Noël est passé et maintenant Je dois vous exliquer, POUR M'EN EXCUSER, pourquoi j'avais répondu: "Hum! soyons un peu plus gais pour les fêtes" à votre proposition de parler des assassinats. J'essayais de positiver car je savais que pour moi cela allait être l'enfer. C'est une de mes ânesses qui a été assassinée l'année dernière par un paysan qui n'avait pas eu les moyens d'acheter la propriété à l'époque où je l'ai acquérie. Ensuite il avait voulu me racheter des terres et je les lui avais refusées en ayant besoin pour les animaux que je recueille: poneys, ânes, bouc, chèvre entre autres. Il m'avait lancé qu'"ils y passeraient tous", et l'autopsie d'Héliette a confirmé l'empoisonnement. Il m'a fait vivre 5 ans d'enfer et il a été condamné seulement à 2 ans de prison... Je vous épargnerai, comme ce site est celui des chiens et non des ânes, dans quelles horribles douleurs la pauvre bête a succombé, et comment j'ai dû la traîner à l'aide d'un tracteur sur le chemin car le voiturier refusait de la prendre ailleurs et l'a d'ailleurs laissée là 3 jour!!! J'ai donc déplacé les 10 autres ânes dans un endroit où l'assassin ne pouvait avoir accès et j'ai dû faire construire de nouveaux bâtiments, mais ça je m'en moque puisque je n'ai plus personne derrière moi et que je compte faire don, à ma mort, de la maison à une association pour chiens âgés. En effet, le 29 novembre 2008, c'est un homme de 84 ans qui a assassiné, involontairement il est vrai, mon fils. Il était sous assistance respiratoire et il conduisait avec sa bouteille d'oxygène dans la voiture, il est mort au volant et sa voiture est venue percutée celle de mon fils en le transformant en charpie humaine. La famille, qui aurait dû être responsable de ce vieil homme malade n'a pas été poursuivie... Donc, pour Noël, j'ai déambulé, hagarde et l'âme en peine dans les allées du cimetière à la recherche de chaleur canine et humaine (Merci à Gribouille de s'être arrêtée pour me faire la causette), et en dehors de la haine que Paty m'a manifestée je n'ai pas eu de cadeau. Voilà , je voulais vous prouver, chère Celtinette, que je voulais bien parler d'assassinats et vous demander PARDON. |