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In tribute to
BERGER-DE-BEAUCEPolka petit surnom Pépète
Born on :14/07/1999
left us on:31/08/2014
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3922 Flowers
2508 messages
left by poutounou on 25/08/2019Le cri tinte l’obscur et triste adieu de quelque vie éteinte…. * Le cri * Près d'un étang désert, où dort une eau brunie, Un rai du soir s'accroche au sommet d'un roseau ; Un cri s'écoute, un cri désespéré d'oiseau, Un cri pauvre et perdu dans la plaine infinie. * Comme il est faible et frêle et peureux et fluet ! Et comme avec tristesse il se traîne et s'écoute, Et comme il se répète et comme avec la route Il s'enfonce et se perd dans l'horizon muet ! * Et comme il marque l'heure, au rythme de son râle, Et comme, en son accent minable et souffreteux, Et comme, en son écho languissant et boiteux, Se plaint infiniment la douleur vespérale ! * Il est si doux parfois qu'on ne le saisit pas. Et néanmoins toujours, et sans fatigue, il tinte L'obscur et triste adieu de quelque vie éteinte ; Il dit les pauvres morts et les pauvres trépas : * La mort des fleurs, la mort des insectes, la douce Mort des ailes et des tiges et des parfums ; Il pleure au souvenir des vols qui sont défunts Et qui gisent, cassés, dans l'herbe et dans la mousse. * Émile VERHAEREN (1855-1916) |
left by poutounou on 18/08/2019« Paradis où le coeur donne ses rendez-vous... » * Le sommeil * Les perdus, les absents, les morts que fait la vie, Ces fantômes d'un jour si longuement pleurés, Reparaissent en rêve avec leur voix amie, Le piège étincelant des regards adorés. * Les amours prisonniers prennent tous leur volée, La nuit tient la revanche éclatante du jour. L'aveu brûle la lèvre un moment descellée. Après le dur réel, l'idéal a son tour ! * Ô vie en plein azur que le sommeil ramène, Paradis où le coeur donne ses rendez-vous, N'es-tu pas à ton heure une autre vie humaine, Aussi vraie, aussi sûre, aussi palpable en nous, * Une vie invisible aussi pleine et vibrante Que la visible vie où s'étouffent nos jours, Cette vie incomplète, inassouvie, errante, S'ouvrant sur l'infini, nous décevant toujours ? * Augustine-Malvina BLANCHECOTTE (1830-1895) |
left by poutounou on 11/08/2019Un Paradis où « l'infini flotte dans l'éternel », comme le Paradis blanc de nos Anges !!! * Savez-vous pas... * Savez-vous pas quelque douce retraite, Au fond des bois, un lac au flot vermeil, Où des palmiers la grande feuille arrête Les bruits du monde et les traits du soleil - Oh ! je voudrais, loin de nos vieilles villes, Par la savane aux ondoyants cheveux, Suivre, en rêvant, les écureuils agiles, Et voir sauter, sur les branches mobiles, L'ara de pourpre et les bengalis bleus ! * Savez-vous pas, sur les plages lointaines Où n'ont jamais passé les matelots, Une île heureuse aux suaves haleines, Bouquet de fleurs effeuillé sur les flots ? - Oh ! je voudrais, seul avec ma pensée, Jetant au vent la poussière des jours, Sentir mon âme aux vagues balancée, Et m'endormir sur l'onde cadencée Comme un enfant que l'on berce toujours ! * Savez-vous pas, loin de la froide terre, Là-haut ! là-haut ! dans les plis du ciel bleu, Un astre d'or, un monde solitaire Roulant en paix sous le souffle de Dieu ? - Oh ! je voudrais une planète blonde, Des cieux nouveaux, d'étranges régions, Où l'on entend, ainsi qu'un vent sur l'onde, Glisser la nuit, sous la voûte profonde, Le char brillant de constellations ! * Où fuir ? où fuir ? Par les routes humaines Le sable est dur et le soleil est lourd. Ma bouche ardente a tari les fontaines Et l'arbre est mort où j'ai cueilli l'amour. - Oh ! je voudrais, loin du temps et des choses, Débarrassé de tout lien charnel, Courir joyeux dans les métamorphoses, Puis me plonger à la source des causes, Où l'Infini flotte dans l'Éternel ! * Louis BOUILHET (1822-1869) |
left by poutounou on 04/08/2019Que c’est bien dit : « Le vivre vous chagrine et le mourir vous fâche... » * Voix intérieure * Mon ami, quels ennuis vous donnent de l'humeur ? Le vivre vous chagrine et le mourir vous fâche. Pourtant, vous n'aurez point au monde d'autre tâche Que d'être objet qui vit, qui jouit et qui meurt. * Mon âme, aimez la vie, auguste, âpre ou facile, Aimez tout le labeur et tout l'effort humains, Que la vérité soit, vivace entre vos mains, Une lampe toujours par vos soins pleine d'huile. * Aimez l'oiseau, la fleur, l'odeur de la forêt, Le gai bourdonnement de la cité qui chante, Le plaisir de n'avoir pas de haine méchante, Pas de malicieux et ténébreux secret, * Aimez la mort aussi, votre bonne patronne, Par qui votre désir de toutes choses croît, Et, comme un beau jardin qui s'éveille du froid, Remonte dans l'azur, reverdit et fleuronne ; * L'hospitalière mort aux genoux reposants Dans la douceur desquels notre néant se pâme, Et qui vous bercera d'un geste, ma chère âme, Inconcevablement éternel et plaisant... * Anna de NOAILLES (1876-1933) |
left by poutounou on 28/07/2019Il y a une vie après la mort, c’est sûr !!! Mais qu’il est beau ce poème ! « Mort qu’on appelle enfin quand on l’a méditée… !!!» * Prière * Fantôme qui nous dois dans la tombe enfermer, Mort dont le nom répugne et dont l'image effraie, Mais qu'à force de crainte on finit par aimer, Puisque la vie est vaine et que toi seule es vraie ; * Ô Mort, qui fais qu'on vit sans but et qu'on est las, Et qu'on rejette au loin la coupe non goûtée, Mort qu'on maudit d'abord et dont on ne veut pas, Mais qu'on appelle enfin quand on t'a méditée ; * Ô la peur et l'espoir des âmes, bonne Mort, Dont le souci nous trouble un temps, et puis nous aide, Mystérieux écueil où se blottit un port, Et poison merveilleux où se cache un remède. ... * Jules TELLIER (1863-1889) |
left by poutounou on 21/07/2019Merci Monsieur Verlaine pour vos magnifiques poèmes !!! * Il pleure dans mon coeur * Il pleure dans mon coeur Comme il pleut sur la ville ; Quelle est cette langueur Qui pénètre mon coeur ? * Ô bruit doux de la pluie Par terre et sur les toits ! Pour un coeur qui s'ennuie, Ô le chant de la pluie ! * Il pleure sans raison Dans ce coeur qui s'écoeure. Quoi ! nulle trahison ?... Ce deuil est sans raison. * C'est bien la pire peine De ne savoir pourquoi Sans amour et sans haine Mon coeur a tant de peine ! * Paul VERLAINE (1844-1896) |
left by choupinou on 17/07/2019Je suis ton chien, et il y a quelque chose que j’aimerais te chuchoter à l’oreille. Je sais que vous, les humains, menez une vie très chargée. Certains travaillent, d’autres ont des enfants à élever. Vous semblez toujours être en train de courir ici et là, bien souvent sans profiter des plaisirs de la vie. Baisse la tête et regarde-moi. Tu vois comment mes grands yeux te fixent? Ils sont de moins en moins clairs, c’est à cause de l’âge. Je commence à avoir des poils gris autour de mon doux museau... Tu me souries, je peux voir l’amour dans ton regard. Que vois-tu dans le mien? Est-ce que tu vois une âme? Qui t’aime comme personne d’autre dans ce monde? Un esprit qui pardonnerait tous tes crimes pour passer quelques instants avec toi? C’est tout ce que je demande; ralentis un peu, pour passer quelques minutes avec moi. Très souvent, tu parais triste en lisant l’annonce de la mort d’autres membres de ma race sur ton écran. Parfois, nous mourrons jeunes et rapidement, et cela te brise le cœur. Parfois, nous vieillissons si lentement que tu ne sembles même pas t’en apercevoir. Malgré notre museau grisonnant et possible cataracte, je ne cesserai jamais de t’aimer. Je ne serai peut-être pas là demain; je ne serai peut-être pas là la semaine prochaine. Un jour, tu pleureras toutes les larmes de ton corps, et tu supplieras en demandant juste « un jour de plus » avec moi. Mais aujourd’hui, je suis là. Donc viens t’asseoir avec moi et profitons. Qu’est-ce que tu vois? Si tu regardes avec attention, nous pourrons parler à cœur ouvert. Ne t’adresse pas à moi comme un maître, mais tout simplement comme une âme vivante, caresse mon pelage, regardons-nous dans les yeux, et parlons. Je pourrais te raconter ce qu’il y a d’amusant à courir après une balle de tennis. Tu m’as voulu dans ta vie car tu voulais avoir quelqu’un avec qui partager des sentiments, des émotions et des souvenirs… et je suis là! Je suis un chien, mais je suis un être vivant. Je ressens des émotions, et je différencie sans problème les personnalités. Je ne te vois pas comme un « chien sur deux pattes » – je sais ce que tu es. Tu es un humain, et malgré tes bizzareries, je t’aime. Maintenant, viens t’allonger sur le sol avec moi. Entres dans mon monde, et laissons le temps ralentir pendant 15 minutes. Regarde-moi dans les yeux, et murmure dans mes oreilles. Parle-moi avec ton cœur, avec ta joie de vivre et j’apprendrai à te connaître pour de bon. La vie est trop courte. Donc s’il te plaît… viens t’asseoir avec moi, et partageons ces moments précieux qui nous restent à vivre ensemble. Je t’aime, Ton chien ? |
left by gervais on 15/07/2019pensees pour tous vos anges cela est tres tres ure de les perdre ils nous manquent tant et tant merci pour les messages et fleurs a mon capi adore il est toujours blotti dans mon coeur pour l eternite tout comme vos anges le sont pour vous amities |
left by poutounou on 14/07/2019Quelqu’un meurt, et c’est comme un silence qui hurle !!! * L’Arbre et la graine * Quelqu’un meurt, et c’est comme des pas qui s’arrêtent. Mais si c’était un départ pour un nouveau voyage ? Quelqu’un meurt, et c’est comme un arbre qui tombe. Mais si c’était une graine germant dans une terre nouvelle ? Quelqu’un meurt, et c’est comme une porte qui claque. Mais si c’était un passage s’ouvrant sur d’autres paysages ? Quelqu’un meurt, et c’est comme un silence qui hurle. Mais s’il nous aidait à entendre la fragile musique de la vie ? * Benoît Marchon |
left by choupinou on 12/07/2019La chose la plus difficile à supporter quand ils s'en vont, ces amis tranquilles, c'est qu'ils emportent avec eux tant d'années de nos propres vies. MERCI de tout notre coeur pour notre petit Crapouille,pour avoir prit de ses nouvelles,et espérer tout comme nous a son bon rétablissement,mais la vie en a décidé autrement,et nous a prit notre petit Poupouille d'amour,le chagrin est immense,le chemin sera long et difficile sans notre petit Craps....... MERCI de votre soutien ,message de tendresse,pour lui et pour nous,par vos fleurs,je ne vous en dirait pas plus car je sens ma poitrine se serrer,comme un coup de poignard,et mes larmes roulent sur mon visage...... juste un petit mot,tout petit ,MERCI choupinou et sa fille pouilledamour Perdre un chien que l'on aime n'est jamais évident. Bien que leurs vies soient plus courtes, l'espace qu'ils prennent dans nos vies sont énormes, et les souvenirs que nous gardons d'eux sont éternels. L'amour d'un chien est quelque chose d'extraordinaire. Ils nous aiment malgré nos défauts. Ils ont bons cœurs et devraient nous montrer l'exemple. Honorons la mémoire de nos petits anges en faisant attention aux leçons de la vie et gardons toujours leur souvenir dans nos cœur. . Aucun être au monde ne sait offrir plus d'amour qu'un chien. Il vous aime sans condition et éternellement. Alors si tu es triste, sache qu'un petit ange,des petits anges gardien à quatre pattes veille sur toi de là où il est.,de là ou ils sont..... |
left by poutounou on 07/07/2019Nos anges ne seront jamais oubliés... * Le calmant * Plus qu'ennuyée Triste. Plus que triste Malheureuse. Plus que malheureuse Souffrante. Plus que souffrante Abandonnée. Plus qu'abandonnée Seule au monde. Plus que seule au monde Exilée. Plus qu'exilée Morte. Plus que morte Oubliée. * Marie Laurencin ("Poèmes" - Bernouard éditeur, 1926) Marie Laurencin (1883-1956) , peintre certes, mais également poète sous le pseudonyme de Louis Lalanne, et muse de Guillaume Apollinaire ... |
left by ourson on 03/07/2019A tous mes amis et toutes les autres personnes qui ont perdu un chien, soit disant parce qu’il est “mort” : Il faut que vous sachiez une chose qu’on a oublié de vous dire dans toutes ces grandes écoles que vous avez faites. Non, les chiens ne meurent pas. Jamais, Ils ne savent même pas ce que c’est que la mort. C’est pour ça que malgré leur os qui craquent, leur muscles qui tirent et leurs articulations qui brûlent, ils continuent encore et toujours à vouloir aller se promener. Parfois, il n’arrivent qu’à faire quelques pas avant de s’écrouler mais ce n’est pas grave, quelques heures plus tard, quand vous lancerez un nouveau “on va se promener” ?, ils lèveront une oreille en entendant la phrase familière et ils souriront, avec la langue pendant sur le côté de leur gueule, et ils essaieront, encore. Parce qu’une balade avec vous, la symphonie d’odeurs à laquelle vous restez sourd la plupart du temps, les messages des copains sur les troncs d’arbres, la crotte du chat des voisins hmmmmm…. leur pêché mignon, chuuut…. et un vieux pilon de poulet pourri arrivé là on ne sait comment, voilà ce qui rend leur monde parfait, Et dans un monde parfait, la mort n’a pas sa place. Quand, malgré tout, il n’y arrivent plus, ils recherchent le meilleur endroit, le plus confortable, le plus chaud, celui où ils se sentent le plus en sécurité pour continuer à dormir. Cet endroit, c’est toujours le même, c’est juste là dans votre poitrine, juste au niveau de votre cœur. Alors un jour, ils s’y installent, Mais ils ne sont pas morts. Non, non,non. D’ailleurs vous savez cette douleur dans votre poitrine qui au début semble ne pas vous lâcher ? Bah, c’est lui, votre chien, tellement heureux d’avoir enfin trouvé le paradis, qu’il remue sa queue frénétiquement : wap, wap, wap. Vous vous rappelez à quel point elle pouvait être désagréable contre vos jambes quand vous rentriez du boulot ? Imaginez ça dans votre poitrine … Forcément ça fait mal. Après un temps, les chiens dans notre poitrine sont tellement bien installés, qu’ils passent de plus en plus de temps à dormir. Et quand ils dorment, ils ne remuent pas la queue. Il faut dire qu’ils sont fatigués. Ils ont été de bons chiens toute leur vie, et ils le savent aussi bien que vous. C’est fatigant d’être un bon chien tout le temps, d’autant plus quand ils deviennent vieux et que leurs os sont douloureux et qu’ils se casse la figure, qu’ils ne veulent pas aller faire pipi dehors parce qu’il pleut mais qu’ils le font quand même, parce qu’ils sont de bons chiens. Alors il faut les comprendre, quand ils ont commencé à dormir dans votre cœur, ils dormiront de plus en plus longtemps. Et puis de temps en temps, généralement quand vous vous y attendez le moins wap, wap, wap, … ils sont comme ça les chiens. Ils se réveillent et ils vous font la fête, C’est leur manière de dire : “Merci de me laisser dormir près de ton cœur. On va se promener ? ” Vous voyez, ils ne sont pas morts. J’ai de la peine pour les gens qui n’ont pas de chien endormi dans leur poitrine, ils ratent quelque chose. Bon excusez-moi, je dois aller pleurer maintenant, j’ai mal dans la poitrine. Mais cette fois, il ne m’a pas prise par surprise, je savais qu’il allait se réveiller . Wap, wap, wap …. Aller, on va se promener ? |
left by choupinou on 03/07/2019désolé de na pas être trop présente,mais nous avons de gros soucis avec notre petit Crapouille 12 ans le petit Shih-Tzu de ma fille Caro,(pouilledamour,qui a une page aussi.....Il va malheureusement pas très bien,et est hospitalisé |
left by choupinou on 02/07/2019désolé de na pas être trop présente,mais nous avons de gros soucis avec notre petit Crapouille 12 ans le petit Shih-Tzu de ma fille Caro,(pouilledamour,qui a une page aussi.....Il va malheureusement pas très bien,et est hospitalisé |
left by poutounou on 30/06/2019C'est exactement comme ça quand on est mélancolique... Heureusement qu'il y a de beaux moments dans la vie : Le souvenir des moments passés avec nos Anges par exemple... et le contact que nous gardons avec eux bien après leur disparition !!! C’est un poème que j’adore !!! * Spleen... * Quand le ciel bas et lourd pèse comme un couvercle Sur l'esprit gémissant en proie aux longs ennuis, Et que de l'horizon embrassant tout le cercle Il nous verse un jour noir plus triste que les nuits ; * Quand la terre est changée en un cachot humide, Où l'Espérance, comme une chauve-souris, S'en va battant les murs de son aile timide Et se cognant la tête à des plafonds pourris ; * Quand la pluie étalant ses immenses traînées D'une vaste prison imite les barreaux, Et qu'un peuple muet d'infâmes araignées Vient tendre ses filets au fond de nos cerveaux, * Des cloches tout à coup sautent avec furie Et lancent vers le ciel un affreux hurlement, Ainsi que des esprits errants et sans patrie Qui se mettent à geindre opiniâtrement. * Et de longs corbillards, sans tambours ni musique, Défilent lentement dans mon âme ; l'Espoir, Vaincu, pleure, et l'Angoisse atroce, despotique, Sur mon crâne incliné plante son drapeau noir. * Charles BAUDELAIRE (1821-1867) |
left by lili2248 on 24/06/2019😍😍😍😍😍😍🌹🌹🌹🌹🌹💘💘💘💘💘💋💋💋💋🌈🌈🌈🌈🌈💕💕💕💕💕💞💞💞💞💞💞💗💗💗💗💗💗😘😘😘😘😘😘💟💟💟💟💟💟💟💟💌💌💌💌💌💌💌👼👼👼👼👼👼👼👼🌸🌸🌸🌸🌸🌸🌸🌸🌸🌸🌺🌺🌺🌺🌺🌺🌟🌟🌟🌟🌟🌟🌟✨✨✨✨✨✨✨✨✨✨🕊🕊🕊🕊🕊🕊🕊🕊🕊🕊🕊🕊🕊🦋🦋🦋🦋🦋🦋🦋🦋🦋🦋 |
left by poutounou on 23/06/2019Sauvons-nous tous dans le fond de notre cœur avec notre ou nos anges… * L'absence *. Quand je me sens mourir du poids de ma pensée, Quand sur moi tout mon sort assemble sa rigueur, D'un courage inutile affranchie et lassée, Je me sauve avec toi dans le fond de mon cœur ! * Tu grondes ma tristesse, et, triste de mes larmes, De tes plus doux accents tu me redis les charmes : J'espère ! ... car ta voix, plus forte que mon sort, De mes chagrins profonds triomphe sans effort. * Je ne sais ; mais je crois qu'à tes regrets rendue, Dans ces seuls entretiens tu m'as tout entendue. Tu ne dis pas : « Ce soir ! » Tu ne dis pas : « Demain ! » Non, mais tu dis : « Toujours ! » en pleurant sur ma main. * Marceline Desbordes-Valmore (1786-1859) |
left by ourson on 22/06/2019Le chien n’a qu’un but dans la vie : offrir son cœur |
left by Biscuit on 17/06/2019La vie, c'est comme une montgolfière. Pour aller plus haut, il faut savoir se délester et jeter par-dessus bord tout ce qui empêche de nous élever.,mais en ce moment ,je ne peux pas,je pense bien à vous ,bisous |
left by poutounou on 16/06/2019Oui, quand tout va mal, pensons fort à nos Anges, car ils seront toujours là pour nous... !!! * Les cloches du soir * Quand les cloches du soir, dans leur lente volée, Feront descendre l'heure au fond de la vallée ; Quand tu n'auras d'amis, ni d'amours près de toi, Pense à moi ! pense à moi ! * Car les cloches du soir avec leur voix sonore A ton cœur solitaire iront parler encore ; Et l'air fera vibrer ces mots autour de toi : Aime-moi ! aime-moi ! * Si les cloches du soir éveillent tes alarmes, Demande au temps ému qui passe entre nos larmes : Le temps dira toujours qu'il n'a trouvé que toi, Près de moi ! près de moi ! * Quand les cloches du soir, si tristes dans l'absence, Tinteront sur mon cœur ivre de ta présence : Ah ! c'est le chant du ciel qui sonnera pour toi, Et pour moi ! et pour moi ! * Marceline Desbordes-Valmore (1786-1859) |
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