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In tribute to
BERGER-ALLEMANDVicky
left us on:--/05/1984
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141 messages
left by poutounou on 15/10/2017Un déjeuner au Paradis, sauf que nos Anges ne s'ennuient jamais, même le Dimanche... * Un déjeuner de fous * J’organise aujourd’hui un déjeuner de fous une chasse à l’herbe folle un braconnage de fruits verts. Nous boirons sous les pommiers du cidre de la pleine lune, nous ferons un jardin des moissons d’amitié de mots sans trèves et de soleils givrés. Et dans ce paysage de rêveries bruissantes nous danserons sur l’ennui des dimanches. * Luce Guilbaud ("La petite feuille aux yeux bleus" - Éditions Le farfadet bleu/Le dé bleu, 1998) |
left by poutounou on 08/10/2017Et oui ! C'est quoi la vie ? * Le Secret * D'où viennent-ils ? Où vont-ils Tous ces humains que cherchent-ils ? * Il court, il court, le Secret ! Et les hommes lui courent après ! * Il est passé par ici Il repassera par là. * C'est comment, c'est quoi la vie ? Bien malin qui le dira ! * Elle est passée par ici, Elle repassera par là. * Il court, il court, le Secret ! Et les hommes lui courent après ! * Andrée Chedid ("Fêtes et lubies" - éditions Flammarion - 1973) |
left by poutounou on 01/10/2017Des nuages au Paradis ! Oui, mais de gentils nuages... * Les nuages * Trois petits nuages S’en venaient de Paris, Mais oui, mais oui. Mon Dieu, qu’ils étaient jolis ! Derrière eux le vent riait. Allez, allez ! Et claque, claque son fouet. Le premier nuage Etait léger comme un duvet. Le second petit nuage Avait de beaux cheveux frisés. Passant trop près du soleil, Le pauvre petit dernier S’y était brûlé le nez. Tant pis, tant pis Ils ne pouvaient pas s’arrêter Pensez ! Trois petits nuages S’en allaient au Paradis ! |
left by choupinou on 26/09/2017AUTOMNE -dans les forêts dépouillées déjà les feuilles rouillées font un tapis de velours et l'on entend de l'Automne gémir ce chant monotone coupé par des sanglots lourds -les frileuses hirondelles rasent le sol de coups d'ailes se rassemblent a grands cris et tous les oiseaux sauvages s'appellent sur les plaines et rivages près des étangs défleuris -c'est la saison triste et douce ou l'on rêve,ou sur la mousse en pleurant ont vient s'asseoir pour voir le soleil oblique dans le ciel mélancolique verser les joyaux du soir Jean Richepin et je rajoute... -ces véritables petits bijoux qui scintillent dans la nuit ces petites étoiles,c'est si doux au firmament,ce trésors luit et dans chacune d'elle,je peux voir nos petits anges que nous pleurons,notre désespoir choupinou |
left by poutounou on 24/09/2017Au revoir l'été !!! * Voici que la saison * Voici que la saison décline, L’ombre grandit, l’azur décroit, Le vent fraichit sur la colline, L’oiseau frissonne, l’herbe a froid. * Aout contre septembre lutte; L’océan n’a plus d’alcyon ; Chaque jour perd un minute, Chaque aurore pleure un rayon. * La mouche, comme prise au piège, Est immobile à mon plafond ; Et comme un blanc flocon de neige, Petit à petit, l’été fond. * Victor Hugo |
left by poutounou on 17/09/2017Voilà à quoi ressemble l'école au Paradis... * Notre école * Notre école se trouve au ciel. Nous nous asseyons prés des anges. Comme des oiseaux sur les branches. Nos cahiers d'ailleurs ont des ailes. * A midi juste, on y mange, Avec du vin de tourterelle, Des gaufres glacées à l'orange Les assiettes sont en dentelle. * Pas de leçon, pas de devoirs Nous jouons quelque fois, le soir Au loto avec les étoiles. * Jamais nous ne rêvons la nuit Dans notre petit lit de toile L'école est notre paradis. * Maurice Carême ("le moulin de papier" - Nathan) |
left by poutounou on 10/09/2017Un magnifique lac comme au Paradis blanc.... * J'ai pour toi un lac * J'ai pour toi un lac quelque part au monde Un beau lac tout bleu Comme un œil ouvert sur la nuit profonde Un cristal frileux Qui tremble à ton nom comme tremble feuille À brise d'automne et chanson d'hiver S'y mire le temps, s'y meurent et s'y cueillent Mes jours à l'endroit, mes nuits à l'envers. * J'ai pour toi, très loin Une promenade sur un sable doux Des milliers de pas sans bruits, sans parade Vers on ne sait où Et les doigts du vent des saisons entières Y ont dessiné comme sur nos fronts Les vagues du jour fendues des croisières Des beaux naufragés que nous y ferons. * J'ai pour toi défait Mais refait sans cesse les mille châteaux D'un nuage ami qui pour mon Ange Se ferait bateau Se ferait pommier, se ferait couronne Se ferait panier plein de fruits vermeils Et moi je serai celui qui te donne La Terre et la Lune avec le soleil. * J'ai pour toi l'amour quelque part au monde Ne le laisse pas se perdre à la ronde. * Gilles Vigneault |
left by poutounou on 03/09/2017N’entendez-vous pas, dans l’infini, battre les ailes de nos Anges ? * L’ombre est bleue et la nuit palpite d’ors tremblants Dans l’azur, on croit voir flotter des voiles blancs Qui frémissent au souffle onduleux du mystère * Les longs voiles traînants des anges de la terre Qui montent vers les cieux, sans fin, sans bruit, En une ascension dont l’essor tremble au clair de lune * N’entends-tu pas dans l’infini, battre leurs ailes ? Les étoiles, au chant des sphères éternelles, Palpitent dans le vent de ces ailes rythmées, * Qui lentement, parmi les ombres embaumées, Et le soleil immense et bleu de toutes choses, Eventent le silence et font pâmer les roses. * Fernand Gregh |
left by poutounou on 27/08/2017Mon petit Iron « petit filou »chasse aussi les papillons et les lézards et les oiseaux et les « rominets« … * Le chat sous la fenêtre * Le chat sous la fenêtre soulève sa petite patte pour pouvoir sortir et ses yeux grands ouverts qui cherchent des regards pour qu’il puisse l’ouvrir * Le chat sous la fenêtre tapote doucement avec son coussinet sur quelques marguerites qui se reflètent sur la vitre derrière une ombre bleutée * Le chat sous la fenêtre observe les oiseaux, et d’un coup sec s’envole dans le ciel pour attraper le papillon qui a pu s’échapper * La chat sous la fenêtre d’un coup a disparu Alors je regarde une corbeille de cerises posée sur le vieux banc cassé La petite patte n’est plus là Le papillon vole un peu plus loin * J’entends le son du beau ruisseau qui coule au pied de ma maison il n’y a plus qu’un grand rayon de soleil qui traverse la fenêtre Et c’est l’été * Elodie Santos, 2006 |
left by Biscuit on 26/08/2017Mon copain. Quand j’ai du chagrin Il ne me dit rien Il sait bien que ça ne sert à rien Quand j’ai du chagrin Mon ami Quand j’ai de la peine Il ne me dit pas qu’il m’aime Je sais bien que ça le gêne Quand j’ai de la peine Alors il m’écoute Moi je sais qu’il m’entend Et il me regarde Moi je sais qu’il comprend Il se met dans un coin Ses yeux sont plus malheureux Que les miens Mon copain, mon ami Il est plus qu’un ami Plus qu’un bon copain Puisque c’est mon chien Chantal Abraham |
left by Lovepets on 22/08/2017❤❤❤❤❤❤❤ |
left by Biscuit on 21/08/2017"Même s' il me faut lâcher ta main Sans pouvoir te dire "à demain" Rien ne défera jamais nos liens Même s'il me faut aller plus loin Couper les ponts, changer de train L'amour est plus fort que le chagrin L'amour qui fait battre nos coeurs Va sublimer cette douleur Transformer le plomb en or Tu as tant de belles choses à vivre encore Tu verras au bout du tunnel Se dessiner un arc-en-ciel Et refleurir les lilas Tu as tant de belles choses devant toi Même si je veille d'une autre rive Quoi que tu fasses, quoi qu'il t'arrive Je serai avec toi comme autrefois Même si tu pars à la dérive L'état de grâce, les forces vives Reviendront plus vite que tu ne crois Dans l'espace qui lie le ciel et la terre Se cache le plus grand des mystères Comme la brume voilant l'aurore Il y a tant de belles choses que tu ignores La foi qui abat les montagnes La source blanche dans ton âme Penses-y quand tu t'endors L'amour est plus fort que la mort Dans le temps qui lie ciel et terre Se cache le plus beau des mystères Penses-y quand tu t'endors. L'amour est plus fort que la mort." ) ❣️❣️❣️Françoise Hardy(tant de jolies choses), |
left by poutounou on 20/08/2017Quelle histoire ! * En Grande-Bretagne, un chat a été expédié à plus de 400 kilomètres de chez lui par voie postale. L’animal a passé huit jours enfermé dans une boîte en carton. Retrouvé en état de déshydratation il y a environ dix jours, il se remet aujourd'hui de sa mésaventure… * C’est une miraculée. Cupcake, une chatte siamoise résidant dans les Cornouailles, au sud-ouest de la Grande-Bretagne, a été expédiée par erreur dans le West Sussex, à 400 kilomètres de là. L’animal se serait faufilé dans un carton de DVD que ses maîtres venaient de vendre. Ces derniers ne se seraient aperçus de rien et auraient envoyé le colis tel quel. * Découvrant la disparition de leur chat, ils ont ensuite collé des avis de recherche et des photos de Cupcake dans leur quartier, sans se douter qu’elle était déjà à 400 kilomètres de chez eux. La minette n’a été découverte que huit jours plus tard, lorsque le destinataire a ouvert le colis. Aussitôt emmenée dans une clinique vétérinaire, Cupcake est diagnostiquée en état de stress et souffrant de déshydratation. Elle a, depuis, retrouvé ses maîtres de Cornouailles et est complètement remise sur pattes. * Si, comme Cupcake, votre chat prend plaisir à se cacher dans les cartons, vérifiez qu’il ne soit pas dedans avant d’en expédier. Une précaution d’usage à prendre aussi lors des départs en vacances, pour éviter que minou ne se faufile en douce dans la valise… |
left by choupinou on 17/08/2017mes chers amis petits anges,comme vous le savez je vais être en vacances Samedi et pendant 3 semaines,donc je ne serais pas là pour vous envoyez de jolis messages ou de belles fleurs,mais j'essayerais de faire au mieux pour vos anniversaire pour certains d'entre vous.Ce n'est pas facile car la wifi,selon ou on se trouve ne fonctionne pas toujours....alors peu importe le principal et que je vous ai dans mes pensées et mon coeur,et je sais que lors de nos randonnées mes amours seront a courir auprès de moi,avec peut-être et sûrement quelques uns de leurs camarades; Pour moi ce sont des instants dans la nature reposant loin du bruit,de la violence ,des moments sereins pour se ressourcer,méditer et c'est bien souvent dans ces instant de marche ou je ressent que je ne suis pas seule avec mon mari mais accompagnée de vos présences,même si vous n'êtes pas mes petits chiens, chats... mais une chose est sur c'est que vous serez toujours les amis de mes petits compagnons et de ce faite vous êtes et serez aussi les miens. Tendre pensées et calinoux petits trésors; Amitié sincère a vos mamans/papas choupinou celibab, |
left by Biscuit on 16/08/2017Quand le soleil me réchauffe, Je sais que c’est toi qui poses ta patte sur mon épaule Quand le vent souffle, Je sais que c’est toi qui ébouriffes mes cheveux, Quand la pluie tombe, Je sais que c’est toi qui ruisselles sur mon visage, Quand l’orage gronde, Je sais que c’est toi qui m’envoies un signe. |
left by lili2248 on 15/08/2017Que de complicité partagée par cet amour inégalé Que ton cœur nous a donné et ne cessera de continuer Ton élégance si naturelle Ton dévouement si fidèle Nous avons laissé une telle empreinte Qu’à notre peine manque une étreinte Quand ton âme s’en est allée Et que le calme s’est installé La détresse de ce silence marque à jamais ton importance Ton image restera telle Une immense étincelle Qui jamais s’éteindra et ta place tu garderas ** pensée * , , |
left by Biscuit on 15/08/2017Juste un instant de tendresse Avec toi comme avant, Juste te faire un gros câlin, Juste un moment partagé Et quelques mots murmurés à ta petite oreille , Juste te faire un bisou, Pour ça, je donnerais tout Juste que tu reviennes, Et que s'envolent mes peines , Juste parce que j'ai besoin de toi,, , |
left by poutounou on 13/08/2017Très belle chanson du poète Yves Duteil. Des fois on souffre tellement, qu'on aimerait bien pouvoir se réfugier dans un merveilleux rêve... * Il y a des jours où, quand le jour se lève, On voudrait rentrer tout au fond d'un rêve Et puis, soudain, lorsque le clocher sonne, Il y a des jours où l'on n'est plus personne. * Alors, on ferme les yeux un instant. Quand on les rouvre, tout est comme avant. Les gens vous voient et leur regard s'étonne. Il y a des jours où l'on n'est plus personne. * Comme au milieu d'un cinéma désert, On rembobine et tout passe à l'envers Et quand on pense aux gens qu'on abandonne, Il y a des jours où l'on n'est plus personne. * Ouvrir son cœur à tous les vents qui passent, Et, qu'un matin, tous les chagrins s'effacent Pour oublier, dans le bonheur qu'on donne, Qu'il y a des jours où l'on n'est plus personne, * Qu'il y a des jours où, quand le jour se lève, Ou voudrait rentrer tout au fond des rêves Et s'endormir lorsque le clocher sonne. Il y a des jours où l'on n'est plus personne. * Yves Duteil |
left by Biscuit on 13/08/2017"La mort n’est rien Je suis simplement passé dans la pièce à côté. Je suis moi. Tu es toi. Ce que nous étions l’un pour l’autre, nous le sommes toujours. Donne-moi le nom que tu m’as toujours donné. Parle-moi comme tu l’as toujours fait. N’emploie pas de ton différent. Ne prends pas un air solennel ou triste. Continue à rire de ce qui nous faisait vivre ensemble. Prie. Souris. Pense à moi. Prie pour moi. Que mon nom soit toujours prononcé à la maison comme il l’a toujours été. Sans emphase d’aucune sorte et sans trace d’ombre. La vie signifie ce qu’elle a toujours signifié. Elle reste ce qu’elle a toujours été. Le fil n’est pas coupé. Pourquoi serais-je hors de ta pensée, Simplement parce que je suis hors de ta vue ? Je t’attends. Je ne suis pas loin. Juste de l’autre côté du chemin.", |
left by poutounou on 06/08/2017Le coeur est brisé, n'y touchez pas ! * Le vase brisé * Le vase où meurt cette verveine D'un coup d'éventail fut fêlé ; Le coup dut effleurer à peine : Aucun bruit ne l'a révélé. * Mais la légère meurtrissure, Mordant le cristal chaque jour, D'une marche invisible et sûre En a fait lentement le tour. * Son eau fraîche a fui goutte à goutte, Le suc des fleurs s'est épuisé ; Personne encore ne s'en doute ; N'y touchez pas, il est brisé. * Souvent aussi la main qu'on aime, Effleurant le coeur, le meurtrit ; Puis le coeur se fend de lui-même, La fleur de son amour périt ; * Toujours intact aux yeux du monde, Il sent croître et pleurer tout bas Sa blessure fine et profonde ; Il est brisé, n'y touchez pas. * René-François SULLY PRUDHOMME (1839-1907) |
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