Mon Boomer,

Mon amour, mon bébé, mon gros loup, mon lion, mon ami, mon ange gardien, mon Booboo.

Un monstre t’a enlevé à mes bras et à mes baisers. Un monstre a volé ta vie. Un lâche t’a empoisonné, toi qui n’avais jamais rien fait d’autre que des câlins et des bisous. Un criminel a décidé de t’empoisonner, me laissant seule avec ma peine.
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2 ans mon ange
2 ans que ce monstre t'a empoisonné
il ne se passe pas un jour sans que j'y pense
sans que je repense à ton agonie jusqu'au moment ou j'ai du te libérer de cette souffrance
à ce moment, je l'ai prise en moi et pour toujours, ton absence me pèse terriblement
la cruauté humaine me pèse
je t'aime mon ange
je t'aime de tout mon cœur et à jamais
tu devrais être à mes cotés, nous aurions du partager des milliers de câlins et de bisous
ce monstre en a décidé autrement, qu'il soit maudit
je ne peux pardonner cet acte
je ne peux accepter qu'on t'ai volé à mon cœur
je t'aime mon bébé, à tout jamais
maman

Tu n’es plus là et tu me manques, chaque jour, à chaque minute.

Je me souviens la première fois ou je t’ai vu, dans ta famille d’accueil tu attendais une adoption, que quelqu’un veuille de toi, toi qui étais tout pelé, maigre et borgne.

Avec ton futur papa et ta future « sœur » nous sommes arrivés dans cette maison qui accueillait tant d’animaux, tu nous a à peine envisagé, plus intéressé par tes ballades dans le jardin. Attila n’a pas du tout apprécié de te rencontrer, il faut dire qu’avec ta taille tu étais impressionnant pour elle, même si tu ne pesais pas lourd à l’époque.

Nous sommes repartis sans toi… mais pour nous permettre de te ramener à la maison sans risquer que le voyage ne se passe mal avec Attila.

Nous sommes revenus te chercher quelques jours plus tard, tu as été adorable pendant le trajet, ta tête posée sur l’appui tête devant toi, tu dormais comme un gros bébé, calme et serein.

Arrivé à la maison, il faut avouer qu’Attila ne t’a pas très bien accueilli, dire qu’elle était jalouse est un doux euphémisme.

J’avoue que j’angoissais que cela ne s’arrange jamais avec elle, et que notre vie à tous ne soit pas celle dont j’avais rêvé.

Attila n’appréciait pas forcément que tu lui « mâches » la tête dans ta grosse gueule, que tu lui cours après dès qu’elle sortait pour jouer avec sa balle, que tu lui voles ses doudous mais surtout l’amour de ses parents.

Il a fallu du temps pour que l’a mayonnaise prenne, mais nous avions mis toutes les chances de notre côté pour que tout se passe au mieux. Voyant qu’il était difficile pour Attila de t’admettre dans sa meute, tu te souviens, nous avons été à « l’école des chiens » histoire qu’elle apprenne à « partager », toi tu as A-DO-RE !, elle moins… mais à partir de là et surtout quand Attila a eu ses coquelicots, tout s’est arrangé.

Elle est tombée amoureuse de toi ! Je me souviens trop de ses parties de chatouilles, bisous et cavalcade auxquelles vous jouiez tous les deux. Elle venait te chercher et toi, gros pataud tu ne comprenais pas et chahutais avec elle ; c’était tellement drôle de vous voir vous courir après, parler avec ta voix de Choubaka et la mordiller « pour de rire ».

Tout s’est amélioré à partir de ce moment là, même si le fait de rentrer à la maison sans avoir à te « pourchasser » dans le jardin à mis plus de temps que le reste. Quelle galère le soir, quand décidée à me coucher je mettais 20mn pour te faire rentrer à la maison, il faut dire que tu adorais, au début, dormir dehors et y rester toute la journée.

Mais avec tout l’amour que nous t’avons donné, tu as aussi vite compris qu’une place bien confortable sur le canapé t’attendait et qu’il était bon de t’y installer, prenant toute la place avec tes 40 kg.

Quel plaisir de te sentir, de te serrer dans nos bras ; quelle galère parfois pour trouver une petite place pour s’installer, mais aujourd’hui que ce canapé me semble grand, vide et froid. J’aimerais tant que tu y prennes toute la place, que tu t’allonges de tout ton long sans te soucier du fait que nous ne puissions pas nous installer.

Chaque instant tu reviens dans ma mémoire, le soir quand je rentre et que j’ouvre le portail, tu n’es pas là… tu ne m’accueilleras plus jamais en prenant ma main dans ta gueule ou en allant chercher ton bâton, en me sautant dessus ; habitude que je voulais te faire perdre, mais qui me manque tant !

Tous les soirs au dîner quand je ne vois plus ta grosse gueule au dessus de la table avec ton œil qui lorgne sur nos assiettes et qu’une petite goutte de bave tombe sur le sol tellement tu es excité par l’idée de réussir à obtenir pitance.

Tous les soirs au moment ou je sers son repas à Attila, quand je vais dans l’énorme sac de croquettes, acheté pour toi, car avec ton appétit nous avions vite compris que les sacs de 2 kg n’étaient pas l’idéal. A ce moment je compte toujours… une dose pour Titi et 4… non pas 4, plus jamais 4 pour mon Booboo.

Tous les soirs quand je vais me coucher et que je ne peux plus te faire un gros câlin avant le dodo, je n’essayais même plus de t’envoyer sur ta « coucouche » pour la nuit, j’avais cédé à ton envie de profiter du canapé, tu avais gagné et j’adorais ça !

Tous les matins quand je me lève et que je descends dans le séjour, tu n’es plus là, allongé sur le canapé, à juste ouvrir ton œil et lever la tête pour me dire « Bonjour Maman, moi je profite encore du canapé… va travailler sans crainte, je veille sur la maison et sur Titi », tu n’es plus là, je ne pourrai plus jamais te câliner pour te souhaiter une bonne journée.

Tout n’est que toi, tout me rappelle à quel point tu me manques. Quoique je fasse tu es dans ma tête et dans mon cœur, à chaque promenade je me souviens de tes courses poursuite dans la forêt, de ta passion pour les bains de boue.

Qu’il est dur de penser que jamais plus je ne pourrai constituer de nouveaux souvenirs avec toi, on t’a volé à mon amour, on a brisé mon cœur, mais surtout on a volé ta vie.

Une belle vie, après un début difficile, abandonné, laissé pour compte, borgne et amaigri, tu avais trouvé TA famille, nous avions trouvé « NOTRE fils ». Oui je sais mon Booboo, tu es un chien, mais tu sais aussi que pour moi tu étais tellement plus.

Je t’aime mon Boomer, ta mort laisse un vide infini en moi. La monstruosité humaine qui a mené à ton décès me dégoûte, je suis atterrée de voir qu’on peut faire ça à un animal, mais surtout à toi, toi qui es si mignon, si gentil, si tendre.

Comme tu avais évolué, comme tu étais devenu à l’écoute et affectueux avec nous, comme tu avais changé en si peu de temps. Quel bon souvenir que ces ballades dans la forêt quand nous étions en vacances. Toi, libre, sans laisse, marchant devant nous, t’arrêtant pour nous regarder… pas un écart de conduite, pas une tentative pour « vivre ta vie » dans les bois. Non, tu étais là, avec nous, présent et nous protégeant, quel beau moment, d’autant qu’il était inattendu !!! tu avais tellement l’habitude de tes escapades dans les bois à la maison que nous avions été bluffés de ton attitude, mais quel bonheur de pouvoir te voir libre et d’être sereins en sachant que tu ne t’enfuirais pas.

Au retour de ces vacances, le Boomer nouveau était arrivé, encore une étape de franchie, tout était pour le mieux dans le meilleur des mondes.

Attila et toi, vous vous entendiez bien, avec de grands moments de folie au moment des coquelicots, tu rentrais à la maison quand on te le demandait, à l’école des chiens tu étais la star number one, avec ton bon caractère c’est toi qui faisais les tests avec les nouveaux arrivants, tu savais rester sans bouger, attendre pour engloutir ta gamelle et tu revenais quand on te le demandait.

L’histoire s’écrivait doucement, mais tendrement, avec patience et amour, tu étais le compagnon parfait, même s’il aurait fallu que tu fasses encore quelques efforts avec les autres chiens à l’extérieur de la maison, mais ça, je m’en accommodais très bien car j’avais confiance en toi, d'ailleurs, me revient en mémoire cette partie de jeu avec un jeune Bouledogue, Papa était inquiet de te voir lui foncer dessus, et moi j'ai dit : laisse le faire, il veut juste jouer... tu faisais au moins 8 fois sa taille, mais tu as joué avec lui comme s'il était ton meilleur ami depuis 10 ans ! c'était génial à voir !!!!

Nous vivions parfaitement, en harmonie. Nous t’aimions, tu nous aimais en retour, le bonheur ! nous partagions tout avec toi, notre canapé, notre assiette, la voiture, nos vacances, tes poils :)… mais le bonheur a pris fin, tout s’est arrêté ce 1er août 2014 ou la pire des monstres a jeté des boulettes empoisonnées par-dessus le portail.

Tu étais tellement gourmand… tu as du te jeter dessus et quasiment tout manger, Attila n’a du avoir « que les restes » et c’est ça qui l’aura sauvée…

Alain était à la maison, Attila est venue le chercher, elle allait mal, toi aussi… ton papa m’a téléphoné et j’ai immédiatement fait demi tour, arrivant au bureau et repartant aussitôt pour venir vous rejoindre, la peur au ventre et des prières plein la bouche.

Tu as convulsé, tu as vomi cette merde de poison anti limaces, tu t’es littéralement vidé.

Papa a fait tout son possible pour pouvoir vous emmener le plus rapidement chez le vétérinaire, pour qu'on puisse agir au plus vite et vous sauver.

Quand je suis arrivée chez le vétérinaire tu étais déjà monté dans la salle de soins avec Attila. J’ai vu l’état de la salle de consultation et j’ai craqué de cela ne laissait rien augurer de bon…

Le vétérinaire a été très à l’écoute, très gentil et compréhensif devant ma souffrance, qui n’était rien par rapport à la tienne mon pauvre cœur d’amour.

Le samedi tu n’allais pas mieux, tu avais revomis après avoir bu quelques gouttes d’eau et tu avais refait des consultions. Je suis venue te voir, c’était dur de te voir dans cet état mais je ne voulais pas te laisser seul, si seulement j’avais pu rester avec toi à chaque minute je serai encore à tes côtés. J'ai demandé au vétérinaire si je pouvais aider, nettoyer ton box, t'aider à te lever, mais je n'ai pas eu le droit. J'essayer de trouver tous les subterfuges pour être avec toi le plus longtemps possible...

Dimanche le vétérinaire a appelé, je n'ai pas eu le droit de passer te voir, la clinique étant fermée, c'était dur de t'imaginer seul, de ne pas pouvoir être avec toi. Il m’a dit que tu n’allais pas mieux, que le lendemain il faudrait prendre une décision… j’étais effondrée… tu ne pouvais pas me quitter, pas si tôt, pas si vite, pas comme ça !!!

Mais Lundi, tu m’as offert un miracle, quand je suis venue te voir, le vétérinaire t’avais sorti dehors, bien qu’aveugle et handicapé tu marchais, tu entendais ma voix, tu venais vers moi quand je t’appelais…. Une bouffée d’espoir s’est insinuée en moi, tu allais vivre, tu allais guérir et revenir à la maison !!!! tu étais tellement fort mon amour, mon amour pour toi aussi était tellement fort que je me disais qu’il pourrait te sauver.

J’ai continué à prier pour toi, j’ai missionné tout le monde autour de moi pour prier pour toi, nos amis, notre famille, des cierges ont été brulés, des prières et des pensées positives ont été envoyées, j’ai promis à Dieu d’arrêter de fumer, de ne plus boire de Coca, les 2 choses qui me seraient le plus difficile, je les sacrifiais pour toi, pour te sauver.

Je voulais tellement croire en nous, en notre vie en commun pendant encore des années et des années et des années.

Seulement, mardi 5 septembre, quand j’ai appelé le vétérinaire son diagnostic était de nouveau très noir. Tu n’avais toujours pas mangé, tu ne t’étais pas levé, tu avais des escarres plein les pattes, ton état, loin de s’améliorer s’empirait au contraire… l’amélioration de la veille n’avait pas durée…

Je suis venue te voir, j’espérais qu’avec moi, tu voudrais bien manger, je t’ai apporté des petits lardons comme tu les aimais tant… tu n’y as pas goûté… j’ai insisté, mais rien à faire, tu n’avais pas la force ni le goût à manger.

Le vétérinaire est venu me voir, il m’a expliqué qu’il était préférable de te laisser « partir » que ton corps était trop atteint pour espérer une guérison… je lui ai demandé à rester avec toi quelques instants, seuls tous les deux.

J'ai téléphoné à Papa, j'avais besoin de son soutien, de savoir que nous allions prendre la "bonne" décision. Papa était triste mais il ne voulais pas te laisser souffrir inutilement.

Je t’ai parlé longtemps, proche de ton oreille je te disais combien je t’aimais, combien j’avais besoin de toi, combien il fallait que te rentres à la maison, qu’il fallait te battre, qu’il fallait vivre. Ta tête dans mes bras, ton œil ouvert mais désormais aveugle j’ignore si tu comprenais ce que je te disais, mais je voulais que tu saches combien je t’aimais, je voulais être avec toi encore et encore…

Le vétérinaire est revenu pour me dire qu’il fallait maintenant te laisser partir, pour ton bien… j’avais ta tête dans mes bras, je n’ai eu de cesse de t’embrasser encore et encore, de te demander pardon pour ce que je te faisais, mes larmes innodaient ton joli pelage… il a fait la piqûre qui t’a endormi, une anesthésie pour que tu ne souffres pas de l’injection qui allait te libérer de ta souffrance et me laissée seule et abandonnée. Tu t’es endormi dans mes bras, ton œil braqué sur moi, à la seconde injection j’ai senti ton dernier souffle te quitter , j'étais seule et effondrée, je n'arrivais pas à consevoir la vie sans toi.

C’est tellement dur d’avoir pris cette décision, j’ai du te tuer mon Boomer, j’ai du mettre un terme à ta vie et j’ai du mal à me dire que j’ai bien fait, qu’il n’y avait pas d’autre solution, pas d’alternative, pas de guérison possible.

Je regrette encore de ne pas t’avoir laissé plus de temps, je regrette encore de ne pas t’avoir laissé une chance de remonter la pente, de vivre. Je pleure sur cette décision qui a fait que tu n’es plus à mes côtés. Je pleure bien qu’au fond de moi je « sache » que le vétérinaire ne m’aurait pas guidé vers cette « solution » si tu avais pu survivre et revenir à la maison.

Qu’il est dur d’avoir du prendre cette décision, qu’il est dur d’avoir précipité ta mort.

J’espère mon Boomer, je prie mon amour, pour que ce que j’ai fait ait été la meilleure chose pour toi, car sache que pour moi la meilleure chose aurait été de te garder encore des décennies.

Je t’aime tant, tu me manques tant, je ne peux pas comprendre qu’on puisse faire du mal comme cela, sans raison, sans motifs.

Pourquoi toi ?!!!! Pourquoi nous ? pourquoi toute cette haine, ce manque d’amour, d’humanité et de respect de la vie ?!!!

Qu’il est dur de vivre sans toi, qu’il est dur de vivre dans ce monde absurde ou l’on ne peut pas se dire « seuls les méchants sont punis ».

J’ai toujours fait en sorte d’être quelqu’un de juste, de droit, de respectueux. J’ai toujours eu pour valeurs d’aider mon prochain et les plus faibles, c’est même grâce à cela que tu as fait partie de notre famille.

Tu aurais été un beau chien, en pleine forme, en somme : facilement adoptable, je ne me serais pas arrêtée sur toi, certaine que tu aurais pu trouver un foyer.

Mais tu étais « mon sauvetage », pas un rachat d’une bêtise, pas une tentative d’avoir un meilleur Karma, non, tu étais « mes valeurs », je voulais te sauver, t’offrir un foyer aimant ou tu aurais pu vivre de belles et longues années.

La vie, mais surtout un monstre, en ont décidé autrement, ne te laissant avec moi qu’à peine 1 an ½. Tu étais si jeune, tu méritais tant de vivre encore, à peine plus de 2 ans ½… quelle honte de t’avoir privé de ta vie à nos cotés.

Maintenant tu es parti, comme dirait Lisa « pas loin de toi, juste de l’autre coté », mais cet autre coté me semble inatteignable.

Je t’aime mon Boomer, je t’aime à la folie et pour la vie, j’aurai voulu tout sacrifier pour toi, ça n’a pas suffit à te sauver. Je t’aime mon Boomer, mon Booboo, mon Bébé, mon Cœur, mon Gros Loup, mon Lion d’amour, mon Ami, je t’aime.

Tu es et resteras à jamais dans mon cœur et dans ma tête.

JE T’AIME MON BOOMER
Ta maman



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7/10/2015

Mon bébé, mon Booboo, mon ami
voilà plus d'un an que tu m'as été volé, papa est venu te rejoindre il y a quelques mois.
je veux que tu saches que je t'aime à l'infini, qu'il ne se passe pas une journée sans que je pense à toi.
la vie continue malgré votre absence à tous les deux, mais elle n'aura plus jamais le même goût.
Je vous aime, je me battrai pour votre mémoire et pour que vous soyez fiers de moi.
Je continue le combat et j'attends désormais de pouvoir aider Cata et Roméo qui viendront très bientôt passer quelques temps à la maison, le temps de leur donner la chance de trouver une famille
J'espère que de la haut vous êtes fiers de moi, vous me manquez tant.
je vous aime à tout jamais
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22/10/2015

et même si je ne viens plus vous voir ici aussi souvent, votre souvenir est dans mon cœur à chaque instant.
vous le savez de la haut, je vous aime à tout jamais.
Boomer, la peine et la colère ne s'effacent pas, tu es mon chien parfait, mon compagnon idéal, je t'aime plus que tout tu le sais et je hais l'immonde monstre qui me prive de toi.
Mon bébé, ma peine est intacte, il ne se passe pas un jour sans que je pense à toi et à tout ce que nous aurions du partager.
Mon petit Papa, je suis venue "te" voir, cette tombe n'est pas ta dernière demeure, ta dernière demeure c'est mon cœur et mon ame. Tu me manques tant Papa, que j'ai envie, besoin de hurler ce PAPA que je ne pourrai plus jamais te dire
JE T'AIME
je vous aime, tout simplement, plus fort que tout.
vous me manquez tant
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3/11/2015

le temps passe, mais il ne me fait pas oublier combien je vous aime et combien vous me manquez.

Papa, j'ai tellement besoin de toi, de ta présence rassurante, de tes conseils de tes mains si fortes. Je t'aime Papa.

Booboo, mon cœur, ta couchette est toujours là, bientôt elle servira à nouveau à d'autres toutous qui ont tant besoin d'amour. Mais, aucun ne pourra te remplacer dans mon cœur, tu es MON GROS CHIEN pour la vie, je t'aime mon bébé.

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16/11/2015

Mon Booboo, Papa,
vendredi l'horreur s'est produite
encore un attentat qui a fait des dizaines de victimes
je me dis que vous êtes certainement en paix la haut
mais votre absence me pèse sans cesse
j'ai une profonde peine pour les familles des victimes, puis-je comparer ? je me le permets. la douleur est immense
j'ai mal à ma démocratie, mal à mon humanité.
je pense à vous sans cesse, je vous aime
accueillez toutes ces personnes innocentes et aimez les comme nous nous aimons.
JE VOUS AIME
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27/11/2015

Bonjour mon Boomer, Bonjour Papa.

Quelques lignes pour vous dire que votre présence dans mon cœur ne faiblie pas.

Je vous aime tant et vous me manquez à chaque instant.

Malgré tout la vie reprend son cours et après ces terribles événements il faut continuer à vivre avec la douleur et l'incompréhension.

A la maison il y a du nouveau, Cata et Roméo sont arrivés ! ils me redonnent un peu le sourire que j'avais perdu avec toi mon Booboo et bien souvent il m'arrive d'appeler Roméo : Booboo... il faut dire qu'il est blond, comme toi et que ta présence dans mon cœur et ma tête me font souvent riper.

Je les aime déjà même s'ils ne sont là que temporairement, vous le savez, je suis leur famille d'accueil, je suis là pour les aimer mais savoir aussi les laisser trouver leur propre famille définitive pour pouvoir à nouveau accueillir un loulou à sauver d'un refuge.

Ils ne combleront jamais le manque et le vide laisser par toi mon Boomer, mais je peux me réjouir de leur venir en aide et de leur offrir mon amour.

Papa, tu me manques tant toi aussi, je pense à tout ce que nous aurions du faire ensemble, tu m'aurais dit "je te connais, tu vas les garder" tu serais venu m'aider à aménager le studio, tu aurais rigolé quand on aurait voulu me prendre les loulous et j'aurais tant aimé ça.

Je t'aime papa, tu me manques
je t'aime mon bébé,
Bisous mes anges

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10/12/2015

Noel approche et vous me manquez tant... est ce possible pour moi de faire la fête sans vous ? vous êtes tellement dans mon cœur et dans ma tête, comment imaginer être heureuse alors que vous n'êtes pas là ?
Je vous aime tant, vous me manquez tant.
Mon Boomer, si tu savais le nombre de fois ou voulant appeler Roméo, ton nom sort de ma bouche naturellement. Tu es partout et mon cœur crie ton nom, tu me manques tant mon bébé.

Cata et Roméo comblent un petit peu ton absence, mais rien jamais ne saura ou pourra me faire t'oublier, tu es mon amour, mon ami, mon compagnon, je t'aime !

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16/12/2015

Bonjour Mon Bébé, Bonjour mon Papa
je pense à vous très fort, vous me manquez toujours autant
le temps passe mais n'efface pas votre souvenir
je vous aime tant
vous me manquez tant
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23/12/2015

bientôt noël... ce premier et maudit noël sans toi Papa, ce second sans toi mon booboo

je n'ai jamais aimé cette période, elle m'a toujours rappelé qu'il me manquait quelqu'un près de moi.

je me sans si vide sans vous, toutes ces lumières ne compenseront pas le fait que votre flamme est éteinte, que vous n'êtes plus avec moi, à coté de moi

vous me manquez tant
je vous aime tant
maman, ton trésor
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28/12/2015

Mes amours,
ça y est Noêl est passé, sans vous ... vous me manquez à chaque instant.
Mon Boomer, mes deux nouveaux bébés n'arrivent pas à me faire passer ton souvenir. Tu es le meilleur des amis que je n'ai jamais eu. Tout en toi n'était que perfection, je n'arrive plus à me souvenir de mauvais moments en ta compagnie. C'est presque drôle car je sais que nous avons vécu des moments difficiles à ton arrivée, mais ces moments me manquent aussi. Les loulous me font faire des nœuds à la tête et je suis parfois désespérée car quand je pense à toi je me souviens juste du bonheur que j'avais à t'avoir auprès de moi. Aujourd'hui je dois lutter pour ne pas les comparer à toi mon cœur, ils sont pourtant adorables malgré les bêtises mais ça n'atteindra jamais ton niveau, tu es tellement parfait mon ange ! tu me manques, j'ai tellement envie que tu viennes me chercher et prendre ma main dans ta gueule, j'ai tellement envie que tu me parles le soir comme tu le faisais. tu me manques tant.
Papa, je suis si triste de ne pas t'avoir donné toute l'affection et l'amour que j'ai pour toi, de ne pas avoir pris le temps. Je te croyais éternel... j'ai laissé la vie me happer et je n'ai pas su te donner tout ce que tu méritais. Je t'aime mon papa, je t'aime tant.

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20/01/2016
je t'aime mon amour
pas un jour ne passe sans que ton nom sorte de ma bouche
tu me manques toujours autant
rien ne t'efface
je t'aime
maman
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25/01/2016
oh mon bébé, si tu savais, si tu savais comme je t'aime
oh mon cœur si tendre, tes câlins me manquent tant
oh mon loup , comme mon cœur est lourd sans toi
je t'aime
maman
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8/02/2016

Bonjour mon bébé
c'est dur sans toi si tu savais
je pense tellement a ces derniers instants que mon cœur se serre sans cesse
je n'arrive pas à vivre sans toi
je n'arrive pas à accepter l'inacceptable
mon gros loup tu me manques tant
mon gros loup tu es tout pour moi
mon bébé, mon booboo j'ai tellement envie de prononcer ton nom
tellement envie de t'appeler et te voir arriver vers moi
j'ai tellement besoin de te sentir contre moi
mon bébé, je maudis ce monstre qui t'as tellement fait souffrir et me fait souffrir encore
mon bébé je t'aime tant

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23/02/2016

Pas un jour ne passe sans que vous soyez dans mes pensées
mon gros bébé, je n'ai de cesse de me souvenir de nos moments câlins, de nos ballades et de toutes tes frasques, tu me manques tant mon cœur.

Mon papa, je t'aime tant, tu me manques chaque jour, j'ai tellement besoin de toi

j'ai tellement besoin de vous...
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7/03/16

que le temps me semble long
que votre absence me pèse
quand pourrais-je vous retrouver
vous me manquez chaque jour
je vous aime tant
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15/03/16
mon amour pour vous reste entier, jamais rien ni personne ne pourra vous remplacer
ces heures sont sombres sans vous à mes cotés
je vous aime tant

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VOUS ME MANQUEZ !!!!!!!!!!!!!!!
je n'en peux plus de ne plus vous voir !
je vous aime tant
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Pas un jour ne se passe sans que vous soyez dans mon cœur et ma tête
vos noms me reviennent sans cesse
je vous aime tant
vous me manquez tant
oh mon Boomer que ton absence me pèse, celui qui t'a fait tant souffrir mérite le pire, je le souhaite de tout mon cœur, je sais que c'est mal, ne m'en veux pas. Je ne peux accepter l'inacceptable. Ton assassinat me ronge.
Je t'aime mon gros bébé, je t'aime tant
Papa, tu me manques chaque jour, tes conseils et ton oreille. Je t'aime tant mon papa
que la vie est dure sans vous

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mon Gros bébé, même si je ne viens plus aussi souvent sur ta page, tu le sais, tu es dans mon cœur chaque jour.
Je t'aime mon ange
rien jamais ne t'effacera de ma mémoire
la vie a perdu de sa saveur quand ce monstre t'a enlevé à mes bras
j'ai trouvé du réconfort dans les câlins de Cata et Roméo , mais ma mission auprès d'eux est terminée, ils sont désormais dans une bonne famille qui les adore. je m'en réjouis et vais les voir aussi souvent que possible
j'aimerais pouvoir te serrer contre mon cœur, faire encore et encore nos longues promenades, te caresser et te brosser, te voir t'allonger dans les flaques d'eau et voler son bâton et sa balle à Attila
mais tu n'es plus là, car l'humanité va mal, très mal même !!! que de drames se jouent en cette période sombre... et malgré tout, égoïstement c'est à toi que je pense le plus, touchée dans mon cœur et ma chair.
ton manque me pèse, ton amour me manque, mon amour pour toi reste entier malgré le temps qui s'écoule.
je t'aime mon ange
je t'aime tant
maman
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2 années, 2 longues années, cruelles et d'absence
voilà 2 ans, ce maudit 5 août ou je n'ai pas eu d'autre choix que de devoir te dire adieu
mon cœur en saigne encore
mon ame ne se remettra jamais d'avoir du prendre cette décision
je souffre de ne pas avoir la certitude d'avoir fait ce qu'il fallait
aurais-tu pu vivre malgré tout ce mal, te remettre de cette abomination ?
tu étais si mal, mon ange, si plein de souffrance
j'ai tellement prié durant ces 4 longs jours ou je t'ai "gardé" ou j'ai demandé au vétérinaire de tout faire pour te sauver
je n'étais pas seule, j'ai découvert comme tu étais aimé par mes amis et combien ils m'aimaient et me soutenaient.
nous avons tous prié, crié, espéré
j'y ai cru le 4 aout quand tu as marché... cette étincelle avant la fin...
mon cœur, j'ai mal , encore si mal
tu me manques tant
je t'aime
ta maman
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mon ange
je pense à toi
chaque jour tu continues de vivre dans mon cœur
je t'aime mon bébé d'amour
je t'aime et tu me manques
je t'aime tout simplement, du plus profond de mon cœur et de mon âme
la cruauté, la monstruosité qui a éteint ta flamme me ronge mais tu es toujours présent
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je t'aime mon cœur
tu me manques toujours autant
mon bébé...
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pas un jour ne se passe sans que je pense à toi
je t'aime mon bébé
tu me manques tant
je n'arrive pas à accepter l'inacceptable
je souhaite que ton assassin crève dans les souffrances atroces que tu as du subir par sa faute et sa cruauté
la vengeance n'est pas belle, seul le pardon est beau, mais excuse moi mon amour de ne pouvoir accéder à cet valeur, pas cette fois, pas comme ça
cette ordure ne mérite pas de vivre alors qu'il t'a tué. Ta mort m'a tuée, une partie de moi est partie avec toi.
Mon amour reste intact mais je ne peux combler le manque physique de toi.
je t'aime mon bébé, je t'aime tant !
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Mon amour, tu es toujours aussi présent dans mon cœur et mon esprit.
tu me manques toujours aussi fort
ta présence rassurante
tes bêtises et ta joie de vivre, tout ceci m'a été volé par un monstre
je t'aime à l'infini et au dela
je t'aime mon ange
Maman