est dĂ©cĂ©dĂ©e le mois dernier Ă l'Ăąge de 14 ans. Le lendemain de son dĂ©cĂšs, ma fille de 4 ans Meredith, Ă©tait en pleure et nous disait Ă quel point Abbey lui manquait. Elle a demandĂ© si nous pourrions Ă©crire une lettre Ă Dieu de sorte que lorsque Abbey arriverait au ciel, Dieu puisse la reconnaĂźtre. Je lui ai dit que je pensais que nous pouvions le faire, et elle dicta ces mots : Mon Dieu, Voulez-vous s' il vous plaĂźt prendre soin de mon chien ? Abbey est mort hier et est avec vous dans le ciel. Elle me manque beaucoup. Je suis heureux que vous m'ayez permis de l'avoir comme chien, mĂȘme si elle est tombĂ©e malade. J'espĂšre que vous allez jouer avec elle. Elle aime nager et jouer avec des balles. Je vous envoie une photo d'elle ainsi quand vous la verrez, vous saurez que c'est Abbaye. Elle me manque vraiment. Avec tout mon amour, Meredith Nous avons mis la lettre dans une enveloppe avec une photo d' Abbey & de Meredith, adressĂ©e Ă Dieu au Ciel. Nous avons mis notre adresse au dos de l'enveloppe et Meredith Ă collĂ© plusieurs timbres car a t-elle dit : "il faudra beaucoup de timbres pour qu'elle aille un si long chemin jusqu'au ciel" le mĂȘme aprĂšs-midi, elle dĂ©posa elle mĂȘme lettre dans la boĂźte aux lettres de la poste. Quelques jours plus tard, elle demanda si Dieu avait avait reçu la lettre ? Je lui ai dit que je pensais qu'il avait surement reçu. Hier, Nous avons trouvĂ© sur notre porche, un paquet enveloppĂ© de papier d'or, avec un mot : «Pour Meredith» d'une Ă©criture inconnue. Meredith ouvrit et Ă l'intĂ©rieur il y avait un livre Ă©crit par M. Rogers qui s'intitulait, «Quand un animal meurt." ScotchĂ©e Ă l'intĂ©rieur de la couverture du livre, il y avait une enveloppe et Ă l'intĂ©rieur la lettre que nous avions Ă©crit Ă Dieu. Sur la page opposĂ©e, il y avait la photo d' Abbey et de Meredith avec cette petite note: Cher Meredith, Abbey est arrivĂ© en toute sĂ©curitĂ© au ciel. Sa photo a Ă©tait d'une grande aide et je l'ai reconnu tout de suite. Abbey n'est plus malade. Son esprit est ici avec moi tout comme il reste dans ton cĆur. Abbey a aimĂ© ĂȘtre ton chien. Puisque nous n'avons pas besoin de notre corps dans le ciel, et que je ne ai pas de poches pour garder sa photo, je te la renvoi avec ce petit livre pour que tu gardes quelque chose qui te rappellera Abbey. Merci pour la belle lettre et remercie ta mĂšre pour t'avoir aidĂ© Ă l'Ă©crire et Ă me l'envoyer. Quelle merveilleuse mĂšre tu as. Je lui spĂ©cialement envoyĂ© pour toi. Je t'envoie mes bĂ©nĂ©dictions chaque jour et n'oublie pas que Je te aime beaucoup. Au fait, je suis facile Ă trouver, Je suis lĂ oĂč il y a l'amour. Avec tout mon amour, Dieu |
left by Biscuit on 19/03/2016Se battre, avancer sans se retourner Peu importe les malheurs de notre vie La vie est trop courte pour ĂȘtre gĂąchĂ©e Il faut continuer Ă se battre peu importe ce qui est dit Il ne faut jamais baisser les bras Ce serait gĂącher ce qu'on a fait jusque lĂ On a pas le droit de tout laisser tomber Juste parce qu'on en a assez On a le droit parfois de craquer Mais il faut rĂ©ussir Ă se relever Faire face aux difficultĂ©s Ce n'est pas les contourner Mais les surmonter Et sans jamais se retourner La vie est un vĂ©ritable combat OĂč il ne faut jamais baisser les bras La peine est une douleur qu'on ne peut effacer Il faut juste attendre et se dire que ça va passer On se dit souvent qu'on y arrivera pas Mais un ange nous y aidera Je sais que le mien veille sur moi Mais mĂȘme si je ne le vois pas Je sais qu'il est et sera toujours lĂ Et j'attends avec impatience le jour oĂč on se reverra A toi mon ange... PoĂšme de ElisefanGrĂ©g |
left by colombine67 on 18/03/2016Tendre la main est je lâavoue, un geste simple Encore faut-il oser le faire, mais aussi recevoir Le message qui retrace lâinstant certes, humble Dans ce cas prĂ©cis, il nâest possible de dĂ©cevoir. Au-delĂ du geste, il y a ce langage tendre, muet Lâautre, devient riche Ă lâinstant de ce partage Cette richesse acquise, il en fera alors le guet Afin de ne pas perdre, ce cadeau en hĂ©ritage. Cette main peut aussi essuyer, une petite larme NĂ©e, dâune divergence dâopinion, quâimporte Comment rĂ©agir, pleurer ou Ă©voquer un drame Parfois lâamour se transforme, devant une porte. Quâil est doux de croiser un regard, qui accepte Lâhomme, tel quâil est avec ses espoirs et trĂ©sors Il est temps de laisser tomber, tous les prĂ©ceptes Que cette nuit dâautomne, Ă©loigne le dernier port. Cette bouche rendue mĂ©lancolique, par la vie Est invitĂ©e Ă apprendre Ă sourire, en ce temps OĂč le lendemain hĂ©las, nâest pas encore inscrit La seconde passe, il suffit de vivre cet instant. |
left by choupinou on 17/03/2016Douce nuit qui abrite mon ange Danse avec moi, dans le coucher du soleil, le vent dans mes cheveux, et le ciel dans mes yeux. Danse avec moi, ce soir, oĂč les Ă©toiles tardent, par crainte de tes lumiĂšres. Danse avec moi, tandis que s'Ă©teint le soleil, et que mon sourire allume son Ă©toile... , |
left by colombine67 on 17/03/2016Jâai appris avec le temps que peu importe ce qui peut arriver aujourdâhui, la vie continue et les choses iront mieux demain. Jâai appris quâon peut en dire long sur une personne juste de la façon dont elle rĂ©agit devant trois situations : un jour de pluie, un sac de voyage perdu et des lumiĂšres de NoĂ«l toutes mĂȘlĂ©es. Jâai appris que peu importe la relation que tu as avec tes parents, tu tâennuieras dâeux le jour oĂč ils ne feront plus partie de ta vie. Jâai appris la diffĂ©rence entre « rĂ©ussir dans la vie » et « rĂ©ussir sa vie ». Jâai appris que parfois, la vie te donne une deuxiĂšme chance. Jâai compris que tu ne peux pas toujours avancer dans la vie avec un gant de baseball dans chaque main pour essayer de tout attraper. Tu dois pouvoir lancer la balle Ă ton tour de temps Ă autre. Jâai appris que lorsque je dĂ©cide avec mon coeur, câest gĂ©nĂ©ralement une bonne dĂ©cision. Jâai appris que lorsque je souffre, je nâai pas Ă le faire payer aux autres. Jâai appris que chaque jour, il faut tendre la main Ă quelquâun. Les gens aiment bien quâon les serre dans nos bras, ou mĂȘme quâon leur donne juste une petite tape sur lâĂ©paule. Jâai appris que les gens finissent par oublier ce quâon leur a dit, mais jamais ce quâon leur a fait |
left by poutounou on 16/03/2016Marchons, respirons, cueillons, Ă©coutons⊠* Conseil * Eh bien ! mĂȘle ta vie Ă la verte forĂȘt ! Escalade la roche aux nobles altitudes. Respire, et libre enfin des vieilles servitudes, Fuis les regrets amers que ton cĆur savourait. DĂšs lâheure Ă©blouissante oĂč le matin paraĂźt, Marche au hasard ; gravis les sentiers les plus rudes. Va devant toi, baisĂ© par lâair des solitudes, Comme une biche en pleurs quâon effaroucherait. Cueille la fleur agreste au bord du prĂ©cipice. Regarde lâantre affreux que le lierre tapisse Et le vol des oiseaux dans les chĂȘnes touffus. Marche et prĂȘte lâoreille en tes sauvages courses ; Car tout le bois frĂ©mit, plein de rythmes confus, Et la Muse aux beaux yeux chante dans lâeau des sources. * Juillet 1842. ThĂ©odore de Banville, Les Cariatides (1842) |
left by colombine67 on 16/03/2016Si chaque personne offrait une rose dâamitiĂ© : En Ă©coutant lâautre⊠En ouvrant son cĆur aux blessĂ©s de la vie⊠En partageant son avoir⊠En souriant aux visages ravagĂ©s⊠En tendant la main aux dĂ©semparĂ©s⊠En offrant son bras aux chancelants⊠En compatissant avec le souffrant⊠En chantant avec le comblé⊠En Ă©crivant Ă lâoublié⊠En tĂ©lĂ©phonant Ă celui qui attend⊠En aimant le mal aimé⊠En rĂ©chauffant le sans-abri⊠En prenant dans ses bras un enfant⊠En embrassant un vieillard⊠En essuyant une larme Ă lâincompris⊠En respectant le marginal⊠En semant la joie aux dĂ©sespĂ©rĂ©s⊠En parlant Ă lâinsultant⊠Alors, tout doucement la paix descendrait Et la terre deviendrait Un parterre de pĂ©tales dâamour. « Nous avons une place pour chacun dâentre-nous. Laisser aller son cĆur, câest spĂ©cial. Il faut se rĂ©aliser Ă travers les rĂ©alitĂ©s de la vie ». Et ça serait de belles questions pour plus tard. |
left by ovanek on 15/03/2016đ đ đ 85 đ đ **** Petit oiseau **** Tu vas faire un si long voyage Tu voleras derriĂšre ces nuages Pour lui apporter mon doux baiser JâespĂšre que tu ne seras pas fatiguĂ© Et que tu trouveras plus beau et tout radieux Comme un petit ange pour lâĂ©ternitĂ© Tu lui diras que je pleure toujours Tous les soirs dans le noir Et sans espoir Petit oiseau Donne- lui mon doux baiser Souffle- lui Ă lâoreille Que mon cĆur sâĂ©miette en sanglots sans lui, mon soleil Vole dĂ©ploie tes ailes Vole vers le ciel Pour quâil sache que je mâennuie de lui *** PensĂ©e *** đ |
left by colombine67 on 15/03/2016Suis-je cĂ©lĂšbre maintenant ? Je suis nĂ©e aujourd'hui, une des dix. Mon papa Ă©tait trĂšs cĂ©lĂšbre. J'ai beaucoup de demi-frĂšres et soeurs. Ma maman aussi Ă©tait trĂšs cĂ©lĂšbre. Quand elle est devenue cĂ©lĂšbre, elle n'a eu que des chiots. Fini les mains caressantes, fini les excursions ... seulement encore plus de chiots. Elle est toujours triste quand ils la quittent. Aujourd'hui, j'ai quittĂ© ma maison. Je ne voulais pas partir, donc je me suis cachĂ©e derriĂšre ma maman et mes trois compagnons de nichĂ©e qui restaient. Ils disaient qu'un certain jour moi aussi je deviendrais cĂ©lĂšbre. Je me demande, est-ce que cĂ©lĂšbre veut dire la mĂȘme chose que plaisir et bon temps ? Donc tu me soulevais et m'emportais, bien que tu Ă©tais consciente que je me cachais pour toi. Je crois que tu ne m'aimais pas non plus. Ma nouvelle demeure est trĂšs Ă©loignĂ©e. J'ai trĂšs peur. Mon petit coeur me disait "sois courageuse" ... comme mes ancĂȘtres. Est-ce qu'il y avait une bonne maison ? J'ai faim, je ne peux pas trop manger, c'est mauvais pour mon ossature. Je ne peux pas mordre ni grogner quand les enfants me tourmentent. Je cours seule et m'imagine que je cours dans une prairie verte avec des papillons, des oiseaux et des coccinelles. Je ne comprends pas pourquoi ils me battent. Je suis tranquille, mais l'homme frappe et crie des gros mots. La dame ne me donne pas la bonne nourriture comme chez ma maman. Elle jette simplement de la nourriture sĂšche par terre, se retourne et disparaĂźt avant que j'ai le temps pour une caresse ou un autre contact. Parfois ma nourriture sent mauvais, mais je la mange quand mĂȘme. Aujourd'hui, j'ai mis au monde dix chiots. Ils sont tellement jolis. Suis-je cĂ©lĂšbre maintenant ? Je voudrais bien jouer avec eux, mais ils sont tellement petits. Je suis encore tellement jeune et folĂątre que c'est difficile pour moi de seulement soigner mes petits et rien d'autre. Ils pleurent maintenant. J'ai tellement faim. Je souhaite que quelqu'un me jette quelque nourriture. J'ai Ă©galement trĂšs soif. Maintenant je n'ai plus que huit chiots. Deux sont dĂ©cĂ©dĂ©s pendant la nuit, je ne parvenais plus Ă les rĂ©chauffer. Nous sommes tous trĂšs faibles. Aujourd'hui on est venu nous chercher, c'Ă©tait trop de travail pour nous nourrir. Quelqu'un m'a enlevĂ© mes chiots. Ils pleuraient. Ils ont Ă©tĂ© mis dans un camion avec des cages. Mes chiots sont-ils cĂ©lĂšbres maintenant ? Je l'espĂšre car ils me manquent. Ils sont partis. Ca sent l'urine ici, la peur et la maladie. Pourquoi suis-je ici ? J'Ă©tais belle comme mes aĂŻeux. Maintenant, je suis affamĂ©e, sale, j'ai du mal et on ne veut pas de moi. Ce qui est encore le pire de tout, c'est de ne pas ĂȘtre dĂ©sirĂ©e. Personne ne venait, bien que j'essayais d'ĂȘtre sage et agrĂ©able. Aujourd'hui, quelqu'un est venu. Ils m'ont nouĂ© une corde autour du cou et m'ont emmenĂ©e dans une chambre oĂč tout Ă©tait propre avec une table brillante. Quelqu'un me prenait et me caressait. Ca me faisait tellement de bien ! Je devenais fatiguĂ©e et j'ai regardĂ© la derniĂšre personne qui se souciait de moi quand je m'endormais. Maintenant je suis cĂ©lĂšbre. Aujourd'hui, il y avait quelqu'un qui m'aimait ! Je ne me souviens plus beaucoup de l'endroit oĂč je suis nĂ©e. C'Ă©tait trĂšs petit et sombre et les gens ne jouaient jamais avec nous. Je me souviens de maman et de son doux pelage, mais elle Ă©tait souvent malade et trĂšs maigre. Elle n'avait presque pas de lait pour moi et mes frĂšres et soeurs. Je me souviens que beaucoup d'eux dĂ©cĂ©daient, ils me manquent tellement. Je me rappelle bien le jour oĂč j'ai Ă©tĂ© enlevĂ©e de chez ma maman. J'Ă©tais tellement triste et effrayĂ©e, mes dents de lait commencaient Ă percer et j'aurais dĂ» rester chez ma maman. Mais elle Ă©tait si malade et les gens continuaient Ă dire qu'ils n'avaient pas d'argent et qu'ils en avaient marre de la "pagaille" que faisaient ma soeur et moi. Donc nous Ă©tions mises en cage et transportĂ©es ailleurs. Seulement nous deux. Nous nous sommes serrĂ©es tout prĂšs l'une de l'autre et avions peur, mais encore une fois, pas de mains humaines pour nous caresser et nous aimer. Tant d'endroits et de bruits diffĂ©rents ! Nous sommes dans un magasin oĂč il y a beaucoup d'autres animaux. Certains hurlent, d'autres gĂ©missent ! Ma soeur et moi sommes enfermĂ©es dans une petite cage, j'entends d'autres chiots. Je vois des gens qui me regardent. J'adore les petits enfants, ils me semblent tellement gentils et amusants. Comme ils aimeraient jouer avec moi ! Toute la journĂ©e, nous restons enfermĂ©es dans notre cage Ă©troite, parfois des gens frappent sur la fenĂȘtre et nous effrayent, parfois on nous sort pour ĂȘtre prĂ©sentĂ©es aux gens. Certains sont gentils, d'autres nous font mal. Nous entendons toujours : "Oh, comme elles sont gentilles ! ", "J'en veux une !", mais on ne nous emmĂšne pas. Ma petite soeur est dĂ©cĂ©dĂ©e cette nuit quand il faisait noir dans le magasin. J'ai mis ma tĂȘte sur son doux pelage et je sentais la vie s'Ă©chapper de son petit corps tout mince. J'avais entendu dire qu'elle Ă©tait malade et que je pouvais ĂȘtre vendue avec "rĂ©duction" pour que je sorte vite du magasin. Je crois que mes gĂ©missements Ă©taient les seuls signes de deuil quand son petit corps a Ă©tĂ© enlevĂ© de la cage pour ĂȘtre jetĂ©. Aujourd'hui une famille est venue et ils m'ont achetĂ©e ! Quel jour heureux ! C'est une famille gentille, ils me voulaient vraiment ! Ils ont achetĂ© un plat et de la nourriture et la petite fille me serrait dans les bras. Je l'aime tellement. Papa et maman disent que je suis un chiot adorable ! Ils m'ont appelĂ© "Ange". J'ai donnĂ© des petits bĂ©cots Ă mes nouveaux amis. La famille me soigne bien, ils sont gentils, doux et tendres. Ils m'apprennent doucement et avec beaucoup de patience ce que je peux faire et ce qui est dĂ©fendu, ils me donnent de la nourriture adorable et beaucoup d'amour ! La seule chose que je veux c'est leur faire plaisir. J'aime beaucoup la petite fille et j'adore jouer et courir avec elle. Aujourd'hui, nous sommes allĂ©s chez le vĂ©tĂ©rinaire. C'est un endroit peu agrĂ©able et j'avais trĂšs peur. On m'a donnĂ© quelques piqĂ»res, mais ma meilleure copine, la petite fille, me tenait si tendrement et m'assurait que tout allait bien, donc je me suis calmĂ©e. Le vĂ©tĂ©rinaire a dĂ» dire des mots tristes Ă ma famille car ils avaient le regard sombre. J'entendais le vĂ©tĂ©rinaire dire des choses comme ... "il y a un problĂšme au coeur" et ... "c'est Ă cause des gens qui Ă©lĂšvent sans rĂ©flĂ©chir et sans se soucier de la santĂ© des animaux". Je ne sais pas ce que cela signifie mais ça m'attriste de voir ma famille tellement malheureuse, mais elle continue malgrĂ© cela Ă m'aimer, et je dois dire que cela est rĂ©ciproque. J'ai six mois maintenant, d'autres chiots de mon Ăąge sont trĂšs robustes et brusques, j'aimerais ĂȘtre comme eux. Mais il y a toujours cette douleur qui me fait mal pour courir et jouer avec ma petite fille bien aimĂ©e. J'ai des difficultĂ©s Ă respirer. Je fais de mon mieux pour ĂȘtre un chiot bien fort mais c'est difficile. Ca me fait mal au coeur de voir ma petite fille tellement triste et d'entendre dire papa et maman ... "peut-ĂȘtre que son heure est arrivĂ©e ?". J'ai dĂ©jĂ Ă©tĂ© plusieurs fois chez le vĂ©tĂ©rinaire et les nouvelles ne sont jamais bonnes. Ils parlent toujours de malformations congĂ©nitales. Moi, je ne veux que sentir les rayons du soleil, courir, jouer et faire des cĂąlins a ma famille. La nuit passĂ©e Ă©tait la plus dure, la douleur devient de plus en plus atroce. Je sais Ă peine me lever pour boire. On m'a mise dans la voiture ... pour la derniĂšre fois. Tout le monde a du chagrin et je ne comprends pas pourquoi. Ai-je Ă©tĂ© dĂ©sobĂ©issante ? J'essaie d'ĂȘtre sage et gentille. Qu'ai-je fait de mal ? Oh, si seulement cette douleur pouvait disparaĂźtre ! Si je pouvais faire disparaĂźtre les larmes de la petite fille. J'essaie de m'Ă©tendre pour lĂ©cher sa petite main, mais je ne peux que hurler de douleur. La table chez le vĂ©tĂ©rinaire est froide. J'ai tellement peur. Les gens me font tous des caresses, ils pleurent et je sens leurs larmes sur mon doux pelage. Je sens leur amour et leur chagrin. Je lĂšche doucement leurs mains, mĂȘme le vĂ©tĂ©rinaire ne semble pas ĂȘtre dĂ©sagrĂ©able aujourd'hui. Il est tendre et je sens un soulagement de mes douleurs. La petite fille me tient doucement et je la remercie pour tout son amour. Je sens une petite piqĂ»re dans ma patte avant, la douleur s'en va et je sens la paix qui m'envahit. Je lĂšche doucement ces mains. Ma vue devient trouble et comme dans un rĂȘve, je vois ma maman et mes frĂšres et soeurs, dans le lointain, dans un espace vert. Ils me disent que lĂ , il n'y a pas de douleur, seulement paix et bonheur. Je dis adieu Ă ma famille Ă la seule façon que je connais, en agitant lĂ©gĂšrement ma queue et en poussant doucement avec mon nez. J'avais espĂ©rĂ© de pouvoir passer avec eux beaucoup, beaucoup d'annĂ©es, mais le sort en a dĂ©cidĂ© autrement. "Voyez vous", disait le vĂ©tĂ©rinaire, "les chiots vendus dans les animaleries ne viennent pas d'Ă©leveurs ayant le sens des responsabilitĂ©s". La douleur s'est arrĂȘtĂ©e maintenant et je sais que ça prendra des annĂ©es avant que je ne revoie ma famille bien aimĂ©e. Si suelement, cela avait Ă©tĂ© autrement ... |
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