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En hommage à
Roméo
Il est né le:04/03/2003
Il nous a quittés le:31/08/2018
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7 Fleurs
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245 messages
Déposé par virginie1405 le 04/03/2023Le 4 mars, jour de ta naissance, mon gros. Ce jour-là, tout le monde te croyait mort, puis tu t'es manifesté, et tu as finalement été super robuste toute ta vie !! On pense fort à toi, ici. Fais une léchouille à ma maman si tu la vois. |
Déposé par poutounou le 25/12/2022Coucou les mamans et papas de cœur ! Avant tout, je vous souhaite à tous de passer un merveilleux Noël avec des surprises et une bonne tonne d’Amour… !!! Je vous envoie un joli petit conte de Noël ! Et oui il existe le »Jardin magique du Paradis », et tous nos Anges y sont à présent, et bien sûr qu’un jour nous les rejoindrons comme le géant du jardin, c’est une évidence… !!! * Petit conte de Noël : le jardin du géant * Tous les après-midis, en revenant de l'école, les enfants allaient jouer dans le jardin du Géant qui était parti depuis sept ans déjà. Le jardin était ravissant ; ça et là, sur l'herbe douce et verte, poussaient de belles fleurs qui ressemblaient à des étoiles. Vers le ciel magnifique, s'élançaient douze pêchers qui au printemps s'épanouissaient en délicates floraisons couleur de rose et de perle, et qui, en automne, portaient des fruits couleur de fête. Les oiseaux assis sur les arbres chantaient si joliment que les enfants s'arrêtaient de jouer pour les écouter. C'était le jardin du Bonheur... * Un jour, le Géant revint. Il vit les enfants dans le jardin. Et comme c'était un Géant très égoïste, il les fit fuir avec sa grosse voix. Ensuite, il construisit un MUR tout autour du jardin et mit un écriteau : Défense d'entrer sous peine d'amende ! * L'hiver arriva... Puis vint le printemps avec les fleurs des champs et les oiseaux du ciel... Mais dans le jardin de l'Egoïste, c'était encore l'hiver, la neige, le froid et le gel. Le Vent du Nord, glacial, avait trouvé son logis. Il invita Madame La Grêle à venir le rejoindre et tous deux s'en donnèrent à coeur joie... Ils décidèrent de ne plus quitter l'endroit et de l'occuper toute l'année. Le Géant se posait des questions : "Pourquoi est-ce toujours l'hiver chez moi ?" "Pourquoi les oiseaux ne viennent-ils plus ? Pourquoi les fleurs ne s'épanouissent-elles pas ?" L'homme ne comprenait pas et s'attristait. * Un matin pourtant, il entendit une musique ravissante. Un petit linot chantait dehors, il chantait la plus merveilleuse musique du monde. Le Géant s'approcha de la fenêtre et aperçut une multitude d'enfants installés sur les branches des arbres... et les arbres, si contents de les revoir, s'étaient mis à refleurir... et la grêle et le vent s'étaient enfuis... Les oiseaux voletaient et gazouillaient avec délice ; les fleurs souriaient ; les enfants riaient... Mais dans un coin du jardin, l'hiver était resté avec ses amis Grêle et Vent du Nord. Au pied d'un arbre gelé, un tout petit enfant pleurait. Il ne pouvait grimper à l'arbre. Le Géant comprit alors son égoïsme : « Maintenant je sais pourquoi le Printemps ne voulait pas venir ici. Je vais mettre ce pauvre petit garçon tout en haut de l'arbre, et je démolirai le mur, et mon jardin sera à tout jamais la cour de récréation des enfants. » * Le Géant descendit sans bruit l'escalier, ouvrit très doucement la porte et pénétra dans le jardin. Mais quand les enfants le virent, ils furent si effrayés qu'ils s'enfuirent, et le jardin reprit ses couleurs d'hiver. Seul le petit garçon ne s'enfuit point car ses yeux étaient si pleins de larmes glacées qu'il ne vit pas le Géant s’approcher. Celui-ci le prit doucement dans sa main et le posa dans l'arbre. Et l'arbre se couvrit aussitôt de fleurs, et les oiseaux vinrent y chanter, et le petit garçon étendit ses deux bras et les jeta autour du cou du Géant, et l'embrassa (c'était la première fois qu'on embrassait le Géant). Et quand les autres enfants virent que le Géant n'était plus méchant, ils revinrent en courant, et le Printemps revint avec eux. "C'est votre jardin, maintenant, petits enfants ”, dit le Géant. Et il prit une grande hache et fit tomber le mur. Les enfants jouèrent tout le jour et, le soir, ils vinrent dire au revoir au Géant. * Celui-ci demanda : "Mais où donc est votre petit compagnon, celui que j'ai posé dans l'arbre ?” (Le Géant avait un faible pour lui parce qu'il l'avait embrassé.) * "Nous n'en savons rien ”, répondirent les enfants. “ Il est parti et nous ne savons pas où il habite. Nous ne l'avons jamais vu auparavant." Le Géant en fut très triste. Les années passèrent, et le Géant devint très vieux et très faible. Il restait assis dans un fauteuil immense, regardait les jeux des enfants et admirait son jardin. “ J'ai beaucoup de belles fleurs, disait-il, mais les enfants sont les plus belles fleurs de toutes". * Un matin d'hiver, il regardait par la fenêtre en s'habillant. Il ne détestait plus autant l'hiver, car il savait que c'était simplement le printemps endormi, et que les fleurs se reposaient. Ce matin-là, dans le coin le plus reculé du jardin, il aperçut un arbre tout couvert de ravissantes fleurs blanches. Ses branches étaient toutes dorées et des fruits d'argent y étaient suspendus... Au-dessous de l'arbre, se tenait le petit garçon qu'il avait aimé. Dans sa joie, le Géant descendit en courant l'escalier et pénétra dans le jardin. Il traversa l'herbe en toute hâte et arriva près de l'enfant. Quand il fut tout près, il s'aperçut que l'enfant était blessé. Sur ses paumes et sur ses pieds, il y avait l'empreinte de deux clous... “ Qui a osé te blesser ?” s'écria le Géant ; “ dis-le moi afin que je prenne mon grand sabre et que je le tue. « Non ! » répondit l'enfant ; ce sont les blessures de l'Amour. “ Qui donc es-tu ?" demanda le Géant en s'agenouillant devant le petit enfant. L'enfant sourit au Géant et lui dit : “ Tu m'as laissé un jour jouer dans ton jardin, aujourd'hui tu viendras avec moi dans mon jardin, qui est le Paradis." Et ce jour-là, quand les enfants du village coururent au jardin, ils trouvèrent le Géant couché sous un arbre mort et tout couvert de fleurs blanches. * D’après un conte d’Oscar Wilde |
Déposé par poutounou le 11/12/2022Nos Anges ont le coeur rempli de sous d’Amour, de vrai Amour ! Et nous, mamans et papas de coeur, avons fait tout notre possible pour leur rendre ces sous d’Amour…!!! * La prière aux étoiles * Et on s’embrasse, et on se dit « Je t’aime », Et on se fait du charme Et tout le reste, et ça va très bien… Et tout d’un coup, il y en a un qui donne à l’autre… Un sou d’amour. Mais de vrai Amour, tu comprends ! Un sou, pas plus. Oh… ce n’est presque rien, C’est peut-être une nouvelle robe de la couleur de sa cravate, C’est peut-être de répéter une phrase qu’il a dite la veille… C’est une façon de tenir une main, Un regard plus bleu, Un petit tremblement dans la voix… Alors il faut que l’autre le comprenne… Il faut que, tout à coup, Il sente que ce n’est pas trois mille francs de coquetterie, Ou dix mille francs de flirt, Mais que c’est beaucoup plus que ça, Parce que c’est un sou d’Amour. Et alors, tout de suite, Il faut que, pour un sou, Il rende tout à coup… deux sous d’Amour. * Marcel Pagnol |
Déposé par poutounou le 27/11/2022Que c’est beau : « Les cendres de mes larmes témoignent des flammes de la peine qui me ronge… » * Pour un défunt * Dans ma mémoire tu vis encore et je sens palpiter en moi ton petit corps J’avais creusé de mes mains un coin de terre où désormais tu reposes mon bel amour canin Comment, privé de ta présence, éteindre mon chagrin ? Comment ne plus entendre tes petits aboiements maintenant noyés dans l’inexorable silence ? Je pleure, je pleure les cendres de mes larmes témoignent des flammes de la peine qui me ronge Je dois rendre les armes et consentir au songe que tu es devenu * Kamal Zerdoumi, 2022 |
Déposé par poutounou le 23/11/2022Que c’est beau : « déracinée de toi, j’ai froid, j’ai froid… » * Sans toi…(extrait, légèrement modifié) * Sans toi J’ai essayé de m’étourdir De courir les plaisirs Sans toi, sans toi Mais c’était juste Des confettis dans mes cheveux J’avais les yeux Remplis de larmes * Et je reste plantée là Déracinée de toi J’ai froid, j’ai froid J’ai froid de ne plus me pencher sur ton doux museau Je suis un saule inconsolable * J’ai des milliers de feuilles pour t’écrire Te parler de ma vie sans toi Te dire, te dire Te dire des choses qui voudront dire toujours J’ai besoin de toi Si loin de moi Irremplaçable |
Déposé par virginie1405 le 18/09/2022Me revoilà, mon copain. Maman est décédée ce matin. Fais-lui des grosses léchouilles quand elle aura trouvé le bon chemin. Papi tient le coup et Candice a besoin de plein de gros câlins. Youki, Penny et Juliette la consolent. |
Déposé par virginie1405 le 04/07/2022Je pense à toi, mon chien, tous les jours, on parle de toi. Tu es dans nos coeurs pour toujours. |
Déposé par virginie1405 le 05/03/2022Nous pensons très fort à toi, notre Roméo pour toujours. Hier, tu aurais eu 19 ans. Tu as été un compagnon inoubliable. |
Déposé par poutounou le 02/03/2022Oui, doux Anges, emmenez-nous derrière le miroir de l’autre côté… * Viens je t'emmène * France Gall * Toi qui as posé les yeux sur moi Toi qui me parle pour que j'ai moins froid Je te donne tout ce que j'ai à moi La clé d'un monde qui n'existe pas * Viens, je t'emmène Où les étoiles retrouvent la lune en secret Viens, je t'emmène Où le soleil le soir va se reposer J'ai tellement fermé les yeux J'ai tellement rêvé Que j'y suis arrivée * Viens, je t'emmène Où les rivières vont boire et vont se cacher Viens, je t'emmène Où les nuages tristes vont s'amuser J'ai tellement fermé les yeux J'ai tellement rêvé Que j'y suis arrivée * Plus loin, plus loin Plus loin que la baie de Yen Thaî Plus loin, plus loin Plus loin que la mer de corail * Viens, je t'emmène Derrière le miroir de l'autre côté Viens, je t'emmène Au pays du vent, au pays des fées J'ai tellement fermé les yeux J'ai tellement rêvé Que j'y suis arrivée… |
Déposé par poutounou le 27/02/2022Une odeur, un geste, une musique, un endroit, et tu es là, auprès de moi… !!! * QU'UN VOILE * Il n'y a qu'un voile, qu'un voile qui nous sépare. Il y a un souffle qui nous unit, celui des âmes, si doux, si fin, si persistant, "Je suis là, au-delà du savoir, du visible, de l'audible" dit la voix. "Il n'y a que ce voile qui nous sépare et tu me sens parfois". Une odeur, un geste, une musique, un endroit, et je suis là, auprès de toi ; tu m'entends rire, discourir de ce qui était. Désormais c'est un trésor au fond de toi. Il n'y a qu'un voile si fin pourtant si infranchissable, impénétrable car nul ne sait ce qui est au-delà. Nul ne doit savoir, on n'en revient pas, c'est l'éblouissant interdit. Mais, pour les cœurs, la frontière n'existe pas, l'amour brûle ce voile si tenu et retrouve le feu de l'éternel. L'amour ne craint l'éblouissement mais s'en nourrit constamment. |
Déposé par poutounou le 23/02/2022Celui qui perd sa vie, un jour la retrouvera… * Il restera de toi… * Il restera de toi ce que tu as donné Au lieu de le garder dans des coffres rouillés. Il restera de toi, de ton jardin secret, Une fleur oubliée qui ne s'est pas fanée. * Ce que tu as donné En d'autres fleurira. Celui qui perd sa vie Un jour la retrouvera. * Il restera de toi ce que tu as offert Entre tes bras ouverts un matin au soleil. Il restera de toi ce que tu as perdu, Que tu as attendu plus loin que tes réveils. * Ce que tu as souffert En d'autres revivra. Celui qui perd sa vie Un jour la retrouvera. * Il restera de toi une larme tombée, Un sourire germé sur les yeux de ton cœur. Il restera de toi ce que tu as semé, Que tu as partagé aux mendiants du bonheur. * Ce que tu as semé En d'autres germera. Celui qui perd sa vie Un jour la retrouvera. * Michel Scouarnec |
Déposé par poutounou le 20/02/2022Des nuages au Paradis ! Oui, mais de gentils nuages...Ils ont de la chance ! Ils vont voir comment c’est là-haut… !!! * Les nuages * Trois petits nuages S’en venaient de Paris, Mais oui, mais oui. Mon Dieu, qu’ils étaient jolis ! Derrière eux le vent riait. Allez, allez ! Et claque, claque son fouet. Le premier nuage Etait léger comme un duvet. Le second petit nuage Avait de beaux cheveux frisés. Passant trop près du soleil, Le pauvre petit dernier S’y était brûlé le nez. Tant pis, tant pis Ils ne pouvaient pas s’arrêter Pensez ! Trois petits nuages S’en allaient au Paradis ! * Nous aussi nous avons de « beaux petits nuages » pour « personnaliser » les pages de nos jolis cœurs, ainsi que des fleurs, un soleil entre autres… Merci à Bruno pour tout le mal qu’il se donne… |
Déposé par poutounou le 16/02/2022Ecrivons un peu de poésie pour nos très chers Anges… !!! * A vos plumes ! * A ceux qui n'osent point ou qui ont peur, Ceux pour qui écrire semble paralysie, Rêvez en votre esprit d'un nom comme le bonheur. Osez le dessiner avec des mots çà et là jaillis. Suivez votre inspiration, sans être jugés et avoir peur... Taillez ces mots comme s'ils étaient cueillis Ils s'ouvriront alors comme de belles fleurs. Caressez-les, gourmands, tels des fruits confits, Humectez les un peu de votre coeur Et ce qui vous semblait granit deviendra transcrit. Usez de votre gomme pour rectifier l'erreur, Rêvez d'être publiés sans être érudits... Souriez ainsi d'avoir écrit un peu de poésie... |
Déposé par poutounou le 13/02/2022C'est vrai qu'il est bon d'aimer ; aimer un chien, un chat, des oiseaux, la musique, les poèmes, celui ou celle qui partage notre vie et nos Anges bien sûr... Il est simplement bon d'aimer... !!! * Comme il est bon d'aimer * Il suffit d'un mot Pour prendre le monde Au piège de nos rêves. Il suffit d'un geste Pour relever la branche, Pour apaiser le vent. Il suffit d'un sourire Pour endormir la nuit, Délivrer nos visages De leur masque d'ombre. Mais cent milliards de poèmes Ne suffirait pas Pour dire Comme il est bon d'aimer * Jean-Pierre Siméon |
Déposé par poutounou le 09/02/2022Je brille sur tous les yeux en pleurs qu’aucun sommeil n’atteint. * Une voix du ciel * Je suis l'astre des nuits. Je brille, pâle et blanche, Sur la feuille qui tremble au sommet d'une branche, Sur le ruisseau qui dort, sur les lacs, bien plus beaux Quand mes voiles d'argent s'étendent sur leurs eaux. Mes rayons vont chercher les fleurs que je préfère, Et font monter au ciel les parfums de la terre ; Je donne la rosée au rameau desséché, Que l'ardeur du soleil a, sur le sol, penché. Sitôt que je parais, tout se tait et repose, L'homme quitte les champs, et l'abeille la rose : Plus de bruit dans les airs, plus de chant dans les bois ; Devant mon doux regard nul n'élève sa voix, De la terre ou du ciel aucun son ne s'élance, J'arrive avec la nuit, et je règne en silence ! Je cache mes rayons quand le cri des hiboux Vient troubler mon repos et mon calme si doux. * Je suis l'astre des nuits ; je brille, pâle et blanche, Sur le cœur attristé, sur le front qui se penche, Sur tout ce qui gémit, sur tout ce qui se plaint, Sur tous les yeux en pleurs qu'aucun sommeil n'atteint. |
Déposé par poutounou le 06/02/2022Cette « petite lumière » vient de nos Anges chéris…pour nous apporter un peu de joie… !!! * Une petite lumière * Qu'est-ce qui ne va pas ce soir ? T'as l'air abandonné ? Tu broies encore du noir, Pourquoi te chagriner ? * Cherche dans l' Univers Espère et tu verras : Une toute petite lumière, Qui vient et grandira, * De sa flamme invisible Elle réchauffera ton coeur Apportant dans ta vie : Un peu de sa chaleur. * Ignore les gens avides qui vivent dans les nuages Et regarde le soleil qui t'invite au voyage Pour les yeux d'une biche tu changeras ton destin, En voyant le printemps fleurir sur ton chemin... * Alors encore une fois, tu oseras dire : je t'aime Et tu trouveras la force qui résout les problèmes Même si tu as mille raisons de pleurer sur toi-même, N'oublie pas que les autres ont aussi de la peine * Et qu'ils cherchent comme toi : Cette petite lumière, Qui vient d'un Univers Où seul l'amour est LOI ! * Garde bien cette étincelle, Au fond de ta mémoire Il suffira d'y croire. Pour voir la vie plus belle * (Jean-Claude Brinette) |
Déposé par poutounou le 02/02/2022Moi je leur mets des graines et du gras et de l’eau aux pauvres petits cœurs qui sont dehors par ce froid… * Toc ! Toc ! ouvrez-moi ! * Toc ! Toc ! bonnes gens, ouvrez-moi ! Ayez pitié d’une mésange. Puis-je venir dans votre grange ? Dans le verger, il fait si froid. * Toc ! Toc ! bonnes gens, ouvrez-moi ! La neige recouvre la terre ; Je suis seule et n’ai plus de mère. Il fait si chaud sous votre toit. * Toc ! Toc ! bonnes gens, ouvrez-moi ! Je me contenterai des miettes Qui resteront dans vos assiettes. Comme on doit être bien chez soi ! * Toc ! Toc ! bonnes gens, ouvrez-moi ! Je serai toujours propre et sage, Mais ne me mettez pas en cage ; Il est si triste, cet endroit. * Toc ! Toc ! bonnes gens, ouvrez-moi ! Je ne serai pas une ingrate ; Je chanterai une sonate, Pour vous, au printemps, dans le bois. * Gérard Illberg |
Déposé par poutounou le 30/01/2022Encore deux, trois mois et le plus dur sera passé. Printemps reviens nous vite !!! * Le printemps reviendra * Hé oui, je sais bien qu’il fait froid, Que le ciel est tout de travers; Je sais que ni la primevère Ni l’agneau ne sont encor là. La terre tourne ; il reviendra, Le printemps, sur son cheval vert. Que ferait le bois sans pivert, Le petit jardin sans lilas ? Oui, tout passe, même l’hiver, Je le sais par mon petit doigt Que je garde toujours en l’air… * Maurice Carême |
Déposé par poutounou le 26/01/2022Quand on regarde dans le dictionnaire la signification du mot « Spleen », il est écrit : vague à l’âme, mélancolie… !!! C’est tellement ce que nous ressentons, parfois ou souvent, lorsque nous pensons à vous, doux Anges, partis pour d’autres cieux…Ce merveilleux poème « mélancolique », on le doit à un génie du « Spleen », Monsieur Baudelaire…C’est vrai que c’est triste, mais c’est tellement beau en même temps… !!! Et cela ne nous empêche pas de penser que nos Anges sont heureux, là où ils sont à présent… * Spleen... * Quand le ciel bas et lourd pèse comme un couvercle Sur l'esprit gémissant en proie aux longs ennuis, Et que de l'horizon embrassant tout le cercle Il nous verse un jour noir plus triste que les nuits ; * Quand la terre est changée en un cachot humide, Où l'Espérance, comme une chauve-souris, S'en va battant les murs de son aile timide Et se cognant la tête à des plafonds pourris ; * Quand la pluie étalant ses immenses traînées D'une vaste prison imite les barreaux, Et qu'un peuple muet d'infâmes araignées Vient tendre ses filets au fond de nos cerveaux, * Des cloches tout à coup sautent avec furie Et lancent vers le ciel un affreux hurlement, Ainsi que des esprits errants et sans patrie Qui se mettent à geindre opiniâtrement. * Et de longs corbillards, sans tambours ni musique, Défilent lentement dans mon âme ; l'Espoir, Vaincu, pleure, et l'Angoisse atroce, despotique, Sur mon crâne incliné plante son drapeau noir. * Charles BAUDELAIRE (1821-1867) |
Déposé par poutounou le 23/01/2022Grâce à vous, doux Anges, notre compte en banque des beaux souvenirs est plein à craquer… * Que de sagesse ! * Nous avons toujours le choix * Un homme de 92 ans, petit, très fier, habillé et bien rasé tous les matins à 8h, avec ses cheveux parfaitement coiffés, déménage dans un foyer pour personnes âgées. Sa femme de 70 ans est décédée récemment, ce qui l'oblige à quitter sa maison. Après plusieurs heures d'attente, il sourit gentiment lorsqu'on lui dit que sa chambre est prête. * Comme il se rendait jusqu'à l'ascenseur avec sa marchette, je lui fis une description visuelle de sa petite chambre, incluant le drap suspendu à sa fenêtre servant de rideau. - Je l'aime beaucoup, dit-il avec l'enthousiasme d'un petit garçon de 8 ans qui vient d'avoir un nouveau petit chien. - M. Gagné, vous n'avez pas encore vu la chambre, attendez un peu. * « Cela n'a rien à voir » a-t-il répondu. Le bonheur est quelque chose que tu décides à l'avance. Que j'aime ma chambre ou pas ne dépend pas des meubles ou de la décoration, ça dépend plutôt de la façon dont moi je les perçois. C'est déjà décidé dans ma tête que j'aime ma chambre. C'est une décision que je prends tous les matins à mon réveil. * J'ai le choix : je peux passer la journée au lit en comptant les difficultés que j'ai avec les parties de mon corps qui ne fonctionnent plus, ou me lever et remercier le ciel pour celles qui fonctionnent encore. Chaque jour est un cadeau, et aussi longtemps que je pourrai ouvrir mes yeux, je m'intéresserai au nouveau jour et à tous les souvenirs heureux que j'ai amassés tout au long de ma vie. * La vieillesse est comme un compte en banque. Tu retires de ce que tu as amassé. Donc, mon conseil pour vous, serait de déposer beaucoup de bonheur dans votre compte en banque des souvenirs. Merci de votre participation à remplir mon compte en banque, car je dépose encore. " * Souvenez-vous de ces simples règles pour être heureux : 1. Libérez votre coeur de la haine, 2. Libérez votre tête des soucis, 3. Vivez simplement, 4. Donnez plus, 5. Attendez-vous à moins. |
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