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En hommage à
YORKSHIRE-TERRIERElliott
Il est né le:16/03/1989
Il nous a quittés le:13/10/1999
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686 messages
Déposé par rafia le 24/04/2015Bien chère Madame, SVP...dites-moi si je puis continuer à déposer des messages d'amitié d'auteurs ou personnels....et des citations, car pr deux fois, je viens de me faire violemment agressée, pr mails...les messages et citations étant jugés..inconvenants !!! J'avoue ne pas comprendre...mais si vs me dites STOP..je ne serai pas vexée !!! Mille mercis. Bien amicalement. Maryem votre amie |
Déposé par poutounou le 20/04/2015Printemps * Voici donc les longs jours, lumière, amour, délire ! Voici le printemps ! mars, avril au doux sourire, Mai fleuri, juin brûlant, tous les beaux mois amis ! Les peupliers, au bord des fleuves endormis, Se courbent mollement comme de grandes palmes ; L'oiseau palpite au fond des bois tièdes et calmes ; Il semble que tout rit, et que les arbres verts Sont joyeux d'être ensemble et se disent des vers. Le jour naît couronné d'une aube fraîche et tendre ; Le soir est plein d'amour ; la nuit, on croit entendre, A travers l'ombre immense et sous le ciel béni, Quelque chose d'heureux chanter dans l'infini. * Victor Hugo |
Déposé par poutounou le 16/04/2015Si... * Si la sardine avait des ailes, Si Gaston s'appelait Gisèle, Si l'on pleurait lorsque l'on rit, Si le pape habitait Paris, Si l'on mourait avant de naitre, Si la porte était la fenêtre, Si l'agneau dévorait le loup, Si les Normands parlaient zoulou, Si la mer Noire était la Manche Et la mer Rouge la mer Blanche, Si le monde était à l'envers, Je marcherais les pieds en l'air, Le jour je garderais la chambre, J'irais à la plage en décembre, Deux et un ne feraient plus trois... Quel ennui ce monde à l'endroit ! * Jean-Luc Moreau |
Déposé par poutounou le 13/04/2015« La cigale et la fourmi » à l’envers ! * La fourmi et la cigale * La fourmi ayant stocké tout l’hiver Se trouva fort encombrée Quand le soleil fut venu : Qui lui prendrait ses morceaux De mouches ou de vermisseaux ? Elle tenta de démarcher Chez la cigale, sa voisine, La poussant à s’acheter Quelques grains pour subsister Jusqu’à la saison prochaine. « Vous me paierez, lui dit-elle, Apres l’out, foi d’animal, Intérêt et principal. « La cigale n’est pas gourmande : C’est là son moindre défaut. Que faisiez-vous au temps froid ? Dit-elle à cette amasseuse. - Nuit et jour à tout-venant Je stockais, ne vous déplaise. - Vous stockiez ? j’en suis fort aise ; Et bien soldez maintenant. « * Françoise Sagan |
Déposé par rafia le 04/04/2015"Espérance, renouveau printanier, beauté de la nature... La fête de Pâques nous invite à voir les choses avec des yeux tout neufs, à s'émerveiller comme un gamin devant un panier rempli d'oeufs en chocolats. Joyeuses Pâques !" |
Déposé par poutounou le 04/04/2015Coucou bel Ange, Va-t-en voir dans ton jardin… Le lapin de Pâques, ce farceur, Y a caché cette nuit Un panier rempli de surprises : * Des œufs de toutes les couleurs, Des sucettes, des guimauves, Des meringues, des nonosss, Une baballe qui rebondit. * Regarde aussi dans tes fleurs. Tu y trouveras des bonbons à la liqueur. Je te souhaite, de tout cœur, De Joyeuses Pâques, tout en douceur… |
Déposé par poutounou le 30/03/2015Le papillon * J’aimerais, dans ma maison, Avoir pour seul compagnon Un très joli papillon Qui de saison en saison Changerait de couleur. Il serait vert au printemps Comme les feuilles mignonnes, Bleu en été, couleur du temps, Marron dès que viendrait l’automne Et, dans les mois d’hiver, tout blanc. Parfois, pour la fantaisie, Rose, violet, mauve ou gris Mais jamais le papillon noir De l’ennui et du désespoir. * Jean Joubert |
Déposé par poutounou le 26/03/2015Une jolie petite histoire de « noisettes » pour toi, doux Ange… * Les trois noisettes * Trois noisettes dans le bois Tout au bout d'une brindille Dansaient la capucine vivement au vent En virant ainsi que filles de roi. * Un escargot vint à passer : « Mon beau monsieur, emmenez-moi dans votre carrosse, Je serai votre fiancée « Disaient-elles toutes trois. * Mais le vieux sire sourd et fatigué, Le sire aux quatre cornes Sous les feuilles Ne s'est point arrêté, * Et, c'est l'ogre de la forêt, je crois, C'est le jeune ogre rouge, gourmand et futé, Monseigneur l'écureuil, Qui les a croquées * Tristan Klingsor |
Déposé par rafia le 25/03/2015CITATION DE BENJAMIN CONSTANT La douleur réveille en nous, tantôt ce qu'il y a de plus noble dans notre nature : le courage. Tantôt ce qu'il y a de plus tendre : la sympathie et la pitié. Elle nous apprend à lutter pour nous et pour les autres. |
Déposé par poutounou le 22/03/2015Mars * Il tombe encore des grêlons, Mais on sait bien que c'est pour rire. Quand les nuages se déchirent, Le ciel écume de rayons. Le vent caresse les bourgeons Si longuement qu'il les fait luire. Il tombe encore des grêlons, Mais on sait bien que c'est pour rire. Les fauvettes et les pinsons Ont tant de choses à se dire Que dans les jardins en délire On oublie les premiers bourdons. Il tombe encore des grêlons … * Maurice CARÊME |
Déposé par poutounou le 15/03/2015Extrait de la chanson « Fais moi une place » de Julien Clerc. * Paroles d’un Ange pour son maître ou sa maîtresse… * Fais-moi une place Au fond d' ton coeur Pour que j' t'embrasse Lorsque tu pleures Je deviendrai Tout fou, tout clown, gentil Pour qu' tu souries Fais-moi une place Dans tes urgences Dans tes audaces Dans ta confiance Je s'rai jamais Distant, distrait, cruel Pour q' tu sois « belle » (beau) J' veux q' t'aies jamais mal Q' t'aies jamais froid Et tout m'est égal Tout, à part toi Je t'aime… |
Déposé par celibab le 11/03/2015MERCI Merci,c'est un petit mot tout simple, mais qui pèse lourd si mes lèvres ou mes mains sur le clavier, l'expriment avec douceur c'est qu'il prend naissance au fond de mon coeur un grand merci,un petit merci peu importe sa taille,il n'a pas de dimension que ce soit dans la joie ou la tristesse c'est un signe de reconnaissance qui connaît pas l'indifférence MERCI un petit mot qui fait du bien quand on le prononce ou l'on écrit un petit mot gracieux qui calme et réjouit MERCI MERCI MERCI de m'avoir permis de vous dire MERCI HATCHIKO ET c'est mamans de coeur allias choupinou (babeth) et céline |
Déposé par poutounou le 10/03/2015Joli petit poème pour toi, bel Ange, en attendant le printemps… * Premier sourire du printemps * Tandis qu'à leurs oeuvres perverses Les hommes courent haletants, Mars qui rit, malgré les averses, Prépare en secret le printemps. * Pour les petites pâquerettes, Sournoisement lorsque tout dort, Il repasse des collerettes Et cisèle des boutons d'or. * Dans le verger et dans la vigne, Il s'en va, furtif perruquier, Avec une houppe de cygne, Poudrer à frimas l'amandier. * La nature au lit se repose ; Lui descend au jardin désert, Et lace les boutons de rose Dans leur corset de velours vert. * Tout en composant des solfèges, Qu'aux merles il siffle à mi-voix, Il sème aux prés les perce-neiges Et les violettes aux bois. * Sur le cresson de la fontaine Où le cerf boit, l'oreille au guet, De sa main cachée il égrène Les grelots d'argent du muguet. * Sous l'herbe, pour que tu la cueilles, Il met la fraise au teint vermeil, Et te tresse un chapeau de feuilles Pour te garantir du soleil. * Puis, lorsque sa besogne est faite, Et que son règne va finir, Au seuil d'avril tournant la tête, Il dit : " Printemps, tu peux venir ! " * Théophile GAUTIER (1811-1872) - Émaux et camées |
Déposé par rafia le 06/03/2015Rien de plus Rien de plus Rien de moins Rien du tout Trois fois rien J’existe encore Et pour longtemps Longtemps à attendre À rêver À rêver du rêve Rêve sans trêve Rêve d’espérance Histoire de vivre Vivre sans trêve Chaque jour Renaît l’espoir Puis il disparaît Et vient l’après L’après-qui-dure L’après-qui-s’installe Dans le jeu de l’après Règne la permanence La permanence du doute Et du doute naît la raison De la raison naît le choix Choix du possible Ou de l’impossible Et se dédouble le je Pour ne pas se prendre au jeu Le jeu du hasard Le hasard qui nous surpasse Et qui se confond avec le sort Le sort, incarnat du bon et/ou du mauvais (Maggy De Coster), |
Déposé par poutounou le 24/02/2015Petit poème charmant pour toi, bel Ange… * La clé des champs * On a perdu la clé des champs ! Les arbres, libres, se promènent, Le chêne marche en trébuchant, Le sapin boit à la fontaine. * Les buissons jouent à chat perché, Les vaches dans les airs s'envolent, La rivière monte au clocher Et les collines cabriolent. * J'ai retrouve la clé des champs Volée par la pie qui jacasse. Et ce soir au soleil couchant J'aurai tout remis à sa place. * Jacques Charpentreau |
Déposé par poutounou le 20/02/2015Liberté * Sur mes cahiers d'écolier Sur mon pupitre et les arbres Sur le sable sur la neige J'écris ton nom * Sur toutes les pages lues Sur toutes les pages blanches Pierre, sang, papier ou cendre J'écris ton nom * Sur les images dorées Sur les armes des guerriers Sur la couronne des rois J'écris ton nom * Sur la jungle et le désert Sur les nids sur les genets Sur l'écho de mon enfance J'écris ton nom * Sur les champs, sur l'horizon Sur les ailes des oiseaux Et sur le moulin des ombres J'écris ton nom * Et par le pouvoir d'un mot Je recommence ma vie Je suis né pour te connaitre Pour te nommer Liberté. * Paul Eluard |
Déposé par rafia le 20/02/2015« Comme un voilier » – William Blake Je suis debout au bord de la plage Un voilier passe dans la brise du matin et part vers l’océan. Il est la beauté, il est la vie. Je le regarde jusqu’à ce qu’il disparaisse à l’horizon. Quelqu’un à mon côté dit : « Il est parti ! » Parti ? Vers où ? Parti de mon regard. C’est tout… Son mât est toujours aussi haut, Sa coque a toujours la force de porter sa charge humaine. Sa disparition totale de ma vue est en moi, Pas en lui. Et juste au moment où quelqu’un près de moi dit : « il est parti ! » Il en est d’autres qui, le voyant poindre à l’horizon et venir vers eux, S’exclament avec joie : « Le voilà ! »… C’est ça la mort. |
Déposé par poutounou le 16/02/2015Dis-moi rivière * - Dis-moi eau pure es-tu rivière ? - Je ne suis que de l’eau, de l’eau - Mais tu traverses les frontières Comme le font tous les oiseaux - Je le peux c’est vrai, à ma guise Je ne fais que couler, couler Et tantôt claire et tantôt grise La nuit, le jour, sans m’arrêter -Dis-moi eau pure, tu te fatigues Sous le soleil et sous les ponts Entre les champs et les garigues ? - Je suis mon cours vers l’horizon Et maintenant tu me déranges J’ai du chemin à parcourir - Mais en nuages tu te changes Ensuite tu vas nous revenir Et à quoi bon ce long voyage Reste avec nous, nous t’aimons bien Nous allons construire un barrage - Ô surtout pas, je ne veux rien Je ne suis pas une eau dormante Je tiens trop à ma liberté - Je suis d’accord, tu es charmante Au plaisir de te retrouver… |
Déposé par poutounou le 11/02/2015Les 8 béatitudes du philosophe. * Heureux qui, retiré du monde, De ses faux plaisirs dégoûté, Jouit dans une paix profonde Des douceurs de la liberté ! * Heureux qui, de la solitude Mettant à profit les loisirs, De son cœur fait sa seule étude, De ses devoirs fait ses plaisirs ! * Heureux qui, bien avec lui-même, Exempt de soins ambitieux, N'aspire qu'à l'honneur suprême De régir son âme et ses vœux ! * Heureux qui dans l'indifférence Brave l'amour et ses tourments, Et qu'une triste expérience N'a point fait sage à ses dépens ! * Heureux qui, peu jaloux de plaire, Et d'entraîner tous les esprits, D'un seul ami tendre et sincère Connaît l'inestimable prix ! * Heureux qui, rival d'Epicure, Accessible à la volupté, Aux doux liens de la nature Permet d'enchaîner sa fierté ! * Heureux qui, dans la noble ivresse D'un cœur épris de la vertu, Sans nul écart, de la sagesse Suit le sentier trop peu battu ! * Heureux enfin qui, sans envie, Sans regrets, voit ses jours finir, Et qui n'a joui de la vie Que pour mieux apprendre à mourir ! * Janson de Sailly. |
Déposé par poutounou le 05/02/2015L’Arbre et la graine * Quelqu’un meurt, et c’est comme des pas qui s’arrêtent. Mais si c’était un départ pour un nouveau voyage ? Quelqu’un meurt, et c’est comme un arbre qui tombe. Mais si c’était une graine germant dans une terre nouvelle ? Quelqu’un meurt, et c’est comme une porte qui claque. Mais si c’était un passage s’ouvrant sur d’autres paysages ? Quelqu’un meurt, et c’est comme un silence qui hurle. Mais s’il nous aidait à entendre la fragile musique de la vie ? * Benoît Marchon |