En hommage à

ourson
1998 / 2010


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En hommage à
ourson
PEKINOIS
Il est né le:09/02/1998
Il nous a quittés le:02/02/2010

Notre cher Ourson nous a quittés cette nuit. Son départ nous laisse le cœur lourd, mais nous continuerons à chérir son souvenir pour toujours. Il s'en est allé vers un monde meilleur, rejoignant Rusti au paradis des Pékinois. Son maître et sa maîtresse sont profondément attristés par cette perte.




110 bougies

118315 Fleurs
Déposé par nina1997
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Un chien vous attendra jusqu'au bout de la nuit et il vous aimera jusqu'au bout de sa vie🐕🩷
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Déposé par mistral
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3094 messages

Déposé par myriam31 le 18/03/2016  
Tu as quitté nos ombres,
Nos souffrances et nos peines.
Tu as pris de l’avance
Au pays de la Vie.
Je fleurirai mon cœur
En souvenir de toi,
Là où tu vis en moi,
Là où je vis pour toi.
Et je vivrai deux fois…
Par Père André Marie

Déposé par colombine67 le 18/03/2016  
Tendre la main est je l’avoue, un geste simple
Encore faut-il oser le faire, mais aussi recevoir
Le message qui retrace l’instant certes, humble
Dans ce cas précis, il n’est possible de décevoir.
Au-delà du geste, il y a ce langage tendre, muet
L’autre, devient riche à l’instant de ce partage
Cette richesse acquise, il en fera alors le guet
Afin de ne pas perdre, ce cadeau en héritage.
Cette main peut aussi essuyer, une petite larme
Née, d’une divergence d’opinion, qu’importe
Comment réagir, pleurer ou évoquer un drame
Parfois l’amour se transforme, devant une porte.
Qu’il est doux de croiser un regard, qui accepte
L’homme, tel qu’il est avec ses espoirs et trésors
Il est temps de laisser tomber, tous les préceptes
Que cette nuit d’automne, éloigne le dernier port.
Cette bouche rendue mélancolique, par la vie
Est invitée à apprendre à sourire, en ce temps
Où le lendemain hélas, n’est pas encore inscrit
La seconde passe, il suffit de vivre cet instant.

Déposé par colombine67 le 17/03/2016  
J’ai appris avec le temps que peu importe ce qui peut arriver aujourd’hui, la vie continue et les choses iront mieux demain. J’ai appris qu’on peut en dire long sur une personne juste de la façon dont elle réagit devant trois situations : un jour de pluie, un sac de voyage perdu et des lumières de Noël toutes mêlées.
J’ai appris que peu importe la relation que tu as avec tes parents, tu t’ennuieras d’eux le jour où ils ne feront plus partie de ta vie.
J’ai appris la différence entre « réussir dans la vie » et « réussir sa vie ».
J’ai appris que parfois, la vie te donne une deuxième chance.
J’ai compris que tu ne peux pas toujours avancer dans la vie avec un gant de baseball dans chaque main pour essayer de tout attraper.
Tu dois pouvoir lancer la balle à ton tour de temps à autre.
J’ai appris que lorsque je décide avec mon coeur, c’est généralement une bonne décision.
J’ai appris que lorsque je souffre, je n’ai pas à le faire payer aux autres.
J’ai appris que chaque jour, il faut tendre la main à quelqu’un.
Les gens aiment bien qu’on les serre dans nos bras, ou même qu’on leur donne juste une petite tape sur l’épaule.
J’ai appris que les gens finissent par oublier ce qu’on leur a dit, mais jamais ce qu’on leur a fait

Déposé par poutounou le 16/03/2016  
Marchons, respirons, cueillons, écoutons…
*
Conseil
*
Eh bien ! mêle ta vie à la verte forêt !
Escalade la roche aux nobles altitudes.
Respire, et libre enfin des vieilles servitudes,
Fuis les regrets amers que ton cœur savourait.
Dès l’heure éblouissante où le matin paraît,
Marche au hasard ; gravis les sentiers les plus rudes.
Va devant toi, baisé par l’air des solitudes,
Comme une biche en pleurs qu’on effaroucherait.
Cueille la fleur agreste au bord du précipice.
Regarde l’antre affreux que le lierre tapisse
Et le vol des oiseaux dans les chênes touffus.
Marche et prête l’oreille en tes sauvages courses ;
Car tout le bois frémit, plein de rythmes confus,
Et la Muse aux beaux yeux chante dans l’eau des sources.
*
Juillet 1842.
Théodore de Banville, Les Cariatides (1842)

Déposé par colombine67 le 16/03/2016  
Si chaque personne offrait une rose d’amitié :
En écoutant l’autre…
En ouvrant son cœur aux blessés de la vie…
En partageant son avoir…
En souriant aux visages ravagés…
En tendant la main aux désemparés…
En offrant son bras aux chancelants…
En compatissant avec le souffrant…
En chantant avec le comblé…
En écrivant à l’oublié…
En téléphonant à celui qui attend…
En aimant le mal aimé…
En réchauffant le sans-abri…
En prenant dans ses bras un enfant…
En embrassant un vieillard…
En essuyant une larme à l’incompris…
En respectant le marginal…
En semant la joie aux désespérés…
En parlant à l’insultant…
Alors, tout doucement la paix descendrait
Et la terre deviendrait
Un parterre de pétales d’amour.
« Nous avons une place pour chacun d’entre-nous.
Laisser aller son cœur, c’est spécial.
Il faut se réaliser à travers les réalités de la vie ».
Et ça serait de belles questions pour plus tard.

Déposé par colombine67 le 15/03/2016  
Suis-je célèbre maintenant ? Je suis née aujourd'hui, une des dix. Mon papa était très célèbre. J'ai beaucoup de demi-frères et soeurs. Ma maman aussi était très célèbre. Quand elle est devenue célèbre, elle n'a eu que des chiots. Fini les mains caressantes, fini les excursions ... seulement encore plus de chiots. Elle est toujours triste quand ils la quittent. Aujourd'hui, j'ai quitté ma maison. Je ne voulais pas partir, donc je me suis cachée derrière ma maman et mes trois compagnons de nichée qui restaient. Ils disaient qu'un certain jour moi aussi je deviendrais célèbre. Je me demande, est-ce que célèbre veut dire la même chose que plaisir et bon temps ? Donc tu me soulevais et m'emportais, bien que tu étais consciente que je me cachais pour toi. Je crois que tu ne m'aimais pas non plus. Ma nouvelle demeure est très éloignée. J'ai très peur. Mon petit coeur me disait "sois courageuse" ... comme mes ancêtres. Est-ce qu'il y avait une bonne maison ? J'ai faim, je ne peux pas trop manger, c'est mauvais pour mon ossature. Je ne peux pas mordre ni grogner quand les enfants me tourmentent. Je cours seule et m'imagine que je cours dans une prairie verte avec des papillons, des oiseaux et des coccinelles. Je ne comprends pas pourquoi ils me battent. Je suis tranquille, mais l'homme frappe et crie des gros mots. La dame ne me donne pas la bonne nourriture comme chez ma maman. Elle jette simplement de la nourriture sèche par terre, se retourne et disparaît avant que j'ai le temps pour une caresse ou un autre contact. Parfois ma nourriture sent mauvais, mais je la mange quand même. Aujourd'hui, j'ai mis au monde dix chiots. Ils sont tellement jolis. Suis-je célèbre maintenant ? Je voudrais bien jouer avec eux, mais ils sont tellement petits. Je suis encore tellement jeune et folâtre que c'est difficile pour moi de seulement soigner mes petits et rien d'autre. Ils pleurent maintenant. J'ai tellement faim. Je souhaite que quelqu'un me jette quelque nourriture. J'ai également très soif. Maintenant je n'ai plus que huit chiots. Deux sont décédés pendant la nuit, je ne parvenais plus à les réchauffer. Nous sommes tous très faibles. Aujourd'hui on est venu nous chercher, c'était trop de travail pour nous nourrir. Quelqu'un m'a enlevé mes chiots. Ils pleuraient. Ils ont été mis dans un camion avec des cages. Mes chiots sont-ils célèbres maintenant ? Je l'espère car ils me manquent. Ils sont partis. Ca sent l'urine ici, la peur et la maladie. Pourquoi suis-je ici ? J'étais belle comme mes aïeux. Maintenant, je suis affamée, sale, j'ai du mal et on ne veut pas de moi. Ce qui est encore le pire de tout, c'est de ne pas être désirée. Personne ne venait, bien que j'essayais d'être sage et agréable. Aujourd'hui, quelqu'un est venu. Ils m'ont noué une corde autour du cou et m'ont emmenée dans une chambre où tout était propre avec une table brillante. Quelqu'un me prenait et me caressait. Ca me faisait tellement de bien ! Je devenais fatiguée et j'ai regardé la dernière personne qui se souciait de moi quand je m'endormais. Maintenant je suis célèbre. Aujourd'hui, il y avait quelqu'un qui m'aimait ! Je ne me souviens plus beaucoup de l'endroit où je suis née. C'était très petit et sombre et les gens ne jouaient jamais avec nous. Je me souviens de maman et de son doux pelage, mais elle était souvent malade et très maigre. Elle n'avait presque pas de lait pour moi et mes frères et soeurs. Je me souviens que beaucoup d'eux décédaient, ils me manquent tellement. Je me rappelle bien le jour où j'ai été enlevée de chez ma maman. J'étais tellement triste et effrayée, mes dents de lait commencaient à percer et j'aurais dû rester chez ma maman. Mais elle était si malade et les gens continuaient à dire qu'ils n'avaient pas d'argent et qu'ils en avaient marre de la "pagaille" que faisaient ma soeur et moi. Donc nous étions mises en cage et transportées ailleurs. Seulement nous deux. Nous nous sommes serrées tout près l'une de l'autre et avions peur, mais encore une fois, pas de mains humaines pour nous caresser et nous aimer. Tant d'endroits et de bruits différents ! Nous sommes dans un magasin où il y a beaucoup d'autres animaux. Certains hurlent, d'autres gémissent ! Ma soeur et moi sommes enfermées dans une petite cage, j'entends d'autres chiots. Je vois des gens qui me regardent. J'adore les petits enfants, ils me semblent tellement gentils et amusants. Comme ils aimeraient jouer avec moi ! Toute la journée, nous restons enfermées dans notre cage étroite, parfois des gens frappent sur la fenêtre et nous effrayent, parfois on nous sort pour être présentées aux gens. Certains sont gentils, d'autres nous font mal. Nous entendons toujours : "Oh, comme elles sont gentilles ! ", "J'en veux une !", mais on ne nous emmène pas. Ma petite soeur est décédée cette nuit quand il faisait noir dans le magasin. J'ai mis ma tête sur son doux pelage et je sentais la vie s'échapper de son petit corps tout mince. J'avais entendu dire qu'elle était malade et que je pouvais être vendue avec "réduction" pour que je sorte vite du magasin. Je crois que mes gémissements étaient les seuls signes de deuil quand son petit corps a été enlevé de la cage pour être jeté. Aujourd'hui une famille est venue et ils m'ont achetée ! Quel jour heureux ! C'est une famille gentille, ils me voulaient vraiment ! Ils ont acheté un plat et de la nourriture et la petite fille me serrait dans les bras. Je l'aime tellement. Papa et maman disent que je suis un chiot adorable ! Ils m'ont appelé "Ange". J'ai donné des petits bécots à mes nouveaux amis. La famille me soigne bien, ils sont gentils, doux et tendres. Ils m'apprennent doucement et avec beaucoup de patience ce que je peux faire et ce qui est défendu, ils me donnent de la nourriture adorable et beaucoup d'amour ! La seule chose que je veux c'est leur faire plaisir. J'aime beaucoup la petite fille et j'adore jouer et courir avec elle. Aujourd'hui, nous sommes allés chez le vétérinaire. C'est un endroit peu agréable et j'avais très peur. On m'a donné quelques piqûres, mais ma meilleure copine, la petite fille, me tenait si tendrement et m'assurait que tout allait bien, donc je me suis calmée. Le vétérinaire a dû dire des mots tristes à ma famille car ils avaient le regard sombre. J'entendais le vétérinaire dire des choses comme ... "il y a un problème au coeur" et ... "c'est à cause des gens qui élèvent sans réfléchir et sans se soucier de la santé des animaux". Je ne sais pas ce que cela signifie mais ça m'attriste de voir ma famille tellement malheureuse, mais elle continue malgré cela à m'aimer, et je dois dire que cela est réciproque. J'ai six mois maintenant, d'autres chiots de mon âge sont très robustes et brusques, j'aimerais être comme eux. Mais il y a toujours cette douleur qui me fait mal pour courir et jouer avec ma petite fille bien aimée. J'ai des difficultés à respirer. Je fais de mon mieux pour être un chiot bien fort mais c'est difficile. Ca me fait mal au coeur de voir ma petite fille tellement triste et d'entendre dire papa et maman ... "peut-être que son heure est arrivée ?". J'ai déjà été plusieurs fois chez le vétérinaire et les nouvelles ne sont jamais bonnes. Ils parlent toujours de malformations congénitales. Moi, je ne veux que sentir les rayons du soleil, courir, jouer et faire des câlins a ma famille. La nuit passée était la plus dure, la douleur devient de plus en plus atroce. Je sais à peine me lever pour boire. On m'a mise dans la voiture ... pour la dernière fois. Tout le monde a du chagrin et je ne comprends pas pourquoi. Ai-je été désobéissante ? J'essaie d'être sage et gentille. Qu'ai-je fait de mal ? Oh, si seulement cette douleur pouvait disparaître ! Si je pouvais faire disparaître les larmes de la petite fille. J'essaie de m'étendre pour lécher sa petite main, mais je ne peux que hurler de douleur. La table chez le vétérinaire est froide. J'ai tellement peur. Les gens me font tous des caresses, ils pleurent et je sens leurs larmes sur mon doux pelage. Je sens leur amour et leur chagrin. Je lèche doucement leurs mains, même le vétérinaire ne semble pas être désagréable aujourd'hui. Il est tendre et je sens un soulagement de mes douleurs. La petite fille me tient doucement et je la remercie pour tout son amour. Je sens une petite piqûre dans ma patte avant, la douleur s'en va et je sens la paix qui m'envahit. Je lèche doucement ces mains. Ma vue devient trouble et comme dans un rêve, je vois ma maman et mes frères et soeurs, dans le lointain, dans un espace vert. Ils me disent que là, il n'y a pas de douleur, seulement paix et bonheur. Je dis adieu à ma famille à la seule façon que je connais, en agitant légèrement ma queue et en poussant doucement avec mon nez. J'avais espéré de pouvoir passer avec eux beaucoup, beaucoup d'années, mais le sort en a décidé autrement. "Voyez vous", disait le vétérinaire, "les chiots vendus dans les animaleries ne viennent pas d'éleveurs ayant le sens des responsabilités". La douleur s'est arrêtée maintenant et je sais que ça prendra des années avant que je ne revoie ma famille bien aimée. Si suelement, cela avait été autrement ...

Déposé par myriam31 le 14/03/2016  
Il y a quelque chose de plus fort que la mort,
c'est la présence des absents dans la mémoire des vivants
Milles et tendres pensées pour toi et ta famille

Déposé par choupinou le 14/03/2016  
c'est ce que nous faisons tous pour nos petits coeurs d'amour,ils nous manquent tellement
On écrit sur nos murs le nom de ceux qu'on aime
Des messages pour les jours à venir
On écrit sur nos murs à l’encre de nos veines
On dessine tout ce que l'on voudrait leur dire
Partout autour de nous,
Y'a des signes d'espoir dans leur regard
Donnons leurs écrits car dans la nuit
Tout s'efface même leur trace
On écrit sur le clavier le nom de ceux qu'on aime
Des messages pour les jours à venir
On écrit sur nos murs à l’encre de nos veines
On dessine tout ce que l'on voudrait leur dire
On écrit sur nos clavier la force de nos rêves
Nos espoirs en forme de graffiti
On écrit sur nos murs pour que l'amour se lève
Un beau jour sur ce monde endormi
Des mots seulement gravés pour ne pas oublier pour tout changer
Mélangeons demain dans un refrain nos visages, vos gueules,
l'amour de nos câlins et se dire,on ne peux rien oublier,
nos souvenirs du bonheur passé dans nos coeurs égueules
On écrit sur nos murs le nom de ceux qu'on aime
Des messages pour les jours à venir
On écrit sur nos murs à l 'encre de nos veines
On dessine tout ce que l'on voudrait leur dire
On écrit sur nos murs la force de nos rêves
Nos espoirs en forme de graffiti
On écrit sur nos murs pour que l'amour se lève
Un beau jour sur leur monde endormi
On écrit sur nos claviers le nom de ceux qu'on aime
Des messages pour les jours à venir
On écrit sur nos murs à l 'encre de nos veines
On dessine tout ce que l'on voudrait leur dire
On écrit sur nos murs le nom de ceux qu'on aime
Des messages pour les jours à venir
On écrit sur nos murs à l’encre de nos veines
On dessine tout ce que l'on voudrait leur dire
On écrit sur les claviers la force de nos rêves
Nos espoirs en forme de graffiti
On écrit sur nos murs pour que l'amour se lève
Un beau jour sur leur monde endormi
Un beau jour sur le monde endormi
Un beau jour dans leur beau paradis
chanson de Denis Roussos que j'ai quelque peu changé pour convenir a nos amours canins,

Déposé par colombine67 le 14/03/2016  
Un homme âgé dit à son petit-fils, venu le voir très en colère contre un ami qui s'était montré injuste envers lui :
"Laisse-moi te raconter une histoire... Il m'arrive aussi, parfois, de ressentir de la haine contre ceux qui se conduisent mal et n'en éprouvent aucun regret. Mais la haine t'épuise, et ne blesse pas ton ennemi. C'est comme avaler du poison et désirer que ton ennemi en meure. J'ai souvent combattu ces sentiments"
Il continua :" C'est comme si j'avais deux loups à l'intérieur de moi; le premier est bon et ne me fait aucun tort. Il vit en harmonie avec tout ce qui l'entoure et ne s'offense pas lorsqu'il n'y a pas lieu de s'offenser. Il combat uniquement lorsque c'est juste de le faire, et il le fait de manière juste. Mais l'autre loup, ahhhh...! Il est plein de colère. La plus petite chose le précipite dans des accès de rage.Il se bat contre n'importe qui, tout le temps, sans raison. Il n'est pas capable de penser parce que sa colère et sa haine sont immenses. Il est désespérément en colère, et pourtant sa colère ne change rien. Il est parfois si difficile de vivre avec ces deux loups à l'intérieur de moi, parce que tous deux veulent dominer mon esprit."
Le garçon regarda attentivement son grand-père et demanda : " Lequel des deux loups l'emporte, grand-père ?"
-"Celui que je nourris."

Déposé par colombine67 le 13/03/2016  
Hommage au chien derrière ses barreaux
Le vent souffle en raffales à travers les barreaux,
Au fond du box miteux, un vieux chien se tient droit,
L’hiver il connait ça, il ne craint pas le froid,
et même s’il se sent faible, il ne dit pas un mot.
Cinq ans déjà qu’il est au fond de cette cage,
Il a même oublié au juste, quel est son âge,
Ses douleurs lui rappellent qu’il n’est plus un jeune chien,
Mais il se tient bien droit, il ne lâchera rien.
Ses visiteurs qui passent, il faut bien les charmer…
Alors il se tient droit, il oublie son arthrose,
Il espère qu’on lui trouve un petit quelque chose,
Il espère tant et tant, et depuis tant d’années.
La chaleur d’un foyer, bien sûr qu’il l’a connu.
L’amour, il l’a donné bien plus qu’il n’en a eu,
Il les a protégés, aimés, défendus et veillés,
Il n’a eu en retour que cet ultime rejet.
C’était une matinée chaude et ensoleillée.
Son maître l’a largué ici et a rempli deux, trois papiers.
Lui, il n’a rien compris, mais en bon chien, il était sage.
Et pour faire taire sa peur il a rassemblé son courage.
Les aboiements des autres, où il sent de la peur,
Ces sacs poubelles qui passent, tous ces corps sans chaleur,
Ce bruit, ce froid, ces doutes, et tous ces visiteurs,
Cet éternel ballet dans ce déluge d’odeurs.
Il a bombé le torse, il a fait les yeux doux,
Il n’a pas aboyé, pour ne pas leur faire peur,
Et pourtant pas un seul n’a su lire dans son coeur
Le refuge ferme ses portes, tout est noir, tout est flou.
Alors le vieux chien se couche dans son panier.
Ce n’est pas grave, pense-t-il, demain, j’y arriverai.
Mais ce qu’il ne sait pas, c’est que demain, en matinée,
Il a été prévu qu’il serait euthanasié.

Déposé par poutounou le 12/03/2016  
Oui, faisons une pause....
*
L'INSTANT D'UNE PAUSE
*
L’instant d'une pause
Le bonheur est fait de rien
Et de mille petites choses
De se lever le matin
Sans plus en chercher la cause
De savoir que le chemin
Parfois peut-être morose
Et dans un sourire malin
Être prêt pour une pause
Il y a des jours où tout est gris
Et où l'on ne voudrait rien voir
Et puis, il y a notre coeur aussi
Qui nous conduit jusqu'au soir
Il y a cette solitude intense
Qui existe et qui est là
C'est dans ces moments je pense
Que je peux rêver de toi
À chercher, à tout comprendre
Je me demande si je verrais
Un jour les fleurs en décembre
Et la neige en été
Sur le site de mon coeur
Il y a tant de va-et-vient
Et j'en ressens la douleur
De la nuit jusqu'au matin
Le bonheur est fait de rien
Et de mille petites choses
D'avoir ta patte dans ma main
L'instant seulement d'une pause.
*
(Auteur inconnu)

Déposé par colombine67 le 12/03/2016  
La prochaine vedette de Hollywood ne ressemblera sûrement pas à Bullet. Golden Retriever de 15 ans au museau grisonnant, Bullet se déplace avec l'agilité d'une tortue, souffre du coeur et est rongé par un cancer.
Bref : un candidat idéal à l'euthanasie. Sauf qu'il appartient à Pam Sica et que, pour sa maîtresse, l'amitié n'a pas de prix.
En avril 2000, Pam apprend que son cher Bullet a une tumeur au foie grosse comme un pois. Vu l'âge du patient, le Dr. Cangro déconseille l'opération.
La nouvelle bouleverse Pam. Elle a déjà perdu des animaux de compagnie mais jamais un ami comme Bullet. Il avait à peine 7 semaines quand elle l'a trouvé dans un panier devant sa porte, décoré d'un ruban rouge et d'une petite carte avec ces mot : "Veux-tu être ma maman ?"
Pam n'a jamais eu d'enfant malgré son désir et ses animaux sont devenus comme ses petits.
En août, la tumeur a tellement grossi que le Dr Laurence Cangro ne peut plus temporiser. Il faudrait l'opérer car une hémorragie interne pourrait être fatale. Mais pas un maître sur 10 débourserait cette dépense pour un animal aussi âgé.
Pam et Troy sont l'exception. Ils déboursent près de $5000 pour donner une chance à l'animal.
Bullet ressort vivant de la salle d'opération. Mieux, il a faim en se réveillant et, au bout de quelques jours seulement, il est de retour à la maison.
Un an plus tard, Pam a une nouvelle raison de croire aux miracles. Pendant des vacances à Walt Disney World, elle découvre qu'elle est enceinte. Le 10 avril 2002, Troy Joseph Sica vient au monde. Mais il faut préparer Bullet à cette révolution. Pam remet donc à son mari une couverture dans laquelle le petit est emmailloté, avec pour mission de la faire renifler à Bullet pour qu'il s'habitue à cette odeur. Son mari place donc cette couverture dans le panier qui sert de lit à Bullet.
De retour à la maison, les dernières inquiétudes de Pam s'évaporent : le chien s'attache au bébé instantanément.
Il est environ 5 heures du matin, ce 1er mai 2002. Troy dort tranquillement entre les oreillers du lit de ses parents pendant que son père prend sa douche et que sa mère lui réchauffe un biberon. Tout à coup, Bullet surgit dans la cuisine, aboyant et sautillant comme un fou. Il essaie d'entraîner Pam ver la chambre.
Mais Pam ne se presse pas à répondre à Bullet. Elle se dirige vers la salle de bain pour parler à son mari mais Bullet s'affole, bondit comme jamais elle ne l'a vu faire depuis des années et essaie frénétiquement de la diriger vers la chambre.
Pam se résigne à le suivre, du pas pesant de la nouvelle maman trop tôt levée. Le bébé est bien là où elle l'a déposé, mais il a la peau d'un bleu presque fluorescent et les membres mous comme ceux d'une poupée de son. Seul un gargouillement révèle qu'il est toujours vivant.
Troy sort en trombe, lui donne des tapes dans le dos. Pam appelle le 911. L'alerte est lancée : détresse respiratoire extrême. Puis Damon Alberts, un technicien ambulancier qui habite tout près, se présente à son tour, suivi de ses collègues. La tête du bébé est trop petite pour le masque à oxygène : les ambulanciers dirigent tant bien que mal le flux de gaz sous pression vers son nez et sa bouche. Une minute après le début de la manoeuvre, le visage commence à rosir : les poumons se remettent en marche mais le bébé n'est pas encore tiré d'affaire.
Emmené en ambulance à l'hôpital, il doit être réanimé une deuxième fois. Puis on le transfère au service pédiatrique et le diagnostic tombe : pneumonie. Il passe 4 jours sous ventilateur et reçoit des antibiotiques sous perfusion pendant 2 semaines.
"Il mènera une vie normal et restera en parfaite santé tant qu'il mettra sa ceinture et évitera de conduire après avoir bu", plaisante le Dr Thomas Biancaniello, directeur du service de pédiatrie.
Si Bullet n'avait pas tant insisté, le pronostic n'aurait pas été aussi rose. "Chez le nouveau-né, les séquelles d'une pneumonie sont souvent très graves, explique le Dr Marc Salzberg,. Le cerveau se développe jusqu'à l'âge de deux ans ; la privation d'oxygène l'affecte davantage durant cette période-là. Au bout de quelques minutes, l'anoxie provoque des lésions cérébrales ou même la mort".
Comment Bullet a-t-il pu comprendre que le petit Troy étant en danger ?
"Les chiens sont très sensible au langage corporel, note le DrMarty Becker, vétérinaire. Ils passent des heures à observer nos moindres mouvements, à écouter le rythme de notre respiration. J'imagine très bien celui-ci remarquer une immobilité inhabituelle, une absence de respiration, pressentir un danger et foncer vers le chef de sa meute, en l'occurrence, Pam, pour donner l'alerte."
Le vrai miracle, dans cette histoire, ce n'est donc pas que Bullet ait deviné la détresse du nouveau-né étendu sur le lit. C'est que Pam ait accepté de prolonger la vie de ce vieillard deux ans auparavant.
"Je lui ai donné un supplément de vie, et il m'a rendu une vie entière" dit-elle simplement.
Histoire vécue

Déposé par colombine67 le 11/03/2016  
Écouter est, peut-être, le plus beau cadeau que nous puissions faire à quelqu'un.
C'est lui dire, non pas avec des mots, mais avec ses yeux, son visage, son sourire et tout son corps : tu es important pour moi, tu es intéressant, je suis heureux que tu sois là, tu vas m'enrichir car tu es ce que je ne suis pas . . . Pas étonnant si la meilleure façon pour une personne de se révéler à elle-même, c’est d’être écoutée par une autre !
Écouter, c'est commencer par se taire. . .
Avez-vous remarqué combien les « dialogues » sont remplis d'expressions de ce genre : « C'est comme moi quand. . . », ou bien « ça me rappelle ce qui m'est arrivé. . . ». Bien souvent, ce que l'autre dit n'est qu'une occasion de parler de soi.
Écouter, c'est commencer par arrêter son petit cinéma intérieur, son monologue portatif, pour se laisser habiter par l'autre. C'est accepter que l'autre entre en nous-même comme il entrerait dans notre maison et s'y installerait un instant, en prenant ses aises.
Écouter, c'est vraiment laisser tomber ce qui nous occupe pour donner tout son temps à l'autre. C’est comme une promenade avec un ami : marcher à son pas, proche mais sans gêner, se laisser conduire par lui, s’arrêter avec lui, repartir, pour rien, pour lui.
Écouter, c'est ne pas chercher à répondre à l'autre, sachant qu'il a en lui-même les réponses à ses propres questions. C'est refuser de penser à la place de l'autre, de lui donner des conseils et même de vouloir le comprendre.
Écouter, c'est accueillir l'autre avec reconnaissance tel qu'il se définit lui-même, sans se substituer à lui pour lui dire ce qu'il doit être. C'est être ouvert positivement à toutes les idées, à tous les sujets, à toutes les expériences, à toutes les solutions, sans interpréter, sans juger, laissant à l'autre le temps et l'espace de trouver la voie qui est la sienne.
Écouter, ce n'est pas vouloir que quelqu'un soit comme ceci ou comme cela, c'est apprendre à découvrir ses qualités qui sont en lui spécifiques. Être attentif à quelqu'un qui souffre, ce n'est pas donner une solution ou une explication à sa souffrance, c'est lui permettre de la dire et de trouver lui-même son propre chemin pour s'en libérer.
Apprendre à écouter quelqu'un, c'est l'exercice le plus utile que nous puissions faire pour nous libérer de nos propres détresses. . .
Écouter, c'est donner à l'autre ce que l'on ne nous a, peut-être, encore jamais donné : de l'attention, du temps, une présence affectueuse. C'est en apprenant à écouter les autres que nous arrivons à nous écouter nous-mêmes, notre corps et toutes nos émotions, c'est le chemin pour apprendre à écouter la terre et la vie, c'est devenir poète, c'est-à-dire sentir le cœur et voir l'âme des choses.
À celui qui sait écouter, est donné de ne plus vivre à la surface : il communie à la vibration intérieure de tout vivant, il commence à découvrir l'infini qui vit à la fois la richesse et l'originalité de l'autre. C'est alors qu'il entrevoit combien la rencontre est source d'être et non pas d'avoir.
« Tu ne vaux que ce que valent tes rencontres, le seul luxe est celui des relations humaines » (Saint-Exupéry).

Déposé par colombine67 le 10/03/2016  
J'ai vu au fond de tes yeux et de ton regard,
Un amour que l'on ne lit nul part,
J'ai bu des mots que tu ne sais pas,
Que tu voudrais dire mais tu ne peux pas,
Souvent j'y ai vu la tendresse,
Mais aussi la tristesse,
Pour un reproche que tu ne méritais pas,
Ou simplement que tu ne comprenais pas,
Mais que tu respecteras,
J'y ai vu surtout l'amour,
Que tu me donnes jour après jour,
Un amour qui ne demande rien,
Rien qu'une caresse de la main,
Je sais bien que tu n'es qu'un chien,
Mais ton amour vaut bien celui d'un humain,
Tu offres sans demander,
Même ta vie s'il le fallait,
Alors moi j'ose dire que je t'aime,
Que je t'aime autant qu'un humain,
Même si l'on dit que tu n'es qu'un chien,
Hélas un jour tu partiras,
La mort, ce jour là, t'emportera,
Alors rien que d'y penser,
Mon cœur commence à regretter,
De n'avoir pu t'expliquer,
Toutes ces choses que mon cœur t'exprimait,
Mais que j'espère, dans mes yeux, ce jour là,
Tu liras,
Tous ces mots qui bouillonnent dans mon âme,
Jusqu'à se que la tienne prenne flamme,
Que je puisse respirer ton esprit aisé,
En te laissant cette seule pensée :
« Que moi pauvre humain,
Je serais te faire comprendre, l'amour d'un homme pour son chien"

Déposé par myriam31 le 09/03/2016  
Vivre et croire
Vivre et croire,
c’est aussi accepter que la vie contient la mort
et que la mort contient la vie.
C’est savoir, au plus profond de soi,
qu’en fait, rien ne meurt jamais.Il n’y a pas de mort,
il n’y a que des métamorphoses.Tu ne nous a pas quittés
Mais tu t’en es allé au pays de la Vie,
Là où les fleurs
Plus jamais ne se fanent,
Là où le temps
Ne sait plus rien de nous.Ignorant les rides et les soirs,
Là où c’est toujours matin,
Là où c’est toujours serein.

Déposé par colombine67 le 09/03/2016  
1ère semaine
Aujourd'hui je complète une semaine de vie. Quelle joie d'être arrivé dans ce monde.
1er mois
Ma maman s'occupe très bien de moi. C'est une maman exemplaire !
2 mois
Aujourd'hui on me sépare de ma maman. 
Elle est très turbulente et, avec son regard, elle me dit "au revoir". 
J'espère que ma nouvelle "famille humaine" prendra aussi bien soin de moi qu'elle le faisait.
4 mois
Je grandis rapidement, tout appelle mon attention. Il y a différents enfants à la maison et pour moi, ils sont comme "des petits frères". Nous sommes très farceurs, ils me tirent la queue et je les mords pour plaisanter.
5 mois
Aujourd'hui, ils m'ont donné une engueulade. Ma maîtresse est incommodée parce que j'ai fait pipi à l'intérieur de la maison mais personne ne m'a appris où je devais le faire. Alors, je dors dans le hall d'entrée. Ce n'est pas donné de le supporter.
8 mois
Je suis un chien heureux ! J'ai la chaleur d'un foyer; je me sens aussi en sécurité, protégé. Je crois que ma famille humaine m'aime et me donne beaucoup de choses. La cour est tout pour moi et, parfois, j'exagère, je creuse la terre comme mes ancêtres, les loups, quand ils cachaient la nourriture. Personne ne m'éduque... Tout ce que je fais doit être correct.
12 mois
Aujourd'hui j'ai un an complet. Je suis un chien adulte. 
Mes maîtres disent que je grandis plus que ce qu'ils espéraient. Qu'ils doivent être fiers de moi ! ! ! !
13 mois
Aujourd'hui ils m'enchaînent et je ne peux presque pas bouger, même où il y a un rayon de soleil, ou quand je demande un peu d'ombre. Ils disent qu'ils vont m'observer et que je suis un ingrat. 
Je ne comprends rien à ce qui m'arrive.
15 mois
Rien n'est plus pareil... Je demeure sur le balcon. Je me sens très seul. 
Ma famille ne me veut déjà plus ! Des fois, ils oublient que j'ai faim et soif. Quand il pleut, je n'ai pas de plafond pour m'abriter...
16 mois
Aujourd'hui ils me retirent du balcon. Je suis sûr que ma famille m'avait perdu. Je suis si content que je saute de plaisir. Ma queue ressemble à un ventilateur. En plus, ils vont m'emmener promener ! ! Nous nous dirigeons vers la rue et, soudain, ils s'arrêtent à la voiture. Ils ouvrent la porte et je descends joyeusement, pensant que nous allons passer notre journée à la campagne.
Je ne comprends pas pourquoi ils ferment la porte et ils partent. "Vous entendez, attendez !" 
J'aboie...... Ils m'oublient ..... Je courais derrière la voiture de toutes mes forces. 
Mon angoisse grandit quand je me rendis compte que j'avais quasi perdu mon souffle et qu'ils ne s'arrêtaient pas. Ils m'avaient oublié !
17 mois
Je cherche en vain à retrouver le chemin du retour au foyer. Je suis seul et je me sens perdu ! 
Sur mon chemin, ils existent des personnes de bon coeur qui me regardent avec tristesse et me donne un peu de nourriture. Je les remercie avec mon regard, du fond de mon âme.
J'aimerais qu'ils m'adoptent : j'aurais été fidèle comme personne! 
Mais ils disent juste: "pauvre petit chien, il doit être perdu."
18 mois
Un jour, je passais près d'une école et je vis beaucoup d'enfants et des jeunes comme mes petits frères. Je m'approchais et un groupe, en riant, me jeta une pluie de pierres "pour voir qui était le meilleur viseur". Une des ces pierres, me blessa l'oeil et depuis lors, je ne vois plus avec celui-ci.
19 mois
C'est incroyable. Quand j'étais plus beau, ils avaient de la compassion pour moi. Maintenant je suis plus faible; mon aspect change. J'ai perdu mon oeil et les gens me montrent le balai quand j'ai l'intention de m'allonger où il y a un peu d'ombre.
20 mois
Je ne peux quasi plus me bouger !
Aujourd'hui, je vais tenter de traverser la rue par où passent les voitures, un vise juste! J'étais en sécurité sur une place appelée "rue pavée", mais jamais je n'oublierai le regard de satisfaction du conducteur qui se vantait même pour avoir visé juste. Il m'a tué! ... Mais il a seulement démis les pattes arrières !
La douleur est terrible! Mes pattes arrières ne m'obéissent pas et je me traîne avec difficultés jusqu'au gazon, au bord du chemin. cela fait dix jours que je suis sur le sol sous la pluie,dans froid,sans manger. maintenant je ne peux plus bouger !
La douleur est insupportable! Je me sens très mal, je ne trouve pas d'endroit sec et on dirait que même mon poil est en train de tomber...
Quelques personnes passent et personne ne me voit; d'autres disent "ne t'approches pas tout près". Maintenant je suis presque inconscient; mais une force étrange me fait ouvrir les yeux.
La douceur d'une voix me fit réagir.
"Pauvre petit chien, regarde comme ils t'ont laissé"; elle disait ... avec elle était un homme en tablier blanc.
Il a commencé à me toucher et à dit: "Je sais bien madame, mais il n'y a plus de remède pour ce chien, c'est mieux qu'il arrête de souffrir. 
La gentille dame, avec des larmes roulants sur le visage, aquiesça.
Comme je pouvais, j'ai bougé la queue et je l'ai regardais, les remerciant qu'ils me portent secours pour me reposer.
Seulement je sentis la percée d'une piqûre qui me fit dormir pour toujours, pensant à pourquoi j'étais né si personne ne me voulait...
Message originaire de Michael Tsagaris

Déposé par poutounou le 08/03/2016  
Ce n'est qu'un rêve ! Malheureusement....
*
L'île de mes rêves
*
J'aimerais posséder une île
Une île perdue dans un océan sans fin
Où je vivrais une vie sans contrainte
Sans loi, sans misère et sans haine
Où la peur n'existerait pas
Où le mal ne frapperait pas
Perdue avec mes rêves, mes amours
Ne connaissant que la nuit et le jour
Mais pas les heures, les années
Pas même le regret d'une société
Une vie merveilleuse
Où je vieillirais heureuse
Parce que tu nais, tu as besoin d'amour
Tu grandis, tu reconnais l'amour
Tu t'épanouis, tu découvres l'amour
Tu vieillis et tu comprends l'amour
*
Monique Gagnon

Déposé par colombine67 le 08/03/2016  
A chaque jour suffit amplement le chagrin
que vaut à tous les hommes leur amour du prochain;
Pourquoi donc en dépit de cette certitude
Voulons-nous ajouter à notre servitude?
Croyez-moi, ça ne mène à rien
De trop s'attacher à un chien.
Acheter un chiot vous rend propriètaire
d'un amour absolu, parfaitement sincère
Une passion totale. Vous payez votre dette
D'un coup de pied dans les côtes, d'une tape sur la tête.
Pourtant, ce n'est pas bien
de trop s'attacher à un chien.
Quand l'asthme ou la tumeur, ou le spasme clotûre
Le laps de quatorze ans qu'accorde la nature
Que le vétérinaire tacitement prescrit
la piqure mortelle ou le coup de fusil,
Vous sentez la force des liens
qui vous attachaient à ce chien
Losqu'a jamais se taisent les abois d'amitié
de celui qui faisait vos quatre volonté,
lorsque vous abandonne définitivement
celui qui partageait votre humeur du moment
Vous recommencez néanmoins à vous attacher à un chien
Nous avons largement notre part de chagrin
Quand il s'agit de mettre en terre notre prochain.
L'amour n'est pas donné, mais prété seulement:
L'intérêt composé se monte à cent pour cent.
la douleur que nous cause la mort d'un être aimé
n'est pas fonction du temps passé à ses cotés:
Lorsque vient le moment de payer l'échéance, la durée de l'emprunt a bien peu *d'importance.
Quand renoncerons nous enfin
a nous attacher à un chien?

Déposé par colombine67 le 07/03/2016  
J'ai vu au fond de tes yeux et dans ton regard,
L'amour qu'ailleurs on ne lit nulle part.
J'ai lu des mots que tu ne sais pas,
Que tu voudrais dire, mais que tu ne peux pas.
Souvent, j'y ai vu la tendresse,
Mais aussi parfois la tristesse,
Pour un reproche que tu ne méritais pas,
Ou, simplement, que tu ne comprenais pas.
Mais j'y ai vu surtout cet amour,
Que tu me donnes, jour après jour.
Un amour qui ne demande rien,
Rien qu'une caresse de la main.
Je sais bien que tu n'es qu'un chien,
Mais ton amour vaut celui de bien des humains.
Tu donnes sans demander,
Même ta vie, s'il le fallait.
Alors, moi, j'ose te dire que je t'aime,
Que je t'aime autant qu'un humain,
Même si on dit que "tu n'es qu'un chien".
Un jour, hélas, tu partiras,
La mort, ce jour, t'emportera,
Alors, à cette pensée,
Mon coeur commence à regretter,
Les mots que je te dirais et que tu ne comprendras pas,
Mais que j'espère, dans mes yeux, ce jour là, tu liras,
Et que moi, pauvre humain,
Je saurai te faire comprendre l'amour d'un homme,
Pour son Chien."

Déposé par colombine67 le 06/03/2016  
Si vous prenez la décision d’adoptez un animal
Quelques soit son état, sa race, son caractère
Ou de son passer
Vous l’aurez adoptez pour de bonnes raisons
Et dans le cadre de vie qui lui soit adapté.
Non pour un caprice, trop souvent délaisser
Et oublié,Une fois que vous vous en aurez lasser.
Vous lui donnerez une famille, un foyer chaleureux,
De la tendresse et une amitié réciproque.
Tout ça est admirable,Mais ne l’abandonnez pas,
Une fois que vous vous serez aperçu
Qu’il y a des inconvénients
Et qu’il faut lui consacrer du temps.
Laissez-lui le temps de s’habituer à vous
Et à son environnement.
Car si vous le délaissez, ce sera une autre victimeDes caprices de l’homme.
Réfléchissez bien avant d’adoptez,
Car vous avez une vie entre vos mains,
Car pour lui être délaissez,
Ce n’est plus lui laissez une chance de se faire admettre




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