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En hommage à
LHASSA-APSOkouky
Il est né le:25/12/1989
Il nous a quittés le:01/07/2008
35 bougies
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1399 Fleurs
403 messages
Déposé par spanky le 28/01/2023Tes yeux sont là, Sans arrêt ils me fixent N'importe où que je sois Ce que je ne risque pas C'est de les oublier Mais qu'il fasse pluie ou soleil La météo de mon cœur dit que je t'aime et t'aimerais toujours Et quand j'ai sommeil Que je vais dormir Tes yeux de là-haut me regardent Sur moi ils viennent lire Le fond de mes pensées Au revoir, mon grand bonheur, au revoir mon petit chien Tout sur toi J'aime tout sur toi Tes yeux qui peuvent lire en moi La douceur de ton poil brillant Ta frimousse, qui me fait craquer à chaque fois Ton regard sur moi parfois Une sensibilité qu'on ne soupçonne pas Crois-moi, chacune d'elles restera gravée là La chaleur de tes câlins Faire glisser tes poils entre mes doigts Tout pour toi je fessais tout pour toi Et toi tu étais toujours là pour moi Même si toutes tes qualités ont ne les percevait pas Moi je les voyait, chaque jour je les ai vue Et je ne cesserai de les dire J'ai tellement besoin de toi Tu étais toujours là pour me redonner le sourire quand ça ne vas pas Toi et moi c'est pour la vie De ta truffe tu touchais mon visage Et dans ma main tu as glissé ta patte. |
Déposé par spanky le 23/01/2023Où es-tu mon ange ? L'océan se pose Sur le sable mouillé où se gravent mes pas. Alors la vague avance et rien ne s'oppose Aux larmes amères que je verse pour toi. Où es-tu mon ange ? C'est ta voix si menue Qui chante dans mon coeur le ressac du chagrin Qui me dit de venir là où je t'ai perdu Quand l'écume blanche emporte ton couffin Où es-tu mon ange ? Dans cette immensité Je te devine encore lorsque le jour succombe, Mais la vague qui éclate, brise le rocher Et mon château de sable ressemble à ta tombe. |
Déposé par spanky le 21/01/2023Mon maître, Si tu prends la peine d'écouter dans le courant d'air de la maison, tu peux entendre ma voix qui te dit : « Ne sois pas triste, ne pleure plus mon départ, où je me trouve maintenant, je suis bien ». Entouré de l'amour de ceux qui m'ont précédée, je ne souffre plus, mon corps me laisse enfin le repos tant demandé, fini le tourment, je me repose sans douleur, sans contrainte. Je te quitte, mais je reste dans ta mémoire, pense à moi souvent, mais ne soit pas attristée par mon absence, je serai partout avec toi, dans les moments de peine, comme dans les moments de joie. Dans les villes, dans les forêts et dans les plaines, chaque fois que le vent des contraintes de la vie te couvrira, tends les bras vers le ciel, je t'envelopperai de mes ailes pour te réchauffer de mon amour et chasser tous tes tracas. |
Déposé par spanky le 17/01/2023Le petit chien. Je suis un petit chien Mais j’ai déjà quinze ans. Si je présente bien, Mon âge, je le sens. Mon cœur est fatigué, J’ai des douleurs partout, Ma vue a bien baissé, Je n’entends plus du tout. J’aimais bien la montagne Quand j’étais casse cou. Le vertige me gagne, Je fatigue beaucoup. Je vais plus doucement Et je marche très peu. Je dors bien plus longtemps, J’ai caché tous mes jeux. Quand une chienne passe, Je redeviens fringant, Je fais preuve d’audace, Je me sens élégant. Mais dès qu’elle est partie, Je retrouve mon âge Et mon dos s’arrondit : Ce n’était qu’un mirage. Mes maîtres m’aiment autant Que quand j’étais petit. Ils me disent souvent Que j’ai changé leur vie. La mienne aura été Faite de grandes joies, J’aurai été choyé, J’aurai été un roi. Quand il faudra partir, Je ne gémirai pas. Je voudrais m’endormir Blotti entre leurs bras. Madeleine Reynaud |
Déposé par spanky le 13/01/2023Le petit chien de Madeleine Reynaud Je suis un petit chien Mais j’ai déjà quinze ans. Si je présente bien, Mon âge, je le sens. Mon cœur est fatigué, J’ai des douleurs partout, Ma vue a bien baissé, Je n’entends plus du tout. J’aimais bien la montagne Quand j’étais casse cou. Le vertige me gagne, Je fatigue beaucoup. Je vais plus doucement Et je marche très peu. Je dors bien plus longtemps, J’ai caché tous mes jeux. Quand une chienne passe, Je redeviens fringant, Je fais preuve d’audace, Je me sens élégant. Mais dès qu’elle est partie, Je retrouve mon âge Et mon dos s’arrondit : Ce n’était qu’un mirage. Mes maîtres m’aiment autant Que quand j’étais petit. Ils me disent souvent Que j’ai changé leur vie. La mienne aura été Faite de grandes joies, J’aurai été choyé, J’aurai été un roi. Quand il faudra partir, Je ne gémirai pas. Je voudrais m’endormir Blotti entre leurs bras. |
Déposé par spanky le 05/01/2023Notre histoire est née pour ne pas qu'elle s'arrête. Depuis ma tristesse! devrait être épuisée ce n'est pas le cas... Le destin t’a placée à mes côtés, je t,ais perdue! depuis je suis condamnée à vivre un peu comme en hiver... Un aboiement d'un chien au loin bien souvent qui me rappel ou simplement me donne un sursaut croyant que c'est toi! et par curiosité y croyant encore !! Je regarde de ou cela provient des fois que ce serai toi... Toi simplement toi qui me fais comprendre que tu es là, de retour qui me revient... C'est idiot je sais ! Ne me demander pas les raisons de cet amour. Je ne saurais vous répondre... |
Déposé par spanky le 01/01/2023Aujourd'hui, une nouvelle année sans toi commence. si tu savais combien tu me manques, Ma vie n'a plus de sens depuis que tu es parti. J'aimerais tant pouvoir te revoir et de faire pleins de bisous. Cette nuit, tu es venu dans mes rêves et mes yeux ont plongé dans les tiens Et dans tes si beaux yeux, mon regard s’est perdu. J’y ai vu de l’AMOUR, tant d’AMOUR. De la patience, tant de patience. De la prévenance, tant de prévenance. De la fidélité, tant de fidélité. De la joie, tant de joie. J’y ai vu de vertes prairies et de belles forêts. J’y ai entendu des cris de joie et de joyeux aboiements J’y ai vu ton âme, qu’elle belle âme. Tes beaux yeux se sont fermés, j’ai perdu toutes ces belles choses Et mes yeux se sont remplis de larmes. Des larmes d’AMOUR pour toi. |
Déposé par spanky le 25/12/2022Cette nuit, j'ai fait ce songe merveilleux. J'avançais parmi les lutins heureux. Ils sautillaient, dansaient, chantaient; De belles rondes, ils formaient. Un instant, confuse de les déranger, Je me suis, près d'un arbre, cachée. Leur mélopée doucement, me berçait. Mes pensées légères s'envolaient. Par-delà la forêt bruissante, joyeuse Je découvris l'étendue lumineuse. Au ciel profond, aux nébuleuses. Je me fondis, enfin heureuse. A tir d'ailes imaginaires, Je revins me poser à terre. Étourdie de mon rêve spatial, D'avoir tutoyé les étoiles. Joyeux Noël à ta famille petit lutin du ciel. |
Déposé par spanky le 24/12/2022Noël est là et nos amis les chiens ne sont plus parmi nous. Pourtant, il faut croire qu’ils vivent aujourd’hui Dans un au-delà merveilleux dénué de toute souffrance. Un pays paisible où c’est tous les jours Noël! Le plus beau cadeau à lui offrir serait d’être heureux, Et de ne penser à lui qu’avec de beaux souvenirs Et une infinie tendresse. |
Déposé par spanky le 20/12/2022Mon histoire C'est l'histoire d'un amour Ma complainte C'est la plainte de deux coeurs Un roman comme tant d'autres Qui pourrait être le vôtre Gens d'ici ou bien d'ailleurs C'est la flamme Qui enflamme sans brûler C'est le rêve Que l'on rêve sans dormir Un grand arbre qui se dresse Plein de forces et de tendresse Vers le jour qui va venir C'est l'histoire d'un amour éternel et banal Qui apporte chaque jour tout le bien tout le mal Avec la roue l'on s'enlace Celle où l'on se dit adieu Avec les soirées d'angoisse Et les matins merveilleux Mon histoire C'est l'histoire qu'on connaît Ceux qui s'aiment Jouent la même, je le sais Mais naïve ou bien profonde C'est la seule chanson du monde Qui ne finira jamais C'est l'histoire d'un amour Qui apporte chaque jour tout le bien tout le mal Avec la roue l'on s'enlace Celle où l'on se dit adieu Avec les soirées d'angoisse Et les matins merveilleux Mon histoire C'est l'histoire qu'on connaît Ceux qui s'aiment Jouent la même, je le sais Mais naïve ou bien profonde C'est la seule chanson du monde Qui ne finira jamais C'est l'histoire d'un amour. --------------------------------- (Latina America Bolero Histoire D'un Amour) |
Déposé par spanky le 15/12/2022Une nuit sur le sable, Je m'étais endormie quand soudain Je te sentis lentement t'approcher de moi Lentement tournoyer prés de moi Comme tombé du ciel tu étais la Tu avais un collier bleu Tu avais les yeux couleur noire Ton poil brillait de mille feux De ta truffe tu as touché mon visage Dans ma main tu as glissé ta patte C'est alors que je t'ai vu surgissant du passé En tremblant je t'ai caressé Tu m'étais revenu Et j'ai lu dans tes yeux Viens retournons comme autrefois Comme avant où tu me prenais dans tes bras Comme avant allons nous promener Comme avant caresses moi Comme avant occupes toi de moi Quand soudain dans un bruissement tu repris ton chemin Pour regagner le ciel Je t'ai embrassé caressé comme avant Ce n'était qu'un rêve. Et j'ai pleuré. |
Déposé par spanky le 10/12/2022L'adieu à un chien. La neige tombait tout doucement ce matin-là, Comme pour préparer ton lit de mort. J’ai eu du mal à contenir mes larmes, et de ton départ, tu m’as laissé inconsolable… Te rappelles-tu des belles journées d’été où nous nous promenions dans les bois? Quand on courait, jouait ou s’aventurait sur le bord des ruisseaux ou dans la montagne? Des fois où nous nous chamaillions comme des louveteaux? Des parties de cache-cache et des jeux de balle tout simples? Des fois où dans le champ, je t’aidais à manger des bleuets sauvages en te les donnant dans ma main? Des hivers où nous jouions ensemble et que tu participais à mes histoires imaginaires d’enfant? De nos excursions parfois risquées où nous revenions à la maison pleins de boue? Nous revenions fatigués au soleil couchant, Et je m’endormais à tes côtés au son du chant de la grive. Ton souffle me détendait et me rassurait Et ta présence m’était si précieuse, Tu étais le véritable ami dont j’avais besoin. Tu étais là pour me consoler quand j’étais attristée Et toutes les fois où j’ai versé des larmes, tu as léché mon visage pour les essuyer. Pouvoir mettre mon visage dans la fourrure de ton cou et y passer ma main me manquera toujours Et c’est lorsque je l’ai fait pour la dernière fois que je l’ai su. Tant d’années ont passé à tes côtés. J’ai vu le temps te vieillir, Et c’est là que je me rends compte que toute vie est soumise à s’éteindre un jour. Maintenant tu ne seras plus là pour m’attendre quand je reviendrai, Maintenant tu ne seras plus là quand je me promènerai dans la forêt qui était la nôtre. Je ne te reverrai plus tout heureux lorsque les premières neiges des hivers auront tombé. Ton corps sans vie et tes yeux voilés, Cela avait marqué la fin. Mais au moins nous avons été ensemble jusqu’à la fin, jusqu’à ton dernier souffle Et tu es maintenant libéré de ton corps usé qui devait te faire souffrir. Tu m’as apporté tant de bonnes choses dans ma vie, Et ta perte me fait tant pleurer. Tu étais comme une partie de moi, Mais au moins j’ai tant de beaux souvenirs qui nous appartiennent Je les garde précieusement en ma mémoire, en mon cœur. Merci de m’avoir accompagné pendant toutes ces années |
Déposé par spanky le 05/12/2022L'ADIEU D'UN CHIEN A SA FAMILLE (Marcel Fakhoury) Désolé, je tourne la page J’ai choisi d’abréger mes maux Je pars pour un dernier voyage Au paradis des animaux Je vous tire ma révérence J’ai mis un terme à mes douleurs Ne regrettez point mon absence Je vais là où poussent les fleurs Quand je serai parmi les anges Je me souviendrai du hameau Où les moineaux et les mésanges Chantaient gaiement sur un rameau Où le soir, près de la fenêtre Comme un fidèle admirateur Je dévorais des yeux mon maître Penché sur son ordinateur C’est dans ce coin un peu bohème Que j’ai vécu mes plus beaux jours Entre une prose et un poème Gravés dans mon cœur pour toujours Adieu mon maître, adieu maîtresse Merci pour les moments heureux Vous m’avez comblé de tendresse Et de sentiments chaleureux Je vais rejoindre l’autre monde Le jardin de sérénité Où nous entraîne dans sa ronde L’horloge de l’éternité |
Déposé par spanky le 29/11/2022Pour que tu ne meures pas D'Yves Duteil Pour que tu ne meures pas J'ai prié jour et nuit Un Dieu que j'ignorais Pour qu'il te garde en vie Je priais à genoux Pour qu'il te laisse à nous Je faisais les prières Que je me récitais Lorsque j'étais enfant Je disais Notre Père Je vous salue Marie.... Et je cherchais en vain Dans le ciel ici bas Des instants de répit Que je trouvais enfin Dans le creux de tes bras Pour que tu restes en vie J'aurais prié Bouddha... Pour que tu ne meures pas Je plongeais mon regard Au plus profond du tien Pour soigner ton chagrin J'aurais voulu qu'on m'aide A trouver le remède J'aurais changé l'histoire Pour effacer les jours Qui déposaient du noir Autour de ton amour Pour en briser le cours J'aurais voulu pouvoir Voler à ton secours... Pour que tu ne meures pas J'ai chanté certains soirs Tous les chants de l'espoir Que j'écrivais pour toi Et je montais si haut Vers l'infiniment beau Pour pouvoir rapporter Un peu d'éternité A t'offrir en cadeau Quand je t'ouvrais mon coeur En caressant ta peau Comme on touche un trésor Tu te battais si bien On se sentait si forts J'aurais cherché plus loin Pour que tu vives encore... Je ne saurai jamais Ce qui de tout cela Nous a gardé ensemble Du courage de vivre Ou du bonheur qui tremble Mais je bénis le ciel De t'avoir épargnée Lorsqu'à la nuit tombée Je t'entends respirer Et je connais le prix De chaque instant de paix Que nous offre aujourd'hui Et l'amour qu'il fallait Pour que tu restes ici... Pour que tu ne meures pas, J'aurais donné ma vie. |
Déposé par spanky le 24/11/2022Le matin vous nous réveillez en nous léchant le bout du nez. Le soir vous nous attendez bien sages et sans bouger. Puis c'est la fête, dans vos mirettes vous bondissez, en quémandant des jeux et des câlins à qui mieux mieux. Il faut remplir vos gamelles le ventre plein, la vie est belle. L'hiver vous nous chauffez les pieds vous connaissez nos programmes télé. L'été vous offrez vos fourrures (simili fourrure) au soleil en écoutant le bourdonnement des abeilles Si on est triste, vous le sentez et d'un petit coup de truffe mouillée vous poussez notre main pour nous montrer votre amitié si forte pour nous réconforter. Nous vous parlons de nos joies, de nos peines, vos grands yeux profonds comprennent et traversent les âges, même le plus espiègle de vous, tout à coup, devient sage. Vous êtes nos gamines et nos gamins même si les coeurs durs ne comprennent pas l'union secrète qui nous unit et cette union... c'est pour la vie !!!! Même quand vous partez jouer au paradis... Vous êtes tatoués dans nos coeurs, dans nos sourires et dans nos pleurs. La fatalité vient vous chercher comme seule elle peut l'opérer On essaie de comprendre sans succès et on ne cesse de vous pleurer Puis un jour viennent les rires en racontant vos facéties... Ainsi va la vie ... |
Déposé par spanky le 19/11/2022Poème d'un chien Je suis celui qui t'attend ... Ta voiture fait un bruit spécial et je la reconnaîtrais entre mille. Tes pas résonnent de manière magique, c'est une musique pour moi. Ta voie est le signe le plus évident de mon bonheur, il n'est pas nécessaire de parler : j'entends ta tristesse. Si je vois ton bonheur, je suis heureux! Je ne fais pas de différence entre une bonne et une mauvaise odeur, je sais uniquement que ton arôme est le meilleur. Certaines présences me plaisent, d'autres moins. Mais ta présence est celle qui émeut mes sens. Ton réveil, me réveille. Toi, qui dors à la maison, tu es mon Dieu et moi, je suis le gardien de tes rêves. Ton regard est un rayon de soleil, lorsque je m'aperçois que tu te réveilles ... Ses mains sur moi ont la légèreté de la paix. Et lorsque tu pars, tout est vide à nouveau... Et moi, je continue à t'attendre, encore et encore ... J'attends le bruit de ta voiture Le son de tes pas De ta voix J'attends ton humeur toujours lunatique Ton odeur Ton repos sous ma vigilance J'attends tes yeux Tes mains Et moi, je suis content ainsi. Je suis celui qui t'attends Je suis ton chien. Gabriel Makaya |
Déposé par spanky le 14/11/2022LES CHIENS PLEURENT AUSSI. Moi je sais que les chiens pleurent aussi Quand ils ont du chagrin, Que parfois ils se cachent Pour souffrir à loisir Sans que leur maître sache Ni où ils sont, Ni le grand mal qui les conduit. J'en sais un qui partit au fond d'une forêt Pour fuir les longs soupirs, De cet enfant malade. Cet enfant qui jouait avec lui Ses chamades, Et qu'il ne s'en revînt Que lorsqu'il fut sauvé. Et j'en sais aussi un qui se laissa mourir, De faim, de désespoir Au départ de son maître Pour les Terres d'Ailleurs, Où seules ne pénètrent, Que les ombres de ceux Dont la vie va finir. Mais moi je sais aussi Que dans ces Pays Hauts, Les hommes et les chiens, Chaque fois se retrouvent, Sur les vastes prairies Quand les portes s’entrouvrent Parmi l'immensité des joies Et des repos. Louis AMADE |
Déposé par spanky le 11/11/2022CHAGRIN. Dans la brume du matin, j'aperçus le chagrin qui cherchait le destin, Ce dernier caché dans les prés me fit signe de ne rien dire pour éviter de souffrir. Voulant être gentille je dis au chagrin?? Si tu ne trouves pas ton destin, chagrin prend un peu du mien, Tu as bon coeur me dit-il... mais le chagrin n'a ni coeur ni moral. Ce dernier prit un peu de mon destin en me laissant beaucoup de chagrin Car ce dernier m'avait pris mon chien. Spécialement pour toi aujourd'hui avec tous mon affection et ma tendresse, Courage a ceux qui t'ont aimé. |
Déposé par spanky le 07/11/2022« Pourquoi aimer les animaux? Parce qu'ils vous donnent tout, sans rien demander. Parce que contre le pouvoir de l'homme armé, ils sont sans défense. Parce qu'ils sont des enfants éternels, Parce qu'ils ne savent pas ce qu'est la haine ou la guerre. Parce qu'ils ne connaissent pas l'argent et qu'ils se consolent seulement avec un endroit pour échapper au froid. Parce qu'ils se font comprendre sans dire un mot, Parce que leur regard est aussi pur que leur âme. Parce qu'ils ne connaissent ni envie ni rancune, Parce que le pardon est encore naturel en eux. Parce qu'ils savent aimer avec loyauté et fidélité. Parce qu'ils vivent sans avoir une maison luxueuse. C'est pourquoi ils n'achètent pas l'amour, ils attendent juste ça. Et parce qu'ils sont nos compagnons, amis éternels, que rien ne pourra séparer. Parce qu'ils sont vivants. Pour ceci et mille autres choses, ils méritent notre amour. » Mère Teresa |
Déposé par spanky le 03/11/2022Mon cœur hurle de douleur. Mes sanglots, mes gémissements, nul ne les connaît, ne les entend. Je porte un masque de fausse gaieté devant les gens. Nul ne sait à quel point je souffre, ni ne voit quel est mon tourment. J’ai si mal ! Tellement mal !! Une souffrance infernale ! Je pleure quand je suis seule, quand personne ne me voit, dans l’intimité de mon cœur. Dans les silences de ma vie, mon cœur meurtri saigne et hurle de douleur. Ta disparition est une torture infinie qui fait désormais partie de ma vie. |
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