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En hommage à
BERGER-BELGE-MALINOISBobby
Il est né le:09/06/1998
Il nous a quittés le:30/10/2013
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635 messages
Déposé par poutounou le 26/03/2015Une jolie petite histoire de « noisettes » pour toi, doux Ange… * Les trois noisettes * Trois noisettes dans le bois Tout au bout d'une brindille Dansaient la capucine vivement au vent En virant ainsi que filles de roi. * Un escargot vint à passer : « Mon beau monsieur, emmenez-moi dans votre carrosse, Je serai votre fiancée « Disaient-elles toutes trois. * Mais le vieux sire sourd et fatigué, Le sire aux quatre cornes Sous les feuilles Ne s'est point arrêté, * Et, c'est l'ogre de la forêt, je crois, C'est le jeune ogre rouge, gourmand et futé, Monseigneur l'écureuil, Qui les a croquées * Tristan Klingsor |
Déposé par rafia le 26/03/2015LES CHIENS PLEURENT AUSSI Moi je sais que les chiens pleurent aussi Quand ils ont du chagrin, Que parfois ils se cachent Pour souffrir à loisir Sans que leur maître sache Ni où ils sont, Ni le grand mal qui les conduit. J'en sais un qui partit au fond d'une forêt Pour fuir les longs soupirs, De cet enfant malade. Cet enfant qui jouait avec lui Ses chamades, Et qu'il ne s'en revînt Que lorsqu'il fut sauvé. Et j'en sais aussi un qui se laissa mourir, De faim, de désespoir Au départ de son maître Pour les Terres d'Ailleurs, Où seules ne pénètrent, Que les ombres de ceux Dont la vie va finir. Mais moi je sais aussi Que dans ces Pays Hauts, Les hommes et les chiens, Chaque fois se retrouvent, Sur les vastes prairies Quand les portes s'entrouvent Parmi l'immensité des joies Et des repos. Louis AMADE |
Déposé par colombine67 le 26/03/2015 POUR TOI, MON MAÎTRE BIEN-AIME Mon arrivée dans ce lieu fut quelque chose d’indescriptible; tous me faisaient remarquer ma chance, peu étaient ceux qui opposaient un refus. Et finalement le sort en fut jeté ; je fus abandonné dans ce lieu que les humains appellent : fourrière. Les portes s’ouvrirent ! Je ressentis de la terreur. Je ne voulais pas avancer et la queue en dedans, je gémissais, de sorte, que toi, mon maître, tu rebrousses chemin et que l’on rentre à nouveau chez nous. Tu semblais ne pas m’entendre, ne pas prêter attention à la souffrance que cela me causait de ne plus pouvoir voir ma famille. Je me disais au fond de moi : pourquoi me font-ils ça ? Je n’ai mordu personne, j’ai pris garde de ne pas trop aboyer, j’ai toujours attendu ton retour et avec force léchouilles, frétillant de la queue, je t’ai démontré mon amour. J’avais beau ressassé, j’en arrivais toujours au même point : je ne comprends pas que tu m’abandonnes. Peu à peu, tu essayais de me tranquilliser - et tu y parviens, même- mon cher maître, parce que ta voix était pour moi un baume, capable d’apaiser toutes les angoisses. Tu me dis de ne pas avoir peur, que tu reviendrais me chercher et que nous serions à nouveau réunis. Ceci suffit à mon âme de chien pour chasser toute crainte et au fond de moi je me consolais : « Tu vois P’tit Loup, tu exagères. Allez, va, entre là- dedans, montre à ton maître que tu a toute confiance en lui et que tu attendras avec courage le moment de son retour. » Et c’est ce que je fis. Je me souvins qu’une fois à l’intérieur, il y avait quantité de mes frères, très angoissés et d’autres désormais indifférents. Entre eux, ils murmuraient : « Tiens, un de plus ! Vous vous trompez tous, moi, on ne m’a pas abandonné. Mon maître a promis de revenir me chercher et il n’a jamais failli à sa parole et pour que vous prouver comme mon maître est bon et généreux, je lui dirai de tous vous sortir de là. » J’étais tout à mon discours, lorsque tout à coup une grosse corde m’étrangla et je fus jeté dans une pièce où gisaient des corps faméliques, sans vie. Je m’étonnai : « Il y a forcément erreur sur la personne, ce doit être un endroit où mes frères récupèrent d’une longue maladie ! Bien sûr, ça ne peut-être que ça ! » Et je te cherchai, encore et encore, pour que tu me fasses sortir de là, je te cherchai, mon maître, mais toi, tu avais disparu… Les minutes, les heures, les jours passèrent et une lente agonie semblait m’enlacer. Je perdais peu à peu espoir de te revoir un jour. Mais j’avais besoin de t’apercevoir, ne serait-ce qu’une fois. C’est cela qui me maintenait en vie. J’eus le temps de tout me remémorer : quand chiot, tu vins me retirer de ce lieu froid , sale et hostile, où pour la dernière fois je vis ma mère, dont le souvenir, à présent, s’est effacé de ma mémoire. Tu m’amena chez toi, on m’y accueillit à bras ouverts ! J’avais même le droit de monter sur le lit ! Et je grandis ainsi, entouré de l’amour de ma famille, mon seul et unique repère. Et à tes côtés, je connus la loyauté et la fidélité. Je me souviens que par la suite, je n’eus plus le droit de franchir le seuil de la maison, sans doute avaient-ils peur de s’encoubler sur moi ? Qu’à cela ne tienne, ils me démontraient leur amour, qui toujours resterait empreint dans mon cœur. Une nuit, pourtant, ils se mirent à crier, bien que je ne compris pas tout, j’entendis prononcer mon nom à plusieurs reprises. Je ne sais pas exactement ce qu’il se passa cette nuit-là, je me souviens seulement de la paume de ta main qui me caressait la tête et toi qui me disais tout doucement : « Calme, calme, P’tit Loup, tout va s’arranger. Je ne t’abandonnerai pas, je t’en fais la promesse. » Et moi, je remuai la queue, ne comprenant pas vraiment ce que le mot « abandon » signifiait. Mais quand finalement, ce mot fut plus clair pour moi, je souffris de tout mon être. Ne plus te voir, ne plus sentir ta présence qui m’emplissait de joie, ne plus sentir ta main sur ma tête, désormais endolorie par toutes les morsures de mes frères, comme moi désespérés de ne voir arriver personne… On me tira de ma torpeur : l’homme que nous craignions tous était dans l’encadrement de la porte. Il pénétra dans la pièce un collet dans la main et nous nous agglutinâmes de facto dans un coin, comme pour disparaître. Mais c’était inutile, un par un, il venait nous prendre. Quand il quittait la pièce, le silence était de plomb. Nous nous regardions les uns les autres… qui serait le prochain ? Ceux qui partaient avec cet homme ne revenaient jamais. Que leur faisait-on ? Je ne pressentais rien de bon. Mon tour arriva. Je fus littéralement traîné dans une pièce froide et obscure. Je n’étais pas seul, mes frères déjà sur place, hurlaient et certains essayaient désespérément de forcer le passage, mais la porte fut rapidement fermée à double tour. Moi, au début, je regardais toute cette agitation, ignorant le sort qui nous était réservé. Mais une panique se saisit de tous mes membres, de tout mon corps et je me mis moi aussi à hurler avec mes frères d’infortune. L’air commença à manquer, mon cœur battait à tout rompre et je me fis pipi dessus, sans pouvoir m’en empêcher. Des convulsions atroces commencèrent à secouer mon corps et de ma gueule de la mousse, mêlée à de la bave se mit à couler. Ma gorge se serrait. Je peinai à respirer… tout n’était plus que douleur et angoisse. Pourtant j’essayai de me plaquer contre cette petite porte, dans l’espoir, encore, que tu viennes me sauver, que tu m’emmènes et que je cesse de souffrir !... Tu n’es jamais venu ! Le silence… tout redevint silence. Ma dernière pensée aura été POUR TOI ! P’tit Loup Il mourut un 24 décembre Cause du décès : Asphyxie par gaz… sur décision expresse de son maître bien-aimé ! Sonia Lopez |
Déposé par rafia le 25/03/2015CITATION DE BENJAMIN CONSTANT La douleur réveille en nous, tantôt ce qu'il y a de plus noble dans notre nature : le courage. Tantôt ce qu'il y a de plus tendre : la sympathie et la pitié. Elle nous apprend à lutter pour nous et pour les autres. |
Déposé par lili2248 le 25/03/2015**** Le chemin des anges **** les petits anges danse Autour d'un être s'endormant Douceur immense Pour le départ d'un compagnon…. Calmement Peint aux couleurs des sentiments Des bleus lisses et roses et blancs Et lentement Visages tendres sur l'herbe glissent dans ton voyage vers le jardin du paradis Se sourient de larme sans chuchotant Et sans le moindre tourment ont prend sur nous ce long moment de ce départ nos pensées folles s'envolent Sous les yeux pâles et humide elles s'unissent aux lucioles Pour vivre un dernier instant Et à jamais Restent en suspens j'ai souvent souhaité que ce jour n’excite pas Pour ne pas hériter De cette flamme qui s'éteint En gardant le sentiment Que nous vivrons éternellement Et simplement Qu'ils fassent que la nuit soit claire Comme aux feux du Saint-Jean Que nos yeux soient grands ouverts Pour fêter ce triste enterrement celle du relâchement nous qui t’aimons puissamment N'adressons aucune prière met des milliers de pensées Où que tu aille nous te retrouverons nos cœur veillent le corps n’est plus… l’âme reste et vit hors du temps Alors les anges nous réunirons à nouveaux *** Ont t’aime *** … Mes Pensées |
Déposé par colombine67 le 25/03/2015 GABRIEL, L’ANGE DECHU Une vie de combats qui se termine à la fourrière. Humilié, cassé, sans foi en l’homme… La faute à son maître. Par cette triste journée, j’ai décidé de rester seule avec toi. Nous ne nous connaissons pas, jamais nos regards ne se sont croisés et pourtant, aujourd’hui, je sais que je dois m’asseoir en face de toi. Et c’est cette après-midi et pas une autre, parce que demain, demain…tu ne seras plus. Ils vont t’ôter la vie, et en silence, tu hurles pour qu’ils le fassent. Le soir est en train de tomber, l’horizon rougit, pareil au filet de sang qui coule le long de ta commissure. C’est vrai, tu fais peur Il te manque un œil et je ne peux m’empêcher de penser à la souffrance que tu dus éprouver lorsque tu le perdis durant l’un de tes combats clandestins où tu t’étais retrouvé embarqué, bien malgré toi par ces sadiques. Contraint à te battre, contraint à tuer… Une lutte acharnée, une lutte à mort, coups de dents de toute part, la chair en lambeaux. Vous, pauvres malheureux, au service de démons travestis en idoles. Je ne peux ni ne veux imaginer tous les moments qui ont jalonné ces treize années de ta sombre existence. Trop d’amertume. Pourtant tu as dû être pour tes bourreaux un « champion », un grand et bel « exemplaire », tu l’es encore d’ailleurs. De bonne corpulence, doté « d’une belle mâchoire », c’est bien comme cela qu’ils te préfèrent ces sanguinaires, n’est-ce pas ? Maintenant, derrière les barreaux de la fourrière, tu te tiens devant moi, vieux, malade, cassé. Tu me regardes fixement avec ton unique œil, impassible, hiératique, fatigué par une vie qui a été si injuste avec toi. Parfois, je ne parviens plus à soutenir ton regard. Tu en imposes, je suis troublée et à la fois je suis empreinte d’une grande compassion à ton égard. Ils t’ont rendu malheureux… Assise en face de toi, l’après-midi se meurt, triste et belle à la fois, teintée de sang avec une ligne blanche à l’horizon. Toi et moi, savons que cette ligne c’est celle du jour à venir. C’est la ligne de l’espoir, la fin de ta douleur, de ta souffrance. Vieux, résigné, blessé et méfiant…. Tu as raison de ne plus faire confiance, personne ne t’a aidé. A part des coups, des insultes, qu’as-tu jamais reçu ? Je n’ai même pas tenu à connaître ton nom, ce nom d’assassin dont tu as été affublé, avec lequel ils t’ont crié dessus et frappé. Aujourd’hui, je t’ai appelé Gabriel Ce sera notre secret. Rien que pour nous. Gabriel comme l’ange déchu que tu es. Et tu continues à me regarder, c’est étrange, tu me regardes si profondément…. Je sais. Il n’est pas difficile de comprendre que pour toi, tout n’est plus qu’indifférence. Toi-même tu n’espères même plus que quelque chose de bon puisse t’arriver, que quelqu’un puisse te donner ne serait-ce qu’une caresse. Tu n’espères plus rien de personne et je sais que lorsqu’ils viendront te chercher demain pour t’endormir pour toujours, je sais que tu ne tenteras même pas d’échapper à la mort amie. Vous les chiens, qui flairez la mort à distance…. Tu sais, à présent, que ce sera le seul acte d’amour des Hommes à ton encontre. L’après-midi s’achèvera dans la fourrière et toi et moi, nous continuerons à nous regarder, seuls. Les autres chiens se taisent, peut-être par respect pour ce moment d’adieux… Je te regarde une dernière fois, totalement angoissée, défaite et dans un filet de voix, je t’appelle tendrement. Mais tu es dans l’incapacité de bouger ne serait-ce qu’un muscle de tout ce corps las. Rien en toi n’est plus capable de communiquer, aucun mouvement de la queue, aucun mouvement de tes oreilles mutilées. Je me relève et tu me suis du regard. Je place dans un coin de ta geôle, un petit matelas. C’est l’unique cadeau que je peux encore te faire. Tu seras confortable pour ta dernière nuit. Tes os usés ne ressentiront pas le froid. Ton dernier regard me remercie. J’aurais tellement voulu t’aider davantage, mais je suis arrivée trop tard. J’espère que tu le comprendras. D’un pas lent, tu te diriges vers le matelas, tu te couches et tu t’endors. Peut-être tes rêves te conduiront-ils vers l’Arc-en-ciel ? Dors petit ange déchu. Repose-toi et demain, à ton réveil, ne vois, l’espace d’un instant, que la féerie des couleurs et quitte pour toujours ce monde de ténèbres dans lequel ils t’ont plongé. La nuit est tombée. L’horizon rougeoyant s’en est allé, mais dans le ciel sombre la ligne blanche frémit encore : ta dernière espérance. Nuria Martín |
Déposé par myriam31 le 24/03/2015LE PRINTEMPS Le soleil s'est réveillé, Les nouvelles plantes ont poussé, Les forêts sont à nouveau habitées, Le printemps vient de commencer. Le temps joyeux est présent, Les oiseaux échangent leurs chants, Un moment d'enchantement, C'est le printemps. Profitez-en!de se beau moment, Il est encore temps! Ah!Quel beau temps! C'est le printemps! (Théophile Gauthier) Tendresse et papouille pour toi bel ange, amitiés à ton papa |
Déposé par colombine67 le 24/03/2015 LA PRIERE Je vais vivre entre 10 et 15 ans Si c’est pour me haïr, pour me faire souffrir, penses-y à deux fois avant de me prendre avec toi. Essaye de m’aimer tel que je suis, parce que ce n’est pas moi qui ai choisi ma condition. De même que je n’ai pas la possibilité de choisir amis ou maîtres. Accorde-moi du temps pour comprendre ce que tu veux de moi. Avant de me crier dessus, pour m’éduquer, est-ce toi qui te trompes ou est-ce moi qui n’ai pas compris ce que tu attends de moi. Chéris-moi, car je ne vis que pour cela. Ne te fâche pas contre moi, ne me punis pas. Tu as ton travail, tes amis, tes loisirs, moi je n’ai que toi. Parle-moi de temps en temps ! S’il te semble que je ne comprenne pas, sache que je sais ce que tu penses, ce que tu ressens. Rappelle-toi que jamais je n’oublierai la manière dont tu te comportes avec moi. Avant de me frapper, pense que je pourrais te mordre, mais jamais je ne ferais une chose pareille. Quand je ne suis encore qu’un chiot, ne me considère pas comme un jouet, dont tu te débarrasseras, lorsqu’il ne te sera plus d’aucune utilité Car mon amour pour toi sera éternel. Prends soin de moi alors que je vieillirai, que je serai édenté, que je serai sourd, que je ne pourrai plus marcher. Quelqu’un, à son tour, prendra soin de toi, car la vieillesse est la même pour tous. Accompagne-moi pour mon dernier voyage. Ne dis jamais « C’est plus fort que moi, je ne peux regarder » ou « Arrangez-vous pour que je ne sois pas présent ». A tes côtés, tout est plus facile. Ceci sera la contrepartie à la fidélité, au dévouement dont j’ai toujours fait preuve à ton égard. Quand je ne serai plus là, ne sois pas triste, au contraire, essaye de rendre heureux un autre chien et aime-le comme tu m’as aimé. Auteur anonyme |
Déposé par choupinou le 23/03/2015pour toi mon ami ,mon ange, Toi mon coeur, mon ami On s'est rencontré Nous nous sommes vite aimés et tu es devenue mon plus grand ami Toi mon coeur, mon Ami Chaque jour ne vie Sans que je ne pense à toi Ne m'oublie pas Des joies nous avons partagés, Des peines avons nous supporté A l'écoute j'étais, A l'écoute tu étais, Toi mon coeur, mon Ami Chaque jour ne vie Sans que je ne pense à toi Je ne t'oublie pas Des semaines ,des mois sont passés, Et la mésange continue de te murmurer de son doux chant de mes nouvelles colportées Avec tant d'intérêt et de mon amour éploré Toi mon coeur, mon Ami Chaque jour ne vie Sans que je ne pense à toi Ne m'oublie pas Nous ne pouvions nous séparer Inséparable nous étions Meilleurs amies nous dévoilions A tout jamais dans ma vie marquée Toi mon coeur, mon Ami Chaque jour ne vie Sans que je ne pense à toi Ne m'oublie pas Des nouvelles manquent à ce jour Toujours en attente de ton tour Des questions se posent Aucune réponses ne s'interposent Toi mon coeur, mon Ami Chaque jour ne vie Sans que je ne pense à toi Je ne t'oublie pas Toi mon coeur, mon ami Quelle est cette pluie Qui m'amène a me demander M'aurais-tu oublié non bien sur,de ton absence je suis rongée Toi mon coeur, mon Ami Chaque jour ne vie Sans que je ne pense à toi Ne m'oublie pas |
Déposé par colombine67 le 23/03/2015Qui aurait cru que tu deviendrais autant accro à cette boule de poils ? Ton chien, tu ne peux plus t'en passer et il apparaît aujourd'hui comme un véritable membre de ta famille. Il te comprend, te câline, te fait sourire et tu ne t'ennuie jamais à ses côtés. Oui, ton toutou d'amour occupe vraiment une place très importante dans ton cœur. 1. Tu es son point de repère Tu l'as adopté et tu l'as toujours assumé ! Ton chien fait partie de ton quotidien et de ta famille. Tu ne le laisseras jamais tomber et il le sait. 2. Tu lui laisses toujours une place sur le canap' C'est mal, c'est vrai, mais ses câlins valent tellement plus que les vilains commentaires de tes invités. Et avec une telle bouille, comment refuser ? 3. Il te comprend Il ressent ta tristesse comme ta joie. Lorsque tu pètes la forme, il ne cesse de courir dans tous les sens et trémousse sa queue activement. Quand tu es triste, il tente de te consoler et n'arrête pas de te câliner. 4. Il te suit partout où tu vas Même si tu dois courir pour aller chercher du pain, ton doggy est de la partie. Attendre dans la voiture cinq minutes ? Ce n'est rien pour lui et il préfère car dans tous les cas, il n'est pas loin de toi. 5. Il monte dans le coffre tout seul quand tu prépares ton départ en vacances Tu ouvres le coffre pour y placer les valises et hop, il s'incruste. Ton chien a trop peur que tu partes sans lui et ça, tu trouves ça vraiment trop mignon. 6. Il te câline encore et encore Quand tu es fatiguée et que tu as envie de tout claquer, il n'y a que lui pour te rebooster. Avez-vous vu ce regard ? Comment ne pas craquer ? Impossible. 7. Il lui suffit de te voir pour être heureux Et le voir "te faire la fête" quand tu rentres du travail et aboyer comme un chiot, c'est vraiment touchant. 8. Il culpabilise quand il a fait une bêtise Tu as beau être en colère, tu ne peux t'empêcher de sourire. 9. Tu es persuadée qu'il comprend TOUT ce que tu dis Le prof de philo du lycée n'avait tout simplement rien compris. Bien sur que les animaux ont une conscience, non mais oh ! 10. Parce que ton chien, c'est ton meilleur ami Il t'est fidèle et reste doux envers toi toute sa vie. Il dépend de toi et l'a bien compris. Et de l'amour, tu lui en donnes sans compter. |
Déposé par poutounou le 22/03/2015Mars * Il tombe encore des grêlons, Mais on sait bien que c'est pour rire. Quand les nuages se déchirent, Le ciel écume de rayons. Le vent caresse les bourgeons Si longuement qu'il les fait luire. Il tombe encore des grêlons, Mais on sait bien que c'est pour rire. Les fauvettes et les pinsons Ont tant de choses à se dire Que dans les jardins en délire On oublie les premiers bourdons. Il tombe encore des grêlons … * Maurice CARÊME |
Déposé par colombine67 le 22/03/2015Nous voilà enfin! C’est à notre tour de vous parler! Nous sommes si heureux de partager notre joie avec vous. Pourquoi sommes-nous si heureux? Mais parce que la vie est un grand jeu, voyons donc! Voulez-vous venir dehors avec nous? Il y a tant d’odeurs à humer, de courses folles à faire, de balles bondissantes à attraper, de gazon frais à fouler, d’amis canins qui nous attendent, et quoi dire de l’air frais, du vent qui nous chatouille, nous pousse, nous freine et joue avec nous… Qu’attendez-vous donc, l’air renfrogné? Il n’y a pas un instant à perdre. Il nous faut aller de l’avant dans la redécouverte constante du moment présent qui nous appelle. Il n’y a jamais un moment pareil à l’autre, il n’y a qu’une suite d’instants remplis de sensations affriolantes. Venez jouer, chers amis humains. Sortez de votre inquiétude et vous découvrirez un nouveau monde. C’est là que nous vivons, nous les chiens, et c’est là que nous tentons de vous amener le plus souvent possible! Au diable les soucis, allons faire un tour. La vie n’est pas soucis, elle est. Point. Pour la capter dans sa plus grande beauté, il vous faut jouer. Les enfants l’ont bien compris, et c’est pourquoi nous aimons bien leur compagnie! Tous deux - chiens et enfant - nous savons partager la magie du moment présent. Ceux d’entre vous qui avez eu la compagnie d’un Être canin dans l’enfance savent bien qu’il n’est pas facile de retrouver une telle complicité! Nous les chiens, nous nous ancrons dans le jeu, la joie du moment présent, la conscience du corps et l’amour inconditionnel ou, si vous préférez, l’acceptation. Nous sommes incapables de juger les humains qui se présentent à nous car nous n’avons pas de barème de jugement du bien ou du mal. Nous vivons à l’extérieur de cette conscience qui est d’abord sociale. Lorsque nous voyons un humain, la seule chose que nous voyons, c’est l’amour. Chez certains, il brille très fort; chez d’autres, il est presque complètement étouffé, mais il est toujours là! Peu importe les circonstances de vie, l’apparence physique, les qualités, les défauts, l’âge, le sexe, la race, c’est toujours l’amour qui vous remplit, vous fait vivre et vous nourrit. C’est tout ce que nous voyons et c’est tout ce qui nous intéresse. L’amour est expansion, espace, chaleur, unicité, vérité, douceur… L’amour est activé par le jeu et l’abandon à l’état de joie. Le saviez-vous, frères humains? Nous aimons voir vibrer l’amour en vous et c’est pourquoi nous vous invitons sans cesse à venir jouer! Vous dites de nous que nous sommes des Êtres fidèles et c’est vrai! Nous sommes fidèles à l’Amour qui vibre en vous! Car pour nous, lorsque l’Amour rempli votre être, vous touchez à l’état le plus élevé que vous pouvez ressentir sur terre. C’est un tourbillon de couleurs, d’énergie, de sons et de parfums qui se dégagent d’un Être qui vibre l’Amour. Laissez-nous vous raconter l’histoire du peuple des chiens, fiers descendants des Êtres de Sirius. Il fut un temps, il y a très longtemps, où les Êtres humains côtoyaient les animaux de façon fort différente car le respect, la communication et l’entraide formaient la base des relations entre les espèces. Avant de faire le plongeon dans l’expérience de la séparation et de l’oubli, les Êtres humains ont demandé aux animaux de rester connectés à la source et d’incarner les attributs divins qu’ils s’apprêtaient à oublier. C’est alors que vous vous êtes tournés vers le peuple des chiens et que vous avez dit : «Maître canidé, tu seras le plus fidèle compagnon de l’homme, car en toi est placé le plus important de tous les attributs : l’Amour dans toute sa pureté! Tu seras le gardien infaillible de cet Amour inconditionnel et ce, même si tu dois aller à l’encontre de ma volonté car dans mon voyage au pays de l’oubli, un voile sera placé sur mon âme et mon esprit. À cause de ce voile, je ne serai plus directement nourri à la source de vie, à l’Amour. Il se pourrait donc que je succombe à la violence ». Que de sagesse vous aviez à cette époque! Sans une certitude absolue, vous vous doutiez que votre descente dans l’ombre et l’oubli serait, par moment, très dure pour la force d’Amour qui brûle en vous. De ce merveilleux contrat, tantôt lourd, tantôt léger, nous nous sommes acquittés avec force et fidélité au cours des siècles écoulés. Les temps approchent cependant, où vous devrez en reprendre la responsabilité; où vous devrez re-conscientiser dans votre Être tout entier cette incontournable vérité : l’Amour inconditionnel est la plus grande de toutes les clés! Malheureusement, certains êtres égarés, submergés de colère et de ressentiment font violence aux chiens parce qu’ils ne peuvent supporter le miroir de cet Amour inconditionnel que nous incarnons. Dans notre pacte de fidélité et parce que nous avons espoir d’activer l’état d’Amour qui réside en eux, nous retournons souvent vers ces êtres qui nous battent et nous négligent. Nous, du peuple des chiens, voyons bien que ces êtres souffrent énormément dans la déconnexion de l’état d’Amour et même s’ils nous battent très fort pour oublier, nous restons toujours connectés à cet état d’amour. Notre souffrance physique ne nous déconnecte pas de l’état d’Amour inconditionnel! Nous pleurons plus souvent l’ignorance et la déconnexion de nos frères humains que notre propre souffrance physique, miroir de votre incapacité à vous aimer! La déconnexion de l’Amour inconditionnel est ce que vous surnommez « l’enfer ». Sachez cependant que malgré notre connexion, nous détestons nous faire battre, humilier et négliger. Vous nous utilisez pour vos expériences et vos tests cruels, la plupart du temps inutiles. Vous n’avez pas encore compris ce qui amène la santé et le bien-être réel. La situation est telle pour nous dans certains pays qu’une sortie en masse est prévue, via une terrible maladie. Cette maladie sera transmise par les puces et autres insectes qui s’attaquent à nous lorsque nous ne sommes plus assez forts pour émettre l’état d’Amour. Saviez-vous que la force de votre système immunitaire est un reflet de votre capacité à vivre et rayonner l’état d’Amour en vous? Même si nous ne sommes que rarement complètement déconnectés de l’état d’Amour, les vaccins et les drogues en trop grandes quantités, la souffrance physique et la négligence que nous subissons diminuent notre capacité à émettre le rayonnement de cet état vibratoire et c’est à ce moment que nous devenons vulnérables aux insectes et aux virus. La maladie qui risque d’emporter beaucoup de chiens sera connue comme une fièvre canine et elle affectera très négativement les êtres qui consomment notre chair. Contrairement à d’autres de nos frères animaux, le peuple des chiens n’a jamais eu pour mandat de nourrir l’humanité. Les pays d’Asie où notre chair est consommée seront particulièrement affectés par ce virus. Nous ne partageons pas ces informations pour vous effrayer mais bien pour vous réveiller! Les chiens sont vos meilleurs amis et les gardiens de l’Amour inconditionnel qui brûle dans votre âme. Nos yeux tentent quotidiennement de vous rappeler cette réalité. Notre place n’est pas dans vos laboratoires mais à vos côtés. Lorsque nous vous invitons à jouer, c’est pour réactiver cet état d’Amour et vous amener dans le moment présent. Nous aimons vous charmer, vous plaire, vous rendre service et vous protéger pour que vous puissiez toucher la réalité que nous voyons en vous. Que pouvez-vous demander de plus, frères humains? Votre déconnexion, jadis consciente, aujourd’hui inconsciente, est source de tous les problèmes que vous expérimentez sur cette planète. Lorsqu’un des nôtres se retourne contre vous, mord ou tue un enfant, c’est un acte très grave qui est malheureusement enclenché par la violence que vous acceptez de perpétuer sur cette planète; c’est un miroir de votre fermeture à l’état d’Amour. Cette fermeture, vos choix de vie et vos actions, souvent à l’encontre des lois de l’Amour, rendent fous certains maîtres canins. Certains de nos comportements expriment le grand déséquilibre qui règne et annonce la fin de l’illusion dans laquelle vous vivez. Avez-vous remarqué que de tous les animaux qui peuplent la terre, le chien est celui qui offre la plus grande variété de races à l’intérieur d’une même espèce? Il y a une raison bien précise à cela. Étant donné l’importance de notre mandat, il est devenu essentiel de plaire un peu à tout le monde! Des petits, des moyens, des grands, servant à toutes sortes de tâches, mais sachant très bien, au plus profond d’eux, que ce qui compte, c’est d’être aux côtés des frères humains afin de jouer et d’éveiller l’état d’amour. Le nombre et la diversité des races canines ont suivi les explosions démographiques et la diversité raciale humaine au cours des siècles derniers. Avant, les chiens étaient plus primitifs, beaucoup moins diversifiés et plus proches de leurs cousins les loups qui sont responsables de d’autres énergies sur cette terre. Nous, du peuple des chiens, sommes des descendants de Sirius et notre présence à vos côtés a été décidée avant que vous entrepreniez votre descente dans la noirceur de l’oubli, il y a de ça plusieurs milliers d’années! Il a été décidé que comme les humains allaient expérimenter l’illusion de la séparation, les attributs divins seraient placés dans le peuple animal afin de protéger cette mémoire et afin d’y accéder par la voie de l’amour et de la sagesse. Il a été décidé que les animaux vous accompagneraient dans cette aventure et restitueraient la mémoire de vos attributs divins lorsque serait terminé le voyage dans l’illusion de la séparation. Ce temps est venu. Les maîtres chiens sont maintenant prêts à vous remettre les clés de l’état d’amour qui réside déjà en vous. Ceux qui choisiront de continuer à nous percevoir comme idiots, serviles et dépourvus de conscience passeront à côté de ce cadeau indispensable. Le jeu, tel que mentionné plus tôt, est une première clé puissante parce qu’elle ouvre la porte au moment présent. Le temps n’existe pas en dehors du moment présent. Redevenez maître du moment présent et vous serez maître de vos choix, de votre destinée. Le jeu est aussi un outil extraordinaire pour vous conduire vers la légèreté et la fluidité. Ces deux états sont précurseurs de l’état d’amour : la légèreté et la fluidité amènent l’amour, créent un réceptacle à l’amour. Il n’y a pas de place pour l’état d’amour chez une personne lourde et tendue. Malheureusement, tellement de gens vivent dans la lourdeur et la tension qu’ils sont inconfortables et craintifs lorsque leur vie devient plus douce et fluide. C’est pourquoi nous sommes si nombreux à partager vos vies! Et ce, malgré le lent écroulement de vos systèmes immunitaires qui développent des allergies et qui vous éloignent de nous. Système immunitaire faible = Déconnexion de l’état d’amour! Contrairement à d’autres espèces, nous ne quitterons pas complètement cette planète lorsque vous aurez repris conscience de l’état d’amour et en assumerez la responsabilité. Nous resterons à vos côtés, certes moins nombreux, mais prêts à vous suivre dans de nouvelles aventures. Nous serons alors sur un pied d’égalité avec vous et pourrons vous communiquer toutes nos pensées, nos émotions, nos perceptions, si différentes soient-elles, par la télépathie. Nous vous accompagnerons dans de nouveaux lieux, de nouvelles dimensions et nous vous présenterons les Êtres de Syrius, un des grands peuples fondateurs de votre planète. Ce sont des Êtres très grands physiquement, possédant de grandes capacités mentales et une grande sagesse. Ils ont aussi des corps qui ressemblent aux vôtres et des têtes semblables aux nôtres! Cela vous étonne, n’est-ce pas? Pourtant, ces images sont gravées dans les pierres d’un de vos plus anciens peuples : les Égyptiens. Vous pensiez sans doute que ces images étaient fictives, mais je vous le dis aujourd’hui : les images gravées dans la pierre des temples égyptiens renferment plus de vérité que ce que vous n’avez osé imaginer jusqu’ici! Il est temps pour nous de vous quitter, question de vous laisser assimiler toutes les notions que nous venons de vous exposer. Toutes ces choses étaient, jadis, fort communes et il n’y avait pas matière à s’en étonner. Aujourd’hui, la vérité de l’état d’amour est d’autant plus actuelle qu’elle est nécessaire. Notre présence auprès de vous dans la dynamique que vous connaissez - maître propriétaire de SON chien - tire à sa fin et c’est maintenant que nous devons réactiver le souvenir de l’état d’amour qui n’a jamais cessé de brûler en vous. Toute notre planète aspire à cela! Notre rôle est accru par la proximité que nous partageons avec vous et le pacte que nous avons accepté il y a plusieurs milliers d’années. Oui, nous sommes les meilleurs amis de tous les humains mais la prochaine fois que vous nous rencontrerez, plongez votre regard dans le nôtre et souvenez vous ce que nous sommes venus vous rappeler : que vous êtes amour inconditionnel dans toute sa splendeur. Le jeu est votre outil pour vivre le moment présent, le lieu ou habite l’Amour. Le reste n’est que distractions. |
Déposé par colombine67 le 21/03/2015La bien belle histoire de Jasmine. LES ANIMAUX AURAIENT BIEN DES CHOSES A APPRENDRE AUX HOMMES. En 2003, des policiers anglais trouvèrent dans un abri de jardin un chien apeuré qui avait été enfermé et abandonné. Il était sale, affamé, et avait clairement été maltraité. Les policiers emmenèrent le chien, un lévrier femelle, dans un refuge près de là. Le personnel du refuge travailla à restaurer la santé et la confiance du chien. Cela prit plusieurs semaines, mais finalement le but fut atteint. Ils l'appelèrent Jasmine, et s'inquiétèrent alors de lui trouver une famille adoptive. Mais Jasmine avait d'autres plans. Personne ne se souvient comment cela a commencé, mais elle se mit à accueillir tous les animaux qui arrivaient au refuge. Peu importe si c'était un chiot, un renard, un lapin ou un autre animal perdu ou blessé, Jasmine allait vers la cage et autant que possible donnait un coup de langue de bienvenue. "Nous avions 2 chiots qui avaient été abandonnés près d'une ligne de chemin de fer. L'un était un croisement Lakeland terrier et l'autre un croisement Jack Russel doberman. Ils étaient minuscules lorsqu'ils sont arrivés et Jasmine s'est approchée, a pris l'un par la peau du cou et l'a amené sur le canapé. Ensuite elle a été chercher l'autre puis elle s'est installée avec eux, et les a couvés. Mais elle est comme ça avec tous nos animaux, même les lapins. Elle enlève leur stress et les aide non seulement à se sentir proches d'elle mais aussi à s'adapter à leur nouvel environnement." "Elle a fait la même chose avec les bébés renard et blaireau, elle lèche les lapins et les cochons d'inde et laisse même les oiseaux se percher sur son nez." Jasmine, timide et maltraitée, est devenue la mère subrogée du refuge, un rôle pour lequel elle était née. La liste des jeunes animaux orphelins et abandonnés dont elle s'est occupée inclut 5 renardeaux, 4 petits blaireaux, 15 poussins, 8 cochons d'inde, 2 chiots et 15 lapins. Ainsi qu'un faon. Le minuscule Bramble, à 11 semaines, fut trouvé à demi conscient dans un champ. A son arrivée au refuge, Jasmine l'a couvé pour le tenir au chaud, et a joué le rôle de la mère. Jasmine le lévrier couvre Bramble le faon d'affection et veille sur lui. Ils sont inséparables. Bramble marche entre ses pattes et ils n'arrêtent pas de s'embrasser. Ils font le tour du refuge ensemble. C'est vraiment beau de les voir ensemble. Jasmine continuera à s'occuper de Bramble jusqu'à ce qu'il soit assez agé pour retourner vers la vie sauvage. Lorsque cela arrivera, Jasmine ne sera pas seule. Elle sera trop occupée à donner toute son affection et tout son amour à un autre orphelin ou victime de maltraitance. |
Déposé par choupinou le 20/03/2015A ce Printemps perdu A ce Printemps perdu où nous nous sommes aimés toi et moi sans retenu toute cette vie ,mois de mars endeuillé A ce Printemps perdu où l’on sent le bonheur quitter cette espérance qu’on laisse et ne voit plus A ce Printemps perdu et à la renaissance d’une passion si belle Vie qui n’existe plus A ce Printemps perdu et aux charmants oiseaux et à ces chants d’idylles belles, mises à nu A ce Printemps perdu Comme un beau violon aux cordes abimées Qu’on n’entendra plus jamais A ce Printemps perdu et à ces vieilles pierres un jour au coeur des vignes qui ne seront plus là a toi mon amour qui ne verra plus ce printemps revivre,pour nous il est perdu mais moi je le vie pour toi,dans mon coeur, |
Déposé par colombine67 le 20/03/2015 Lettre d'un vieux chien à son maître Je suis ici dans un coin sur une flaque de pipi que j'ai moi-même provoquée et que tu es fatigué de nettoyer. Les mouches survolent ma nourriture que tu as mise hier. C'est que je n'ai plus faim, ni même envie de me lever. Je suis allongé toute la journée, presque sans bouger. Je me sens fatigué, même si je ne fais rien. Je suis fatigué. Je ne sais pas, mais je sens le poids des os. Je suis si maigre, que seule la peau me soutient, mais surtout je suis triste. Pas pour moi qui me vois comme un vieux chiffon, ... non ... plus que tout pour toi, qui ne te soucies plus de moi. Et je vois qu'à chaque fois, je te dérange davantage. Je sais que ma présence est génante, à présent, à la maison. Que même les puces me fuient, mais qu'y puis-je? Cela fait tant d'années que nous sommes ensemble et tu sais que depuis toujours je t'ai servi comme mon maître et plus encore je fus ton ami. Je vois que tu vas mal, je remarque que tu es taciturne. L'indécision rôde dans ton esprit et je sais de quoi il s'agit. Un ami te l'a dit l'autre jour : "Ça ne peut durer ainsi. Ecoute-moi, sacrifie-le, c'est l'unique solution ou tu aimes le voir souffrir?" Je sais que ton ami n'avait pas de mauvaises intentions, mais s'il te plaît ne le fais pas ... non ... Je ne veux pas qu'ils me tuent. Vieux et maigre comme je suis, j'aime la vie. Envisage autre chose, cherche une alternative. Je veux continuer à me battre. Ne te rends pas ... encore. Et s'il ne devait plus y avoir de remède et si malgré tout tu ne trouvais quelque chose qui soulage ma vie, alors laisse-moi mourir en paix, quand mon jour viendra. |
Déposé par colombine67 le 19/03/2015 Luisa, mourir en vie Je n'ai jamais cru aux miracles. Je suis née galga dans un pays erroné, j'ai toujours su que mes occasions seraient rares. J'ai grandi au milieu des coups, des horreurs et de la mort, c'est ce qui m'a poursuivie toute ma vie, si on peut appeler ceci une vie. J'ai supporté les humiliations, les coups, la faim, le froid ... Sans jamais protester, sans jamais gémir, cela n'aurait fait qu'empirer. La peur et l'exploitation ont partagé mon existence. Bientôt la gale a envahi mon corps, ensuite la leishmaniose a pris possession de mon organisme et la malnutrition a fait le reste. J'étais un cadavre ambulant. Un jour une occasion s'est présentée. Une occasion de fuir, mais je ne pouvais aller bien loin, mon corps étant si limité que je pouvais à peine marcher toute seule. Mais je m'échappai. Et je mourus. Je n'avais plus la sensation de douleur. Je n'avais plus la sensation de faim. Je n'avais plus de sensation du tout. Ensuite, je me suis réveillé dans un petit lit douillet, en sentant dans mon dos quelque chose de moelleux que je ne connaissais pas. J'ai ouvert les yeux très lentement et j'ai vu des personnes qui m'observaient avec dans leur regard quelque chose que je reconnus. De la pitié. De la peine. De la douleur. Et aussi quelque chose de confus .... de la chaleur? de l'amour? Comment était-ce possible? Eux, c'étaient des humains et moi un animal, comment pouvaient-ils m'aimer? Je me suis souvenue que j'étais déjà morte et je compris que ce que je voyais c'était le paradis, une récompense pour tant de souffrances injustes. Mais alors pourquoi mes plaies me faisaient-elles mal? Peut-être n'étais-je pas au ciel, peut-être n'étais-je pas morte? et ceci n'était peut-être qu'un dernier tour de mon imagination moribonde? J'essayai d'y trouver une logique, mais je rendis les armes face à cette illusion d'être aimée et choyée. Les humains ne cessaient leur va et vient. Ils m'apportaient un pull, des couvertures, de la bonne nourriture, que de ma vie je n'avais mangée. Pour sûr, ceci était le paradis! Ils m'entouraient de leurs bras et leurs larmes coulaient sur mon visage fatigué. Je fermai les yeux et m'endormis dans les pleurs silencieux de mon imaginaire. Je savais que jamais plus je ne verrais un lieu pareil. Mais il en fut tout autrement. À nouveau, je me réveillai dans le même lit douillet de mon rêve. Les humains étaient toujours présents, à l'écoute de mes mouvements. Je voulus me relever, mais mes os ne me le permettaient pas. Alors, l'un d'eux vint rapidement à mes côtés et m'aida. De sa voix entrecoupée, me murmura quelque chose que jamais je n'oublierai :" Tu vas bien, tu es en vie". Je ressentis un tel choc que je ne sus trop que faire. Je me retournai vers cette voix qui me consolait et lui léchai les mains. À présent, je sais la vérité. Je sais que dans ce monde d'horreurs et d'obscurité, il existe des personnes, des anonymes, qui rendent la lumière à des existences, qui comme la mienne s'étaient déjà avouées vaincues. À présent, je sais ce que c'est que de vivre. À présent, je sais que je serai heureuse! |
Déposé par colombine67 le 18/03/2015 Prête-moi ta maison juste un instant Je n'ai pas de voix pour t'appeler Uniquement mes yeux qui te parlent en silence Je ne sais travestir mes sentiments Et ce que je ressens transparaît dans mon regard. Moi aussi, j'ai été dans un petit ventre au chaud Et je ne sais toujours pas pourquoi on m'a laissé Je pense que Dieu m'a sauvé cette même après-midi Quelqu'un m'a dit qu'ils ont tué ma mère Je te promets d'être fidèle, de te protéger Ne pas te déranger, me tenir à une certaine distance Etre avec toi si tu as besoin de ma tendresse Et rester tranquille, même si je meurs d'envie de te faire un bisou. C'est peu ce que je demande... je ne demande rien Un peu de nourriture, un peut d'affection de temps à autre, Une petite couverture pour dormir au chaud Autrement, ça ne fait rien, je reste ici chez moi ... Il n'y a pas de place pour le silence ni pour des mains qui ne frappent pas Je comprends ... tes raisons Comprends ... mes manques Je sais que tes raisons t'incommodent Mais sais-tu que mes manques sont en train de me tuer??? Peut-être que tu tiens ma vie entre tes mains? Je ne sais pas ce que me réserve aujourd'hui La même faim... le même froid Peut-être un coup? Ce que je ne peux par contre pas te garantir C'est si demain tu auras la possibilité que tu as aujourd'hui de me recueillir Sors-moi de la rue Prête-moi ta maison, juste un instant ... D'après Capitan Bermudez Mascotas |
Déposé par myriam31 le 17/03/2015Tendres pensées pour toi bel ange, mes amitiés à ta famille à qui tu manques beaucoup Parce qu’il y a un temps pour pleurer, Mais également un temps pour espérer ; Ne te détourne pas par lâcheté du désespoir. Traverse-le. C’est par-delà qu’il sied de retrouver motif d’espérance. Va droit. Passe outre. De l’autre côté du tunnel, tu retrouveras la lumière. (André Gide). |
Déposé par colombine67 le 17/03/2015 Testament J'ai peu de biens à léguer, je n'ai aucun objet de valeur, à part mon amour et ma fidélité. Je demande à mes maîtres qu'ils me gardent une place dans leur mémoire, mais qu'ils ne souffrent pas trop pour moi. Durant mon existence, je me suis efforcé de leur être une consolation dans les moments difficiles et un motif de joie dans leurs moments de bonheur. J'ai mal de savoir que ma mort puisse leur causer de la peine. Le moment est arrivé de leur dire adieu et ce sera triste de les laisser, mais ce ne sera pas triste de mourir. Les chiens, à la différence des hommes, n'ont pas peur de la mort. J'aimerais vous faire une demande. J'ai fréquemment entendu mes maîtres déclarer : "Quand il mourra, nous n'en voudrons pas d'autres. Nous l'aimons tellement que nous ne pourrons en avoir un autre". Je leur demanderai d'en prendre un autre, par amour pour moi. Ne pas le faire reviendrait à avoir eu un mauvais souvenir me concernant. J'aimerais avoir la certitude, que parce qu'ils m'ont eu à leurs côtés, ils ne puissent plus se passer de chien. Jamais je n'ai été jaloux ou mesquin et à tous j'ai donné ma loyauté et mon amour. A mon successeur, je lègue mon collier et ma laisse et qu'il profite, comme j'ai profité en son temps, du bonheur en cette maison ... la mienne. Mes dernières paroles d'adieu à mes maîtres : Qu'ils pensent à moi avec tristesse, mais aussi avec satisfaction, car aussi profond que sera mon sommeil, je les entendrai et l'incommensurable pouvoir de la mort n'empêchera pas mon esprit de remuer ma petite queue, en signe de reconnaissance. Lorena Astrid Ocampo |
Déposé par choupinou le 16/03/2015Quand tu me manques,je t'invente des mots d'amours, Sans toi je n'existe pas,quel malheur.... Je te cherche souvent partout, alors que tu es tout prêt de moi ,dans mon coeur. C'est pour ça qu'aujourd'hui ,je t'offre ma vie, je t'offre mon âme,mon coeur; je t'offre le chant des oiseaux,à l'infini; je t'offre la lumière du soleil et sa chaleur; je t'offre la beauté des fleurs ,le parfum des roses; tu es mon étoile,mon sourire et mes larmes, Je t'offre tout ceci ,c'est vrai c'est pas grand chose par rapport a tout ce que toi,tu m'a donné,tu étais ma flamme; Mon grand amour c'était toi ,c'est toujours toi et ce sera toujours TOI TOI TOI POUR L'ETERNITE |
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