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In tribute to
CANICHERingo
Born on :14/11/1999
left us on:03/08/2012
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81 Flowers
994 messages
left by micheletchipie on 27/11/2012Merci d'avoir fleuri l'espace que je consacre à mon pauvre Scoubidoo au Cimetière virtuel. La douleur est encore bien vive. Mais je sais que je vais adopter un nouveau petit à la SPA l'an prochain. Il faut juste laisser le temps au temps! |
left by Annie on 24/11/2012Tu étais très beau Ringo, j'en connais une qui aurait été follement amoureuse de toi ! Je suis désolée d'avoir zappé ton anniversaire, tu n'as qu'à en faire de même pour moi le 3 août d'autant que ça ne sera pas un jour de liesse pour ta famille. Remercie ta maman pour les jolis bouquets qu'elle a déposés pour les anniversaires de départ de ma Julie, le 1er novembre, et de ma Sally, le 19 du même mois. Le temps a bien passé depuis mais tu verras adorable petit bonhomme que toi non plus tu ne seras jamais oublié. Un gros câlin à toi et des chaleureuses pensées pour ta maman qui a tant de chagrin. |
left by ringo on 22/11/2012Mon bébé d'amour, Tu te souviens de Léa? Quelle peste elle était quand elle était petite, mais je ne suis pas sûre qu'elle est changée en fait! Je me souviens d'une fois où tu étais restée seule avec elle, l'espace de quelques minutes pendant que nous faisions maman et moi quelques courses. Je ne voulais pas, mais elle avait insisté et maman voulait lui faire plaisir. Quelle erreur : quand nous sommes revenues, elle pleurait et a dit que tu l'avais mordue. Je ne l'ai jamais cru, parce que je savais que jamais tu ne ferais de mal à une mouche : j'étais bien placée pour le savoir, avec le nombre de fois où je t'ai embêté! Bon peut-être que tu m'as mordillée deux ou trois fois dans ta bien trop courte vie, mais c'était toujours quand on jouait, sous l'effet de l'excitation! Je lui ai dit qu'au pire, si elle t'avait embêté, tu avais grogné : elle avait sans doute brodé autour de cela, l'avenir a confirmé ces tendances mythomanes! Grognement ne veut pas dire tentative de morsures, et toi, c'était pour montrer ton mécontentement ou par amusement, jamais ça n'allait plus loin! Mais maman t'avait tout de même fâchée, te punissant, t'envoyant sur les sièges à l'arrière de la voiture, disant que tu étais vilain, ne sachant pas que croire, elle l'a très vite regrettée, comprenant quand elle a dit à Jean-Luc qu'elle l'avait brulée sous le bain qu'elle racontait des sornettes! Elle est encore plus prise de remords aujourd'hui. Il faut dire que cette peste s'inquiétait pour toi tout de même lorsqu'elle a appris que tu boitais : je me souviens d'un SMS dans lequel elle me disait : "qu'est-ce qu'il a Ringo, si c'est pas grave, tu me le dis, si c'est grave, je ne veux rien savoir", et il paraît que quand elle a appris que tu t'étais envolé, elle a beaucoup pleuré. J'espère que tu sais que je t'aime, à la folie pour l'éternité. Plein de bisous familiaux comme on les aimait tant! |
left by ringo on 14/11/2012Viens, viens, c´est une prière Viens, viens, (...) pour moi... Viens, viens, reviens pour ma mère Viens, viens, elle meurt de toi Viens, viens, que tout recommence Viens, viens, sans toi l´existence Viens, viens, n´est qu´un long silence Viens, viens, qui n´en finit pas. .... Viens, viens, maman en septembre Viens, viens, a repeint la chambre Viens, viens, comme avant ensemble Viens, viens, vous y dormirez Viens, viens, c´est une prière Viens, viens, (...)pour moi... Viens, viens, reviens pour ma mère Viens, viens, elle meurt de toi. ... Viens, Marie Laforet, modifié Viens mon bébé d'amour, rends-moi visite dans mes rêves. La dernière fois, je me suis réveillée en sursaut, tu as disparu comme si je t'avais fait peur, je m'en veux terriblement, j'ai besoin de te voir. Viens s'il te plait, je meurs sans toi, je t'aime comme je n'ai jamais aimé, comme il n'est pas possible d'aimer. |
left by ringo on 14/11/201214 novembre 2012 : 13 ans aujourd'hui. C'est avec les yeux plein de larmes que je te souhaite un bel anniversaire, mon bébé d'amour. J'aimerais tant que tu sois encore là pour qu'on puisse le fêter. Nous t'aurions couvert de bisous familiaux, je t'aurais acheté un nouveau kiki, je serais revenue à la voiture en le faisant couiné, et toi tu aurais été content, tu m'aurais fait un bisou pour me remercier et tu aurais joué avec lui sur tout le chemin qui nous conduit à la maison, le jetant par terre, papa disant : "arrête de t'amuser, et regarde la route". Cet après-midi, peut-être même ce soir, je t'aurais donné un morceau de petit beurre : maman m'aurait dit : "pas trop gros!", j'aurais répondu "regarde, il en veut. Et puis, c'est son anniversaire!". Nous t'aimons mon coeur, et ce n'est pas ton départ physique lié à ce fichu ostéosarcome qui diminuera notre amour. Nous trois, c'est à la folie, pour l'éternité. Bon anniversaire Monsieur Ringo! |
left by Annie on 12/11/2012Bonjour Ringo Tu es parti le jour de mon anniversaire mais ça ne m'empêchera pas de venir te voir l'année prochaine, d'ailleurs il sera un peu triste car je viens de perdre ma filleule qui était aussi une caniche. J'espère que tu as trouvé tes repères au paradis des bons toutous où tu auras rencontré mes chérinets qui y sont depuis bien plus longtemps que toi et pourront te donner des tuyaux. Merci à ta maman d'avoir fleuri ma Julie pour l'anniversaire de son arrivée là où tu es maintenant. Douces caresses gentil canichou, à une autre fois ! |
left by ringo on 10/11/2012Si nous avons tout de suite trouvé la meilleure vétérinaire - tu te souviens, elle t'appelait mon petit bilou, et disait que tu étais la perfection incarnée : "le prochain que vous aurez devra être à la hauteur, mais la barre est haute" -, nous avons beaucoup cherché pour trouver la meilleure toiletteuse, et peut-être même ne l'avons-nous jamais trouvé ! Tu te souviens de la première comme elle était méchante : tu étais encore bébé, elle t'avait mis une tape parce que tu avais fait pipi après le bain, et elle s'en était vantée. Nous étions vraiment en colère, elle ne t'a jamais revu. La seconde était vraiment bien, c'est auprès d'elle que tu as fait ta première crise d'épilepsie, peut-être parce que la première t'avait fait vraiment peur : elle était très gentille avec toi, te prenait seul et faisait de l'excellent travail, un peu cher peut-être, mais ce n'était pas grave, rien n'était trop beau pour toi : j'adorais la petite bouille bien ronde qu'elle te faisait ou encore tes oreilles coupées au carré, tu étais sacrément craquant. Tu l'a gardé quelques années, mais malheureusement elle a déménagé et vendu son salon à une jeune fille, qui, pour je ne sais plus quelle raison, ne nous a pas du tout plue. La troisième, ou plutôt la quatrième ne nous a pas convaincue non plus. On cherchait désespérément quand Béa nous a dit qu'elle était contente de celle qui s'occupait de Salsa et Bouillou, nous prévenant qu'elle était un sacré personnage : voilà comment tu as rencontré tatie. Elle était gentille ; quelquefois, tu lui faisais des bisous ; elle disait que nous avions une petite merveille. Je n'aimais pas trop quand elle voulait te faire une coupe d'exposition. Je me souviens même de la première fois, tu ressemblais à un rat, c'était affreux. Puis en mars, c'est elle qui as découvert ta bosse à l'omoplate et le doute s'est insinué dans notre esprit, puisque la veille, tu n'avais rien chez la vétérinaire. Surtout elle t'a coupé plusieurs fois, alors même que tu ne bougeais pas. La dernière étant la fois de trop, on t'avait promis que tu n'irais plus. La vétérinaire aussi était inquiète, parce que malgré la pommade, les plaies ne cicatrisait pas, ton organisme ne pouvant pas tout faire à la fois, se concentrant sur l'essentiel, l'ostéosarcome. Tu avais eu une injection d'antibiotique pour limiter les infections éventuelles. Encore une fois, on était en colère. Le temps ne nous a pas laissé en trouver de meilleure : nous l'avons gardé pour Hélios et la dernière fois s'est bien passée, mais nous restons sur le qui-vive. |
left by monsieurringo on 05/11/2012Mon petit chéri, Tu te rappelles quand on accompagnait ta soeur au château. On se promenait dans les bois, dans les jardins, on cueillait des fraises sauvages, on montait à son bureau, on s'asseyait sur les bancs, près des tables, tout le monde te trouvait magnifique. Aurélie nous faisait coucou du donjon, et disait : "bonjour mon amour". Je me souviens d'une fois où tu avais fait une crise, on était allés chez Raphael et Sylvie, Matisse aimait te caresser. Je me souviens de tous ces moments passés ensemble, partout tu nous accompagnais. Tu nous a rendues tellement heureuses : pourquoi a-t-il fallu que tu nous laisses ? Mais un jour, on se retrouvera tous les trois,et plus jamais on ne se quittera, nous t'aimons à la folie et te faisons des milliers de bisous familiaux comme on les aimait sur ta jolie frimousse. |
left by ringo on 04/11/2012Mon bébé d'amour, Jamais on ne te sortais sans laisse. Même pour aller faire pipi. Cela nous valait les remarques des amis d'ailleurs, peu importe. Parfois, tu sortais par une porte ouverte, sans qu'on le remarque, jamais tu n'allais loin, dans la cour la plupart du temps, dans le garage souvent, et tu attendais derrière la porte, une fois chez le voisin le plus proche. Quand on remarquait ton absence, toujours très vite, on avait peur, mais dès qu'on t'appelait, tu revenais, jamais tu ne faisais le fier. On te faisait les gros yeux, sans même un mot, tu allais te coucher. Tu ne bougeais pas jusqu'à ce qu'on lève la punition, alors tu faisais des bisous pour demander pardon. Je me souviens quand je te disais : "Ringo, tu as fait une bêtise, tu ne bouges pas" : tu me regardais et devant tes grands yeux, je ne tenais pas très longtemps. Tous ces souvenirs sont tout simplement merveilleux, je t'aime à la folie, pour l'éternité, sois-en sûr, mon coeur! |
left by ringo on 02/11/201213 semaines aujourd'hui mon bébé d'amour, 3 mois demain... Tu vois, je continue à compter : j'ai l'impression que ça fait une éternité, mais mon amour est aussi fort qu'au premier jour, et jamais je ne pourrais oublier ton regard, surtout celui si captivant des dernières heures. Tu me manques à chaque instant, heureusement les photos, les vidéos sont là et les souvenirs dévalent dans ma tête. Tu te souviens notamment de Marilyne, notre coiffeuse ? Nous t'emmenions à chaque fois au salon, et elle t'aimait beaucoup. Tu y retrouvais Vénus et l'autre petit york dont j'ai oublié le prénom, vous ne vous disiez rien, chacun faisait sa vie de son petit côté, toi sur mes genoux ou sur ceux de maman. Sauf il me semble une fois où tu as voulu prendre un jouet... Je me souviens en particulier d'un jour où une autre cliente avait amené sa petite chienne, en chaleur, qui gigotait terriblement : toi, tu avais peur, tu voulais monter le plus haut possible, sur nos têtes pour pas qu'elle ne t'atteigne. Nous avons dit que nous aurions dû te laisser à la maison, et que si tu n'arrêtais pas, j'irais te garder dans la voiture pendant que maman se faisait coiffer. Marilyne n'était pas très contente contre l'autre cliente, et nous, nous savions que de telles situations pouvaient provoquer des crises d'épilepsie. Nous étions vraiment soulagées quand elle est partie, et toi, tu étais à nouveau calme comme d'habitude. Nous disions toujours que lorsque tu étais à l'abri des autres toutous, tu faisais le malin, mais que dès qu'ils étaient tout proches, tu n'en ramenais pas large, à part ceux qui étaient aussi très calme, Léo par exemple. |
left by tacholoula on 31/10/2012en cette veille de toussaint petite étoile du soir amie des petits anges tel un petit oiseau pose toi délicatement murmure une douce mélodie a ce petit coeur et tout en douceur une part de bonheur a cette gentille famille |
left by ringo on 30/10/2012Je ne sais plus l'âge que tu avais exactement, mais tu étais encore jeune, je dirais six ou sept ans, nous nous sommes réveillées un matin, quelques jours avant Noel, et nous avons vu que ton oeil gauche coulait et était tout bleu. Nous nous sommes inquiétées, nous sommes allées chez la vétérinaire qui nous a dit que c'était un glaucome, mais que n'ayant pas le matériel d'ophtalmologie nécessaire à l'examen, nous devions nous rendre dans une autre clinique, celle de Chamalières. Nous voyant inquiète, elle a précisé que vous arriviez très bien à vivre avec une vue défaillante, mais nous, ça ne nous rassurait guère. Le rendez-vous a été pris pour le 26 décembre, et là le vétérinaire, grand ophtalmologue, très gentil avec les animaux, mais très bourru avec les gens, nous a dit que la pression oculaire était bien trop élevée et que si elle ne retombait pas après une semaine de traitement, tu devrais être opéré. Il nous a précisé qu'il n'avait jamais vu qu'une pression si élevée redescende en si peu de temps, sans intervention. Je me souviens que le 2 janvier, je pleurais, tellement j'étais folle d'inquiétude, mais une fois encore tu avais fait mentir les professionnels : la pression était completement retombée ; ta vue avait baissé, ton oeil était sauvé. Je suis sorti de la clinique en sautant de joie : j'étais si heureuse. Plus tard, on s'est rendus compte que tu voyais des ombres, toujours tu répondais en fermant l'oeil quand la vétérinaire, la tienne cette fois, faisait un mouvement d'attaque. Les derniers temps, au glaucome s'est rajouté un ulcère de la cornée, la cataracte aussi. Mais toujours tu t'es accommodé. Tu étais un sacré battant, gardant le moral en toute circonstance, toujours à mordre la vie à pleine dent. Tu m'as donné, tu as donné à tous, même à ta vétérinaire, qui disait que si elle avait un ostéosarcome, avec de telles constantes rénales d'abord, hépatiques ensuite, elle aurait baissé les bras depuis longtemps, fatiguée à l'extrême, une belle leçon de vie : je suis extrêmement fier de toi : j'espère que notre amour qui t'a porté à bout de bras et qui continue encore à te porter n'y ait pas pour rien. Tu es un sacré bonhomme, mon bébé d'amour! |
left by ringo on 27/10/2012Je me souviens Monseigneur quand l'hiver dernier, rentrant à la maison, j'ai glissé sur une plaque de verglas, alors que tu étais dans mes bras. Je ne pensais qu'à une seule chose : te serrer bien fort contre moi pour que tu ne tombe pasl. J'ai eu mal au dos pendant plusieurs jours, mais j'étais contente, parce que toi tu n'avais rien vu. Tu avais juste fait un tour de toboggan, bien au chaud dans les bras de ta grande soeur. Je t'aime tant, mon coeur, ça n'a pas changé et ça ne changera jamais. Je me souviens aussi du jour où la boucle de la ceinture de maman s'est prise dans ta patte, entre les coussinets, tu hurlais de douleur, on avait peur, je pleurais, j'avais mal au coeur. Heureusement, c'est arrivé alors que je venais de finir de me garer à la maison. J'ai appelé papa : il est venu avec une pincette, à couper la ceinture, et tu nous a fait des bisous pour nous remercier de t'avoir libéré. Je ne sais pas ce qu'on aurait fait si c'était arrivé un peu plus loin de l'arrivée, un vétérinaire d'urgence sans doute. Maman n'a plus jamais repris cette veste du coup! Plein de bisous familiaux à toi mon bébé d'amour, comme on les aimait tant. |
left by ringo on 26/10/2012Je n'arrive pas à me résigner mon amour : Pourquoi cet ostéosarcome t'est-il tombé dessus ? Et pourquoi à l'omoplate ? Si seulement tu l'avais eu à la patte, on aurait eu des recours, mais si haut... on savait depuis avril que les moments passés ensemble étaient comptés, mais comme tu étais stabilisé depuis un certain temps, on ne pensait pas que tout s'emballerait si vite. Pourtant, ta vétérinaire nous avait dit que ça pouvait arriver, mais tu étais tellement fort que je pensais que tu te battrai encore. Je lui avais dit : "mais on parle de Ringo, il vous a fait mentir plus d'une fois". Elle m'avait répondu "ce n'est pas faux!" Et puis, jamais je n'aurais été prête à te laisser partir, tu m'as fait le plus beaux des cadeaux en partant dans mes bras sans souffrir, juste en me disant adieux, je t'aime ma soeur à moi. Moi aussi, je t'aime, plus que tout au monde, pour l'éternité mon bébé d'amour! |
left by monsieurringo on 25/10/2012Mon petit chéri, En juin, tu as fait une insuffisance rénale. Tu es rentré à la clinique le matin, on avait peur, on pensait que tu étais arrivé au bout de ton parcours, la vétérinaire aussi était inquiète, pourtant quand on était allé de voir l'après-midi, déjà tu allais mieux. Le lendemain matin, on avait pleuré, parce que tu faisais la tête, tu ne voulais pas nous faire de bisous, tu nous en voulais de t'avoir laissé une nuit. L'après-midi, on t'avait apporté un minuscule morceau de gâteau, et à notre grande surprise, on avait eu le droit de te promener sur le parking, avec ton cathéter. Tu avais reconnu la voiture, tu voulais y monter. Quand on partait, tu pleurais pendant une demi heure, Christine Fouilloux t'entendait de la chirurgie, et dès que possible, elle venait te consoler. Elle était si contente que tu ailles mieux, elle disait que tu l'as faisait toujours mentir, et qu'elle en était vraiment contente. Le mercredi, sa consoeur (puisque c'est son jour de congé)avait refais une analyse, et les constantes étaient tellement revenues à la normale qu'elle n'en croyait pas ses yeux. Croyant à une erreur, elle avait fait une autre prise de sang en début d'après-midi, et nous avait dit que tu pouvais sortir, on était si contentes. On t'avait envoyé plein d'ondes positives, on avait mobilisé tout notre amour, et toi tu t'étais battu comme un chef, c'était formidable : moins de trois jours pour guérir d'une insuffisance rénale, alors qu'au départ on pensait au mieux ne pouvoir que la maîtriser! Merci mon amour, comme on te disait tous les jours, on t'aime tant mon coeur. |
left by ringo on 24/10/2012Mon amour, Je me souviens d'un jour en 2009 où nous prenions le bus à la gare de Pise pour aller à l'ENS rejoindre Paolo qui m'attendait. La dame du Bus m'a dit que tu devais être muselé, je lui ai dit que tu étais dans ton sac de transport attaché, que tout tes vaccins étaient à jour, y compris l'antirabbique, que tu avais eu une injection d'advocate et que tu avais ton passeport, ainsi que ta médaille d'identification, elle a insisté : je me suis énervée, je lui ai répondu que jamais je n'avais eu de problème en Italie jusqu'à alors, que je te connaissais, que je savais que jamais tu ne ferais de mal et que si quelqu'un devait être muselé, c'était moi! Elle a été si surprise qu'elle n'a plus rien à dire. Te museler; et puis quoi encore? Quand on a en parlé à ta vétérinaire, elle avait éclaté de rire, en disant que tu n'aurais pas compris, et que c'était abusé. Elle t'aimait tant elle aussi. |
left by tacholoula on 22/10/2012« Le plus court chemin d’une personne à une autre… c’est un brin de gentillesse. » merci pour mon petit prince , mon soleil qui rayonne et qui brille à l’interieur de mon coeur. amitié tacholoula |
left by ringo on 22/10/2012Mon bébé d'amour, Lors de la première consultation pour l'ostéosarcome, tu avais un noeud aux vertèbres, et ta vétérinaire, croyant que cela te faisait boitait - d'ailleurs après tu étais resté quelques jours sans boiter - t'avait massé, fait faire des étirements - elle disait que tu étais incroyablement souple - et avait tout doucement bouger ton petit cou de droite à gauche, de bas en haut. Il n'en avait pas fallu plus pour que tu le fasses seul : tu retournais le museau complètement derrière la nuque, et nous nous avions peur que tu te fasses mal, mais non, comme elle disait, tu avais appris à faire seul les exercices. Tu apprenais si vite, tu étais ou plutôt tu es, puisque pour moi tu vis toujours, tellement tellement intelligent! Nous te faisons des tas de bisous familiaux, comme on les aimait tant! Je t'aime mon coeur! |
left by ringo on 20/10/2012Mon bébé d'amour, Je me souviens de tes crises d'épilepsie qui me faisaient si peur, heureusement jamais plus d'une par mois, la dernière datant du soir de Noel 2011. La première est arrivée chez ta deuxième toiletteuse : nous t'avions récupéré, elle nous a dit, je m'en souviendrai toujours : "vous auriez pu me dire qu'il faisait des crises d'épilepsie!", nous lui avions répondu : "mais on ne savait pas". Toute ta vie, tu as été traité par de l'épileptyl, un médicament aux plantes que nous distillions dans ta nourriture, qui marchait très bien. La vétérinaire nous avait dit de te tenir pendant ces crises pour éviter que tu te cognes, de ne surtout pas te parler, ou te toucher pour ne pas te stimuler, ton petit cerveau ne pouvant plus alors traiter les informations, et ça fonctionnait très bien : grâce à ces conseils, la crise ne durait pas et n'était que partielle : jamais tu ne perdais connaissance, tu tremblais un peu, tu vomissais et c'était fini. C'était comme des gros cauchemars. Mais à chaque fois, tu les sentais venir, et nous aussi parce que tu dormais beaucoup, toi si vivace. Je me souviens d'une en particulier, celle faite dans un RER à Paris : c'était en plein hiver, il faisait très froid : pour faire le "noir", j'avais retiré mon manteau, et nous l'avions mis sur ta tête. Nous avions eu très peur, parce que nous savions qu'elle ne passerait pas facilement en raison du bruit. Nous étions en colère contre un pompier à qui nous avions demandé de l'aide et qui nous avait dit de nous débrouiller, qu'il n'était pas vétérinaire. Quel abruti celui-là !! A partir de ce jour, les RER étaient finis, nous nous sommes toujours déplacés en bus. |
left by ringo on 18/10/2012Je me souviens des bains mon amour : tu ne les aimais pas. Dès que maman te mettait dans la baignoire, tu me disais "Aurélie, sauve moi s'il te plait!". Tu mettais tes deux pattes sur moi pour que je te sorte. Le séchage était un peu plus apprécié, mais tout de même ce n'était pas le grand amour! Après par contre, à chaque fois, c'était une vraie crise de folie qui commençait, tu sautais partout, tu courrais autour de la salle à manger en remuant la queue, en ventilant, comme on disait: l'eau t'énervait. Du coup, à cause des crises d'épilepsie, nous étions obligés de te baigner le matin, c'était tellement bon de te voir jouer, te voir faire le foufou. Merci pour tous ces merveilleux moments mon coeur, pour tous ces souvenirs qui font sourire, les yeux plein de larmes. Et ce jour en mai dernier où du shampoing a coulé dans tes yeux et a provoqué un ulcère de la cornée à l'oeil gauche : nous avions eu si peur, nous avons tellement culpabilisé, d'autant qu'on se disait que ton petit corps ne pouvais pas tout mener de front : cet incident dont nous étions responsables et cet ostéosarcome de malheur. Mais après une semaine de traitement, tout était rentré dans l'ordre. Encore une fois, tu t'étais battu comme un chef ! Merci pour ce courage, cet amour qui persiste par delà la mort, puisque nous deux, nous trois, c'est pour l'éternité. |
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